Robe jaune paille légèrement grisé.
Nez tout jeune bien positionné, sur une générosité florale assez insistante enroulée dans un boisé fumé présent mais pas vulgaire.
La bouche est moins à mon goût, légèrement replète par une petite sucrosité rondouillarde qui prend le pas sur l'acidité et qui, alliée à une aromatique froufroutante, crée un point saturant assez rapidement accentué par le réchauffement dans le verre.
La finale est douce mais sans chaleur.
A attendre peut-être pour tempérer son aromatique primaire ou servir bien frais afin d'en profiter à l'apéritif.
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Robe bordeaux violet très profonde.
Nez assez difficile car le fruit primaire, sur la gelée de cassis, est écrasé par un boisé caramélisé peu élégant.
Bouche linéaire, à la fois concentrée et brute mais manquant de définition, monobloc et linéaire, avec des éléments trop dissociés qui créent un effet tapageur peu compatible avec mon palais de jeune fille.
Le boisé caricatural et écœurant et des tanins amers obèrent l'envie de se resservir.
Je n'ai pas du tout aimé.
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Robe cristalline, sur un jaune très léger.
Nez sympathique, sans le boisé perçu hier, plus pur, sur des notes florales et minérales, sur la coquille d'huître.
Bouche riche, avec une sucrosité légère qui empâte le palais à l'excès par son manque de tension.
Finale florale mais trop lourde à mon goût pour appeler la soif.
Pas à mon goût mais plutôt bien fait.
Robe sur un doré léger.
Nez opulent, sur la guimauve, des notes puissantes de fleurs blanches et de vanille.
Bouche riche, glycérinée par sa texture épaisse mais molle de trame et manquant de tenue et de relance par un déficit d'acidité.
Finale riche et roborative.
Pas fan.
Robe sombre, presque noire.
Nez marqué par un élevage massif, sur le caramel au lait qui masque totalement des senteurs de fruits noirs.
Bouche aussi peu à mon goût qu'hier, à la fois puissante et concentrée, sans dureté mais corpulente et à l'aromatique épuisée par un boisé caramélisé lourdaud.
Finale brutale avec beaucoup d'amertume.
Je n'aime pas du tout.
Robe sur un saumoné profond.
Nez amylique, sur le bonbon anglais, la gelée de groseille.
Bouche à l'équilibre demi sec à doux, sur des goûts de fruits rouges et une texture d'une grande viscosité qui, alliée à un côté sucrailleux limite la buvabilité.
Finale roborative et un peu vaporeuse.
Curieux équilibre, pas à mon goût.