Château Grand Boise
CS 50002
1536 Chemin de Grisole
13530 Trets
Tél. : +33 (0)4 42 29 22 95
Fax : +33 (0)4 42 61 38 71

Formulaire de contact : www.grandboise.com/f...

Contact organisation d'évènements : Mme Ana-Sofia Simonet - Tél.: +33 (0)6 45 29 18 68

Coordonnées G.P.S. : N 43.43773 · E 5.71198

Le Château Grand Boise produit sous la direction de Jean Simonet des vins rouges, blancs et rosés, sous les appellations Côtes de Provence Sainte Victoire et Côtes de Provence.
Ces cuvées sont produites à partir d'un vignoble de 45 hectares dont 30 sont en production répartis en 77 parcelles disséminées au sein d’un vaste domaine de 500 hectares à flanc de montagne dont les terrasses s'étalent entre 300 et 640 mètres d'altitude.

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Château Grand Boise - Cuvée Mazarine - 2000 - blanc

Encore une belle découverte, avec un Côtes de Provence qui m’a séduit…

Une robe d’un or profond, un nez sans effet de manche, qui annonce des arômes complexes, c’est un vin d’un gras étonnant qui s’aventure dans les fruits confits et le miel avec une retenue de bon aloi, issu d’un élevage fûts de chêne, discret et élégant. C’est un vin avec une vivacité réduite, mais rond et puissant, une sélection de vieux sémillons qui relève avantageusement les filets de poissons en papillotes. Une bouteille qui ne dépare pas sur un chèvre…

J’avoue avoir hésité dans ce rayon de GS, millésime 2000, vin blanc, prix modique...
Maintenant le rayon est vide...

Du vin cuit, je ne connaissais que le terme que souvent des personnes utilisent pour désigner improprement les VDN. Pour moi c'était un type de vin ayant quasiment disparu, mais j'en ai trouvé un vrai à la foire aux vins en cours chez Monoprix.

Château Grand Boise : Vin Cuit

Vin à base de Grenache, Syrah, Cinsault, Carignan
Fiche technique ICI

Bu en apéritif, puisque cela semble être sa destination principale.

La robe est à relever : d'un brun-orangée, cuivrée, assez claire, du genre que l'on rencontre assez peu, sauf peut-être pour les vieux vins.
Je partais avec un apriori, m'attendant à un vin sur le sucre, du type des mauvais apéritifs à base de vin. Je fus très surpris de trouver ce qui est indiqué sur la fiche technique : une bouche légère, parfaitement équilibrée, sans la moindre trace de lourdeur, où le sucre ne se fait pas du tout sentir. Elle se révèle complexe, sur les fruits secs épicés, le pruneaux, les notes fumées, de tabac, de fruits rouges compotés. Le tout enrobé dans une sensation de ... cuit.

La finale est longue, et dévoile une jolie amertume.
Pas de sensation alcooleuse malgré les 17°;
Le nez, à l'ouverture plutôt discret, sera bien plus ouvert le lendemain.

A l'arrivée, un bel apéritif, original, pour 8,50€ (les 50cl)

Olivier

Les vins cuits n'existent presque (plus?) qu'en Provence.

On les appelle vins de Noël.
Il s'agit de mouts que l'on fait cuire dans un grand chaudron en cuivre pour le faire réduire.
La cuisson est la clef de la réussite des vins cuits Provençaux. Elle est souvent très longue car le mout ne doit pas bouillir et elle doit durer jusqu'à l'évaporation de la moitié du chaudron. Autre fois il était ajouté un coing dans le chaudron pour vérifier la cuisson.

A l'issue de la cuisson, on ajoute des mouts en fermentation (un pied de cuve en quelques sorte) car après ce traitement (dignes caricatures d'anthropophages cuisants leurs repas au feu de bois) les levures endogènes encore en vie ne sont sans doute plus nombreuses.

La fermentation s'interrompt d'elle même aux alentours de 16° avec un taux de sucre avoisinant généralement les 100g.

C'est la belle histoire des Noël en Provence dans particulièrement dans la région Aixoise. Et c'est à ma connaissance les seuls "vraies" vin cuits sans abus de langages.
Ceux de Grand Boise on en général un petit coté fumé, procuré par la cuisson au feu de bois du chaudon, qui les rend bien sympathiques.

Alexis

Merci Alexis pour ces précisions.

Olivier

Château Grand Boisé, Côtes de Provence, Sainte Victoire, Rouge, 2010

Voilà un nom qui n'est pas spécialement fait pour m'inspirer... Et une bonne surprise à la clef.

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Bouchon agglo propre.
La couleur est grenat assez intense avec à la fois des reflets violets et d'autres qui tirent à la brique, amusant. Les larmes sont épaisses.
Le nez est bien fruité sur la fraise vernis / groseille avec un léger boisé.
En bouche il y a du gras, les tannins sont un peu asséchants.
Ca a des accents de garrigue, des épices et du fruit (groseille / cassis).
Ca manque un poil de concentration par rapport à ce qu'on attend au vu de la couleur.
Il y a un peu d'alcool qui ressort mais c'est supportable.
Longueur moyenne entre les épices et le cassis.
Bien

Château Grand Boise. Vin cuit.
[size=x-small]cr tiré de Catherine et les garçons s' offrent une Palette de Baux, Bandols et autres vins de Provence ! [/size]

Hubert.

Un peu écrasé par le Vin Cuit du domaine des Bastides, que nous avons dégusté en même temps. Il n’a, à mon sens, pas eu l’attention qu’il aurait mérité, ni de notes dans mon calepin. De mémoire plus léger que le suivant, tout en jouant sur la même palette de saveurs.

Daniel.

Au nez, une première impression de cerise confite et de confiture de fruits rouges, suivie immédiatement d' un bain de fraicheur que des notes de melon frais, bien juteux, portent ; le tout parcouru de touches évoquant des friandises à base de praliné, de caramel ; l' ensemble constituant un nez singulier, assez charmant, plus complexe qu' il n' y parait.
En bouche, un toucher gras, tendu par une acidité vive, équilibrée par de beaux amers, décline un jeu de saveurs un peu chaleureuses que l' alcool rend un peu monocordes, manquant de vibration et de fraicheur, en comparaison du nez. Disons que c' est sympathique, mais que çà manque un peu d' âme, à mon goût.

Catherine.

J'ai trouvé ce vin, issu de grenache, cinsault, syrah et carignan, assez monolithique, avec des notes de fruits rouges confiturés et de caramel.

Provence
Entre Palette et Sainte-Victoire, le pays d'Aix, vallonné et calcaire, est marqué par ses crus émergents. En surplomb du village médiéval de Trets, Grand Boise possède un vignoble de qualité.

www.lexpress.fr/tend...

Château Grand Boisé — Cuvée Mazarine — 2009

Bu lors de la soirée LPV Lyon II : Un tour en Provence mais sans passer par Bandol

Nolwenn : Nez pas bien expressif en dehors de l'élevage, je note de l'eucalyptus. En bouche c'est un peu creux, l'acidité est bien présente avec des tanins asséchants. Bof, sachant que je l'avais mieux goûté quelques temps auparavant mais le fruit étant parti, l'intérêt de ce vin sûrement aussi.

Benoît lbb : Couleur grenat foncée.
Nez sur les fruits rouges légers.
En bouche, l’attaque semble sableuse puis ça paraît peu corpulent.
Une belle acidité et de la puissance tout en restant bien équilibré.
Les tannins sont encore rêches.
On sent un gros potentiel mais aussi une certaine frustration. Il nous fait bisquer celui-là, je pense qu’il est actuellement fermé !
Du coup, c’est le bois, la vanille, la girofle qui ressortent et se mélangent à un léger poivron.
Petit côté lacté aussi.
Un peu écœurant en l’état. A revoir.
S’améliore avec l’aération.
Moyen+

Nico co : Robe légèrement plus évoluée que l’Estello.
Nez cassis, légèrement vert.
Bouche fraîche droite mais tombe très vite. On sent quand même bien le bois.
Moyen

Château Grand Boise – Côtes de Provence – Auro – 2019



C'est une des découvertes 2020 de LPV Versailles

Un vin nature, issu de Provence, avec un assemblage de grenache, syrah et cinsault.

Jean-Loup
La robe est très sombre, brillante et bien jeune.
Le fruité du nez se livre sans retenue mais manque de distinction avec un côté animal et des notes fumées.
La bouche en largeur est dotée d’une chair bien fruitée mais elle manque de vivacité et de finesse. La finale assez courte se révèle toutefois pointue.
Bien +(+)

Vivien
La robe est sombre.
Le nez évoque la grenadine, la cerise, la framboise.
La bouche est clairement nature, toujours sur la même aromatique que le nez (grenadine principalement). Les tanins sont un peu présents.
Franchement, ça ne casse pas trois pattes à un canard et c’est tout juste correct.

Jean-Loup

Château Grand Boise, Côtes de Provence, 1993

Un magnum glané sur Le Bon Coin avec un peu de coulure mais un niveau très correct.

Belle robe pour l’âge, nez avenant sur les fruits noirs, légère évolution avec du sous-bois, un peu animal, marinade avec du lardé et du pruneau un peu comme certaines syrahs.

Bouche aux tanins fondus et un fruité encore bien présent. Pas une grande complexité mais une grosse buvabilité sur une aromatique mûre et framboise.

Une bien belle surprise qui a fait l'unanimité et qui donne envie d'explorer davantage les rouges provençaux !