Saint-Chinian 2001
Lundi 14 novembre 2005
JP14 – PP13,5

Goûté entre Mas aux Schistes (JP14,5 – PP14 – LG14,5) et Maghani (JP15,5 – PP15,5 – LG15,5+)

Et Robert Lala, enseignant au DNO, qui n'avait pas aimé cette expression.
Pas plus que (si mon souvenir est bon) les 12 autres dégustateurs du club toulousain "Itinéraire des Vins" présents.

Donc, au final : Jérôme/Luc : + 2 - LG/JP/PP/RL : - 4 !

Ma conclusion reste valable je pense !

www.lapassionduvin.c...

Terrasses grillées 2001 jugé "bon" dans ce contexte (supplanté par très bon et excellent).

Luc,

Dans quelle catégorie le situerais-tu désormais ?

pas la même bouteille, pas la même date, pas le même contexte comme tu le dis, pas le même temps de dégustation et d'ouverture... je note quand même que dans le classement général, ce vin est fort honorablement classé, surtout au regard de la liste d'excellence du programme. Je me souviens que justement que ors de cette dégustation, les avis étaient partagés au sujet d'icelui et franchement attribuer une moyenne à un vin qui partage est une gageure, même si nous avions dû nous plier à cette règle. Je me souviens qu'à cette dégustation Jancis Robinson l'avait beaucoup apprécié, d'autres beaucoup moins.

Comment comparer avec Mas aux schistes qui est un vin conçu pour être facile voire flatteur et surtout accessible très rapidement ?
Qu'est-ce qui est évalué ? la qualité intrinsèque, la typicité ?


Et Robert Lala, enseignant au DNO, qui n'avait pas aimé cette expression.

Pourquoi donc faire une telle précision ? Cela donne-t-il du crédit à ton avis ? Aimes-tu les expressions ariégeoise des vins que Robert Lala aide à produire ?

Petit rappel, ce vin n'avait pas vraiment été apprécié lors de la dégustation LPV: bertrand.leguern.clu...

J'ai volontairement rappelé l'encadrement du Moulinier, entre le facile Mas aux Schistes et le puissant Maghani.

Il est bien évident que le contexte a un rôle crucial.
Il est aussi intéressant de rappeler ici des vins dégustés il y a déjà quelque temps, pour comparer à la dégustation toute récente relayée par Luc.

Pas mécontent d'avoir écrit :
"A revoir sur un carafage plus poussé et au vieillissement (1998 nous avait laissés perplexes)."
Mon mail suivait ceci :
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Terrasses Grillées 1998
Envoyé par: marc de wolf (Adresse IP journalisée)
Date: lundi 18 juillet 2005 14:21:54

Bonjour,

Gouté à deux reprises ses derniers semaines avec des notes similaires.

Au nez: des cerises vers des prunes, légèrement animal, poivre et cannelle, une pointe d'acidité volatile, un fruité très profond. Plus de traces de bois. En somme un nez super flateur. Quel parfum.

En bouche: A la carafage le vin se présente dans un volume moyen et plutôt court. Un peu raide à cause des tannins avec une pointe de sécheresse. Des doutes s'installent. Après 3 heures avec le repas. Belle balance, acidité fine et s'exprime sur des notes balsamiques. De temps en temps un léger boisé ressort. Un fruité long et profond que j'aime bien. Un petit creux à la fin et une manque de longueur. Belle personnalité quand même. Je présume qu'on doit encore laisser vieillir ce vin pendant quelques années.

cordialement,
Marc
******************

Je reconnais à Robert Lala un talent de dégustateur rare. La qualité de son enseignement de l'analyse sensoriel est reconnu.
Je n'ai pas goûté ses vins depuis très longtemps mais je pense qu'il s'est engagé sur une voie exigente dans cette région.

J'ai apprécié déguster samedi soir à Bordeaux avec Xavier Copel, de Primo Palatum, même si je ne partage pas toujours ses avis ou n'apprécie pas sytématiquement ses vins.

Apprécié aussi déguster les Graves de l'ami Eric Fonta (Lehoul et Lehoul Plénitude 2005).
Une discussion animée a eu lieu sur les mérites comparés de Lehoul Plénitude 2005 et Pichon-Baron 2004, pas forcément cibles comparables pour les journalistes de la RVF.

Comme tu le dis : que juge-t-on au final ?

Bertrand,

Je constate, si je sais bien lire ton tableau, que je l'avais bien placé lors de cette dégustation, derrière l'intouchable Sine Qua Non, mais au même niveau que Reynard de Thierry Allemand et devant la Mouline de Guigal. Pas mal tout de même pour un vin qui n'a pas vraiment été apprécié...

"Donc, au final : Jérôme/Luc : + 2 - LG/JP/PP/RL : - 4 !
Ma conclusion reste valable je pense !"

Sauf que + 2 est obtenu sur 2 bouteilles différentes, tandis que ton - 4 c'est sur la même bouteille, probablement défectueuse...

"Dans quelle catégorie le situerais-tu désormais ?"

Assurément très bon à excellent !

Luc

Petit rappel, ce vin n'avait pas vraiment été apprécié lors de la dégustation LPV:

Merci pour ce rappel, Bertrand

Tu as aussi écrit dans la rubrique concernée :

Insuffisant, il faut au moins 24heures, et alors inutile de carafer, ouvrir, goûter et reboucher suffit.

tandis que ton - 4 c'est sur la même bouteille, probablement défectueuse...

Va savoir ...

Je pense plutôt que le vin n'a pas été assez aéré (ces gôuts lactés) !

Il y a aussi ce taux d'alcool pronoàncé mais on sait que l'air a aussi une incidence sur les critères gustatifs !

Tout cela est au final in-reproductible (merci Héraclite) !

"Très bon" maintenant et "excellent" dans 5 ans ?

Je constate, si je sais bien lire ton tableau, que je l'avais bien placé lors de cette dégustation, derrière l'intouchable Sine Qua Non, mais au même niveau que Reynard de Thierry Allemand et devant la Mouline de Guigal. Pas mal tout de même pour un vin qui n'a pas vraiment été apprécié...


Où l'on voit que description et évaluation sont parfois un peu difficiles à relier ...

C'est à dire ?

Luc

Je rebondis à la remarque de Bertrand, son tableau évaluatif (pas descriptif).

Si je lis bien :

Rang 5 pour Reynard
Rang 8 pour Mouline
Rang 18 pour terrasses grillées

Ce qui fait que je ne comprens pas bien d'emblée le sens de ton propos, Luc :
derrière l'intouchable Sine Qua Non, mais au même niveau que Reynard de Thierry Allemand et devant la Mouline de Guigal. Pas mal tout de même pour un vin qui n'a pas vraiment été apprécié...

Je parle de mon évaluation personnelle où j'ai placé, dans la série syrah (les comparaisons entre les différentes séries n'ont à mon sens pas lieu d'être), Sine Qua Non en tête, Reynard et Terrasses Grillées en seconde position, devant la Mouline de Guigual.

Je pense donc que ma description est conforme à mon évaluation.
Le rang, qui est une moyenne, ne m'intéresse pas.

Luc

Luc,

Ah, ces ficelles ...

www.lapassionduvin.c...

Tu es individuellement, et localement, cohérent, en effet !

aucune ficelle là-dedans, si tu avais lu correctement depuis le début, on aurait éviter une longue suite de messages inutiles.
Luc a aimé ce vin les deux fois où il l'a goûté. Son commentaire est en phase avec celui que j'avais fait naguère. Je l'ai moins apprécié lors de cette dégsutation de Saint Emilion, ne l'ai pas reconnu, mais j'ai aussi peu apprécié Ridge Montebello, pourtant bien classé ...
Si un vin est noté par deux dégsutateurs respectivement 2 et 18, même si la moyenne fait 10 il est bien évident qu'elle ne représente absolument pas le sentiment des dégustateurs ni la valeur de ce vin qui est soit génial, soit nul, mais tout sauf moyen. Navré de rappeler de telles évidences.

Si un vin est noté par deux dégsutateurs respectivement 2 et 18, même si la moyenne fait 10 il est bien évident qu'elle ne représente absolument pas le sentiment des dégustateurs ni la valeur de ce vin qui est soit génial, soit nul, mais tout sauf moyen

Surtout si c'est un vin jaune ...

Domaine Moulinier – Terrasses Grillées – Saint-Chinian 1998
La robe ne s'est pas encore départie de ses atours de jeunesse et nous invite à venir humer ses parfums. Et c'est là que je suis pris d'une furieuse envie de m'écrier putain, quel nez ! Je suis cependant rapidement remis sur le droit chemin par ma voisine de table qui me rappelle qu'une telle exubérance (je parle du nez, pas de moi), qu'une telle explosion de parfums et de plaisir immédiat ne peut s'accommoder avec l'éducation judéo-chrétienne qui a été la nôtre et qu'un minimum de retenue serait de bon aloi. Tout ce la pour dire qu'elle le trouve un peu too much ce nez de fruits noirs, d'épices poivrées, de girofle, de violette, de truffe, avec ses notes grillées et torréfiées. Moi j'aime ça et j'irai faire pénitence dès demain. La bouche fait quant à elle l'unanimité car sa grande fraîcheur lui évite toute lourdeur, son soyeux de texture, son équilibre et sa longueur, tous de haut niveau, finit de me convaincre qu'on se trouve en face d'une superbe bouteille.

Luc

Domaine Moulinier, Saint-Chinian, Les Terrasses Grillées 2000

La robe est sombre, très peu évoluée.

Ouvert 24h à l'avance et mis à l'épaule, le vin passe par des phases très différentes.

Dès l'ouverture le nez est assez formidable, relativement complexe, sur les fruits noirs (myrtille, cassis, mûre un peu confiturés) et les épices tout d'abord, puis part sur des arômes davantage chocolatés, accompagnés par des notes fumées et de tabac.

En bouche à l'ouverture, le vin paraît un peu déséquilibré, assez velouté avec toutefois des tannins présents et serrés, mais léger avec un certain creux en milieu de bouche. C'est relativement long, avec une rétro sur le côté jus de viande / notes fumées.

24 heures plus tard, la bouche est bien plus consistante, avec une une matière qui paraît plus présente et un belle trame acide qui évite toute lourdeur.

Une bouteille un peu compliquée à appréhender tant elle passe par des phases différentes, mais le bonheur est au bout du chemin! L'aération lente sur 24 heures m'a semblée particulièrement bénéfique pour ce vin qui paraît proche de sa maturité.

J'ai adoré le nez de ce vin, la bouche m'a également séduit mais me semble moins exceptionnelle.

Mathieu

Domaine Moulinier, Saint-Chinian, Sigillaires 2000 : belle évolution pour ce vin parfumé et élégant, sans lourdeur.
Bon équilibre.
C'est remarquable comme le recul dans ce sujet permet de juger mieux ce domaine. Ce sont des vins qui demandent du temps et de une longue aération.

Domaine Moulinier, Saint-Chinian, Les Terrasses Grillées, 2001
Un grand vin racé;long;séveux....équilibre magistral;certainement à son apogée en ce moment et encore pour de nombreuses années mais carafage de quelques heures(3à4) très recommandé.
Terrasses grillées 1999:idem mais bien plus évolué;notes de pruneaux;de gibier;mais cependant tient encore la route malgré le carafage (3heures).A mon avis la carafe n'est pas indispensable;le vin est très puissant mais révèle une belle texture qui lui permet d'être apprécié tel un bon chateauneuf du pape sur toutes sortes de gibiers ou ovins en sauce par exemple....
Terrasses grillées 2000:pas encore goûté mais pour bientôt...
Sigilaires 2003:bon vin,texture satinée,un saint chinian qui est moins dans le registre de la puissance mais qui possède une touche que les autres non pas.Superbe rapport qualité prix,une fois goûté vous n'avez qu'une envie:passer aux terrasses grillées...

En bref un domaine qui mérite d'être mieux connu;le saint chinian est une appellation qui se cherche encore un peu;peut-être du à l'image des petits vins de la grande distribution.
Une fois goûté ce vin chez mon caviste;je n'ai pu m'empêcher d'en acheter...surtout qu'il possédait les millésimes 99;00 et 01!

Les vins de ce domaine ont pour caractéristique (pour les TG leur grande cuvée) d'une part une qualité de grain parfois assez exceptionnelle (et que l'on qualifierai de septentrionnale..) et d'autre part de ne se livrer qu'avec le temps pour la grande cuvée... TG 1999 est encore très jeune quant à 2001.... seul 94 voir 95 se livrent bien, 96 me semble plutôt sur la phase descendante... les sigillaires 2003 sont effectivement d'un rapport qualité prix remarquable. L'an dernier elle se goutait fort bien avec des notes de fruits rouges/notes fumées de shistes, qq notes mentholées, un équilibre "solaire" sans déséquilibre alcooleux (un peu comme un bon 98). Par contre autant sigilaires/tradition sont assez représentatif de l'appellation saint-chinian autant les TG me semblent plus un vin de vigneron... dont le potentiel est très difficile à cerner y compris pour des amateurs/professionnels n'ayant pas l'habitude du domaine et le recul des "vieux" millésime... trop de bois et trop fermé sont les reproches qui lui sont faites jeunes... il suffit de savoir attendre/carafer... grand vin de garde....

CR:Dégustation chaotique avec les Sigillaires 2005 récemment...

A l'ouverture, un nez relativement séducteur, sur le pain grillé, le moka, un peu de fruits noirs, de prune. La bouche surprend par son côté (très) sévère, sur des notes de torréfaction, grillé, voire de goudron, un fruit totalement absent, beaucoup d'amers en finale. On pense à un élevage mal maitrisé (problème de chauffe des barriques). En l'état, aucun plaisir à le boire, donc je le laisse s'aérer dans la bouteille.

Revu au bout d'une demi journée, peu de choses ont changé, toujours cette impression d'avoir fait tremper du charbon de bois dans le vin.

Après 24 heures, ça va mieux, le côté goudronné s'est atténué. Ce n'est toujours pas une bombe de fruit, mais c'est agréable à boire, toujours sur des notes grillées et une bouche un peu viandée. Le nez est très joli, la bouche est moins dure, plus expressive, plus longue.

36 heures après l'ouverture, il a retrouvé les qualités que l'on en attendait : même si l'élevage est toujours très présent, on a maintenant une bouche longue, soyeuse et fruitée, mais que ce fut long à venir...

En bref, cette dégustation confirme ce qui est répété à l'envi dans les pages précédentes : ce sont des vins qu'il ne faut pas avoir peur d'aérer longtemps, et de suivre dans leurs différentes phases...

Ma première rencontre avec ces Sigillaires 2005 était dans une dégustation comparative, où il s'était bien entendu fait détruire - c'est un peu là la limite de l'exercice, mais il est vrai que l'amateur pressé aura la même impression. Dans sa version "36 heures plus tard", on tient par contre un joli vin, au bon rapport qualité-prix (payé 9€ chez mon caviste d'Amsterdam).

Mathieu

Egalement dégusté récemment, mais sans prendre de notes, d'où des souvenirs plus flous, le Saint-Chinian rosé 2006 de chez Moulinier.

De mémoire, un vin qui m'avait bien plu, avec un nez distingué aux arômes miellés, floraux qui évoquait davantage un vin blanc qu'un rosé, et une bouche bien construite. Bu sur des tartines chaudes à la mozarella et aux figues rôties au thym, il les accompagnait très agréablement.

Mathieu

Domaine Moulinier, Saint-Chinian, Les Terrasses Grillées, 2001

il lui aura fallu 24h de carafe pour enfin s'exprimer pleinement:

le nez est très typé épices,herbes aromatiques,auxquelles viennent
s'ajouter les fruits noirs,le cacao et enfin des notes empyreumatiques sur le caoutchouc
et la réglisse à l'agitation.

La bouche est veloutée à souhait,d'un grain fin,elle retrouve une partie du registre
aromatique du nez avec les herbes,les fruits noirs mais aussi la liqueur d'orange
(type grand marnier ),lui donnant ,il me semble un petit caractère commun avec
Montcalmès 2005,toute proportion gardée!
La finale est agréable,fondue,mais me semble souffrir d'un léger manque de
persistance.

Quoiqu'il en soit il s'agit d'une très belle bouteille,qui nécessite un peu de préparation,
mais les précédents posts m'avaient bien orientés sur la conduite à tenir.
Je ne regrette vraiment pas cet achat,surtout au prix auquel il est possible
de la trouver (n'est-ce pas Luc!).

Bonnes dégustations à tous,

Fabrice.

Il fallait en choisir une (bouteille) pour accompagner le dîner de ce soir. Elle me faisait de l'oeil depuis quelques jours (toujours la bouteille) - et étant deux à table - il me semblait un peu exagérer de lorgner sur les grandes soeurs (les magnums du même millésime) l'élue fut donc : Saint Chinian - "Les Terrasses Grillées - Domaine Guy Moulinier 2000.

Robe dense carmin - pas ou peu de traces d'évolution - Nez sur les fruits noirs bien mûrs, les épices, un coté légèrement tabac, qui va aller progressivement vers des notes légèrement confites - Bouche à la fois tendre et massive, les tanins commencant à se fondre, les fruits confits ressortent, un très léger creux (mais pas franchement dérengeant) en milieu de bouche, mais qui me fais plus penser à une mi-temps d'un match ou les deux équipes (puissance & fraîcheur) se battent pour savoir qui l'emportera. Une belle longueur sur les prolongations et une finale toute en rondeur Résulat du match : Egalité - je pense qu'il faudra rapidement un match retour. TRES BIEN

ERIC

C'est du Coluche de pouvoir faire match nul avec une seule équipe ! Et la différence entre un pigeon est .... ?

Bonjour Anthony,

La différence entre un pigeon est... ?

Trop facile, la réponse est.... Le Pigeon !

j'ai juste voulu assosicer comme équipes : La fraîcheur & La puissance.

ERIC

je me rappelle qu'un fou/dingue/délicieusement passionné et généreux donateur nous avait concocté une verticale de ce cru
merci encore, c'est pourquoi j'ai acheté du 2001 ()

Ouverte et servi au cours de notre déjeuner de ce Dimanche 2 aout 2009 -

Saint Chinian "Les Terrasses Grillées" - Domaine Guy Moulinier 1995.

Robe d'une belle intensité avec des prémices d'évolution vers des teintes légèrement orangées - Nez jouant sur des accents rhodaniens, des épices, des fruits noirs, une pointe d'olives et des garrigues, un aspect également floral - Bouche d'une belle fraîcheur et d'une rondeur ou les notes épicées avec un soupçon de notes de truffes noires, c'est d'une très belle longueur et ne fait pas du tout son âge. Encore un beau potentiel de garde pour ce flacon, qui m'a ravi au cours du repas. Cela sera intéressant et amusant de la mettre en pirate au milieu de Côtes Rôties. TRES BIEN ++

Eric

Galinsky écrit: Cela sera intéressant et amusant de la mettre en pirate au milieu de Côtes Rôties.

Nous l'avons fait sur le millésime 2001 en 2005, dans notre dégustation à Saint Emilion, il y avait la Turque, mais aussi un Cornas de Thierry Allemand et surtout Sine qua non qui a survolé la dégustation. Sur ce millésime, le côté sud ressortait quand même, mais le vin n'a pas démérité. Je me rappelle de ce 1995, dégusté au domaine, carafé longtemps à l'avance et qui était remarquable.

Bonjour Jérome,

Intéressant et instructif

Eric