Merci beaucoup pour ces précieuses informations Julien...tu m'as donné l'eau à la bouche avec ces 2010 ...

J'ai essayé de chercher à droite et à gauche, mais apparament les SGN 2003 sont presque introuvable...mais avec tes conseils j'ai de quoi m'instruire.

Merci bien

Cordialement,

Staro

Je ne sais pas si il faut absolument se fixer sur les 2003. C'était un millésime particulier et plutôt difficile en Anjou. La sécheresse a donné sur la région des vins qui manquent parfois de fraîcheur. Si les grains ont été rôtis, ce n'était pas une année à botrytis, et certains vins étaient marqués par un déséquilibre sur l'alcool. Pour ce qui est de Philippe Delesvaux, quand je vois ce qu'il fait sur des millésimes dits "petits", comme 1998 ou 2004, je me dis qu'il ne faut pas forcément se cantonner à des millésimes médiatiques. De plus tu auras du mal à trouver d'autres cuvées que les millésimes récents.

Au plaisir,
Julien

Bonjour,

Sachant que je m'intéressais aux vin de Delesvaux, un ami m'a fait l'honneur de déguster avec lui un Coteaux du Layon SGN Carbonifera 1997

Nez: Coing, miel et tourbe ( je sais pas si tourbe est le bon terme, mais ce nez m'a rappelé certains whisky que j'ai pu boire...)

Bouche: C'est riche , opulent, mais soyeux à la fois....la finale est puissante et longue ( j'ai pu lire "exceptionnellement " longue...je n'irai pas jusque là)
Il y avait aussi en bouche ce gout de miel si puissant, j'avais presque la sensation de mordre dans une ruche .
Il est vrai que pour un vin avec 340 gr de sucre résiduel, il est remarquable que celà ne soit pas plus lourd...

Au final ce vin nous a procuré un merveilleux moment.Il serait très intéressant de le comparer avec le SGN 1997.
Cordialement

Je viens de finir la bouteille Carbonifera 1997 aujourd'hui, je suis à genou devant ce monument, les arômes sont encore plus présents et si long...

Un vrai bijou

staro222 écrivait:

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> Bonjour,
>
> Sachant que je m'intéressais aux vin de Delesvaux,
> un ami m'a fait l'honneur de déguster avec lui un
> Coteaux du Layon SGN Carbonifera 1997
>
> Nez: Coing, miel et tourbe ( je sais pas si tourbe
> est le bon terme, mais ce nez m'a rappelé certains
> whisky que j'ai pu boire...)
>
> Bouche: C'est riche , opulent, mais soyeux à la
> fois....la finale est puissante et longue ( j'ai
> pu lire "exceptionnellement " longue...je n'irai
> pas jusque là)
> Il y avait aussi en bouche ce gout
> de miel si puissant, j'avais presque la sensation
> de mordre dans une ruche .
> Il est vrai que pour un vin avec 340
> gr de sucre résiduel, il est remarquable que celà
> ne soit pas plus lourd...
>
> Au final ce vin nous a procuré un merveilleux
> moment.Il serait très intéressant de le comparer
> avec le SGN 1997.
> Cordialement

Cinquième (et dernière) bouteille : Domaine Philippe Delesvaux, Anjou, « Feuille d’Or », Vendanges 2008

Robe : jaune or, assez foncé.

Nez : un peu sur … les hydrocarbures (j’étais surpris), mais ça ne dure pas longtemps et les fruits jaunes (sans conviction : la pêche) apparaissent.

Bouche : là, sans hésitation, on retrouve les fruits jaunes. C’est ouvert, l’acidité est bien contrôlée, c’est bon ! La finale est un peu courte à mon goût, j’avais espéré un peu mieux. Beau vin, à boire dès à présent selon moi.

Cette bouteille clôt une belle dégustation. Au final, le chenin est difficile d’approche (très divers dans son expression) donc passionnant (je n’avais pas de grandes connaissances sur ce cépage). Il incite en tout cas à renouveler l’expérience !
Deux remarques pour finir : les Bournais de F. Chidaine ressortent du lot : la longueur est vraiment impressionnante, elle s’accroche au palais ! Les Rouliers de R. Leroy sont à mon avis bus trop tôt, l’acidité masquant selon moi la complexité.

Voilà, je commence à devenir fan !!!

sacré domaine.......... superbe acceuil téléphonique......avant que je me déplace....

J'ai entendu et lu que 2010 s'annonce comme 97........GRAND !

et 2009 ??

J'ai l'occasion d'acheter des SGN....combien de temps à garder avant d'ouvrir.....20 ans ou possible de les déguster jeunes....genre 5 à 10 ans ??

En plus j'ai la possibilité d'acheter, par un ami, Carbonifera 1997 (50 euros environ) et je souhaiterai savoir si cette cuvée sera produite en 2009 ?

J'ai oublié de demander au domaine et leur tarif 2012 ne le mentionne pas ! (pas encore en bouteille peut être).

Si un spécialiste du domaine ou de la Loire pouvait m'éclairer....

Merci

Sébastien

Pas de Carbonifera ni d'Anthologie depuis 1997 au domaine.

Deux reportages de première main.
pipette.canalblog.co...
lacavedebobosse.blog...

C'est que ça écrit bien, les anciens LPViens !

Au passage, petit mot rapide sur deux vins du domaine bu chez le Bobosse et sa très sainte femme samedi soir.

Un Authentique 2007 m'a semblé un peu fatigué, peut être par un passage en carafe un peu long, sur des notes oxydatives et de poussière assez nettes et dont la tenue en bouche ne persistait que grâce à une magnifique acidité.
Grand privilège que de pouvoir également goûter à la rarissime cuvée Anthologie 1997.
Le vin, acajou foncé, possède un nez de figue sèche, de coing confit, de poire tapée. La bouche possède une liqueur énoooooorme, une matière huileuse qui tapisse littéralement le palais. Le vin est tenu par une grande acidité mais cela reste tout de même assez saturant. L'ensemble se sirote par goutte tellement le vin est puissant et concentré.
Une bouteille qui aurait sûrement plu à mon ami Totolouga !

A ma connaissance, ces 2 cuvées existeront sur 2010.

Stéphane

Oui, bien sûr, Stéphane, tu fais bien de préciser !
Je répondais à Sébastien pour les 2009.

Oliv

Merci pour vos réponses !!!

50 euros pour carbonifera 1997 : c'est OK pour vous ou à éviter ?? J'ai bien envie de me laisser tenter même si je l'ai jamais gouté !!

parfois il faut éviter de trop réfléchir !!

(si ma femme me lisais >< )

Sébastien

Bonjour,
J'ai eu la même déconvenue qu'Oliv il y a quelques semaines avec Authentique 2007. Mais les amis avec qui je l'avais alors partagé n'ont pas vraiment remarqué ... et ça n'a pas pour autant empêché les convives de finir la bouteille. J'étais un peu déçu car j'aime vraiment beaucoup les vins de Philippe Delesvaux. Je pense même que c'est ma première déception avec un de ses vins. Du coup, j'ai ouvert une bouteille du Roc 2010 quelques jours plus tard. Un vrai vin de plaisir !
Je tiens à souligner l'accueil admirable chez Philippe Delesvaux. C'est chaque fois un plaisir de s'y rendre et je garderai toujours le souvenir de mon premier passage chez lui en février 2008, alors que je n'y connaissais vraiment pas grand chose en vin. J'étais alors seulement guidé par mon nez, qui me disait de monter vers La Haie Longue. Un choix que je ne regrette vraiment pas, car j'y retourne tous les ans. Alors merci Philippe (car je crois qu'il lit régulièrement le forum LPV) !
Bonne journée à tous !

JL

Domaine Philippe Delesvaux - Anjou - Authentique - 2007

Le bouchon, assez court, est en parfait état.
La robe est sur le vieil or et fait plus que son âge.
Le nez est marqué par des notes entre le vernis et la pomme un peu blette et des senteurs d'encaustique.
L'attaque en bouche étonne par une légère perception doucereuse, à la limite du sucré.
Heureusement, une énorme acidité arrive rapidement pour étirer et rééquilibrer l'ensemble.
L'aromatique sur la tarte tatin et un côté chèvrefeuille est un peu fouillis.
Le vin se tient bien grâce à sa structure acide remarquable.
La finale laisse d'étonnants goûts de tabac et de cire en bouche.

Un vin à boire et qui me laisse un avis mitigé.

oufti, j'ai du 2005 en cave et me pose des questions...
La semaine dernière un Feuille d'Or 2008 m'avait particulièrement enchanté.

A suivre, je vais questionner P. Delesvaux sur quand boire ce 2005.

Julien

J'ai bu 2 bouteilles d' Authentique 2007 et je suis de l'avis d'Oliv.
Pas mauvais, mais ça laisse l'impression d'un vin pas très net et prématurément fatigué.
Je passe mon chenin, à ce prix y'a quand même bien meilleur chez les voisins (je ne parle pas des SGN que j'ai en revanche toujours plutôt bien goûtés, en particulier le 1997).

Florian

Sur les 3 derniers exemplaires dégustés, je rejoins l'avis d'Oliv et de Florian.
L'impression d'avoir dans le verre, un vin brouillon, qui se cherche et qui offre vraiment peu de plaisir particulièrement à cause de ces arômes déviants sur la pomme pourrie.
Il m'en reste une en cave mais je crains, au vu de la récente dégustation d'Olivier, que les choses ne s'améliorent pas ...

Olivier

J'espère que ce n'est qu'un passage à vide (fermeture ?) pour ce vin que j'avais bien aimé au printemps 2009. Je laisse ma dernière bouteille [size=small](elle est bien planquée)[/size] dormir, on ne sait jamais.
Mais tous vos retours sont très inquiétants.

Excellent w.e. à vous.
Phil

Phil,

Comme toi, la bouteille ne s'est bien goûtée qu'au printemps 2009.
Les autres ont connu ce déclin et les derniers retours m'inquiètent tout comme toi ...

Olivier

J'ai aussi goûté ce vin (en 2009) et autant j'ai aimé Feuille d'or, autant je n'adhère pas du tout à celui là. J'attends plus que de la vieille pomme sur un vin de ce calibre, même si c'est comme dit Oliv, buvable. Je ferai sans doute un CR plus complet. Pour le dire de manière un peu directe, il a les caractéristiques d'un vin défectueux. J'en étais à me demander s'il était sulfité correctement.

Domaine Philippe Delesvaux - SGN 1997

C'est la deuxième fois que je bois une SGN de Delesvaux. La première m'avait beaucoup plu (quel millésime ?).

J'ai beaucoup moins apprécié celle-ci. Beaucoup de sucre, mais un petit manque d'acidité qui fait que le vin ne se boit pas très vite quand il est dans le verre. La fin de bouche était un peu déviante pour moi (les quatre autres personnes n'ont rien remarqué de spécial).
Soit la bouteille présentait un défaut, soit j'attendais trop de ce vin après avoir lu de très beaux commentaires sur le forum.

La réserve de Foreau 89 bue en même temps était beaucoup plus agréable.

Visite éclair au domaine sur la route du retour dans mes Landes...
Je note l'extrême gentillesse de Mme Delesvaux qui, jointe seulement une heure avant mon passage, a été d'une rare disponibilité.
On se rince les gencives avec les deux rouges Le Roc 2011 (bien typé cabernet franc de loire , crayeux, un peu simple), et La Montée de l'Epine 2010 (belle expression de cabernet sauvignon, frais, pur digeste mais là encore, le matin, c'est pas mon truc....manquait peut-être une andouillette à côté).
Anjou Blanc Feuille d'or 2009 : chenin classique avec un nez légèrement beurré, puis des notes de fleurs blanches. Pas très long, simple.
Anjou Blanc Authentique 2009 : belle petite claque avec ce vin issu de vignes franches de pied; le parallèle avec le vin précédent est intéressant car sans le filtre du porte-greffe, on constate un montée en qualité énorme. C'est pur, cristallin, sur des notes de fleur d'acacia, d'infusion (type verveine), on salive. Pas craché.
Coteaux du Layon St Aubin Passerillé 2011 : oui, on change de gamme et on va vers la douceur, mais à ce stade, je trouve ce vin assez simple, léger, sans trop de caractère.
Coteaux du Layon St Aubin Les Clos 2010 : gros changement avec ce vin qui dégage des notes superbes d'abricot, légèrement miellées. Belle tension en bouche, frais (acidité parfaite), fleurs blanches puis on revient sur les fruits jaunes; longue finale. Très beau. Pas craché.
Coteaux du Layon SGN 2009 : le nez est sur l'abricot, encore, puis décline toutes sortes de fruits jaunes pour finir sur une touche exotique. Petites touche grillée. En bouche, c'est énorme mais la magie du chenin (comme celle d'un petit-manseng) fait que l'acidité inhérente à ce cépage donne une fraîcheur et une tension magnifique et porte les arômes très loin. Finale longue et envoutante sur les fruits jaunes, le thé. Pas craché.
Mme Delesvaux trouve une bouteille sans étiquette à moitié remplie (ou vide, c'est selon) et me sert un fond de verre : le liquide orangé est encore trouble, mais explose dans le verre et devient obsédant sur l'abricot confit, l'orange mûre; c'est un véritable tourbillon de notes chaudes, presque orientales; en bouche, je suis surpris par l'équilibre et la finesse des arômes mais ce qui marque le plus c'est la trace indélébile que le vin laisse tant dans le verre que dans mon palais....inoubliable. C'est la cuvée Anthologie 2010. Encore en barrique, ce fond de bouteille a dû servir à satisfaire la curiosité de dégustateurs bien plus chevronnés que moi et connaissant bien le Domaine (y'en a par ici non ?). Bon ben, pas craché encore une fois et c'est Madame qui prendra le volant pour les premiers kilomètres.
Franck.

Philippe Delesvaux - Les Clos 2010
Bouteille ouverte la semaine dernière pour la savourer toute seule

Superbe robe dorée, un nez, comme Franck dans le message précédent, l'abricot domine. En bouche, l'équilibre est parfait avec une belle acidité. une très belle bouteille. Il va falloir se retenir pr ne pas ouvrir les 5 qui reste à la cave

Hate d'etre en juillet pour aller au domaine et goûter les SGN 2011 et l'Anthologie!!!!

Euh... À vrai dire on devrait plutôt goûter les clos 2011 et les SGN 2010 en juillet ( question de durée d'élevage pour les SGN).
J'ai hâte moi aussi d'y passer je dois justement rappeler Philippe pour caler une date.

Au plaisir
Julien

Julien,

je t'invite à faire quelques kilomètres de plus en poussant jusqu'à Martigné...tu changeras assurément d'avis sur l'accueil réservé par Stéphane Bernaudeau à ses visiteurs

Au plaisir également
Rémi

Il est vrai que j'ai été refroidi lors de ma première rencontre avec Stéphane Bernaudeau. Après au delà du personnage, je ne me souviens pas avoir été conquis par les vins non plus, loin de ceux de Richard Leroy...
Mais il ne faut pas rester sur une seule idée, je regoûterai à l'occasion.

Au plaisir,
Julien

Nouvelle visite chez Philippe où on est toujours bien reçus.
Après un petit "cours" de géologie très intéressant, nous entamons la dégustation.
N'ayant pas pris de note je fais part surtout de mes coups de coeur à commencer par l'authentique 2009, vignes de franc de pied. J'avais aimé le 2008 l'an passé pour sa droiture. J'ai apprécié le 2009 pour son équilibre, sa pureté et son volume promis à un bel avenir.
J'ai également bien aimé les clos 2010, très belle cuvée d'une gourmandise telle qu'il sera difficile de les attendre.
Viennent ensuite les grains nobles avec un 2009 déjà plus ouvert, riche , plein et puis 2010 encore en attente mais au potentiel très prometteur. Ayant déjà les 2009 j'ai fais le plein de 2010, qui devraient évoluer à l'avenir comme les 1997, c'est dire...
Et puis vient le dessert... anthologie, cuvée rare produite en 2010 avec plus de 350g de résiduels. Haute concentration de sucres, mais (très) haute acidité, une matière énorme, une couleur dorée, l'aromatique n'est pas encore tout à fait en place, mais ça ne demande qu'à exploser d'ici quelques années. Un exercice de style, peut être plus qu'un vin une liqueur, certains n'aimeront pas, moi j'adore...
Bref, encore une belle dégustation chez Philippe, merci à lui pour sa sympathie.

Au plaisir,
Julien

philippe Delesvaux 1997 coteaux du layon "sélection de grains nobles"

les 2 derniers flacons que j'avais bus m'avaient un peu laissé sur ma soif car ils m'étaient parus comme évolués ce qui n'est pas un mal en soi, mais surtout lourds et sans peps, ternes pour tout dire !

là clairement, on était dans un autre monde...

ouvert vers 18 heures pour la picoler (quel autre mot !) entre 23 h et minuit

le nez est sur le coing, le sucre d'orge, le caramel (beau caramel) très complexe et profond, notes safranées, puissant et fin à la& fois, superbe !

la bouche est très pure avec une attaque puissante pour ensuite laisser de fines notes épicées du plus bel effet, une somptueuse liqueur prenant le relai ensuite et des amers absolument somptueux qui viennent porter le vin jusque une belle finale qui finit sur des notes d'écorce d'orange

un flacon qui me réconcilie tant et si bien que j'aie été brouillé un jour et qui a fort bien répondu à un pudding qui du coup paraissait presque trop léger...

excellent !
seul le prix m'empêche d'agraandir mon stock (53 euros prix caviste les 50 cl)

Domaine Philippe Delesvaux, Anjou cuvée Authentique, 2009

Un nez pur sur des notes de citron mûr puis de tisane, de fleur d'acacia Vraiment beau.
Un peu de gaz en bouche qui disparaît rapidement, puis le vin prend son envol sur un registre floral d'une pureté incroyable.
Equilibré, fin et long.
Un joli moment de dégustation.
Franck.

Domaine philippe Delesvaux, Anjou - la montée de l'épine 2005

une cuvée issue à 100% de cabernet-sauvignon.

La robe n'a pas pris d'âge, elle reste d'un très beau grenat-violet.
Le nez est ouvert, sur le cassis et la mûre.
En bouche, le vin est bien structuré, les tannins sont fins, enrobées, c'est bien fruité comme au nez.

Un bien bon vin.

Julien

Philippe Delesvaux, Anjou Blanc "Feuille d'or" 2008

Bouteille bue sans aération, sur une tourte aux poireaux, chèvre et miel (très bon accord).
Robe : très évoluée, limite ambrée (m'a fait penser à un Huet Le haut lieu sec 2001 bu récemment).
Nez : de la pomme, du coing, et de l'amande, avec une pointe mentholée.
En bouche, on sent la même chose, la pomme ressort, avec de légères notes oxydatives, mais peu dérangeant. Volume très correct et longueur intéressante, sur une touche acidulée.
Joli vin, j'aime beaucoup.

Bonjour,

1ère visite pour moi au domaine vendredi dernier sur le retour des vacances, j'ai vraiment été charmé par l'accueil de Catherine et Philippe Delesvaux. Je n'ai jamais été mal reçu par qq vigneron que ce soit mais là vraiment ce fut extrèmement sympathique.
Comme leurs vins que je ne connaissais pas du tout sont également chaudement recommandables, la visite fut parfaite.

J'ai particulièrement aimé : l'anjou blanc cuvée authentique 2011 et la gourmandise des Clos 2010.
Les blancs secs ou liquoreux faisaient tous preuve d'une belle concentration. On sent bien le SR bien sûr sur Les Clos ou le SGN mais l'acidité donne vraiment un très bel équilibre.
Un peu moins emballé par les rouges mais je ne suis pas amateur en général des cabernet, j'ai néanmoins pris qq bouteilles de la montée de l'épine pour compléter les cartons

Sylvain