Nez puissant de fruit, de pruneau.
En bouche, c'est rond, gras, et fort gout de pruneau séché, puis une finale passablement longue mais pas des masse complexes.
Mon médecin m'a prescrit ce médoc avec un petit verre d'eau. Parfait, les assemblages bordelais sont composé de petit verdot.
Ce vin, assemblage de Merlot et Cabernet-Sauvignon (proportions non précisées), fait un petit passage de 4 mois en füts de chêne.
Un vin à la robe très foncée, presque noire, teintée de reflets violets.
Le nez dévoile des arômes de fruits rouges et noirs, et de tabac.
En bouche, il se montre très équilibré, très fin, fruité et épicé; bien que très court, c'est frais et bien charpenté, et accompagne très bien quelques tranches de gigot d'agneau.
Un vin simple et bien fait à petit prix (5€ de mémoire).
Viñas del Vero, Somontano rouge 2012. Nez bien mûr, léger poivron grillé, un brin d'élevage. Bouche simple, fruitée, solaire et digeste. Bon rapport qualité-prix pour cette entrée de gamme.
Mon ami avait une vigne, sur un coteau fertile. Il la bêcha, il l'épierra, il y planta du muscat. Au milieu il bâtit une tour, il y creusa même un pressoir. Il attendait de beaux raisins : elle donna du verjus. (lsaïe, "Le chant de l'ami", 5, 1-7)
Viñas del Vero, Somontano Chardonnay 2013 Nez complexe, intense et virevoltant à base de poire, pêche, banane, jasmin et légèrement iodé.
Bouche bien équilibrée, globalement en accord avec le nez. Longueur moyenne. Fond de verre légèrement iodé et assez mielleux. Un beau vin pas simplet.
Mon ami avait une vigne, sur un coteau fertile. Il la bêcha, il l'épierra, il y planta du muscat. Au milieu il bâtit une tour, il y creusa même un pressoir. Il attendait de beaux raisins : elle donna du verjus. (lsaïe, "Le chant de l'ami", 5, 1-7)
Viñas del Vero, Somontano Miranda de Secastilla 2016
A l'ouverture, le vin est couvert d'un vanillé écoeurant, je referme la bouteille et remets ça au lendemain.
Le vin se présente alors comme légèrement rustique, avec des notes fruités peu lisibles, mal définies...
Un vin qui m'avait plu il y a quelques années et que je ne trouve pour le coup pas terribile du tout ici.
Mon ami avait une vigne, sur un coteau fertile. Il la bêcha, il l'épierra, il y planta du muscat. Au milieu il bâtit une tour, il y creusa même un pressoir. Il attendait de beaux raisins : elle donna du verjus. (lsaïe, "Le chant de l'ami", 5, 1-7)