Domaine de Trévallon rouge, Coteaux d'Aix en Provence "Les Baux" 1989 :
(Bouteille bue avec Yves sur un sauté de veau à la provençale)
La couleur de ce Trévallon trahit en effet son age... Le bouquet est fidel; évolué, aux notes de truffe dominante, mais le fruits est encore là. Le bois précieux, les épices le cuir et les sous bois jouent aussi la partition de l'élégance et la bouche celle de la finesse. Dieu que c'est bon, velouté, frais et équilibré : à parfaite maturité ! Très tres belle longuer de surcroît.
Un très beau moment de partage, de ceux qu el'on garde en mémoire... Merci aussi à toi Yves, de l'avoir apprécié.

Patrice D

Domaine de Trévallon – Rouge – 1998 – 12,5% - 75cl
Vin de Pays des Bouche-Du-Rhône
Cabernet Sauvignon – Syrah

Le niveau du vin et le bouchon sont parfaits (2-3 mm).
La robe est dense, limpide, sans traces d’évolution au contraire des 2 bouteilles que j’ai ouverte précédemment.
Le nez est d’intensité moyenne, sur les fruits rouges et les herbes, frais et simple.
On retrouve en bouche le nez avec la fraicheur, la cerise.
Les tannins sont beaux mais une certaine astringence laisse penser que l’élevage doit encore être intégré
(les 2 précédentes dégustées avaient parfaitement intégré leur élevage).
Bonne longueur finale, sans plus.
Bien

Stéph

PS : Après 24 heures, le vin s'est présenté sous un bien meilleur jour.

Je pense que ce vin n'a pas encore atteint son plateau de maturité.

Personnellement, j'ai beaucoup aimé Trevallon 97 pour sa fraicheur et son élégance (bu 2 fois).
Dans le coin, Gigondas Saint-Cosme 97 (gouté à 5 reprises) est très bon.
Le millésime 1997n'est peut-être pas le meilleur mais certains ont su sortir leur épingle du jeu.
Il faut aussi rajouter les conditions de conservation des flacons (11 ans, ca commence à faire).

La qualité d’un millésime n’est pas nécessairement celle d’un domaine ou d’un vin.
Le jugement d'une appelation entière par millésime me semble un peu injuste.

Stéph

PS : En 2002, millésime dit très mauvais, Eloi Dürrbach a rendu les armes.
Pourtant, Henri Milan nous a pondu un Grand blanc absolument superbe.

en 2002, la majorité des blancs a été récoltée avant les très fortes intempéries de 8, 9 et 10 septembre qui ont plombé le millésime, ce qui explique qu'ils soient de bonne qualité par rapport à la majorité des rouges.
97, c'est quand même bien au dessus de 2002 pour les rouges même si effectivement, ça n'est pas l'année du siècle. A gigondas, l'arrière saison a été superbe et ceux qui ont récolté tard (en octobre) ont fait de jolis vins qu'il s'agit tout de même de finir très prochainement.

Trévallon blanc 2007, gras long, onctueux et miel. Futur très grand vin selon moi. 55 euros ! Mme Durbach, qui me sert sur le salon, estime que le prix est encore trop bas vu la rareté et la demande...

Trévallon rouge 2006, carafé, déjà accessible

Trévallon 2000, quelques notes d'évolution, beau vin en dentelle mais matière un peu maigre

Gael

Domaine de Trévallon 1999

Belle découverte pour mon premier Trévallon

vendu 83 euro au restaurant
nez exceptionnel de fruits rouges avec une finesse remarquable, qui va rester longtemps dans mon souvenir malgré les centaines de bouteilles
dégustées ces dix dernières années...
la bouche est légèrement décevante au premier abord par son manque d'alcool mais va s'améliorer par la suite...
la finale est empreinte de suavité mais manque de longueur
en conclusion, un vin tout à fait remarquable pour un 99 relativement controversé par les LPViens...

J'ai dégusté récemment 1999 et 2001, 99 est plus en retenue. Il a besoin d'être aérer un moment pour s'exprimer. Mais il se révèle sensationnel sur une cuisine d'hiver à base de truffes de la Drôme avec ses arômes tertaiares. Le 2001, quant à lui, fait figure d'un cheval de course, quel vin. Il est doté d'un potentiel certain.

Salut à Tous,

Ouverte vendredi soir avec Jean-Pierre, notre globe Trotteur International d'LPV

Coteaux d'Aix en Provence Rouge, Domaine de Trévallon 1988 : La robe trahit l'age de ce vin tuilé-orangé. Le nez confirme avec des notes d'évolution franches de truffe, de vieux cuir, de chamignon et de cave humide,parfums de figue rotie, de prune et de griotte, quand meme, et de cannelle aussi. Tou cela est tres complexe et la bouche procure un plaisir partagé. les tannins sont fondus mais l'acidité porte le vin. Il est en dessous de 1985 et 1989. A son apogée, voir un peu plus, la finale est pourtant tres tres belle !
Cétait un Trevallon 1988, heureusement la derniere 88 de ma "collection"...

Belle accord avec les oeufs à la truffe.

Patrice D

Premiere rencontre avec Trévallon 2006. La robe est assez légère, en demi teinte, le vin est tres élégant et déja ouvert sur des tannins assez souples. Equilibre, bonne longueur avec une pointe d'astringence très agréable. L'association avec une épaule d'agneau aux épices est parfaite. Je vous conseille de le gouter des maintenant, il donne déjà du plaisir, plus que le 2005 gouté à la meme époque. En finesse. J'aime beaucoup et je laisse les autres en cave pour 5 ans.

Bonjour,

J'ai deguste le blanc 2005 du Domaine Trevallon que j'ai trouve superbe de fraicheur, d'equilibre et de complexite.
Je souhaiterais acheter quelques flacons pour completer ma cave.
Pourrais je avoir des tuyaux pour en acheter ? Auriez vous des recommandations pour les millesimes.
Est ce qu'acheter directement au domaine est le mieux ?
Dans l'attente de vous lire
Romuald

tu peux acheter le 2004 surement un des millésimes récents le plus réussi

franck

Salut à tous,

Heureux d'avoir re-dégusté le Trévallon rouge 2000, ce jour, l'occasion d'ouvrir cette bouteille pour faire découvrir le Domaine à 2 amis et me faire plaisir aussi... faut bien l'avouer !
Robe de couleur encore assez profonde, une legere teinte orangée se devine. Le nez est généreux ; cassis, mure, laurier, truffe et cuir... Jolie complexité et quelle Intensité.
La bouche est riche dès l'attaque, sur les fruits et d'un tres beau volume. Tannins soyeux et grains tres fin, belle fraicheur aussi. Bref, c'est tres bon, et la finale tout à fait satisfaisante (2001 un cran au dessus de mémoire). Ce vin, à ce stade, se livre totalement et il pourra attendre encore qlqs années.... Un beau Trévallon qui a complètement séduit mes invités, l'un amateur de Bordeaux, l'autre, de Chateauneufs... & pour connaitre "un peu" les vins du Domaine, cette bouteille a été Largement à la hauteur des mes espoirs !

Patrice D

Domaine de Trévallon 1987
Nez un peu fatigué, de pansement, bretté selon certain, pâte de coing selon moi. Belle bouche avec encore beaucoup de fruits, de la garrigue, des épices, de la longueur. Vin un peu fatigué mais belle résistance pour un produit de 22 ans.

Gaël

Trévallon –Rouge – 1997 -12% - 75cl

Niveau OK et bouchon imbibé sur 1 cm environ.

Robe évoluée limpide et brillante.
Beau nez évolué, bois précieux (santal).
La bouche est légère (fluette) avec une matière fine et une acidité assez marquée qui gênerait sans doute beaucoup. Sensation de fraicheur et de bonne digestibilité.
Très belle finale longue et puissante contrastant avec la légèreté de la bouche.

Très belle bouteille à mon gout.
Des défauts certains (vin fluet et acide) mais ce jour-là, dans ces conditions, j’ai été conquis.

Stéph

Steph

L'acidité décrite ne se dissiperait elle pas après une petit heure de carafe?

Bouteille non carafée et bue sur 2 jours (30 heures).
La bouteille n'a pas changé d'un pli pendant cette période.
Pourquoi? Tu penses à quoi? de la volatile?

Stéph

Il m'est arrivé, avec certains vins de la région notament Simone rouge de ne pas carafer, d'avoir une acidité délétère et que la fin de la bouteille soit superbe
Trevallon a beaucoup (60% je crois) de Cabernet, cépage qui aime bien l'oxygène.
Je me demandais si tu n'avais pa eu la même sorte de déboire (c'est le cas de le dire) mais au bout de 30 heures ça aurait du passer

Eric L., je me permet de préciser que Trevallon rouge,c'est 50% Syrah et 50% Cabernet Sauvignon...

Patrice D

J'ai bien fait d'écrire "je crois" car je n'étais pas sûr.
Méa maxima culpa
Mais même à 50 % ça fait pas mal de cabernet cépage qui aime bien être aéré

tout comme la Syrah, Eric L. ... .
on est donc bien d'accord !

Patrice D, Grand Fan de Vieux Trévallons

Domaine de Trévallon 1999

Marsanne/roussanne + Chardonnay

Belle robe brillante et dorée deja evoluée aux reflets ambrés clairs.
Le nez est reservé et marqué Rhone sans les notes "trop" sudiste parfois un peu demonstartives et caricaturales. notes de peche et d'amandes.
En bouche le vin est fluide mais un peu dilué. A mon sens une pointe de fraicheur, que l'on retrouve d'ordinaire dans les Trevallons blanc aurait sans doute apporté plus d'equilibre, les aromes sont discrets et sur des notes miellés et de verveine. Manque de longueur. Vin a boire dans les deux ans. 14+

Bu Domaine de Trévallon 1998 hier soir. Bouteille ouverte 1H avant. Pas de carafage. Superbe nez sur le cassis bien mur. Belle longueur en bouche avec encore pas mal de panache (ca peut encore largement attendre). 1996 etait beaucoup plus sur la finesse. 1998 est plus costaud mais cela se boit tres tres bien. Ca fait plaisir de boire du vin ! Superbe.

Domaine de Trévallon 1999

bonjour à tous

la degustation de Trevallon 99 et 00 au restaurant m'avait convaincu que c'etait un vin merveilleux et que le 99 etait meilleur que le 00 aujourd'hui, ce que m'avait confirmé le chef du resto (le passiflore, à recommander au passage).

j'en ai donc acheté une caisse et ouvert une bouteille hier soir. Et je dois dire que je n'ai pas retrouvé mes sensations du tout. Le vin était souple, friand, avec des notes d'herbes dominantes dérangeantes et un fruit curieux allant vers la framboise fraiche. Longueur inexistante. Bien loin de la chaleur, l''élégance et la longueur du vin bu au resto... Je l'ai carafé une heure, soit plus que ce qu'il a eu le temps de s'aérer au resto (et surveillé tous les 1/4 d'heures).

Comme j'ai 1000 fois constaté que l'accord met/vin était primordial pour mettre en valeur les qualités d'un vin et que mon plateau de fromage d'hier soir etait fort éloigné des ris de veau mangés au passiflore (que je ne sais pas cuisiner), certains parmi vous sauraient ils m'éclairer sur le bon accord avec un trevallon ?

Pour mémoire, sur mon plateau, seul une tome à la truffe et un cheddar "stiltonisé" ont su se marier avec le Trevallon. Bry onctueux, Brillat Savarin, chevre cremeux et beurré, maroilles et apenzeller (bien beurré, très peu salé) ont été catastrophiques... J'avais visé large pour etre sur de tomber sur le bon, et pourtant...

help please

ps : le bouchon était sain, ma cave est tempérée, temperature de service autour de 17/18°, conservé à 13, transition en cave de service à 16, bu dans des Riedel Sommelier Syrah.

Domaine de Trévallon Rouge 2000

Bue ce midi avec un poulet au cèpe.
Bouteille ouverte une heure en avance et épaulée (à l'ouverture vin un peu frais mais agréable (nez fermé,notes de fruits rouges en bouche)).
Puis passage en carafe une demi-heure. Conclusion:
Robe : assez foncée. Bord du disque rose clair.
Nez : alors là ... un nez extrèmement prononcé d'herbe et de terre humide en automne. C'est simple je pense que j'aurais trouvé la même chose en mettant la tête dans ma pelouse... surprise qui n'est pas sans me rappeler le nez d'un Tertre Roteboeuf (2003 ou 2001 je ne me souviens plus bien) dégusté il y a un an.
Bouche : cassis, cerise à l'eau de vie, vieux bois, et en fin de bouche retour de ces notes de terre mouillée. Bouche pas très puissante, un peu alcooleuse et relativement courte. Je suis un peu déçu. Pour moi un vin correct mais sans plus. Problème de conservation?
13/20

Cordialement

Raoul

J'ai du 99 et du 2000...je ne rencontre pas de plaisir avec .... Pourtant les 12 bouteilles viennent directement du domaine et sonts conservés en cave...

Bonsoir Bernardo,

Pour ma part c'est seulement la deuxième bouteille de Trevallon que je bois après avoir dégusté il y a 2 ans un ....1999 que je n'avais pas non plus trouvé renversant. Pour l'instant sur ma courte expérience de ce domaine je reste personnellement un peu sur ma faim ... (mais je n'ai pas dit mon dernier mot!)

Cordialement

Raoul

elegil écrivait:

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> bonjour à tous
>
> la degustation de Trevallon 99 et 00 au restaurant
> m'avait convaincu que c'etait un vin merveilleux
> et que le 99 etait meilleur que le 00 aujourd'hui,
> ce que m'avait confirmé le chef du resto (le
> passiflore, à recommander au passage).
>
> j'en ai donc acheté une caisse et ouvert une
> bouteille hier soir. Et je dois dire que je n'ai
> pas retrouvé mes sensations du tout. Le vin était
> souple, friand, avec des notes d'herbes dominantes
> dérangeantes et un fruit curieux allant vers la
> framboise fraiche. Longueur inexistante. Bien loin
> de la chaleur, l''élégance et la longueur du vin
> bu au resto... Je l'ai carafé une heure, soit plus
> que ce qu'il a eu le temps de s'aérer au resto (et
> surveillé tous les 1/4 d'heures).
>
> Comme j'ai 1000 fois constaté que l'accord met/vin
> était primordial pour mettre en valeur les
> qualités d'un vin et que mon plateau de fromage
> d'hier soir etait fort éloigné des ris de veau
> mangés au passiflore (que je ne sais pas
> cuisiner), certains parmi vous sauraient ils
> m'éclairer sur le bon accord avec un trevallon ?
>
> Pour mémoire, sur mon plateau, seul une tome à la
> truffe et un cheddar "stiltonisé" ont su se marier
> avec le Trevallon. Bry onctueux, Brillat Savarin,
> chevre cremeux et beurré, maroilles et apenzeller
> (bien beurré, très peu salé) ont été
> catastrophiques... J'avais visé large pour etre
> sur de tomber sur le bon, et pourtant...
>
> help please
>
> ps : le bouchon était sain, ma cave est tempérée,
> temperature de service autour de 17/18°, conservé
> à 13, transition en cave de service à 16, bu dans
> des Riedel Sommelier Syrah.

La réponse est simple, c'est tout simplement l'effet fromage. Sur des vins rouges avec un profil tannique important, les fromages sont meurtriers. On a parfois une bonne surprise (type dans mon cas, Saint-Estèphe Bel Air 2001 (+3h d'ouverture) et Livarot...) mais c'est très rare, alors qu'avec le blanc on a presque toujours un accord génial ! D'une manière générale, les chèvres ne vont pas du tout, les vaches frais non plus. La raison en est l'interaction des tannins et de la caséine qui provoquent l'apparitions d'arômes désagréables tels que des dominantes métalliques. Ils ont aussi tendance à assécher le vin.

Il est clair que le blanc est toujours moins suicidaire que le rouge !

Si vous ne me croyez pas (l'idée que le rouge va avec le fromage est encore bien ancrée !!) essayez de conserver en cours de repas un fond de chaque vin et comparez vos impressions entre le plat principal et le fromage. Je pense pouvoir vous assurer que pas 10% des rouges seront meilleurs sur le fromage.

Bonne dégustation !

Passage ce jour pour récupèrer mes 2007. Je tombe à pic au milieu d'une dégustation avec des professionnels. Elle n'est pas belle la vie.

Armé de mon verre, je file rejoindre le groupe. Nous attaquons par le blanc 2009 sur fût.

Marsanne 2009 : Le nez est fin et complexe. Les arômes de fleurs d'acacia et de poire sont dominants. La bouche s'étire sur une belle matière généreuse avec des notes citronnées.

Roussane 2009 : Le nez est plus discret. Mr Dürrbach nous indique que les vins sont difficiles à déguster à cette époque. A l'agitation, il s'ouvre sur des notes de miel. La bouche est marquée par l'amande.

Trévallon 2008 : la production a été minimale. Le vin à l'ouverture s'exprime peu. Au fur et à mesure il va s'ouvrir sur des notes de miel et d'acacia. La bouche est généreuse, toute en rondeur.

Puis nous passons au rouge avec le Cabernet Sauvignon 2009 sur foudre : le vin paraît riche. C'est le cas, le nez est profond. La bouche est superbe sur le fruit rouge. Mr Dürrbach arbore un sourire évocateur, cela ne trompe pas. Le Cabernet est généreux, il est gorgé de soleil mais sans excès.

Nous enchaînons avec la Syrah 2009 sur foudre : La bouche est tout de suite plus stricte toutefois la matière est fine avec des notes de poivre gris. Les cépages rouges ont la signature de la générosité toute en équilibre. Cela promet un superbe produit. Mr Dürrbach insiste sur le fait qu'au moment des vendanges, tout était mûr et à point....

Nous dégustons le Cabernet Sauvignon 2009 sur fût : la trame est plus restreinte, trés serrée. La matière est toujours là mais elle s'exprime avec moins d'élégance.

Trévallon 2007 : Le vin est encore fermé. A l'agitation, le vin s'ouvre sur les fruits rouges. La bouche nous offre une matière noble toute en délicatesse et d'un superbe équilibre. Pour Mr Dürrbach, c'est son plus beau millésime produit depuis la création du domaine, rien que ça X( Il est parti pour une bonne décennie minimum.

Trévallon 2005 : Le vin est dans un autre registre. Plus discret que le 2007, il rappelle une belle syrah septentrionale. Il faut l'attendre sagement.

Trévallon 2000 : Le vin est réduit à l'ouverture. Avec l'agitation, il s'ouvre sur des notes tertiaires : sous bois, champignons. En bouche, la matière est délicate. Le vin caresse le palais. La finale est longue et sur la menthe.

Trévallon 1990 : Idem que le précédent, toutefois, nous changeons de catégorie pour boxer en poids lourds. Ce vin est d'une puissance maîtrisée. Les notes de sous bois envahissent le verre. La truffe s'impose d'elle même. La bouche est soyeuse avec une finale sur les herbes de Provence. Superbe. Nous débattons de l'accompagnement, cela va du râble de lièvre au perdreau.

Je ne suis pas "l'homme qui tombe à pic" mais là j'ai eu de la chance. D'ailleurs, j'ai un bonjour à donner à l'attention de Thierry Debaisieux de la part de Michèle et Philippe VETELE d'Anne de Bretagne...Je suis attendu en Loire Atlantique -

Jolie dégustation en effet:), le genre d'occasion qui laisse un grand souvenir !