Bonsoir,

Je viens d'ouvrir un Rouge Gorge 2004. Déception totale par rapport à ce que j'avais pu lire sur cette cuvée. Certes le cépage est particulier mais bon...
Le nez sent les produits médicinaux sans aucune finesse. La bouche est rapeuse avec un parfum confirmant le nez plus un très fort arôme de poivre.

Bref pas ce que j'appelle un vin agréable.
Quelqu'un peut-il m'en dire plus ? Bu trop tôt ? Bouteille défectueuse ?

Merci,
Emmanuel

Bonsoir,

Pour le poivre c'est normal, c'est une caractéristique aromatique du pinot d'aunis.

+
PP.

Bonjour,

Je suis bien d'accord sur les arômes de poivre dans le pinot d'aunis, il n'en demeure pas moins que cette bouteille de Rouge Gorge était à l'extrème limite du buvable.
Je souhaite juste savoir si cette impression est liée à la spécificité du cépage, à une bouteille défectueuse oui bu trop tôt ?

J'ai notamment relu les commentaires du guide B&D et de la RVF sur cette cuvée d'E. Nicolas et j'avoue que je ne m'y retrouve pas du tout.

Merci d'avance pour vos commentaires,
Emmanuel

Si tu veux savoir si cela est dû au pineau d'aunis, non à la bouteille en elle-même, goûte au pineau d'aunis de Thierry Puzelat. Si tu n'aimes pas, il est fort à parier que tu es allergique à ce cépage .

Phil

Découverte ce soir du Rouge Gorge 2001 mais aussi de ce fameux Pineau d'Anis.

Manifestement ce 2001 est le millésime le plus difficile qu'est connu le domaine.

Passé la surprise et le plaisir de la découverte, il faut bien se l'avouer, ce vin est empreint d'une acidité écrasante, mettant à genoux à la fois le fruit et les épices qui ont bien du mal à surnager, malgré un nez engageant.

Malgré la déception, je retenterai ma chance dans un autre millésime afin de vérifier si c'est moi qui suis en dehors du coup et qui ne suis pas apte à ressentir la fraîcheur et la subtilité de ce vin (termes lus dans certains CR), ou si j'ai eu entre les mains et surtout entre les papilles le seul millésime vraiment "moyen".

Une petite question aux connaisseurs de ce vin : la robe est-elle toujours aussi claire, à la limite de la transparence ?

personnellement, je connais ce vin sur les millésimes 2002 et 2004 et sa robe est assez foncée, en tous cas autant que la plupart des rouges de la région (voire plus à mon souvenir)

j'ai gouté le rouge gorge 1999 en octobre dernier et la robe était aussi très claire et le vin très évolué
-D

En 2005, la robe est bien foncée (et le vin ressemble à peine à un vin issu pineau d'Aunis, à part dans la finale, légèrement poivrée).

[size=medium] Domaine de Bellivière - Rouge Gorge - Coteaux du Loir - 2005[/size]

Le bouchon est impeccable, étampé au nom du domaine et de la cuvée.
La robe est superbe, d'un beau grenat qui tire sur le bleuté.
Le nez est..., comment dire..., euh, enfin, c'est pas possible, c'est du jus de poivre ?! () Extraordinaire, ce nez, je retourne ma poivrière pour comparer (c'est pas une bonne idée, j'ai éternué pendant 5 minutes ) et je confirme ! On est totalement sur le poivré, un peu typé poivre vert, notamment lorsqu'il est vendu frais, en conserve. A ce stade, c'est très surprenant et je m'interroge sur ce que ça va donner en bouche.

Là où ce nez pouvait laisser craindre des notes végétales, la bouche va se révéler délicieuse, d'une grande maturité (je découvrirai plus tard un titrage de 15°) et d'un parfait équilibre. Les arômes poivrés sont là mais ne monopolisent pas du tout la bouche, ce vin s'exprime sur des notes de fraises au sucre poivrée (je fais une recette de soupe de fraise en été qui donne quelque chose d'assez similaire). Après un petit creux en milieu de bouche, l'ensemble s'étend sur une jolie finale fraiche, équilibrée et longue. Un vin délicieux !

Ouvert sur un Lapin Chasseur, je pense qu'une viande rouge grillée aurait vraisemblablement fait un meilleur compagnon de table.

Domaine De BELLIVIERE Rouge Gorge 2002

Bu hier au restaurant Decoret à Vichy ce vin a sensiblement évolué depuis un an.
La robe est assez soutenue mais un peu terne et avec quelques reflets orangés.

Le nez est encore à dominante poivre.
C'est la bouche qui est en retrait par rapport à la même bt bue il y a un an : épicée, fruitée, acidulée mais tout en moins que l'an dernier.
Ca reste une belle bt , originale, typée.

J'ai hâte de gouter au 2005 !Qui a une adresse sur Paris ?

J'ai encore du 2002 en cave, je vais pas tarder à le finir.

Raymond, j'ai vu l'autre jour chez Lavinia une partie de la gamme du domaine.

Les Rosiers, Jasnières domaine de Bellivière 2005

Ce week end , decouverte de l'appelation et donc du producteur.
Bue sur 2 jours , cependant quasi pas d'evolution en 24h.
La couleur est legerement doree et assez sombre pour un vin si jeune.
Le nez est superbe sur la poire , les agrumes un peu de miel et de cire. Une tres legere touche de bois.
En bouche une belle et large matiere , pas de note boisee une tres belle longeur.
Il y a un tout petit peu trop de SR pour accompagner un plat classique , la bouteille a donc ete reservee pour le fromage. Et la ce fut tout simplement enorme , pour moi l'accord ideal avec un roquefort.

Kamuro

les chenins de loire avec un peu de SR de cette qualité, je trouve au contraire que ce sont les vins qui accompagnent le mieux différents type de plat. il faut tenter le coup!

Laurent, tu as tout à fait raison, le Chenin a de multiples facettes, à nous de les valoriser.

Eric B écrivait:

---

> Les Rosiers 2001, Jasnières: robe très dense,
> entre l'or et le cuivre qui fait penser à un
> liquoreux. Nez puissant sur des notes terpéniques,
> mais aussi de sous-bois (à l'époque des
> champignons) et de fruits confits. Bouche ample,
> avec une texture moelleuse, voire grasse, mais
> sans un poil de sucre résiduel (en tout cas non
> perceptible) et une acidité tranchante. Il y a un
> côté bête sauvage indomptée dans ce vin aux arômes
> fougueux et puissants qui peuvent dérouter, à
> l'image de la finale, tendue et sèche.
>
> Beau mariage avec des crevettes caramélisées à
> l'orange
>
> Toutefois, ce vin reste pour moi un vin d'initié
> car certains arômes (thérébentine, champignon),
> mais aussi une certaine "brutalité" en bouche
> peuvent déranger des gens peu avertis...
>
> Eric

Dégustée dernièrement cette bouteilles de Jasnières les Rosiers en 2001 (50cl), ce vin est toujours aussi désarçonnant. La robe cuivrée fait penser qu'il est trop tard ou que le vin est endommagé. Nez très expressif sur les fruits confits avec des notes terpéniques, on pense à un liquoreux. En bouche c'est violent, riche, gras mais aussi très vif, pas de SR.
Le VV Eparses 2001 est dans le même style qui n'est pas vraiment celui que je préfère comme 2002 par exemple.
Je me retrouve complétement dans les perceptions du CR d'Eric datant de 2006, le vin n'aurait pas trop évolué, mais pensez-vous qu'il y ait un intéret à le garder encore 3 ou 4 ans, voir plus ?

+
PP.

c'est le millésime qui veut ça sans doute : le vin de Bénédicte De Rycke dans ce même millésime m'a laissé exactement le même sentiment :
2001 : La robe est très dorée, le nez évoque la croûte de pain, le camphre, avec quelques notes pétrolées. En bouche, le vin est très sec, violent et jouissif, « délicieusement incorrect ». Très long.

www.lapassionduvin.c...

Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière Vieilles Vignes Eparses 2002 - 13°
(Chenin 100%)
L’après-midi : DS15,5 - PR15 - 29/4/08 - cr par Philippe Ricard
• Robe presque or.
• Senteurs débridées, aussi excitantes que déconcertantes, entre le classicisme (pomme au four, rhum ambré, fruits jaunes) et l’inattendu (jaune d’oeuf, végétal, citron).
• Même dualité en bouche où l’acidité citrique et le volume d’une matière généreuse accrochent le dégustateur : vif, tendu, mûr, séveux, l’ensemble démontre d’un beau numéro d’équilibre.
Beaucoup de relief dans les vins d’Eric Nicolas qui ne nous laissent jamais indifférents.
Un vrai remède à l’ennui...
Le soir : DS15,5/16 - LG13 - MS15 - 29/4/08 - cr par Miguel Sennoun
• Belle maturité du fruit, presque exotique, combinée avec des senteurs associées à la minéralité telle la coquille d'huître et un poil d'oxydation (rhum, pomme au four).
• Acidité très vive, pointue, presque mordante. La bouche est percutante mais présente une belle matière, dense, où l'on peut retrouver des arômes de tarte tatin.


Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière Vieilles Vignes Eparses 2005
100% Chenin - 14°
L’après-midi : DS15,5+ - PR15 - CD15 - 1/4/08 - cr par Philippe Ricard
• Robe jaune clair aux pointes dorées.
• Expression ambivalente : impressions végétales (asperge, radis, herbe mouillée) et richesse quasi exotique (ananas, rose) se mêlent sans retenue. Nez résolument à part.
• Bouche sphérique, déliée, expansive, offerte, jonglant entre la gourmandise d’un résiduel affirmé et un caractère plus exclusif, puissant. Finale étirée, épicée.
Un vin qui ne peut laisser indifférent.
Le soir : DS15,5 – LG(12) - MS13,5 - 1/4/08
Nez au caractère végétal forcené (asperge, germe de pomme de terre). Impression poussiéreuse et un soupçon de caramel. Etrange, en résumé (et certainement moins quand on découvrira le géniteur de cette cuvée personnelle sans compromission).
La bouche confirme ce caractère insolite. Elle est relativement alcooleuse, sucrée. D’un poids et d’une longueur certains, elle reflète un vin d’auteur encore plus difficile à juger sans connaître son origine. Pour les uns, sucre intrusif, dans un registre un tantinet vulgaire (genre pinot gris sucraillon, le cul entre 2 chaises) et profil bancal. Pour les autres, caractère et persistance. A associer à des asperges, probablement !

Laurent, as tu déjà gouté Calligramme 2005? pour le comparer avec VV Eparses.

Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière "L'Effraie" 2005
(Chenin 100%)
Le soir : DS15 - LG14,5
Intitulé blanc moelleux
Nez particulièrement mûr, pour des notes de fruits exotiques, de jus d’orange, couplées à un végétal prononcé (aspect assez discriminant pour trahir le domaine, même si d’autres pistes sont possibles).
Bouche gourmande, fruitée, faisant VT de pinot gris (n’étaient ces inflexions végétales soutenues). Etrange et plutôt bon.

Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière "L'Effraie" 2004
(Chenin 100%)
Le soir : DS14 - LG13,5
Intitulé blanc sec
Notes de végétal, d’agrumes, dans une minéralité crayeuse.
Bouche austère, manquant un peu de maturité des baies. Elle peut évoquer un Chablis.
Rappel :
7. Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière "L'Effraie" 2004 – 18/6/08
DS14 - LG14,5 - MS14
(100% Chenin)
Premier abord nettement végétal (asperge). Notes sous-jacentes de fruits blancs et de pamplemousse. On note également une senteur plus échevelée de germe de pomme de terre (comme dans vieilles vignes éparses 2005).
Bouche relativement dynamique malgré une pointe sucrée. Une personnalité « végétale » à adapter à table sur un plat idoine.

Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière "Vieilles Vignes Eparses" 2005
(Chenin 100%)
Le soir : DS16,5 - LG15,5/16
Intitulé blanc demi-sec
Senteurs orientées fruits blancs, craie, végétal. Belle maturité.
Matière tout en tendresse sucrée, bien plus dense que la cuvée « Effaie », se prolongeant sur des amers allongeant et complexifiant la finale (écorce de mandarine).

Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière "Vieilles Vignes Eparses" 2004
(Chenin 100%)
Le soir : DS15 - LG14
Intitulé Blanc sec
Notes singulièrement plus végétales de nouveau sur ce millésime moins riche : petit pois et aussi un petit côté chablisien (miel, croûte de St-Nectaire).
Matière autoritaire, effilée, proposant sans concession une nervosité qui peut surprendre.

Jasnières : Domaine de Bellivière "Les Rosiers" 2005
(Chenin 100%)
Le soir : DS14,5 - LG14
Intitulé blanc tendre
Notes de fruits exotiques, de beurre, de fumée, de clémentine (un peu pinot gris de nouveau) et un soupçon végétal.
Bouche gourmande, joufflue, dans une partition plus tendre sur cette appellation.

Coteaux du Loir : Domaine de Bellivière "Haut-Rasné" 2002 (50 cl)
(Chenin 100%)
Le soir : DS15 - LG15,5
Des senteurs passerillées (le domaine parle plutôt de terroir à botrytis ?!), un peu particulières, qui ne passent pas inaperçues : marc, raisin sec, résine, écorce d’orange, pomme, miel.
Bouche discrètement délurée, un peu sucrée, qui se déroule bien sur des goûts originaux possèdant un indéniable caractère.
Intitulé blanc demi-sec

Après 3 bteilles du Rouge Gorge 2004; je peux dire que je n'aime pas ce vin.
Il m'en reste 2 qui vont attendre sagement l'âge de raison parce qu'aujourd'hui ça manque de précision. Outre le côté 'frizzante' de l'attaque, c'est diffus et ne correspond pas à l'idée que je me fais d'un rouge ligérien. Le poivré ne m'a pas géné c'est plutôt l'absence d'autres notes bien distinctes.
Dommage, à retester.

Jeremie, tu n'es peut être tout simplement pas fan du Pineau d'Aunis...

Sinon, une autre chose, attention à la température de service (14/15°c), un peu chaud le vin devient caricatural.

Peut être Laurent, en fait je n'ai pas d'autre expérience avec ce cépage.

Concernant la température, le vin m'a paru brouillon à de 13°c à 18c°, c'est vraiment l'absence de note de fruit bien identifiable qui m'a dérangé.

Au prochain salon des vins de Toulouse, je vais voir si il y a d'autres domaines qui vinifient le pineau d'aunis.

Jérémie, je ne peux que te conseiller ce que je disais un peu plus haut : essaie le pineau d'aunis de Puzelat ou celui d'Emile Hérédia : si tu n'aimes pas, alors tu es allergique au cépage, ce qui n'est pas un drame.
Il y a aussi la cuvée Hommage à Louis Derré chez Bellivière, plus riche, plus complexe mais aussi plus chère, c'est un risque à prendre, peut-être. Je te conseillerais plutôt 2005 que 2004 .

Phil

Phil, je n'osais pas proposer à Jeremie d'essayer sur un autre millésime, car en effet 2004 est un peu austère...
Patrice Colin fait aussi un beau Pineau d'Aunis.
Avec Jull et Davido, nous en avons dégusté un très beau mais confidentiel du Clos Roche Blanche.

Salut Laurent,
j'avoue être un peu moins enthousiaste sur les rouges de Patrice Colin que sur ceux d'Emile Hérédia, plus friands et explosifs, quoique la cuvée Emilien Colin possède souvent beaucoup d'attraits ; je n'ai d'ailleurs pas encore ouvert mes 2003. Chez Patrice Colin, ma préférence va à sa cuvée Pente des Coutis, un chenin minéral à souhait, austère en jeunesse et qui gagne à vieillir quelques années en cave. Le 2004 était par exemple très prometteur à sa sortie courant 2006 (de mémoire).
Merci pour l'idée de Clos Roche Blanche, que j'aime particulièrement avec sa cuvée 100% côt.

Je me souviens, pour revenir à Rouge Gorge, que le 2003 explosait de fruits, et d'épices (comment faire autrement avec le pineau d'aunis ?), quand je l'ai dégusté en cours d'élevage. 2004 est plutôt un bon millésime à Jasnières, enfin, un millésime classique, moins difficile qu'à Montlouis-sur-Loire et Vouvray. Ils n'ont pas connu les pluies diluviennes qui sont tombées plus au sud. Pour les rouges, on est en limite septentrionale ce qui ne rend pas toujours la tâche facile aux vignerons pour rentrer des raisins mûrs, même quand on s'appelle Eric Nicolas.

Pour Jérémie et les autres LPviens qui ne connaissent pas encore bien Bellivière et sa gamme, il y a aussi les rosés (100% pineau d'aunis) "Giroflées" (demi-sec) et "Salamandre" (tirant vers le moelleux) étonnants. De jolis rosés de gastronomie, qui fonctionnent très bien avec des plats épicés et sucrés/salés (canard laqué, tajine, couscous, etc.)

Phil:)

Phil, as tu redégusté récement les vins de Patrice Colin?

Je trouve que ce vigneron travaille bien, moins de problème sur mes dernières dégustations qu'avec certains vins d'E Heredia...

Une originalité, son gris Bodin, dans des verres noirs, ne sachant ce que l'on déguste, une texture et une trame de vin rouge.



Après, cela ne se discute pas, on aime ou pas...

Pas tout récemment : dernière bouteille en date de Patrice Colin, il y a environ 6 mois, un Côteaux du Vendômois blanc 1995 (à l'époque en AOVDQS), que j'ai bien apprécié à table. J'ai encavé pratiquement toutes ses cuvées de 2002 et 2003 puis j'ai resséré à Pente des Coutis et Emilien Colin, les cuvées que je trouve les plus intéressantes pour une garde de quelques années. Et faut bien diversifier . Chez Emile Hérédia, je suis resté fasciné par ses 2002 et 2003. Ce fut un choc gustatif quand il est venu au salon de Groslay.
Mais ça fait quelques mois que je n'ai pas ouvert un coteaux du Vendômois, faut dire aussi que les coteaux du Vendômois sont en ce moment un peu inaccesibles dans ma cave :

Phil

Hommage à Louis Derré 2002

Bu hier
Pas de passage en carafe
Une belle robe pourpre aux reflets violets, Cristalline
Au nez une dominante d'épices: clou de girfole poivre surtout et gingembre
En bouche on retrouve le coté poivré qui domine, mais le vin manque d'ampleur de rondeur et de tanins. Une légère acidité un peu agressive et un très léger pétillant me font me demander si je n'aurais pas du le carafer. Fin de bouche un peu courte.
Je m'attendais à beaucoup mieux, la preuve il en reste ce qui me permettra de voir ce soir ce qu'il est devenu.

Bonjour à tous,

amateur de vin et lecteur de ce forum si passionnant, je me permet de vous faire part
de ma modeste réalisation photographique sur le domaine de Bellivière, géré par Christine et Eric Nicolas.
Les photos sont visibles à l'adresse suivante : vinophotos.canalblog...
En espérant que ceux qui ne connaissent pas ce domaine mais qui ont déjà gouté les vins, découvrent un peu ce qui
se cache derrière ! Merci d'avance pour vos commentaires.

Bien cordialement,

Olivier Blaise

Les photos sont superbes , bravo !

Stephane