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Par ailleurs, je trouve bien plus choquant la brasserie tout industrielle a 50€ le menu qu’un étoilé à 150. Où les bouteilles de CDR Guigal à 50€ dans les mêmes brasseries parisiennes.
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Ceci explique cela. Tu n'es donc pas vraiment concerné par le paradoxe.Eric B écrit: Pour remettre les choses à leur place, je ne vais quasiment jamais dans des restaus à plus de 150 € tout compris. L'Astrance où je suis allé 3 fois ces 4 dernières années est offert par un ami.
Comme dit dans mon premier message, personnellement, peu m'importe. Si on en a les moyens, se faire 50 repas dans l'année à 500 euros ne me dérange même pas.Eric B écrit: Je ne sais pas si ça peut te rassurer, mais je suis autant attentif au rapport qualité/prix d'un restaurant que je le suis d'un vin.
Je suis tout aussi d'accord mais vous n'avez pas compris le débat de base. Vous vous placez du point de vue du restaurateur. Et vous dites "puisque X s'en met plein les fouilles avec des efforts minimes et que Y galère à ne pas être en déficit alors qu'il a un talent monstre et a bossé comme un fou toute sa vie pour en arriver là, alors la pratique de X est plus choquante que la pratique de Y". Bien entendu, ça va de soi. Mais je pose une autre question.Eric B écrit:
Par ailleurs, je trouve bien plus choquant la brasserie tout industrielle a 50€ le menu qu’un étoilé à 150. Où les bouteilles de CDR Guigal à 50€ dans les mêmes brasseries parisiennes.
100 % d'accord !
Bah non, cf ma remarque ci-dessus.pierrat écrit: A partir du moment où on a compris que la marge d'un trois étoile est ridicule, lorsque ce n'est pas déficitaire, le débat est clos.
Tu fais un raccourci énorme. Ce n'est pas parce que je ne me fais pas de marge sur un produit que le prix du produit est justifié voyons !pierrat écrit: Et même du côté du consommateur car ce qui importe est de savoir si un prix se justifie.
Sauf que c'est ta vision très personnelle de considérer que l'or sur la côte de boeuf de Ribéry c'est du bling bling peu ragoûtant mais que la feuille d'or qu'on trouve sur nombre de plats 3* c'est la classe à l'état pur. J'ai donné cet exemple pour contrer l'argument "si ce qu'on a dans l'assiette vaut 300 euros alors c'est pas anormal de payer 300 euros". En fait, je ne dis rien de plus que ce que disait Alain Senderens.pierrat écrit: Quant à l'exemple de Ribery c'est sans rapport. On ne paye pas ici une prestation rare mais du bling bling de mauvaise goût, qui au surcroît est peu ragoûtant
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J'ai rien compris ! En gros je dis quelque chose de simple, c'est ce que disait Alain Senderens (c'est pas un argument d'autorité c'est juste pour ceux qui l'auraient déjà entendu parler de ça, peut-être est-il plus clair que moi). Puisque le caviar est devenu hors de prix, est-ce normal de continuer de le voir dans les tables 3* ? Si demain le prix du caviar s'envole encore, est-ce que vous trouverez toujours ça normal de payer votre repas 1000 euros si le prix du caviar l'oblige ? (expérience de pensée) Et on peut trouver évidemment plein d'autres exemples du genre dans les restaurants 3*.hyllos écrit: ClementQ, je ne vois absolument pas le rapport avec ton truc débile. Tu parlais des 3*. Oui c’est très cher mais de toute façon, même affreusement cher, ces restaurants ne font que très peu de marge. C’est donc radicalement différent de faire payer un truc cher en ayant dépensé beaucoup ou maximiser le profit sur un produit pour tirer le plus possible de l’image.
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Dans la mesure où ma question se résume à "n'est-ce pas paradoxal de souvent lire ici qu'acheter une bouteille à plus de 100 euros est idiot, mais jamais que manger un repas à plus de 300 euros l'est ?" et que tu réponds "A partir du moment où on a compris que la marge d'un trois étoile est ridicule, lorsque ce n'est pas déficitaire, le débat est clos [...] J'accepte de payer 300 euros si je pense que le restaurateur ne se gave pas", excuse-moi d'interpréter tes propos comme étant : oui en effet c'est pas idiot de payer 300 euros pour un repas si et seulement si le restaurateur ne se gave pas. Comme on sait que les vignerons qui vendent des bouteilles de vins à ces prix là, eux au contraire, se gavent, il n'y a qu'un pas à faire pour comprendre tes propos comme je les ai compris me semble-t-il.pierrat écrit: euh où ai-je personnellement écrit que je trouvais à la fois normal de payer cher un étoilé, mais que j'étais outré par le prix des vins ?
Tu n'es donc pas outré par les prix des 1GCC ? Pas outré par les prix de certains Bougogne ? Tu représentes donc une faible minorité que je n'ai pas beaucoup lu ici ! (cf le topic Inflation, et tant d'autres)pierrat écrit: Personnellement je n'achète pas forcément beaucoup de vins chers, mais je ne suis jamais outré par aucun prix dès lors qu'on ne me met pas le couteau sous la gorge pour les acheter.
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enzo daviolo écrit: Oui, ça me dérange de mettre 10x le prix sur quelque chose. Surtout quand on trouve des produits tout aussi exceptionnels pour un prix raisonnable.
tout est dit par Mathieu. des repas du niveau Marcon ou équivalent à 30/50€, je n'en ai jamais trouvé (mais je veux bien l'adresse, j’arrêterai les 2/3 étoiles que je ne pratique qu’épisodiquement pour mon plus grand plaisir).
par contre des bouteilles à 30€ du niveau ou meilleur à mon goût que des bouteilles à 300€ ça j'en connais (même au sein d'une même région) et en ai bu pas mal. alors pourquoi mettre 10 fois le prix?
voilà la raison qui ne justifie pas cette comparaison.
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ClémentQ écrit: Voilà qui est intéressant. Car à lire le topic meilleures bouteilles de l'année, la phrase lpvienne de base pourrait plutôt s'apparenter à "des bouteilles du niveau de Selosse 90 à 30/50 euros, je n'en ai jamais trouvé". Et ça change tout
Edit : merde je n'avais pas vu le prix ahurissant de Selosse 90, bref vous trouverez bien un exemple mieux adapté pour respecter le facteur 10.
ClémentQ écrit: Edit 2 : allez pour respecter le facteur 10 et pour parler de bouteilles à un peu plus de 100 euros comme je l'évoquais depuis le début, le parfait exemple donné par Eric himself :
Je suis le premier à défendre au quotidien les vins à moins de 15 €. Mais aucun vin de cette gamme de prix n'est arrivé à la cheville des meilleurs vins de l'année.
Cela me fait penser à mon séjour belge de l'été dernier : on a fait une soirée dans un restaurant où des vins pas trop chers que j'avais amenés avaient été servis à l'aveugle en face de vins plus onéreux. Tout le monde a reconnu qu'ils s'étaient très bien accordés avec les plats servis, mais en terme de vins purs, ils se sont pris une grosse branlée. Tu as beau mettre un très bon grenache gris du Roussillon. Il ne peut rien faire contre Clos Saint Hune 2003.
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