Nous avons 2886 invités et 34 inscrits en ligne

ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

  • Guest
  • Portrait de Guest Auteur du sujet
  • Visiteur
  • Invité
Gaillacs blancs secs
Lundi 8 novembre

Une production Ganesh da Capo

Le contexte :

- Les vins sont dégustés à  l'aveugle, mais découverts par séries de 4.
- Nombre de dégustateurs : 10 (les vins n'ont pas attiré la foule ce soir là  !).
- Dégustation préparée par Pascal Perez pour le club IdV (Itinéraire des Vins).
- Synthèse des commentaires de dégustation par Laurent Gibet (LG).

Les vins :

CR: Gaillac Domaine d'Escausses La Vigne Mythique 2002 :

LG12,5 - 8 euros (offert)
- Mauzac 100%.
- Robe peu intense, limpide.
- Nez marquée par un élevage recherché mais excessif : le boisé vanillé est trop insistant et masque de timides notes de fruits (pomme, agrumes, ananas, poire, citron) et de fleurs.
- En bouche, la matière ne semble pas prête à  supporter un tel élevage. L'acidité est correcte mais les goûts restent lourds, monotones (seuls un peu de menthol et de pamplemousse parviennent à  surnager). Le vin est court et manque totalement de typicité.


CR: Gaillac Château Clément Termes Blanc Sec 2003 :

LG13 - 4,3 euros
- Robe presque blanche, limpide.
- Nez fleuri, fruité, joliment muscaté, développant sans tapage des notes de pomme, de rose, de coing, de miel, de tisane, de fruits exotiques. Fraîcheur mentholée de bon aloi, conférant du peps.
- Bouche juvénile, transparente, c'est-à -dire ici sans aucun boisé pour occulter les goûts (verveine, anis, pomme). Attaque suffisamment nerveuse, milieu de bouche un peu défaillant et finale étriquée toutefois.
- Traditionnel, au style académique, franc et sans chichis (le style des caves coopératives non représentées dans cette dégustation ?)


CR: Gaillac Domaine Barreau Elevé en fût de Chêne 2000 :

LG14 - 7 euros
- Robe assez intense, toujours brillante.
- Le nez est curieux qui dégage des parfums de coing, de café, de raisin sec, de rose ancienne : touches oxydée et boisée.
- Bouche à  dominante épicée (curry, cannelle, gingembre), originale avec ses goûts oxydés, passerillés (raisin sec), de café, de citron. De conception intéressante mais il lui manque un supplément de chair.


CR: Domaine Montels Les trois chênes 2001 :

LG14,5 - ? euros (offert merci à  Bertrand le Guern, d'Albi)
- Sauvignon 80% - Len de l'El 20%
- Un 4ème vin et un 4ème style, ce qui maintient l'entrain.
- Belle robe dorée, brillante, avenante.
- Nez un peu réduit (sueur), dans un registre qui « sauvignonne » nettement : boisé grillé vanillé intéressant, citron, tonalité végétale complémentaire de lierre.
- Bouche grasse, puissante (14°, soit 2 de plus que pour Clément Termes tout de même), capiteuse même, avec sa finale évoquant une eau de vie de poire de qualité. Plus pleine, plus cohérente également, elle bénéficie de cette dualité osée mais réussie entre la force (alcool, flaveurs corsés) et la douceur (vanille, poire pochée très suave en finale et un peu de sucre résiduel ?). Un style plutôt baroque.


CR: Gaillac Domaine de Vayssette Blanc Sec 2002 :

LG14 - 4 euros
- Mauzac 50% - Muscadelle - Len de l'El.
- Robe brillante, dorée, à  l'intensité moyenne.
- Exhalaisons subtiles, florales, fruitées (la pomme s'y taille la part du lion), dopées par une belle fraîcheur (menthol, fenouil).
- La bouche allie agréablement des goûts de végétal et de miel, renforçant cette impression de concomitance de la douceur et de la fermeté. Ici aussi, on regrette une déficience en densité et longueur. Bonne typicité pour un style qui s'assume parfaitement.


CR: Gaillac Domaine de Gineste Grande Cuvée 2002 :

LG11 - 12 euros
- Mauzac 60% - Sauvignon 30% - Len de l'El 10%.
- Nez particulièrement attractif, sorte de corne d'abondance muscatée de senteurs nobles de fleurs et de fruits : pomme cuite, coing, rose.
- En bouche, on est en revanche confronté à  une véritable bérézina gustative : elle s'avère brutale (acidité prononcée), malingre, peu nette. Un grand écart étonnant (dans un style plante carnivore) entre la personnalité aguicheuse du nez et la férocité implacable de la bouche.


CR: VdT de France Michel Issaly Les Cavaillès 2002 :

LG14,5 - 8 euros
- Mauzac 50% - Len de l'El 50%.
- Nez très original, dégageant des notes végétales fortes de feuilles froissées (géranium, pélargonium ?). On scrute des senteurs sous-jacentes de miel, de coing. L'ensemble est très foldingue mais reste avenant.
- Bouche goûteuse, douce à  en devenir onctueuse, miellée, mêlant le raisin sec, la cire. Aidée par une pointe de sucre résiduel, elle ne démérite ni en amplitude ni en persistance. Extrême, donc, mais pas écoeurante.
- Ce vin, selon un dégustateur, a quelque chose d'expérimental.


CR: Gaillac Domaine d'Escausses La Vigne de l'Oubli 2002 :

LG14 - 7,75 euros (offert)
- Sauvignon 50% - Mauzac 25% - Muscadelle 25%.
- Robe dorée, brillante.
- Nez dominé par l'expression végétale du sauvignon (buis). Expressif, pointu, avec de fleurs et des agrumes.
- Bouche mûre, nerveuse, svelte, pour des notes de pomme, de fleurs. Bel habillage boisé digéré qui entraîne le vin un peu plus loin sur des parfums de vanille et de caramel sans ostentation.


CR: Gaillac Premières Côtes Château de Salettes 2001 :

LG15 - 7,4 euros (offert)
- Len de l'El 50% - Sauvignon 30% - Mauzac 20%.
- Robe dorée, brillante, avec un surcroît d'intensité.
- Suite à  l'évacuation d'une légère réduction initiale, on profite d'un nez fort séduisant, conciliant des notes douces de pâte de coing, d'écorces d'agrumes, de café. Un pointe gourmande d'ananas rôti et de safran complète ce tableau exotique. Cette expression peut rappeler un moelleux de la région.
- Bouche plutôt énergique, dense, qui reprend à  son compte les arômes un peu baroques du nez, avec en plus du citron, de l'orange, des fruits exotiques). Droite, structurée, longue, parfaitement sèche en dépit de ses accents de vin sucré. Une réussite.


CR: VdT de France Causse Marines (Patrice Lescarret) Zacmau 2001 :

LG13 - 13 euros (prix caviste)
- Robe tendre, discrète.
- Nez retenu également, amical, légèrement grillé et oxydé, sur les fleurs de fruitiers, la compote de pomme, la rose, le miel. Une personnalité très l'air de ne pas y toucher.
- Bouche frêle, sans grande tenue, finissant amère. Ici aussi (en moins grave cependant), on a affaire à  un décalage net entre les promesses du nez et la réalité défaillante de la structure. Le style est timoré, susurrant une gamme un peu fade (pomme, miel). On peut apprécier sa finesse (et tenir compte du cépage). J'ai fortement pensé à  l'Ondenc de Plageoles, tout en délicatesse.


CR: Gaillac Domaine Rotier Renaissance Sec 2002 :

LG14 - 7,4 euros
- Len de l'El 50% - Sauvignon 50%.
- Nez intense, délivrant de fringantes odeurs de végétal et d'agrumes (primauté du citron).
- Bouche à  l'attaque tranchante, puis plutôt grasse ensuite (mais sans mollesse aucune), rapide, déployant des goûts vivants et inspirés de végétal, de citron, de violette.


CR: Gaillac Robert et Bernard Plageoles Ondenc 2002 :

LG12,5 - ? euros (offert)
- Nez dominé par le coing. Notes complémentaires désobligeantes de colle, de toile cirée neuve (selon un dégustateur).
- Matière vive, sur le raisin sec, la pomme cuite, le citron. Les goûts restent un peu brutaux, manquant d'harmonie, et la structure paraît peu cohérente.


En supplément :

CR: Gaillac doux - domaine des Terrisses - cuvée St-Laurent 1997 :

LG13,5/14 - ? euros (offert)
- Belle robe orangée, brillante, ambrée pour les uns, mordorée pour les autres.
- Les fragrances sont fines et complexes : abricot sec, safran, miel (voire cire), pélargonium de nouveau (mais en plus discret), pomme cuite, épices, agrumes, verveine citronnelle.
- On retrouve ses goûts agréables et nombreux dans une bouche dont on peut déplorer un manque de vigueur. Du pain d'épices, du raisin sec, du kumquat et aussi de l'embonpoint pour une finale douce mais paresseuse. On connaît des styles bien plus percutants en moelleux à  Gaillac.

Conclusion :

- Une dégustation inédite.
- Une ambiance joyeuse, le petit nombre de participants (et le charme aromatique des vins) favorisant les échanges.
- Des nez superbes, parfumés et originaux, mais la plupart du temps, les bouches ne suivent pas en structure, équilibre et longueur.
- A défaut d'unité de style (donc de typicité), on explore des expressions variées, plaisantes :
- les styles se cherchent, pour des approches parfois osées, extravagantes. Il faut dire que l'on trouve dans la région des vignerons emblématiques (Plageoles, Rotier, Lescarret, Issaly).
- on se plaît à  imaginer toutefois que ces blancs secs puissent un jour rivaliser avec les plus belles expressions de Gaillacs moelleux, dont certaines sont admirables (spécialement en 2001).
- Les prix sont plutôt tendres.

Laurent
09 Nov 2004 17:27 #1

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Messages : 19625
  • Remerciements reçus 4744

Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

Je confirme la qualité du blanc de Barreau. C'est du reste un vin qui vieillit admirablement. Le 94 bu l'an passé avec Bertrand était très bon.
Les vins de Montels nécessitent quelques années de bouteille. Le 99 est aujourd'hui délicieux.

Jérôme Pérez
10 Nov 2004 07:22 #2

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Guest
  • Portrait de Guest Auteur du sujet
  • Visiteur
  • Invité

Réponse de Guest sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

Jérôme,

D'autres éclaircissements sur les surprises négatives de la soirée (Gineste, Ondenc) ?

Nous avons été surpris par le charme aromatique et la vériété des expressions.

Laurent
10 Nov 2004 10:17 #3

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Messages : 19625
  • Remerciements reçus 4744

Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

Quelques éclaircissements, si tu le souhaites: en ce qui concerne l'Ondenc de Plageoles, il faut bien ressituer le contexte: c'est le seul vin de ce cépage en sec que vous ayez dégusté et donc, la comparaison est hasardeuse.
Ce vin ne ressemble en rien aux autres. C'est un cépage très vif, c'est d'ailleurs l'une de ses qualité: il fait la grandeur de l'Autan dans les bons millésimes. J'ai parfois comparé ce vin sec à  un chenin.
Je dirai aussi que la qualité des vins de Plageoles est assez aléatoire: je ne connais que trois grands vins produits par ce domaine à  ce jour: autan 89, 97 et 01. 02 est semble-t-il superbe, mais je ne l'ai pas goûté. Pour les autres vins, je n'ai jamais été conquis.
Pour ce qui est du charme aromatique, quoiqu'on en pense, le sauvignon y est pour beaucoup. Dans les cuvées que vous avez préférées, il rentre pour une part importante de l'assemblage, marié à  la barique qui plus est. (auriez-vous des goûts internationalistes?-)). Je pense que ce cépage à  Gailac n'est pas une gageure, contre l'avis de beaucoup, et même de certains vignerons qui l'utilisent quand même (Rotier notamment). Il livre de belles expressions très mûres chez Montels, un peu différentes, presque florales chez Rotier, élégante à  Salette, mais c'est vraiaussi que le loin de l'oeil joue sa partition florale.
Pour ce qui est du Mauzac: il ya des essais de cuvées 100% avec des élevages en fûts impulsés par Tranier quand il était directeur des vins du Sud Ouest. C'était la volonté de produire des vins de garde, car le Mauzac est effectivement surprenant au vieillissement, ce qui tend à  prouver que ce n'est pas forcément une affaire d'acidité, acidité qui n'est certes pas la qualité principale de ce cépage.

Jérôme Pérez
10 Nov 2004 11:47 #4

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Guest
  • Portrait de Guest Auteur du sujet
  • Visiteur
  • Invité

Réponse de Guest sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

Jérôme,

Pas très net tout de même cet ondenc de Plageoles.

Le vin qui m'a le plus déçu chez lui : Grain d'Autan 95, très vanté et médiocre.
Je l'avais proposé à  ML Banyols lors d'une visite chez JL Colombo, à  l'aveugle et le vin a déçu, frêle, manquant de liqueur. Elle avit proposé une clairette modeste.

Autan 91 et 93 m'ont paru pas mal, ainsi que caprice d'Autan 98 dans un registre certes plus timide mais là , la couleur de la faiblesse du millésime est clairement annoncée (et les prix d'adaptent).

2001 est énorme, encore plus fin peut-être que esprit de Palvié.

Pour le vieillissement du mauzac, j'ai posté un cr sur un remarquable Mauzac 91 de Plageoles, qui nous avait bluffés.

Son Braucol 2003 (tu as indiqué 2002 dans ton post ?!) m'a paru décevant,
simple, court et édulcoré.

Pour moi, Florentin était aussi en millésime 2003 (pas 2002) mais je me suis peut-être planté dans mes notes sur place. BlG pourra peut-être confirmer.

Laurent
10 Nov 2004 12:27 #5

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Messages : 19625
  • Remerciements reçus 4744

Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

tu as raison; j'ai corrigé.
Pour revenir à  Plageoles, son Autan ou son grain d'autan sont vraiment des vins de climatologie. Une fois de plus 1989, 1997 et 2001, sans doute 2002. Hors de cela circulez!
1996 bu récemment et 1990 sont des vins moyens à  médiocres, par exemple.
Autan est une étiquette qui a ses buveurs, comme tous les vins célèbres ou célébrés.
Pour 2001, c'est le plus grand vin de l'appellation, incontestablement, l'un des grands liquoreux de la planète, enfin à  la hauteur de sa réputation. (et de son prix)

Jérôme Pérez
10 Nov 2004 14:31 #6

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Guest
  • Portrait de Guest Auteur du sujet
  • Visiteur
  • Invité

Réponse de Guest sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

A ma connaissance, il n'a pas retenté de grain d'autan (plus botrytisé que passerillé).
Moi, si l'on me propose de goûter Pingus 2000, La Tâche 99, je veux bien être un buveur d'étiquette.
Je le serai bien aussi pour l'astéroà¯de de Dagueneau, que ce soit bon ou pas, pour voir au moins une fois ce que c'est.

Je ferai goûter ce we à  l'aveugle (total, car les invités ne connaissent pas du tout ce vin, n'ont aucune idée que je l'ai en cave) Esprit de Palvié 2001 pour voir.

Laurent
10 Nov 2004 14:50 #7

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Messages : 19625
  • Remerciements reçus 4744

Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

secret et non esprit

Jérôme Pérez
10 Nov 2004 15:20 #8

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Guest
  • Portrait de Guest Auteur du sujet
  • Visiteur
  • Invité

Réponse de Guest sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

"dégageant des notes végétales fortes de feuilles froissées (géranium, pélargonium ?)"

Géranium peut vouloir dire géraniol qui apparait je crois à  cause d'une utilisation abusive d'acide ascorbique (censé permettre un moindre usage de SO2).
Un(e) pro pour confirmer ?!?!
10 Nov 2004 21:03 #9

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Guest
  • Portrait de Guest Auteur du sujet
  • Visiteur
  • Invité

Réponse de Guest sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

Permettez-moi une petite remarque par rapport au Zacmau de Lescarret.
Ce vin est très discret, effectivement. Il l'est aussi parce qu'il n'est pas chaptalisé. De mémoir il devrait titrer juste 11,5 %.
Des vins comme ca, à  mon avis, sortent mieux si on les met au début de la dégustation. (C'est des vieilles vignes de 75 ans environ).

J'ignore si le Mauzac de Plageoles est chaptalisé. Celà  m'intéresserait.
Quand à  l'aptitude de vieillissement du Mauzac, je ne peux parler que de celui de Lescarret: Son 2000 est encore top, je lui donnerais encore deux ans, peut-être trois. Alors, quel est le point qui fait que le Mauzac de Plageoles vieillit tellement mieux, après tout, ils sont presque voisins?

Jan
10 Nov 2004 21:16 #10

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Messages : 19625
  • Remerciements reçus 4744

Réponse de Jérôme Pérez sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

On ne sait pas s'il vieillit mieux, c'est uniquement que c'est une des rares cuvées de mauzac sur laquelle on a du recul. Lescarret n'est pas là  depuis longtemps et on ne sait pas s'il va rester (c'est à  vendre).
Voisin: non, pas tant que ça, mais tout dépend de ce que l'on entend par voisin. Le terroir est différent en tout cas.

Jérôme Pérez
10 Nov 2004 22:03 #11

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

  • Guest
  • Portrait de Guest Auteur du sujet
  • Visiteur
  • Invité

Réponse de Guest sur le sujet Re: ganesh da capo n° 8 : Gaillacs blancs secs

"Odeurs dues à  la maladie ou à  un mauvais traitement du vin  : Odeurs d'acétate d'éthyle (vins atteints d'acessence), odeurs butyriques (rance, vins altérés), de croupi (souvent dues à  des fûts mal entretenus), d'"évent" (odeurs très soutenues de pommes dues à  la formation d'éthénol), odeurs de géranium (acide ascorbique), odeurs d'oeufs pourris (soufrage tardif de la vigne)"

j'ai voulu vérifier et je n'ai trouvé que ça…
sur
10 Nov 2004 23:06 #12

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.

Modérateurs: GildasPBAESMartinezCédric42120Vougeotjean-luc javauxstarbuck