Les vins :

Côte Rôtie Les Méandres
Côte Rôtie Côteaux de Bassenon
Côte Rôtie Côte Rozier
Condrieu

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Domaine Guy Bernard, Côte-rôtie les Méandres, 2010
J'avoue que c'est le prix qui m'a fait acheter ce flacon chez mon caviste préféré. Le terroir, le millésime associés à un prix de 22€, franchement c'est tentant non !
Il s'agit de la "générique" du domaine, aérée 3 heures.
Disque à peine teinté sur un Bouchon comme neuf. Les larmes ne tiennent pas sur la paroi du verre. La robe est d'un rouge clair, presque rubis, limpide.
Le nez fait ressortir sans puissance un côté animal, un peu de réglisse. Je cherche le poivre, l'épice, le fruit qui caractérisent tant le terroir, sans trouver. Subtil, léger mais néanmoins assez charmeur...
La bouche n'est que florale, d'une belle fraîcheur soutenue par une franche acidité. C'est tendu, ciselé, plutôt plaisant mais ou est la matière, la mâche, l'acidulé, la longueur d'une côte-rôtie ?
A l'aveugle j'aurais plutôt parié me situer sur un sentier bourguignon ou d'un beau beaujolais.
Je suis donc déçu par la légèreté de ce flacon, mais le tout est bien fait. Une future dégustation de ses "grandes" soeurs s'impose.

Domaine Guy Bernard, Côte-rôtie les Méandres, 2007

Bu hier soir : après une ouverture de 2 petites heures le vin se montre très expressif sur de jolies notes d'épices, de gibier, fruits rouges et de réglisse.
La bouche est bien ouverte, sur un ensemble moyennement complexe mais de belle facture. En finale, on retrouve les notes d'épices et de fruits rouges(groseille entre autre) assimilé à belle tension, j'aime bien(tu)

Salutations vineuses,

Christophe

Domaine Guy Bernard, Côte-rôtie les Méandres, 2007

Bue la même bouteille que Christophe ce WE
bouteille ouverte au débotté ...

le nez est joli, sur des notes de poivre et de fruits rouges
par contre la bouche est très serrée, voire même fermée à double tour
le vin est mis de coté
le lendemain il seprésentera beaucoup mieux, avec un beau toucher de bouche et une belle longueur en final
Bien +

Domaine Guy Bernard, Condrieu, Bassenon 2012

Bouteille débouchée pour l'apéro de vendredi soir ; c'est une véritable explosion aromatique bien typée viognier avec de la violette, du fruit blanc. En bouche c'est puissant et gras, ce qui manquent souvent aux VDP 100% viognier.
L'élevage apporte beaucoup d'élégance et de netteté à ce très joli vin.

Eminemment torchable pour les amateurs de condrieu.

Domaine Guy Bernard, Côte-Rôtie Côte Brune 2017

Nez assez ouvert et assez classique de cote Rotie. La bouche est veloutée et fraiche à la fois, les tanins très soyeux. C'est très primaire en l'état mais avec de la profondeur et une belle longueur. Et il s'est révélé largement le meilleur de la mini série dégustée (Maison rouge Duclaux 2017 et Cote Brune Barge 2014). C’est une très belle découverte d’un domaine que je ne connaissais pas, je pense d'ailleurs qu'il s'agit d'une nouvelle cuvée .. à suivre

Cote-Rotie 1998

Bouchon parfait, quasi pas imbibé. La robe est claire translucide avec de jolis reflets orange. Très joli nez de fleurs séchées, c'est floral avec une note douce, on trouve encore un peu de cerise. En bouche, le fin est léger toujours la cerise, des notes de violettes, de garrigue et d'épices douces. Finale correcte pour un vin de cet âge mais sans plus. Il aurait fallu boire ce vin il y a 10 ans mais son propriétaire ne se souvenait plus qu'il en avait encore...

Domaine Guy Bernard, Côte-rôtie 1988
 Carafé 12h

Le beau terroir de cote rôtie s'exprime avec cette cuvée de bien belle tenue.

Aromatique légèrement lardé, notes de mûre
Très jolie matière sphérique, au toucher de bouche 'velours'
Belle persistance aromatique.

Plutôt excellent
Plutôt à boire 

BU ICI
Domaine Guy Bernard, Côte Rôtie, Les Méandres, 2014
Pour moi ce vin a un défaut. Dans la vallée du Rhône… comme dans un WE de chassé croisé, ça bouchonne !
Honnêtement ça ne tue pas complètement le vin qui reste tout à fait lisible dans son registre. Il est d’ailleurs plus pénalisé par un élevage hyper appuyé que par le TCA. C’est mûr, riche et bien boisé, texture hyper soyeuse, c’est très, trop, travaillé.
Un vin fait pour plaire au plus grand nombre mais pas sûr que la matière (qui semble bien présente) puisse un jour absorber cet élevage.
Pour amateur du style, ou, à revoir dans 10 ans
Marc