personnellement, je ne connais que Taja de cette région. Si le premier millésime que j'ai bu de cette cuvée m'avait bluffé, 96, le dernier ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. (98). www.lapassionduvin.c...
En effet j ai bu du Taja Monastrell 2006 hier assez dessus moin bon que les vrac Jumilla de chez Denner et bien moin bon que les Valdepenas! Affaire ä suivre!!!!
Beaucoup de bons vins depuis une dizaine d'années (voir les commentaires existants) et deux bombes récentes,Nido et Clio.
Mourvèdre et CS et la patte de Jorge Ordonez (nouvelle coqueluche du vin espagnol)pourdeux cuvées modernes, hyper concentrées et au velouté incroyable.
Pas vraiment une découverte,Parker ou Jay Miller a déjà noté 98.
J'ai récemment gouté clio 2004 ici à New York , et je dois avouer que le style de ce vin ne m'a pas enthousiasmé: Bombe fruité au nez en en entrée de bouche, tapageur et un peu lourdingue, c'est riche et exotique, mais très vite tout cela s'en va avec une longueur assez courte.
J'ai également noté un sentiment de lassitude au palet au bout de 2/3 verres, je pense que ce caractère très (trop) démonstratif va s'estomper avec le temps...Pas d'amélioration notable le lendemain.
Je suis visiblement passé à coté...
J'attends 2/3 ans pour ouvrir ma seconde bouteille...
J.Gil «Jumilla» 2010
Couleur pourpre, foncé. Notes de mure, de pruneau et de cassis confiturés, presque cuits. Puis, arômes de cacao, menthe poivrée et de thym. Bouche chaleureuse, avec une trame acide qui soutient les saveurs de confiture de fruits noirs. Finale correcte pour un vin fils du soleil.
Bu avec filet de «pata negra» à la Mauri
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Clio 2008
[size=medium][size=medium]Robe noire. Arômes de confiture de mûre et pruneau, notes de graines de café, de chocolat noir, de racines séchées. Bouche dense, persistante, avec un très beau volume, mais étonnement fraîche (on oublie les 15,5% de vol.), longue et savoureuse. Un vin fils du soleil et, comme le millésime précédant, indéniablement bon.[/size][/size]
Mauri
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Il s’agit en fait d’un assemblage de 85 % de syrah et de 15 % de mourvèdre.
La robe est noire avec des reflets très violacés.
Le nez très intense offre des fruits très noirs, mais aussi une touche de suie de ci, une autre moins engageante de vernis de là, et enfin quelques notes de violette.
La bouche est dotée d’une chair ample, dense et percutante, sur un beau fruité teinté d’épices. Une certaine fraîcheur est bien présente mais un peu insuffisante pour tempérer sa fougue. Bien ++ pour sa générosité
Ce vin technologique (cryo-macération, micro-oxygénation) est proposé à un prix très doux.