Les tribunaux et les huissiers sont là pour ça. écrit:

tu peux envoyer 200 huissiers, ils n'ont pas les bouteilles.... et ne les ont jamais eues
et pour avoir les quantités escomptées ça va être difficile maintenant

C est decide !! je commande les Yquem 2012 sur 1855, ca permettra de payer les avocats, de livrer les 2008, de renflouer la societe, de faire le bonheur de actionnaires et de nourrir les enfants des employes ...

Olivier

totalement faux. Une société peut être condamnée de multiples fois, le principal c'est qu'elle ait les moyens de payer.

Effectivement, c'est le principal. Je dirais même plus, c'est le problème principal.
Je pense que si elle avait les moyens de payer les astreintes importantes auxquelles elle est de plus en plus régulièrement condamnée, elle aurait aussi les moyens de payer les vins en attente, sans passer par la case tribunal, où elle perd systématiquement.

Les tribunaux et les huissiers sont là pour ça.

Elle est bien bonne mon petit jujuguigui (quel pseudo ridicule !). Ce sont les tribunaux et les huissiers qui vont se mettre à la recherche des bouteilles manquantes ?

Pour le reste, si tu ne veux pas qu'on te prenne pour un troll, tu ferais bien de te présenter.

Luc

jujuguigui écrivait:
---[size=small]

---

Réfléchissez un peu avant de traiter les gens de trolls et voyez qui dit des choses sensées. Je souhaite toutes les condamnations possibles et imaginables contre 1855, mais pas une faillite car ce serait des dommages multilatéraux. Pour mémoire, certains clients n'ont pas reçu leurs .... 2008. Or, en 2009, tout le monde n'était pas informé comme aujourd'hui des turpitudes de cette boite. On peut être actionnaire de 1855 depuis son introduction en bourse, sans savoir dans quelle daube on investissait. Enfin on peut être salarié de 1855, tout simplement parce que par les temps qui courent il n'est pas plus mal de nourrir des enfants.
Bien Cordialement.[/size]

"Pour mémoire, certains clients n'ont pas reçu leurs .... 2008"
Encore faudrait il etre sur que tous les Primeurs des années antérieures aient pu etre livré !!

Or, en 2009, tout le monde n'était pas informé comme aujourd'hui des turpitudes de cette boite
Les rumeurs , fondées, agitent le web et les milieux professionnels, au minima depuis 2006. Encore faut il chercher l'information

On peut être actionnaire de 1855 depuis son introduction en bourse, sans savoir dans quelle daube on investissait
La bonne affaire devrait toujours faire réfléchir les investisseurs !!!

Ayant été en partie grugé par cette société sur des primeurs 2005, livré avec des arrivages venant des quatre coins de l'héxagone. Remboursé sur le reste, après avoir fait le siège de cette société à de multiples reprises, et n'ayant pas pu voir le meme interlocuteur lors de l'une de ces visites !!
Je pense savoir une connaissance des pratiques pseudo-commerciales de XXXX;com

Des sociétés beaucoup plus honnetes, prennent le bouillon pour moins que cela !

Claude

Les huissiers ne vont pas aller chercher des bouteilles, mais des sous.
Désolé si le pseudo est ridicule, mais un pseudo est rarement intelligent :-)
Je me suis déjà présenté, mais je ne sais plus où ... Julien, 42 ans, amateur de vin, surtout de blancs nordistes et effervescents. Je parcours régulièrement le vignoble en compagnie de mon épouse. C'est directement chez le producteur que je fais, généralement mes achats.

jujuguigui écrivait:

> Enfin on peut être salarié de 1855, tout
> simplement parce que par les temps qui courent il
> n'est pas plus mal de nourrir des enfants.

Faut arrêter en permanence avec le chantage à l'emploi. Et si j'étais salarié de 1855 compte tenu de ce qui s'y passe ca ferait belle lurette que j'aurai cherché ailleurs ou négocié un départ, ne serait-ce que pour mon avenir professionnel ou ma réputation.

Les huissiers ne vont pas aller chercher des bouteilles, mais des sous. écrit:

si tu avais lu ce qui est écrit (un pavé je te l'accorde) tu verrais que ça ne devient important que lorsque l'on est certain de ne pas être livrés, donc pour 2008...
et surtout ce qui est important pour beaucoup est que quand tu achètes en primeurs, tu es censé payer ton vin moins cher que lors de sa sortie, donc si tu dois en racheter tu dépenses plus (en théorie) et ce "préjudice" là n'est pas pris en compte
donc en pratique 1855 a eu ton argent pendant xxx années et toi tu carbures à sec

Mais un Huissier intervient sur le base d'un jugement qui, s'il est correctement prononcé (ou correctement amené) prend en compte tous ces préjudices à réparer. Mais enfin le sujet initial était juste de dire qu'il vaut mieux que 1855 reste in bonis pour le bien de pas mal de monde, y compris des clients lésés.

Je connais personnellement un monsieur qui a toujours commandé ses jolis flacons via cette société de vente de vin par correspondance et achat en ligne 18.5.com. Il a toujours reçu ses colis en temps et en heure. Donnez au moins une seconde chance à cette firme. Personnellement, j'aime plutôt allez chez le petit récoltant qui reçoit avec son fusil de chasse.

Je connais personnellement un monsieur qui a toujours commandé ses jolis flacons via cette société de vente de vin par correspondance et achat en ligne 18.5.com.

C'est le beau-frère du sémillant PDG ?

Donnez au moins une seconde chance à cette firme.

Ca me rappelle furieusement quelque chose...

Non le beau frere c est celui au fusil.

mgtusi écrivait:

---

> Donnez au moins une seconde chance à cette
> firme.
>
> Ca me rappelle furieusement quelque chose...

Moi aussi...
Cela étant dit, on a affaire ici au retour d'un de nos trolls favoris, inutile de répondre.

Luc

Ces trolls vont finir par se marier, avec un bon cadeau de XXXX X(

Claude

Le chantage à l'emploi, une vieille méthode.
Mais combien d'emplois ont couté les pratiques de 1855 ?
Combien d'entreprises ont été gênées dans leur développement à cause des pratiques de 1855 ?

+
Philippe - LPV Lyon

Voilou, cette histoire aura fait parler pas mal de monde, et bien fait rigoler (jaune parfois) les LPViens que nous sommes... l'article avec les images (pour ceux qui aimaient les coloriages étant petits, et qui ne lisent que des livres illustrés...) en cliquant sur le titre.



Entre la politique du prix "toujours plus bas" et celle du prestige de l'étiquette, il y a un gouffre. Et ce gouffre est suffisamment important pour y accueillir quelques faits divers. Ainsi, il y a quelques jours, le tristement célèbre site 1855.com (voir notamment les plus de 130 pages du forum LPV à ce sujet) proposait à ses internautes de réserver des bouteilles d'Yquem 2012... La météo ayant été plus profitable aux chasseurs d'escargots qu'aux raisins du sauternais, Pierre Lurton et consort avaient malheureusement trouvé mieux à faire que d’envisager d'embouteiller un vin dont le prestige ne peut s'affranchir de l'excellence qui en fait sa substantifique moelle. Comme en 1952, en 1972 et en 1992, il n'existera donc pas de millésime 2012 d'Yquem, "comme si tous les 20 ans il y avait une malédiction".

Alors, 1855.com, joueur de bonneteau ou pas ? Dans un droit de réponse, le site s'explique de façon laconique, privilégiant la piste du journalisme d'investigation, en tenant au courant minute par minute sa clientèle sur l'arrivée prochaine du messie à l'étiquette dorée. Oui, et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier alu... Faudrait quand même pas prendre les gens pour des saucisses ! C'est comme si on voulait nous faire croire, que Bernard de La Villardière était mandaté par l'AFP, pour une enquête de la plus grande importance, quand il se balade sur les plages de Cancùn, au milieu de fessiers bronzés, empaquetés dans des maillots relevant plus de la ficelle à rôti que du rayon textile...

Plutôt que d'épiloguer, sur cette affaire à l'image des dérives mercantiles de tous bords : Quand le scanner pour code-barre, remplace le sourire instruit du professionnel... Je préfère tourner mon regard vers 2013... (non, je déconne, vu le temps islandais qu'on s'est payé ces derniers temps, faudrait vraiment être certain que Monsieur le soleil ait épuisé tous ses RTT, pour que des gouttes d'or bordelaises, estampillées 2013, remplissent nos verres un jour)

Par contre, je me réjouis, qu'en ces jours de renouvellement de mon capital de vitamine D, mon caviste ait eu la bonne idée, d'aligner sur ses rayonnages quelques 2012 bien sentis. Quelques divins breuvages, ne s'arrachant pas, la bave aux lèvres, le doigt suant sur cette détente libératrice, "clic" sensé ouvrir les portes du paradis pinardier. Mais dans cette course à l’échalote, si le code-barre y trouve une place de choix, pas sûr que le vin en sorte grandi. Et, la schizophrénie s'emparant de certains, pour quelques billets verts de plus, n'augure rien de bon, tant que l'on reste dans son sillon.

Gardons tout de même un regard, vers ce monument qu'est Yquem, car si celui que Frédéric Dard qualifiait "d'apothéose du goût" venait à croiser le chemin d'une tablée, ou d'un simple verre à partager, s'y installer, serait gage d'un souvenir pour l'éternité. Hypothèse avortée en cette année 2012, mais s'y attarder, dans un paysage vinique comme le nôtre, serait une véritable ineptie...

C'est pourquoi je vous incite à changer de piste un moment ou plus, pour partager la simplicité de quelques bouteilles, si douces et enivrantes... car elles laissent le temps, aux siroteurs d'instants, de les admirer au présent, sous toutes leurs coutures. Ainsi, les quelques rayons de soleil, aussi inespérés qu'inattendus, qui ont pris mon bronzage en flagrant délit de sale gueule, m'ont permis de déboucher quelques humbles flacons du pays. Notamment, cet Arbalète et coquelicots, le "petit" vin de Jean-Baptiste Sénat... Un grenache assouplit d'une touche de cinsault, pour livrer un parfait jus de cerise. Innocente gourmandise enfantine qui vous éloignera un instant du brouhaha des caisses enregistreuses de ce web, dont l'image est à la poésie bacchique, ce que la flûte à bec d'un collégien est à la musique classique. Et dans cette lente étreinte audoise et printanière, sentant le fin regard coquin d'un flirt épicé poindre au dessus de mon verre, je laisse à mes lèvres le soin d'user de l'instinct amoureux qu'elles ont pour ces instants gourmands. Le cœur ne bat pas seulement dans l'ivresse des grands moments, discret, il sait aussi prendre la mesure des petits plaisirs jalonnant le quotidien.

Extrait de l'invitation de Colruyt à la dégustation" primeurs 2012":

Notez que la baisse des prix amorcée l'an dernier, surtout pour les Grands Crus Classés, se confirme cette année, c'est donc le moment d'en profiter !

jlj

A lire !

www.thedrinksbusines...

Un bilan de la campagne à Bordeaux :

sud ouest.com

Les négociants sont réalistes et avaient, pour la plupart, averti du danger des prix trop élevé, dommage que seule une dizaine de chateaux ai joué le jeu.
On verra dans 1 an ce qu'ils feront des tarifs du 2013, quelque soit la qualité (même si pour le moment, vu la météo, ça part plutôt mal), mais je suis pas certain que les négociants survivront à 2 années de très mauvaises ventes et ils pourraient alors dire aux châteaux de garder leurs caisses de vins invendables au prix fixé par le château.

A noter que, si les histoires d'échantillons arrangés restent présentes jusqu'au moment des primeurs 2013, ça risque d'être encore plus dur que ça ne le sera déjà pour les ventes.

Pour le moment, 2013, ça va... il faut juste que ça déconne pas trop dans les semaines qui viennent.

Pour 2012, de toute façon beaucoup ont recommandé de ne pas passer à l'achat donc c'est clair, les prix vont baisser d'ici à la sortie...

Primeurs
Les plus mauvaises ventes depuis 20 ans ?

www.terredevins.com/...
www.sudouest.fr/2013...

Bonjour,

concernant 2013, j'ai lu un article qui expliquait que statistiquement, si on se réfère aux 20-30 dernières années, les printemps pourris en France sont suivis d'étés pourris. Donc, malheureusement, il est très probable que l'été soit mauvais.

Guillaume

Bon aller je me suis laisser tenter par quelques achats en prim chez emmanuel bourdin. Quelque bordeaux et autres
Samedi, lieux de rencontre par excellence de qques LPViens, j'ai degusté d'autres choses que des bordeaux (dont beaucoup se goutaient pas trop bien)

Je me suis laisser tenter par trevallon et pibarnon, le premier que je trouve de plus en plus ouvert et plaisant pour l'amateur de (finesse) bourgognes que je suis.
Le deuxieme est plus austere au debut mais les deux possedent une belle finale une tres grande longueur.
Ils et m'ont semblé proche (mais un peu en dessous) de leurs grandes soeurs en 2009 et 2010 à la meme époque

Le prochain millésime, les prix vont s'écraser, les Chinois, acheteurs majoritaires des châteaux surcotés vont se tourner vers la NOuvelle-Zélande à cause des mesures de rétorsion sur les panneaux photovoltaïques. En plus, c'est un excellent millésime en Nouvelle-Zélande

OK je sors.

Primeurs
Le prix moyen des 2012 est en baisse de 7.6% par rapport aux 2011 !

www.decanter.com/bor...

A lire !
www.thedrinksbusines...

Primeurs
Un jeu dangereux pour le consommateur selon Michel Rolland !

www.thedrinksbusines...

Raison de + de ne pas acheter en primeur sur un millésime comme 2012 si je comprend bien l'article ()

Maintenant on verra en 2014 (primeurs 2013) si les châteaux bordelais acceptent ce qui leur arrive (les 7-8 1er GCC faisant exception) et lancent des primeurs avec des prix bien plus bas. Je ne suis pas certain que les prix de 2008 suffisent à ramener beaucoup d'acheteurs qui sont maintenant partis en Bourgogne ou ailleurs (chinois en tête).
Des prix de 2008 cette année auraient permis de garder certains acheteurs, mais en voulant toujours +, ils ont incité les acheteurs à fuir sans avoir envie de revenir. Pour l'année prochaine, les prix ont interêt à être vraiment faibles pour ramener une partie des acheteurs.

Je ne suis pas certain que les prix de 2008 suffisent à ramener beaucoup d'acheteurs qui sont maintenant partis en Bourgogne

Ils ont du revenir maintenant

mgtusi écrivait:

---

> Ils ont du revenir maintenant

Et partir ailleurs ...