Bonjour,

Ouvert ce jour un Trevallon 2007 (rouge).

C'est une belle bouteille bien agréable.

Oeil : belle couleur grenat (couleur cerise noire écrasée), reflet violine sur le bord du verre.
Nez : quel nez ! Myrtille, Mûre, Cassis, Epice, herbacé de type garrigue. C'est un beau nez!
Bouche : Velouté. Les tannins sont soyeux mais bien présents. Les épices et les fruits noirs sont très bien ressentis. Une très belle longueur qui se termine sur une belle fraicheur de type zan, réglisse.
La bouche a une superbe belle trame.

Belle Bouteille qui peut aussi vieillir sans problème mais qui est déjà accessible.

Cordialement,

Sylvain

PS : fin de bouteille bu ce soir, hé bien, c'est bien sympa, une bouche soyeuse mais sérieuse, un très beau fruité. J'aime vraiment bien.

Nic écrivait:

---

> Hello again Moustafa, Une bouteille dégustée à
> plusieurs reprises dans ce millésime, chaque fois
> parfaite et représentant bien le style de ce
> domaine mais si encore un peu jeune.... Regoute
> dans qques années peut être ?

Bonjour Nic, la bouteille que j'ai dégustée se présentait bien elle aussi, bien ouverte et sans faux goût. Je pense que ce vin est arrivé au début de son pallier de maturité et s'y maintiendra longtemps encore. Vous dites qu'il représente bien le style du domaine, est ce dû à la vinification ou bien au terroir ou plutôt à l'encépagement? Je ne sais pas vraiment. C'est en tout cas un style avec une forte personnalité, pas vraiment consensuel à mon avis mais qui ravi peut être plus les dégustateurs initiés que le dégustateur lambda.Quand à savoir si il se bonifiera encore je pense que oui mais il gardera peut être toujours son abord assez austère et typé. Dans la même appellation j'ai une préférence pour le domaine des TERRES BLANCHES, plus fruité, plus charnu, plus équilibré à mon sens.

Cordialement.

Bonjour Moustafa,

Je l'ai dégusté récemment (voir mon CR plus haut) et ton impression confirme la mienne et celles d'autres : ce vin n'est pas encore arrivé à pleine maturité. Comme écrit dans mon CR, je me souviens très bien, de cette puissance tannique encore un peu trop marquée qui ne demande qu'à fondre.
Par contre, tu parles d'une longue finale acide, je ne me souviens pas de cela (mais ça peut venir de moi, il est toujours difficile de se rappeler d'un vin même quelques semaines plus tôt), qui ajoute encore à l'idée que ce vin présente un potentiel de garde vraiment impressionnant. Caractéristique qui, je suis d'accord avec toi, marque sûrement plus le dégustateur initié que le dégustateur lambda. Si cette acidité évolue vers le gras avec l'âge, ça peut encore ajouter du corps et de la matière à ce vin.
Et à propos d'austérité, je me rappelle plutôt d'un vin d'une certaine rondeur... Comme quoi, on ne retient pas la même chose selon les personnes. En tout cas, un vin simple n'aurait entretenu aucun doute, alors que ces différences de perception tendent plutôt à montrer que ce vin est très complexe, à multiples facettes, donc forcément d'une certaine qualité.

Amicalement
Gwenaël

Moustafa,
Il se peut simplement que tu n'aime pas le style Trevallon !!! C'est toujours surprenant quand on se rencontre que l'on ne partage pas le goût d'un vin très reconnu.
Avec le temps, je me suis résigné, je ne cherche plus (quoique) à comprendre mon goût, a essayer de l'étaloner, maintenant je le vis, je l'intellectualise moins !
Ceci d'autant plus que nos goûts changent ! Ainsi, est-il fort possible que ce style te plaira dans 5 ans, y compris lorsque le vin est encore dans sa phase de jeunesse.
Je viens de vicvre l'inverse avec Montcalmes, je me rends compte (en ce moment) que le vin me plait moins qu'il y a 4 à 5 ans. Mais je garde les quelques bouteilles qui me restent et comme je souffre de TaVco, j'en achète même quelques unes des millésimes récents, pour voir... dès fois que mon gout changerait à nouveau !
Amicalement, Matthieu

Rassurez vous batlemat je vous rejoins sur plusieurs points. De nombreuses années de dégustation ont changé ma façon d' aborder les vins. Ma curiosité m'a fait découvrir nombre d'appellations et aussi de vins médiatisés avec de belles découvertes et aussi des déconvenues. Mon goût se porte maintenant plus sur des vins de millieu de gamme souvent (notamment) plus équilibrés et fruités (qui sont deux qualités indispensables pour moi). Beaucoup de vins plus prestigieux malgré leur potentiel élevé peinent me semble t'il parfois à atteindre leur équilibre à cause surtout de leur forte personnalité et aussi le fait qu'ils exigent une plus longue garde, toujours un peu hasardeuse comme nous le savons.

Amicalement

Roland

Domaine de Trévallon 1995

trouvée au restaurant (contre 73€), nez de truffes, cuirs, superbe bouche, très nette, du fruit, de la longueur, des tannins bien fondus une superbe bouteille qui à surement encore quelques années devant elle....

De passage au domaine pour récupérer quelques bouteilles , avec un accueil toujours aussi charmant d'Ostiane Dürrbach voici ce que j'ai pu déguster dans l'ambiance toujours aussi agréable de la cave :

Trévallon Blanc 2010 : Nez sur les fruits chair blanches, notes épicées. Bouche trés élégante sur des notes épicées, miel, trés trés belle longueur, un grand raffinement à revoir dans 10 ans.

Trévallon Rouge 2009 : nez trés cabernet et bouche typée syrah!! assez épicées, violette, tanins trés durs, assez difficile pour moi de l'apprécier en l'état, un vin fermé......patience.

Trévallon Rouge 2008 : un nez trés avenant, expressif et ouvert sur la mûre, cerise, bouche élégante avec de beaux tanins bien soyeux, un vin qui procure déjà du plaisir.

Trevallon Rouge 2003 : un nez trés fruits compotés, confiturés...à l'inverse de la bouche qui se montre fraiche avec une belle complexité.

Le bouteilles étaient ouvertes depuis plusieurs heures.

Bibi, tu y étais quand ? Coincidence, j'y suis passé ce matin avec manu (freemanu) et je ne peux que confirmer tes impressions: ostiane nous a reçu avec une grande gentillesse (première au domaine pour moi) et nous avons bu déguster le Blanc 10 et le 2009. J'ai beaucoup aimé le blanc, de grande classe..

Bonus, l'ouverture d'un 2001 formidable.. (année de naissance de mon 1er fils); ce vin confirme tout le bien que je pensais de lui..

Arnaud

J'y étais hier aprés midi, effectivement Ostiane est fidèle à la philosohie du domaine, passion et simplicité. Dans un lieu que je trouve admirable ou ne s'arrêtent que les passionnés.

2001 tu as eu de la chance dis moi!! On en a parlé longuement de ce 2001 hier de même que 2007 un superbe millésime à Trévallon!!
Le blanc 2010 est effectivement grandiose...Freemanu en a pensé quoi?

.Freemanu en a pensé quoi?

Que des bonnes choses!

Bonjour, bu hier soir chez moi un Trévallon Blanc 2005::

Le nez est très élégant, sur des notes d'amandes, de fleurs blanches et de miel..
La bouche est ample, puissante, très équilibrée.. On sent encore l'élevage, mais très bien intégré.. C'est une belle bouteille !

A suivre un Trévallon Rouge 2001:

Charmé par la bouteille bue au domaine il y a peu, je souhaitais ouvrir ce 2001:

Nez sur les fruits rouges murs, le cassis et un coté herbacé qui donne un sentiment de fraicheur.. Je ne retrouve pas les notes truffées que j'avais senties au domaine mais c'est joli..
Bouche: les tanins sont fins, la bouche "profonde" avec une belle trame grâce à l'acidité qui tend le vin.. J'aime mais moins qu'au domaine, où je lui avais trouvé une très grande profondeur.. Ceci dit c'est un très bon vin, mais un peu moins magique que je l'avais ressenti..

Il m'en reste quelques bouteilles qui vont vieillir tranquillement

Arnaud

Comme Arnaud, le Trevallon bu avec LPV forez manquait effectivement de "profondeur"....un peu trop sérieux, un peu trop "propre sur lui" même si çà possède de bonnes bases (bel acidité qui équilibre la grosse matière et très beau toucher de bouche). Bref çà manquait "d'émotion", de "vibration"...

Pour rebondir et répondre à Arnaud sur Trévallon rouge 2001.

J'ai ouvert il y a deux jours un Trevallon 2001 qui était superbe aprés 2h juste épaulé à temperaure de cave. Un nez exubérant, riche, une bouche large et longue...bref toujours une trés belle bouteille qui a fait l'unanimité des nons amateurs de vins ce jour là!! Mais deux choses, la première est qu' à aucun moment je n'ai retrouvé ce coté truffe, sous bois typique de ces vins. On était dans un registre fruits rouge, garrigue, moka et même un peu de musc. Je ne l' avais pas gouté depuis 1 an et demi et je dois dire qu'il a évolué vers des notes différentes.
Et puis deuxième chose, j' en ai gardé pour le lendemain et c'était une erreur car l'acidité ressortait, il y avait moins de charme au nez, la bouche était plus stricte....trés bon mais moins agréable que la veille.

Arnaud combien de temps avant as-tu ouvert cette bouteille? Et a quelle température l'as-tu servi?
Aprés la différence avec la dégustation au domaine peut venir de là et comme bien souvent l'ambiance du lieu a son importance dans le ressenti.

La bouteille a été ouverte 2 heures avant mais j'ai carafé.. pas d'acidité excessive. Temperature de service: je dirais 16 17 Degrés.. Je ne crois pas que ce soit l'ouverture, au domaine la bouteille avait été ouverte devant nous..Là j'ai gouté à l'ouverture de la bouteille et on était sur les mêmes notes que 2 heures plus tard..µ

Arnaud

Bizarre Arnaud.
Au domaine aucune aération sur le 2001. Ouvert devant nous et servi direct. Et la truffe on pouvait pas la manquer!

Sur le notre (vendredi), j'ai ouvert 24h (sans épaulage) et pas de truffe par contre hier soir soit 72 H après, la truffe fraiche à fond les ballons !!

Je sais manu, je comprends pas.. Mais pas grave, j'en ai encore 6 j'ai le temps de voir

Domaine Trévallon, Vin de Pays des Bouches du Rhône, 2001
[size=x-small] CR issus d'une dégustation éclectique "vins de 10 ans et +"lapassionduvin.com/p... bue en parallèle d'un Ormes de Pez 2002 [/size]

Yannhry :
Opposé au N°5, une belle similitude de robes. Le nez "poivronne" (cabernet sans doute; j'y suis assez sensible), mais également beaucoup de fruit, notamment de la framboise.
En bouche les tannins sont bien présents, mais fins, pas asséchants, plutôt salivants. Un beau vin seul et encore meilleur sur la pièce de boeuf.
Armand me dit que je suis impardonnable si je ne trouve pas, je propose Madiran et c'est Trevallon 2001.
Effectivement nous avons partagé une bouteille avec Armand qui s'était révélée tout aussi aboutie il y a quelques temps de ça.

Armi :Le trévallon a ma faveur, le nez évolue et oscille entre des notes de cabernet et de syrah procurant un réel plaisir olfactif par ce côté alternatif, au gré de l'aération, d'autant que l'élevage est en retrait. La bouche ressort légèrement sucrée en comparaison avec les ormes de pez. Néanmoins, bien que très jeune, il a un niveau nettement supérieur à son "adversaire" d'un soir, la finale est remarquable de longueur. Beaucoup de plaisir en l'état, ce vin est voué à un bel avenir.

o_g :
Trevallon 2001. Un peu de réduit se dissipe vite. Impression de fruits un peu verts au nez. La bouche est ample, portée par l'acidité, c'est long. L'aération fait du bien au vin qui devient comme plus suave. Il a aussi bénéficié de l'arrivée d'un pavé de boeuf. Tres bon.

AntoineM :
Je ne reconnais pas du tout le vin que j'ai goûté il y a un an. Il fait très jeune et pète le fruit rouge. Le grain de tanin est fin. Belle texture mais je suis un peu déçu par l'aromatique qui manque de classe et de complexité à mon goût. Je l'ai mieux goûté il y a un an. Je n'ai pas du tout su où le placer.

Alex Savoie :
Trevallon 2001. J'en avais bu une autre il y a 2 mois, qui avait changé tout la soirée passant du profil cabernet au profil syrah d'une minute à l'autre. Celle-ci est quelque peu différente et je dois admettre que si je n'avais été en connaissance de cause j'aurais eu de la difficulté. Nez sur la truffe, les olives, les fruits rouges et noirs, un belle fraicheure et un côté métallique. En bouche c'est très sanguin comme arôme avec des fruits rouges, notamment la groseille ainsi que des épices, une belle acidité nous donne de la longueure et une finale un peu sèche mais avec des tannins fins. Toujours très bon, les prochianes attendront 3-5 ans.

Jean-Loup Guerrin :
Encore une claque avec le Trévallon 2001 ! Le vin est très complexe, à la fois chaleureux (le nez dévoile quelques notes sucrées) et austère. Le toucher de bouche est admirable. J'étais parti sur mourvèdre pour l'austérité et Languedoc pour la chaleur, mais c'était cabernet sauvignon, syrah et Provence ! Un superbe vin que je ne connaissais pas dans cet excellent millésime ...

podyak (Tuukka) :
Le second vin, s'il peut se comparer à la robe assez sombre, offre un nez ma foi bien différent !
Il truffe indéniablement, s'ajoutant à quelques notes animales, et une sensation de fruits (noirs) sucrés. Le seul point commun avec son compagnon de paire pourraient être ces légères notes de poivron mûr. Très jolie bouche, à la fois douce, ample et riche. Très légère chaleur en finale, contrebalancée par une petite amertume de bon aloi. Les notes animales me font pencher à du mourvedre, ou alors ce serait de la Syrah, mais un peu évoluée… Sans grande conviction, je lance Bandol, puis, Languedoc… Perdu. Assez déconcertant, mais j'aime vraiment bien.
B+ [size=x-small] (15) [/size]

Bonjour à tous,

bu dans la série de vendredi soir ( ICI ), un Vin de Pays des Bouches du Rhône, 2001 du domaine Trévallon :

Moi :

Dans le rouge suivant on retrouve le poivron rouge cuisiné qui marquait le 2 haut médoc mais cette fois-ci accompagnés par le cassis, les agrumes, des notes animales à l'aération..
En bouche les tannins sont très fins, l'attaque dense, mure et large en attaque mais une belle acidité rafraichit cette grosse matière et de beaux amers (rafle ?) donne un peu de peps à la finale. Une bouche avec une très belle plénitude.
Indéniablement une belle bouteille mais il ressort un coté un peu sérieux, un peu "monolithique" encore une fois (même si le panel aromatique est plus complexe que ses cousins du Haut médoc, çà manque une peu de "vie" aromatiquement parlant) qui m'empêche d'être complétement emporté....un peu comme la statue de cire de Nathalie Portman 16/20 quand même pour ce vin de pays (Provence) Trevallon 2001* [size=small]* étiquette découverte pour moi[/size]

Jean-Bernard : :

Très bien décrit par Nico, ce vin ne m'a pas enthousiasmé hélas, j'ai d'ailleurs reconnu le domaine car ce vin m'a paru fidèle à l'image que je m'en faisais (1ere rencontre donc). J'ai bien aimé le mariage poivron/lard grillé/fumé; les qualités de bouche, mais manque de complexité.

Jean-Marc :

De la mûre , du poivron , viandé , un vin corpulent , intense aux tannins puissants et fins mais manquant de complexité à ce jour . Une fraicheur importante équilibre ce vin , résolument sudiste et de belle maturité .
Assurément une bouteille qui ira loin dans le temps (surtout après avoir bu le 92 , moins massif mais encore en forme ) .
14,5/20 pour la très belle matière mais pour moi , le coté monolithique tire la note vers le bas .

Bonjour,

Suis une habituée de Trévallon, en le dégustant très très souvent, je viens d'ouvrir un Trévallon rouge 2003 et suis un peu déçue.
la robe est belle, le nez prometteur avec ses aromes de cuir, de chocolat mais la bouche est très courte.
il m'en reste encore 15 bouteilles donc je tenterai une fois prochaine pour ne pas rester sur cette petite déception.

Bonjour,

Ouvert un Trévallon 2009 rouge hier, c'est beaucoup trop jeune, il lui faudra bien 4-5 ans avant que tout soit fondu.
Néanmoins, il a un très beau nez et en bouche, on sent qu'il en a sous la pédale mais c'est vraiment trop, trop jeune.

En même temps, je m'en doutais.

Cordialement,

Sylvain

Effectivement ouvrir un Trévallon 2009, quel vinicide!!!

C'est clair mais je voulais m'en faire une idée.
Hé ben pas avant 2017!

Cordialement,

Sylvain

Pour apprécier au mieux le 2003, qui est ouvert selon le domaine, il faut l'ouvrir la veille. Le mieux étant d'attendre encore 1 à 2 ans. Ce que je vais faire.

Une bouteille partagée avec les Gunthards lors d'une superbe soirée !

Domaine de Trévallon, Vin de Pays des Bouches du Rhône, 2004

Oliv
La robe est sur un violet sombre.
Le nez est assez discret et stricte, sur des notes de cassis avec une pointe racinaire et épicée (poivre).
La bouche est à l'avenant, à la limite de la dureté avec des tanins asséchants en l'état.
Si j'ai pu percevoir une jolie matière en milieu de bouche, force est de constater que le vin est dans une phase fort peu amène.
Il semble urgent d'attendre (et d'espérer) !

Marc
Nez de cistercien triste avec une pointe végétale.
La bouche est serrée, raide, la finale marquée par une forte amertume.
Aucun plaisir en l'état. Trop tôt sans doute.

Quentin A42T
J’ai trouvé ce vin marqué par la verdeur, avec des tannins asséchants.

Daniel Popp
J' ai un peu le même sentiment que sur le Rioja, l' impression d' être passé à coté. Je n' en ai pas bu souvent, mais le souvenir que j' en ai, reste assez bluffant...

Raph' Totolouga
Ça m'a fait penser à un Cabernet Franc pas mur du tout.
En bouche, c'est rude. Je n'avais goûté que le 2008 qui ne m'a pas transcendé mais qui ne m'a pas laissé cette impression de vert. Pas aimé du tout. Pas sûr que ça évolue dans le bon sens...

Mathieu Denaire
Nez de barbe à papa, bonbon, fruits noirs (cassis) et en même temps un peu végétal.
Bouche dure, avec des tannins secs. Pas terrible.
Bof
Grosse surprise à la vue de l’étiquette…

Trévallon blanc 2006 : un vin franchement délicieux bu hier soir sur des sushis dés l'ouverture. Une belle robe dorée, un nez puissant, bien ouvert et expressif. En bouche, c'est gras et ample tout en restant très frais. Aucune note oxydative. Ça se rapproche d'un très bon châteauneuf du pape blanc. Un vin qu'on boit avec plaisir.

Un Trevallon rouge 2001 bu il y a un an ne m'avait pas fais une aussi belle impression, même si on avait là un vin de grande classe.

Seb.

Le Domaine de Trévallon Coteaux des Baux en Provence J. Dürrbach 1983 est un vin gigantesque.
A l'ouverture, il m'avait impressionné par son parfum intense. En bouche, c'est la même intensité.
Il est envahissant, conquérant, avec une force de fruits difficilement soupçonnable.

On reconnait un vin du sud, parce qu'on le sait, mais il est sûr qu'à l'aveugle, on ne citerait pas un vin des Baux de Provence. Il a la force, le charme convaincant, un fruit rouge épicé, du poivron, et se situe délibérément dans les grands vins.
Le couscous de légumes d'Alain Passart est un plat exceptionnel, le plus grand du repas, et excite merveilleusement le Trévallon.

Je ne comprends pas le J François ? En 83, c'était pourtant déja Eloi qui vinifiait, c'est lui qui a créé le domaine.. C'est une cuvée particulière ? En tous cas cela confirme que ses vins vieillissent bien.

Arnaud

J'ai pris la photo de la bouteille et le nom sur le côté est légérement trouble, car moins au point.
Je lis "J" sur la photo.ce pourrait être "i", mais certainement pas "E".

Bonjour,

Vu sur le site web de Trevallon ce jour une étiquette d'un 82 et c'est bien un J.
Pourquoi cela donc?

Cordialement

Sylvain