L'agriculture biologique demande beaucoup de travail en préventif, il faut être très compétant et attentif pour refuser la facilité du recours au chimique.
Je ne vois pas en quoi on peut être étroit d'esprit lorsqu'on s'interroge sur le supplément apporté par la biodynamie par rapport à l'agriculture biologique.
Je serais mauvaise langue que je dirais que cela peut servir à justifier la tarification des bouteilles et dans ce cas mieux vaut effectivement à la base être déjà capable de faire du très bon vin.
Philippe Barret écrit: On a évidemment tout à fait le droit de ne pas croire aux effets positifs de la biodynamie, même si parmi les plus grands producteurs français vantés sur ce même forum à une quasi unanimité, bon nombre travaillent en biodynamie.
Bon nombre, effectivement, comme bon nombre travaillent autrement. Et alors ?
Philippe Barret écrit: On a aussi le droit d'être ridicule dans cette attitude d'une étroitesse d'esprit qui ne fait pas honneur à ceux qui se sont crus drôles alors qu'ils sont tout simplement pathétiques…
Le ridicule ne se situe-t-il pas plutôt dans la dévotion béate ?
Le pathétique ne se niche-t-il pas dans l'absence totale d'argumentation dont tu fais preuve à chacune de tes saillies ?
On a évidemment tout à fait le droit de remettre en question le travail de milliers de scientifiques d'un revers de main avec des arguments bien sentis comme "on voit bien que" Beaucoup d'approche, de théories, etc. ont été remises en question, ont évoluées etc. mais ces changements ont été portés par d'autres arguments que "depuis ma fenêtre, je pense que" Et on a aussi le droit d'essayer de questionner les assertions expliquant que la vigne serait un "intermédiaire entre la plante et l'animal"
Tout ceci est complètement indépendant du talent de ses vignerons à produire des grands vins que je reconnais tout à fait ayant eu la chance de goûter la production des deux (mais pas encore celle d'AlexandreG )