Le nez est sur le coing et le vieux meuble ciré.
La bouche est lourde, pleine, grasse. Elle manque d'acidité pour lui apporter de l'équilibre. La finale est assez courte...
Ce n'est pas mauvais, mais comme a dit ma fille :" Ce n'est pas du Lafaurie-Peyraguey" (Elle en avait bu la veille)
Il nous arrive de boire de temps en temps du 95 (comme apéritif ou alors en fin de repas) et nous le trouvons plutôt agréable (nous ne sommes ABSOLUMENT pas des oenologues !).
Quelle alternative comparable en terme de budget y préférez-vous ?
Les "fondateurs" de LPV ne sont pas non plus oenologues.
Il ne faut pas confondre oenophiles et oenologues, membres d'une profession réglementée et dont le titre est protégé.
Je laisse au" Docteur M." le soin de te répondre sur le millésime 95.
Je n'ai pas trouvé le 90 si mauvais que cela.
Mais le Docteur M. est peut-être Docteur en Eonologie...
Je ne peux lui poser la question en privé: je ne parviens pas, ce qui est rare , à accéder à son Mail.
Je ne souhaitais pas non plus déclencher une polémique !
J'ai dit très sincèrement que je n'avais personnellement (ainsi que ma compagne toutefois) pas apprécié la bouteille de 1995 que j'avais eue et je ne peux que le maintenir. Ceci n'engage bien sûr que moi.
A ce jour, ma conclusion toute personnelle à cette dégustation malheureuse est qu'un Monbazillac plus ou moins mal maitrisé (peut-être un défaut de la bouteille ?) pouvait verser vers des arômes vraiment surprenants et à mon goût pas très heureux et que dorénavant si je devais acheter au petit bohneur en grande surface une bouteille à coût modéré pour l'apéritif je m'abstiendrai de choisir dans cette appellation. Un Jurançon moelleux par exemple, peut ne pas être grandiose mais ses notes agrumeuses me paraissent a priori moins dangereuses en cas de malheur ...
Merci d'avoir associé le pseudo à une adresse.
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