Weingut Clemens Busch Riesling Trocken 2014

Étonnant contraste d'un nez gourmand de fruits jaunes, de bergamote et d'une bouche traçante comme un missile.
Un caractère salin des plus désaltérant.
Belle acidité finalement assouplie par une pointe de délicatesse discrète.
J'aime beaucoup.
JL

Weingut Clemens Busch-Riesling Troken-Nonnengarten Fass 29 2015
Bel or pour cette robe bien nette
Nez qui pétrole pas mal,puis fruits blancs et notes légèrement miellées.
Bouche très fraîche avec un soupçon de perlant.Beaux agrumes,pamplemousse surtout,acidité assez haute,beau jus prégnant,tonique.
Finale assez longue avec des beaux amers.Une bien agréable bouteille aussi bonne que celle du mois du début février avec les copains lpviens.
Bernard

Weingut Clemens Busch-Riesling Vom Roten Schiefer 2016

Vin agité dégazé et carafé 1 h avant dégustation comme on me l'avait précisé.
Robe très dorée, brillante, nez fin et expressif, de la minéralité, des agrumes, léger et traçant, superbe. A ce jour le plus beau riesling allemand dégusté, il restait une bouteille à vendre et plusieurs personnes se sont positionnées, un signe? Sans doute. Excellent pour moi!

Bu ici
Riesling Grand Cru « Marienburg Rothenpfad » Clémens Busch 2016


Nez légèrement pétrolé, de citron, écorces d'agrumes, chèvrefeuille, bouche tout en droiture, sur une structure épurée qui donne beaucoup de plaisir avec un touché de bouche sur la vigueur pour finir sur une finale fraîche, saline sur de jolis arômes d'agrumes, le citron principalement. Je n'avais jamais goûté, c'est top 16/20

Alex

Weingut Clemens Busch Marienburg Auslese Fahrlay 2011 - Mosel
Robe d'un bel or blond.
Nez sur les fruits exotiques (ananas, mangue, fruits de la passion), le citron confit et la verveine.
Bouche à l'attaque perlante avec une sensation sucrée immédiate allégée par une acidité de dentelle. La matière -rehaussée par un joli gras- est aérienne et précise sans être traçante. La concentration est perceptible sans être massive.
Ce vin est un modèle d'équilibre, avec une finale sur le citron confit qui laisse une bouche propre.
Une vraie douceur à siroter tranquillement...merci à Eric et Olivier de Riesling&Nebbiolo !

Bonjour à tous.


Allemagne - Mosel - Domaine Clemens Busch - Riesling Trocken 2018 - 11,5% - 100% Riesling.

Bouteille achetée sur ses conseils, à mon ami Eric de "Riesling et Nebbiolo", afin de découvrir un vin allemand.

La bouteille a été bue en guise d'apéro et servie à 10°c.

Bouchon : Court mais de belle qualité. Il est souple et sans défaut. Il est à peine marqué sur le disque.

Œil : Le vin se présente sous une belle couleur jaune or, très clair, tirant sur le pâle. Il présente des reflets légèrement grisés. les larmes sont peu nombreuses.

Nez : Il est présent d'entrée avec un côté très légèrement "pétrole". Puis, viennent les fruits blancs, les fleurs mais surtout un beau panel d'agrumes frais (citron jaune, citron vert, pamplemousse) qui donne une superbe fraîcheur et de la tension. L'ensemble est frais, équilibré et diablement attirant.

Bouche : On trouve une jolie matière, sans être très riche. On retrouve les fruits blancs et les agrumes, dominés par ces derniers, citron jaune, citron vert et pamplemousse. C'est très tendu et rafraîchissant. J'ai adoré et madame aussi.

Je ne connais pas les autres cuvées du domaine mais cette cuvée m'a beaucoup plu. Merci Eric pour le conseil.

Nathenri.

Weingut Clemens Busch Riesling Pündericher Marienburg Fahrlay Terrassen GG 2014

Bouquet ouvert, solide et profond, sur l’abricot confit, la cire, le miel et le citron puis le poivre blanc et le houblon. On a un beau mix entre maturité de fruit et fraîcheur plus herbacée. Par-dessus tout, les notes de pierre chaude, de caillou frotté et de fumée donnent du caractère.

La bouche est pleine, très concentrée avec du jus et de la fraîcheur. Ce n’est pas d’un dynamisme exceptionnellement élancé, mais il y a de l’accroche et une sorte de mâche due aux amers austères de fin de bouche. Très belle longueur sur le zeste de citron vert et des notes végétales et minérales.

Vin terrien et solide au caractère affirmé, sans doute au début de sa vie, et à revoir avec beaucoup d’intérêt dans quelques années.

Pierre

Weingut Clemens Busch, Riesling Vom Grauen Schieffer, 2019

Robe jaune vert pâle
Nez sur les agrumes (orange, citron) notes florales et de poire.
La bouche est ronde, acidulée sur les agrumes avec quelques notes florales. Une jolie amertume sur le pomelo apparaît dès le milieu de bouche.
La finale est légèrement saline et s'étire agréablement.
C'est frais, c'est bon et cela se boit tout seul
B+/TB-
Parfaite tenue sur 3 jours (le plus difficile ayant été d'en garder)

Weingut Clemens Busch - Riesling Trocken 2019

Beau nez citron, pamplemousse, ananas.
En bouche, attaque plutôt vive dans une certaine fraicheur soutenue par une sensation acide. le vin est fluide, de l’agrume et un coté pomme. Profondeur correcte sans être folle. Le vin est équilibré et bien fait.

C’est bien moins expressif que le Riesling Erich Schonleber bu il y a quelques jours (et qui m'avait mis une claque !).
Mais ça reste une belle entrée de gamme, qui offre du plaisir.

Bien
14 / 20

Cdt

Weingut Clemens Busch, Mosel, Riesling Trocken, Nonnengarten, 2017



Robe jaune grisée très peu teintée. 
Nez sympathique, ouvert et franc, sur le citron vert, la menthe, des notes fruitées entre la pêche blanche et la mirabelle et un pointe pétrolée. 
Bouche délicate, primesautière et légère, sur une trame acide fraîche qui porte une matière qui manque un peu d’intensité.
Finale facile, sans réelle relance mais pleine de buvabilité. 
Bien+

Riesling, Mosel, Vom Grauen Schiefer 2017, Clemens Busch
Robe très claire. Nez sur des notes herbacées et les agrumes qui évoquent la fraîcheur.
Celle-ci est présente en bouche: l'acidité des agrumes équilibre parfaitement les légers sucres résiduels.
Un riesling allemand d'école: simple mais extrêmement efficace. B  

Dégusté à cette occasion

Weingut Clemens Busch Riesling  GG Marienburg Rothenpfad Reserve 2017
Parcelle de vieilles vignes sise à Pünderich, en forte pente et constituée de schistes rouges argileux délités. Culture biodynamie. Le « Reserve » est une sélection qualitative des vins récoltés sur cette parcelle et élevé plus longuement que le grosses Gewächs classique du même cru (24 mois en foudres sur lies).
Premier nez à demi-ouvert sur le citron confit et le miel de fleurs. Ensuite cela se complexifie avec des senteurs plus florales (acacia, jasmin), des arômes de poire,  de compote à la rhubarbe, de tabac blond et un poil de menthe. En filigrane, des nuances plus salines traversent le bouquet. C’est élégant. La bouche est nette et pleine, concentrée en largeur et en profondeur avec une fraîcheur énorme qui dynamise le vin. L’ensemble est solide mais parfaitement équilibré. Très belle longueur fruitée avec un retour du miel et des notes minérales.

Pierre

Weingut Clemens Busch - Riesling GG Marienburg Rothenpfad 2017
Ouvert 2 jours avant puis conservé en 1/2 bouteille remplie.
Robe paille
Très joli nez expressif et immédiatement séduisant, composé de multiples nuances délicates sur la pierre chaude, pétrole, touche de citron vert, fleurs blanches, quelques fruits exotiques légers (mangue pas trop mûre). 
La bouche est nette, aucun perlant, tendue par une belle acidité mûre, enrobée d'un gras velouté et d'une fine texture caillouteuse et profonde.
Belle finale citronnée et persistante.
Belle complexité, équilibre très digeste et gourmand.
Le vin s'est avéré parfait le soir du réveillon sur un tartare de Saint Jacques façon ceviche et sorbet pamplemousse.

Il a été presque éclipsé par le vin suivant, un meursault 2017 de Fanny Sabre, non commenté car la bouteille fut évaporée instantanément.

Weingut Clemens Busch Riesling vom blauen Schiefer 2019
Bouquet épanoui et assez profond axé sur le miel, les agrumes confits et la craie.  Par-dessus quelques herbes aromatiques (sarriette, marjolaine), un peu de fruit sec et de fruits jaunes donnant une impression de maturité. La bouche est solide et juteuse avec  un fruit mûr et un équilibre qui, sans être aérien, se montre à la fois dynamique et ample. La tension sous-jacente se cache derrière le gras. Fin de bouche saline de bonne persistance avec des amers assez marqués.

Pierre

Weingut Clemens Busch,Mosel,Riesling Marienburg GG 2015 Trocken
Une robe or clair,j'ai aimé le nez fruité(exotiques)mais aussi mirabelle et les notes florales.
La bouche ne suit pas,elle  est un peu sévère,l'acidité est très (trop)importante.Il en résulte un manque de confort,peut être un manque de maturité coté fruits.Très intenses notes citriques,un peu moins à J+1 mais j'ai goûté cette cuvée bcp mieux antérieurement.Mauvaise phase,millésime,à revoir?
Cordialement
Bernard

  Weingut Clemens Busch - Riesling Vom Grauen Schieffer - 2012

Le nez met un peu de temps à s'ouvrir sur les fruits jaunes et une pointe de miel.
La bouche est bâtie autour d'une acidité fine qui élance un vin plein de délicatesse. Confirmant globalement ce qui a été senti, elle affirme davantage une aromatique fruit jaune/miel/pointe cireuse (début d'évolution ?). Finale sapide assez peu persistante.
C'est très bon mais un riesling 2012 de Boxler bu en parallèle l'a dominé.

Clemens Busch – Mosel - Riesling Vom Roten Schiefer – 2018 :

Robe jaune vif doré. Nez vif, note florale et terpénique.
Bouche enrobée, fluide et vive sur les fruits jaunes, pêche et raisin blanc.
Finale salivante et longue sur des notes citronnées.
TB 16/20. Sur des truites aux amandes.

Weingut Clemens Busch, Marienburg Rothenpfad GG 2015, Mosel
100% riesling / Vignes plantées sur sol d’ardoise rouge / 12,5%

Un vin bu lors de cette dégustation .

 

On retrouve une robe plus pâle, toujours avec des reflets verts.

Nez de fruits à noyau (abricot), avec un peu de lychee. Equilibre maturité/fraîcheur au nez.

Bouche : belle minéralité, avec de l’acidité. Un vin plus en longueur qu’en largeur. Un petit côté citronnade aussi, qui fait irrémédiablement penser à un vin allemand.

Très bon : 16/20.

Fred

Clemens Busch, Mosel, Riesling trocken 2020
Nez très expressif sur l’abricot, le chèvrefeuille, le lila et citron, pierre chaude.
La bouche offre beaucoup de légèreté, très sèche et acide, joliment aromatique dans la lignée du nez mais son caractère très sec se transforme en constitution maigre en milieu de bouche.
La finale est traçante, salivante.
C’est quand même pas mal du tout, je tenterais bien sur des sushis.
 
Cépages allemands

Clemens Busch – Mosel – Vom Roten Schiefer – 2018 :
 Robe entre or clair et citron. Nez acidulé, agrumes, zeste de citron.
Bouche fine, écorce d'orange, notes d'herbes fraîches et aromatiques, citron très mûr, zeste. Légèrement acidulé. Super frais et équilibré.
TB+ 16.5/20. Carafé 2h. Saumon fumé mariné et huîtres.

Weingut Clemens Busch, Mosel - Pündericher Marienburg "Raffes" 2006 GL
C'est la plus grande cuvée du domaine, où tous paramètres de qualités sont poussés au maximum. Sol de schistes grises, en haut du Fahrlay, vielles vignes non-greffés, La densité du moût explique que les levures n'arrivent pas à descendre au niveau GG de SR et par conséquent c'est un QbA de niveau de terroir VDP.Grosse.Lage. Par ailleurs, le début des années 2000 est marqué par le tournant vers des "grands" vins blancs secs au sein du VDP et les incitations du VDP se tournaient vers le degré d'alcool et la puissance. Par conséquent, les 14° de cette cuvée sont également le marqueur d'une époque, par delà le fait que 2006 est l'un des premiers très chaud millésime sdu XXIème par ailleurs marqué par un botrytis d'anthologie. La cuvée est toujours produite et les détails sont  ici.  On constatera que le degré alcoolique n'est plus nécessairement l'alpha et l'omega du domaine maintenant.

 

Oeil : La robe est d'un or ambré très beau, relativement évoluée.

Nez : D'une grande sérénité et intégration, il s'ouvrira au fil des 3 jours où je boirai ce vin. On peut déjà chercher du zeste d'agrume, un peu de cassis, de la pierre chauffée. Comme souvent sur les grosses cuvées de riesling allemand, j'ai du mal à trouver les terpènes (que je trouve nettement plus communs  sur les cuvées génériques en revanche).

Palais : Le vin paraît parfaitement à point avec une énorme concentration. En mâchant, l'ardoise surgit hédoniquement avec une très belle amertume de pamplemousse noblement acide qui me rappelle celle rencontrée chez Georg Breuer & Peter Jakob Kühn dans le Rheingau. Ceci est cadré par le facteur miellée lié à l'intégration des SR. La rétro est sur ces nobles amers d'une grande et agréable persistance. Il n'y a pas de faiblesse mais la violence est partie et quelque part, une petite partie du plaisir aussi. Le vin goûte sec/très sec avec une rondeur fugace en milieu de bouche.

Conclusion : La concentration et la longueur en bouche sont dignes d'une grande cuvée.  La complexité à l'ouverture n'est pas énorme mais ça devrait s'améliorer à l'aération.

A force de tester des Ortswein, des 1G et des GG & autres cuvées radicales, je commence à arriver à la conclusion que le RQP est clairement du côté des Ortswein. Ceci n'est pas une surprise ni une révélation évidemment et renforce d'autant la valeur de partage de ces mêmes grandes cuvées qui participent à accroître le plaisir de passer de bons moments avec des gens qu'on apprécie.

Plutôt d'accord avec ta remarque concernant les ortswein et autres cuvées d'entrée de gamme VS grands crus. Par contre je trouve que dans l'ensemble Clemens Busch est l'un des rares domaines où les petites cuvées sont souvent un peu maigres et les grands crus rarement trop opulents. 

Weingut Clemens Busch, Pündericher Riesling Trocken "Vom grauen Schiefer" 2017

 

Nez agréable dès l'ouverture, sur les agrumes (pamplemousse, bergamotte), menthol, fruité frais. A l'aération le nez devient vraiment très charmant, avec des notes de pêche bien mûre et toujours des agrumes qui évoquent plutôt cette fois le combava (oui c'est précis). Aussi attirant qu'extraverti.

En bouche il y a une belle trame acide, c'est tranchant comme une lame japonaise et sec comme un coup de trique. L'amertume est sensible, qui évoque la peau d'agrumes, et on ressent une certaine salinité. La finale est salivante au-delà du possible (méfi, il faut bien s'hydrater avant de boire, car vu comme ça fait saliver, il peut y avoir danger).

Eh ben, ça décoiffe (pour ceux qui ont encore des cheveux, s'entend). L'aromatique est absolument charmante, et ça claque en bouche. Mais j'avoue (et ce même si je suis normalement assez résistant aux acidités perchées) que je ne cracherais pas sur un peu plus de confort en bouche, parce que là c'est du brutal, en dégustation pure en tout cas. En mangeant ça passe mieux, toutefois (il est venu arroser un feuilleté à la truite puis une bonne vieille choucroute garnie).

Bien

Mathieu

Ouh la vache, Mat' qui dit "c'est du brutal" niveau tension, j'en tremblerai presque sur ce que ça promet !

oliv écrit:

Ouh la vache, Mat' qui dit "c'est du brutal" niveau tension, j'en tremblerai presque sur ce que ça promet !

 

C'était juste après Noël, avec les excès, tout ça, je pense que j'avais le palais fragile .

Mathieu

tomy63 écrit:

Plutôt d'accord avec ta remarque concernant les ortswein et autres cuvées d'entrée de gamme VS grands crus. Par contre je trouve que dans l'ensemble Clemens Busch est l'un des rares domaines où les petites cuvées sont souvent un peu maigres et les grands crus rarement trop opulents. 

Cette remarque avait plutôt une portée très générale et Clemens Busch n'était pas particulièrement concerné. J'ai corrigé la mise en page pour refléter ça. Pour Clemens Busch, mon expérience est très faible, autant j'avais trouvé le Kabinett trop opulent et presque écoeurant mais là, cette bouteille est subjectivement top pour moi et ne trahit pas son pedigree (et je remercie Riesling&Nebbiolo de l'avoir fourni à prix très avantageux).

A propos de la controverse Ortswein versus Grands Cru, je fais clairement partie de la catégorie des buveurs d'étiquettes, ou à tout le moins de ceux prêt à faire des folies pour faire partie des privilégiés . Or la rationalité économique me force à reconnaitre la forte valeur relative des Ortswein par rapport à mon porte-monnaie.

Mais si je pouvais faire comme @Benoit Hardy, je le ferai avec grand bonheur  .

Clemens Busch Marienburg riesling Auslese Fahrlay 2011 ­- Pünderich
Ouverte pour le réveillon de Noël
Robe or clair, translucide par endroit.
Nez avenant sur le citron confit, l'ananas et les fruits de la passion.
Bouche acidulée et fraîche assise sur une trame fruitée précise sans sensation d'empâtement.
C'est joli, net et propre mais ça manque d'envolée à mon goût...peut-être un peu trop sage !

denaire écrit:

Weingut Clemens Busch, Pündericher Riesling Trocken "Vom grauen Schiefer" 2017

 

Nez agréable dès l'ouverture, sur les agrumes (pamplemousse, bergamotte), menthol, fruité frais. A l'aération le nez devient vraiment très charmant, avec des notes de pêche bien mûre et toujours des agrumes qui évoquent plutôt cette fois le combava (oui c'est précis). Aussi attirant qu'extraverti.

En bouche il y a une belle trame acide, c'est tranchant comme une lame japonaise et sec comme un coup de trique. L'amertume est sensible, qui évoque la peau d'agrumes, et on ressent une certaine salinité. La finale est salivante au-delà du possible (méfi, il faut bien s'hydrater avant de boire, car vu comme ça fait saliver, il peut y avoir danger).

Eh ben, ça décoiffe (pour ceux qui ont encore des cheveux, s'entend). L'aromatique est absolument charmante, et ça claque en bouche. Mais j'avoue (et ce même si je suis normalement assez résistant aux acidités perchées) que je ne cracherais pas sur un peu plus de confort en bouche, parce que là c'est du brutal, en dégustation pure en tout cas. En mangeant ça passe mieux, toutefois (il est venu arroser un feuilleté à la truite puis une bonne vieille choucroute garnie).

Bien

Mathieu

Etonnant cette sensation très tendue sur cette cuvée, j'ai bu 2016 et 2018, j'ai trouvé au contraire que pour un Mosel le confort de bouche était sympathique, notamment par rapport à d'autres noms du secteur en Mosel ou Nahe. L'as tu carafé? moi toujours.

Bobo1 écrit:

Etonnant cette sensation très tendue sur cette cuvée, j'ai bu 2016 et 2018, j'ai trouvé au contraire que pour un Mosel le confort de bouche était sympathique, notamment par rapport à d'autres noms du secteur en Mosel ou Nahe. L'as tu carafé? moi toujours.


 

Non pas de carafe (sauf besoin absolu, du type grosse réduction sur les rouges, je préfère m'en passer) mais la bouteille avait été ouverte en avance et bue sur deux jours, donc je ne pense pas que ce soit une question d'aération. Pour 2018 vu le profil des millésimes cela ne me semble pas surprenant qu'il y ait un contraste important, pour 2016 c'est plus étonnant. Mais je n'ai pas de recul sur cette cuvée (c'est la première fois que je la goûtais), et pas davantage sur le domaine donc je n'ai malheureusement pas beaucoup plus d'éléments à apporter...

Mathieu

Ce n'est pas si étonnant :
- 2016 est frais mais sans grosse acidité.
- 2017 assez solaire avec petits rendements (gel de printemps) et très acide.
- 2018 solaire mais moins acide que 2017.