Pour avoir goûté une vingtaine de millésimes en blanc je n'ai jamais eu de bouteilles déviantes si ce n'est 2 ou 3 bouteilles bouchonnées.
Je préfère ce vin avec une dizaine d'années de vieillissement ce qui lui amène une belle complexité.
Je suis d'accord avec David quant à le citer en référence majeure des blancs de la région.

Cordialement.

Gilles

Il ne me semble pas avoir dit que Simone blanc s'oxydait au vieillissement...
La relecture attentive devrait faire apparaître qu'un vieillissement prolongé d'un vin à base de clairette n'est en général pas gage de réussite assuré .
C'est plus clair, David?

Et je trouve également qu'en blanc c'est un vin intéressant dans la région (je préfère les blancs "nordiques").

jlj

J'avais compris dans ta formulation que tu disais que la clairette pouvait favoriser l'oxydation, et non

qu'un vieillissement prolongé d'un vin à base de clairette n'est en général pas gage de réussite assuré

, d'où mon interrogation.

Mais c'était surtout pour préciser que je n'avais jamais été confronté jusqu'à présent à une bouteille oxydée (ni même bouchonnée par ailleurs), alors que ce n'est pas le cas avec certains Châteauneuf du Pape blancs considérés par certains critiques comme les meilleurs de l'appellation et qui valent trois fois le prix du Simone...et qui ne contiennent pas de Clairette .

Château Simone – Palette blanc 2014

sentiment mitigé à la dégustation de ce vin assez peu loquace au niveau aromatique mais doté de bien belles qualités tactiles et d'équilibre. On comprend assez vite qu'il faut laisser du temps pour que le vin s'ouvre, et il est facile d'admettre la race du vin dont la fraîcheur est constitutive, trouvant d'ailleurs ses fondements ailleurs que dans une quelconque analyse chimique. L'élevage est bien maîtrisé.
Maintenant, voilà, c'est Simone et on attend forcément beaucoup, trop sans doute et il est toujours difficile de ne pas se dire face à une telle bouteille qu'on a déjà bu des vins meilleurs et moins chers et moins réputés.

La question est de savoir si les vins meilleurs, moins chers et moins réputés vieillissent avec la grâce de Simone, Jérôme !
Parce qu'un Simone blanc d'une dizaine d'années, c'est quand même très, très bon...

J'ai réussi à m'en persuader sans pouvoir me départir de cette opinion que ce crédit n'était pas apporté à des pedigrees moins sus faute de références établies qui les concernent.

Château Simone – Palette – Rouge – 2003



Bouteille bue lors d'une dégustation avec accords mets-vins relatée ICI

Bouteille épaulée pendant trois heures puis carafée pendant une bonne heure supplémentaire.

La robe est d’un grenat assez sombre et au bord du disque encore plus évolué.
Le nez est puissant et axé sur des arômes tertiaires (animal, champignons, fruits compotés) et des notes de cacao provenant sans doute du millésime.
La bouche paraît un peu dissociée entre une matière étonnamment légère et des arômes sudistes de fruits très mûrs, la finale étant relativement asséchante.
Mais le miracle se produit lorsque le bœuf Stroganoff, lui-même excellent, est servi : le vin reprend vie et tout se fond avec la belle sauce crémée !
Bien pour lui-même, Très Bien avec le plat.


Jean-Loup

Bu ce soir un  Château Simone – Palette – Blanc – 2010
Robe : paille, dorée, brillante.
Nez : dans un premier temps, un peu médicinal, avec des herbes aromatiques vertes, type chartreuse, sans alcool. Une pointe d'anis, de fenouil, de végétal noble.
Bouche : attaque fine, fraîche, mais le gras s'impose, avec une belle amertume anisée. Vin très élégant, tendu mais riche, équilibré.
Conclusion : Excellent. Je suis surpris de cet équilibre magnifique, avec ces arômes d'herbes fraîches, cette bouche qui possède du gras sans lourdeur, qui font un vin très complexe, propice à une dégustation sur la durée pendant laquelle on ne s'ennuie pas. Ce soir, j'ai également bu le 2011 moins tendu, dans un style plus lourd/oxydatif, pétrolé mais aussi un improbable 1993 qui semblait presque plus frais que le 2011, impossible de lui donner 25 ans. Magique!
David Chapot.



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Château Simone, Palette (blanc), 2008
Une bouteille dégustée la semaine dernière s'est présentée de façon radicalement différente!
Sans notes, je dirais que le nez était très ouvert avec des notes épicées, réglissées, du fruit blanc, des agrumes comme un zeste confit mais très frais.
La bouche était brillante, parfaitement équilibrée avec pas mal d'acidité et des amers de structure parfaitement dosés.

A la fois complexe et d'une grande lisibilité, hyper buvable, j'ai adoré!

Château Simone – Palette – Rouge – 2009



Après la déception sur le 2003, je n'ai pas tardé à ouvrir le 2009 de crainte qu'il ne soit lui aussi rapidement trop évolué.
Et du coup j'ai eu droit à une excellente surprise !

La robe est plutôt claire, entre le tuilé et le fauve.
Après une heure d'aération en bouteille épaulée, le nez s'ouvre bien sur des fruits compotés, mêlés à du cuir noble et du sous-bois ; l'ensemble laisse une impression de suavité et de sérénité.
La bouche est à l'avenant, empreinte d'une austérité classieuse mâtinée d'un fruité secondaire. Une très belle fraîcheur, sans aller jusqu'à une acidité trop importante mais au contraire inattendue pour le millésime, et une longueur très satisfaisante sont juste "bémolisées" par une légère sécheresse en finale.
Très Bien +

Jean-Loup

Château Simone, Palette 2009 blanc (évidemment)

Ouvert à l'arrache servi à 14°

La robe commence à prendre une teinte foncée, vieil or aux reflets verts affichant aisni un certain age
Le nez s'ouvre rapidement est prend des arômes de fruit blanc et de fruits exotiques avec beaucoup d'élégance et de complexité
L'attaque en bouche est très équilibrée avec juste ce qu'il faut de gras d'alcool de fraîcheur et d'acidité
Le milieu de bouche est bien le vin est ample en puissance retenue dont l'élevage est parfaitement intégré
On n'est pas du tout sur un blanc caricatural du sud dont l'équilibre se fait sur l'alcool sans avoir pour autant l'acidité et le coté droit d'un vin du nord ce vin a beaucoup de fraicheur et de finesse
La finale est gourmande et longue droite

Superbe
suite et fin ce soir, oui j'ai fait preuve de beaucoup de volonté

Merci à Eric et Jean Loup d'avoir œuvré pour la science....ça me rassure et me réconforte dans l'idée d'ouvrir ma seule bouteille de ce millésime, surtout qu'elle me fait de l’œil depuis quelques mois quand je regarde mon stock de Simone (beaucoup de 2014, du 2010 et du...2009).....

Hier soir bu la fin

Le vin sortant du frigo est beaucoup trop frais ce qui l'éteint, quel dommage
Je pense qu'il ne faut surtout pas le servir trop frais car hier soir même réchauffé dans le verre le vin s'exprimait beaucoup moins bien

Dégusté avant hier soir pour accompagner des crevettes en papillote "à la thai", une bouteille du Château Simone rosé, millésime 2014.

Le vin était à la hauteur de sa réputation : tout simplement sublime, très complexe, vineux, long en bouche et l'accord met et vin a été de toute beauté.

Ce rosé se situe à la croisée des chemins entre le blanc pour sa minéralité et le rouge pour son côté tanique avec en plus des arômes très frais sur les agrumes (pamplemousse, orange sanguine) et fruits de saison (notamment la pèche, fraies écrasées).

Le prix n'est pas donné, notamment (se dit-on) pour un rosé mais une fois qu'on y goute on se dit que ce tarif reste tout à fait correct au regard du plaisir apporté par ce très grand vin.

Excellent
Nicolas

Dégusté hier soir en accompagnement d'un filet mignon cuit à la plancha, une bouteille du Château Simone, blanc millésime 2014.

La bouteille a été épaulée environs une heure avant de passer à table et a été servie à une température d'environs 12 degrés.

La robe est jaune claire et parait bien jeune.

Le nez est assez muet à l'ouverture de la bouteille puis s'ouvre progressivement vers des arômes minéraux, légèrement floraux avec une persistance sur certains herbes médicinales (camomille, fenouil, sureau).

En bouche on retrouve indéniablement un gout prononcé sur ces herbes, avec un côté aérien qui donne, déjà, pas mal de plaisir. Quelques fruits (pèche, mirabelle) viennent ponctuer le tout. Le vin reste assez longtemps en bouche.

Un Simone bien jeune mais qui procure néanmoins déjà bien du plaisir.

Très Bien
Nicolas

Château Simone 2008 - Palette
Robe or pâle aux reflets cuivrés.
Nez mêlant des notes pétrolées, de résine et de cire, aux senteurs de citron confit et de mirabelle.
Bouche pleine structurée autours d'amers rehaussés par des notes d'amande.
La matière est bien présente mais sans virer sur la lourdeur.

Château Simone 1996 - Palette
Robe dorée tirant sur le cuivre.
Nez fumé sur la truffe blanche, la croûte de fromage, le citron, les herbes coupées.
Puis viennent à l'aération de légères notes pétrolées et résineuses.
La bouche est fraîche et structurée autour d'une belle acidité.
Son déroulé révèle un jus qui gagne en complexité (notes caillouteuses et de résine) sans perdre en intensité, avec une persistance en bouche remarquable.

Dégusté ce midi en accompagnement d'un salade de pamplemouse, féta et piment d'espelette un Simone blanc, millésime 2009.


La robe est jaune ambrée.

Le nez amène des arômes évolués et pétrolés, sur la noix et la cire.

En bouche c'est plaisant, complexe mais le vin ne reste pas suffisement en bouche et c'est ce qui lui manque pour en faire un très grand Simone. Cela reste très bon mais on reste sur sa...soif. Auraut dû être bien mailleur bu quelques années plus tôt, tout du moins en ce qui concerne cette bouteille.

Bien +
Nicolas

Château Simone, Palette blanc 2010 :

Robe jaune dorée, nez sur les herbes aromatiques, le fenouil. En bouche c'est bien équilibré, sur des arômes floraux et fruits blancs, une longueur correcte avec une finale légèrement amère. Pas le plus grand Simone mais bien meilleur qu'il y a quelques années ou je trouvai ce 2010 bien faiblard.

Château Simone, Palette blanc 2012 :

Robe jaune un peu plus pâle, nez sur les fruits exotiques mais aussi beaucoup de bois, l'élevage n'est pas encore fondu. En bouche, c'est plutôt fruits blancs gorgés de soleil, anis, avec une grosse sensation alcooleuse, c'est un peu pataud, un peu lourd avec une finale qui tombe un peu. Pas en forme, a attendre.

Pas le plus grand Simone mais bien meilleur qu'il y a quelques années où je trouvais ce 2010 bien faiblard.

2012 : pas en forme, à attendre.

Merci JB, cela confirme la nécessité d'attendre ce vin.
Le 2004 et le 2008 bus récemment avec LPV Versailles étaient très beaux !

Jean-Loup

Château Simone – Palette blanc – 2004

Bue lors d'une dégustation de LPV Versailles consacrée à la Provence relatée ICI

Il s’agit d’un assemblage à base de 80 % de clairette.

Jean-Loup
Robe d’un or assez dense.
Le nez très ouvert est d’abord dominé par une aromatique grillée qui s’efface (donc due à une pointe de réduction) relativement rapidement au profit d’un beau fruité riche qui prend même des accents luxuriants et sucrés.
La bouche est bien équilibrée, avec une matière concentrée et racée, mais aussi une belle fraîcheur. La bonne persistance et la finale saline et salivante sont autant d’atouts en faveur de ce très beau vin.
Très Bien ++

Denis
En blanc, mon coup de cœur pour les Simone 04 et 08. Peut être un supplément de complexité pour le 2004 mais on sait que le vieillissement supplémentaire est bénéfique à ce vin. Deux très jolis vins qui entament à peine leur phase de pleine maturité !

Ralf
Notes grillées fines. Fruité discret mais élégant. Belle matière sans lourdeur.
Très Bien

Vivien
La robe est or, soutenue, brillante.
Le nez est complexe, avec des notes de fumée, un peu de grillé, de caramel au beurre salé.
On se retrouve en présence d’une très belle bouche, saline, avec de la profondeur, avec un très beau jus, sapide. Voici un vin racé, de très belle classe, avec une petite touche de fenouil du plus bel effet, de grand équilibre et de superbe longueur. Délectable et délicieux.
Très Bien ++ / Excellent

Jean-Loup

Château Simone – Palette rosé – 2011

Bue lors de la même dégustation de LPV Versailles consacrée à la Provence relatée ICI

Jean-Loup
Robe d’un rosé très sombre, couleur grenadine.
Très ouvert, le nez propose un fruité très expressif et des arômes de grenadine.
La bouche charpentée et vineuse possède un perlant bien sensible, une matière bien fruitée et une allonge intéressante, mais elle manque un peu de distinction pour aller plus haut.
Bien ++

Ralf
Aromatique atypique sur les petits fruits rouges (groseilles) et la grenadine, avec beaucoup de fraîcheur. Un peu maigre.
Bien
Je disais juste avant à Philippe que je n’ai jamais été séduit par le rosé de Simone. Et je ne me déjugerai pas cette fois.

Vivien
La robe est grenadine.
Le nez est axé sur la grenadine, les petits fruits rouges, la groseille.
Il y a d’abord pas mal de gaz en bouche. Après secouage, on retrouve une belle aromatique gourmande, juteuse, délicate, mais la complexité est fugace et ne se poursuit pas sur la longueur, car le vin manque un peu de fond. Au final, une très belle attaque, mais de la frustration car cela ne se prolonge pas derrière…
Bien ++

Jean-Loup

Château Simone – Palette rouge – 2008

Bue lors de cette même dégustation de LPV Versailles consacrée à la Provence relatée ICI

Il s’agit d’un assemblage de 45% grenache, 30% mourvèdre, 5% cinsault, et 20% de cépages secondaires.

Jean-Loup
Robe sombre et évoluée.
Le nez expressif fait preuve d’une élégance remarquable, sur les gammes fruitée et florale.
La bouche également impressionne par sa finesse extrême, son équilibre abouti, son toucher de velours, son fruité pur et sa finale en dentelle.
Excellent
Certainement le meilleur Simone rouge bu à ce jour en ce qui me concerne !

Ralf
Je l’ai trouvé assez évolué et marqué par une belle attaque fruitée mais une finale fraîche (même un peu aigre), très typé Cabernet ! (J’ai sans doute mal vidé mon verre de Vignelaure 1988).
Bien / Très Bien

Vivien
La robe est sombre, dense.
Le nez est une intense palette de griottes, de fruits sombres.
La bouche révèle un vin de grande densité, magnifiques fruits rouges, très belles épices, toucher de bouche précis et délicat. Que voici un magnifique vin fin et profond, doué également de fraîcheur, de digestibilité et de sapidité, le tout porté par une longueur remarquable. La buvabilité de ce vin est juste sensationnelle.
Excellent (+)

Jean-Loup

Château Simone – Palette blanc – 2008

Bue lors de cette même dégustation de LPV Versailles consacrée à la Provence relatée ICI

Jean-Loup
La robe d’un or clair dénote un âge moins avancé. En revanche le nez et la bouche présentent une similitude confondante.
Le nez d’une belle intensité allie un fin grillé à des arômes fruités bien mûrs et des notes florales (angélique).
D’un beau volume et dotée d’une jolie pellicule de gras et d’une bonne acidité, la bouche se rapproche très nettement de son binôme jusque dans la belle finale.
Très Bien ++

Ralf
En comparaison avec le 2004, le vin me paraissait un peu plus gras et moins expressif.
Bien / Très Bien
Les deux vins n’ont pas été préparés de façon identique (une demi-heure de carafe pour le 2008) ce qui peut avoir contribué aux notes grillées du 2004.

Vivien
Une très belle robe or.
Le nez présente une très belle aromatique, une superbe déclinaison de fruits blancs avec une pointe d’anis.
En bouche, c’est un superbe ensemble de fruits blancs, de fleurs, de fines épices, avec toujours ce délicat trait anisé. Un vin qui présente de la mâche, de la fraîcheur, une grande longueur. Un délicieux vin de gastronomie de grande buvabilité, tout aussi remarquable que le vin précédent.
Très Bien ++ / Excellent

Jean-Loup

Je viens de découvrir avec un vif intérêt que le furmint faisait partie de l'encépagement autorisé de l'AOC Palette.
Savez vous s'il fait partie de l'assemblage de Simone et si c'est un cépage courant en Provence ?
J'ai toujours pensé que Simone était une clairette pure

J'ai ma réponse en partie : Palette est la seule AOC qui autorise le furmint. Mais ce cépage est autorisé dans de nombreuses IGP du grand Sud (Ouest, Est et Rhône)
En IGP Atlantique et Périgord, il peut même être l'unique cépage.

Jérôme, le site du domaine indique : 80 % clairette, 10 % grenache blanc, 6 % ugni blanc, 2 % bourboulenc et 2 % muscat blanc.
Il n'y a donc pas de furmint dans Château Simone blanc.
Dans les Grands Carmes blanc il y a 10 % de viognier mais pas de furmint.

Jean-Loup

Dans le Palette c'est un cépage secondaire parmi plein d'autres et il y en a donc vraiment très peu (Château Crémade?).

jlj

Petite parenthèse qui n'a rien à voir (ou à faire) ici; mais puisque Jérôme cite le Périgord:
il y a quand même peu de chance d'y trouver du furmint quand on voit le nombre de cépages autorisés...

Les vins bénéficiant de l’IGP « Périgord » sont produits exclusivement à partir des cépages suivants :

Pour les vins rouges et rosés : Abouriou Noir, Aléatico Noir, Alicante Henri Bouschet Noir, Alphonse Lavallée Noir, Aramon Noir, Aramon gris Gris, Arinarnoa Noir, Arrouya Noir, Aubrun Noir, Bachet Noir, Béclan Noir, Béquignol Noir, Bouchalès Noir, Bouillet Noir, Brachet Noir, Brun argenté Noir, Brun Fourca Noir, Cabernet Franc Noir, Cabernet-Sauvignon Noir, Caladoc Noir, Calitor Noir, Carjajolo Noir, Carignan Noir, Carmenère Noir, Castets Noir, César Noir, Chatus Noir, Chenanson Noir, Cinsaut Noir, Cot Noir, Corbeau Noir, Counoise Noir, Courbu noir, Duras Noir, Durif Noir, Egiodola Noir, Ekigaïna Noir, Etraire de la Dui Noir, Fer Noir, Feunate Noir, Franc noir de Haute-Saône Noir, Fuella nera Noir, Gamaret Noir, Gamay noir, Gamay de Bouze Noir, Gamay de Chaudenay Noir, Gamay Fréaux Noir, Ganson Noir, Gascon Noir, Gouget Noir, Gramon Noir, Grassen Noir, Grenache Noir, Grolleau Noir, Joubertin Noir, Jurançon noir Noir, Lival Noir, Mancin Noir, Mandeng Noir, Marselan Noir, Mérille Noir, Merlot Noir, Meunier Noir, Milgranet Noir, Mollard Noir, Mondeuse Noir, Monerac Noir, Morrastel Noir, Mourvaison Noir, Mourvèdre Noir, Mouyssaguès Noir, Muresconu Noir, Muscadin Noir, Muscat de Hambourg Noir, Négret de banhars Noir, Négrette Noir, Nielluccio Noir, Noir Fleurien Noir, Persan Noir, Petit Verdot Noir, Pineau d’Aunis Noir, Pinot Noir Noir, Piquepoul noir Noir, Plan droit Noir, Portan Noir, Poulsard Noir, Prunelard Noir, Ribol Noir, Rivairenc Noir, Saint -Macaire Noir, Sciaccarello Noir, Segalin Noir, Semebat noir, Servanin Noir, Syrah Noir, Tannat Noir, Tempranillo Noir, Téoulier Noir, Terret Noir, Tibouren Noir, Tressot Noir, Trousseau Noir, Valdiguié Noir, Velteliner rouge précoce Rosé ;

Pour les cépages blancs : Abondant Blanc, Aligoté Blanc, Altesse Blanc, Alvarinho Blanc, Aramon blanc Blanc, Aramon gris Gris, Aranel Blanc, Arbane Blanc, Arriloba Blanc, Arrufiac Blanc, Aubin Blanc, Anbin vert Blanc, Auxerrois Blanc, Barbaroux Rosé, Baroque Blanc, Biancu Gentille Blanc, Blanc Dame Blanc, Bouquettraube Blanc, Bouboulenc Blanc, Bouteillan Blanc, Camaralet Blanc, Carjajolo blanc Blanc, Carignan blanc Blanc, Chardonnay Blanc, Chasan Blanc, Chasselas Blanc, Chasselas rose Rosé, Chenin Blanc, Clairette Blanc, Clairette rose Rosé, Clarin Blanc, Claverie Blanc, Cordivarta Blanc, Colombard Blanc, Courbu Blanc, Crouchen Blanc, Danlas Blanc, Elbling Blanc, Folignan Blanc, Folle blanche Blanc, Furmint Blanc, Genovèse Blanc, Goldriesling Blanc, Graisse Blanc, Grenache blanc Blanc, Grenache gris Gris, Gringet Blanc, Grolleau Blanc, Gros Marseng Blanc, Gros vert Blanc, Jacquère Blanc, Jurançon blanc Blanc, Knipperlé Blanc, Lauzet Blanc, Len de l’El Blanc, Liliorila Blanc, Listan Blanc, Macabeu Blanc, Marsanne Blanc, Mauzac Blanc, Mauzac rose Rosé, Mayorquin Blanc, Melon Blanc, Merlot blanc Blanc, Meslier Saint-François Blanc, Molette Blanc, Mondeuse blanche Blanc, Montils Blanc, Müller Thurgau Blanc, Muscadelle Blanc, Muscat à petits grains Blanc, Muscat à petits grains Rosé, Muscat d’Alexandrie Blanc, Muscat cendré Blanc, Muscat Ottonel Blanc, Ondenc Blanc, Orbois Blanc, Pagadebiti Blanc, Pascal Blanc, Perdea Blanc, Petit Courbu Blanc, Petit Manseng Blanc, Petit Meslier Blanc, Picardan Blanc, Pinot blanc Blanc, Pinot gris Gris, Piquepoul blanc Blanc, Piquepoul gris Gris, Précoce Bousquet Blanc, Précoce de Malingre Blanc, Raffiat de Moncade Blanc, Riminèse Blanc, Rivairenc blanc Blanc, Rivairenc gris Gris, Romorantin Blanc, Rosé du Var Rosé, Roublot Blanc, Roussanne Blanc, Roussette d’Ayze Blanc, Sacy Blanc, Saint Côme Blanc, Saint-Pierre doré Blanc, Sauvignon Blanc, Sauvignon gris Gris, Savagnin blanc Blanc, Savagnin rose Rosé, Select Blanc, Sémillon Blanc, Servant Blanc, Terret blanc Blanc, Terret gris Gris, Tourbat Blanc, Ugni blanc Blanc, Velteliner rouge précoce Rosé, Verdesse Blanc, Vermentino Blanc, Viognier Blanc. (www.vinduperigord.fr...)

fin de la parenthèse

jlj

Château Simone - Palette blanc 1998

Robe or profond, intense. Ouvert à l'arraché, le nez est immédiatement expressif avec des notes d'évolution, cire, coing, praline, puis fruits jaunes. Des notes de fenouil et citronelle. La bouche présente un beau volume, riche, dense. Il y a encore de la fraicheur malgré la richesse. Très beau vin de gastronomie. Seule une persistance pas très longue m'empêche d'être entièrement conquise.