Organisant une soirée de répétition vendredi soir afin de se préparer pour les fêtes de fin d'année (et ses innombrables festins...), je fais face à
un véritable dilemme cornélien.
En effet, travaillant pour une partie le lendemain, nous ne pouvons nous laisser aller malheureusement....
J'ai prévu à ce repas deux entrées : le traditionnel foie gras de producteur du Gers et les coquilles Saint-Jacques.
Étant donné qu'on ouvrira le champagne à l'apéritif et un bon Bourgogne rouge pour la pièce de viande, je suis à la recherche d'un vin blanc pouvant "s'adpater" aux deux entrées (oui le foie gras en début de repas, je sais bien...) . Je précise que nous sommes seulement 4.
L'idée est vous l'aurez compris de ne pas saturer le palais avec une forte concentration en sucre mais aussi de trouver un lien entre les deux assiettes.
J'avais en tête plusieurs idées (sûrement erronées) : un côteaux d'Ancenis Malvoisie (un peu de sucre mais pas trop avec une belle longueur et fraîcheur ainsi qu'un côté aromatique), un Coteaux de l'Aubance (un peu dans la même idée en plus sucré et sur une belle acidité) voire un Bergerac sec mais un minimum gras. Mes invités tiennent à ce côté un choua sucré mais j'aimerais bien trouver quelquechose de dosé afin de profiter au maximum sur les deux entrées (sucré mais pas trop, acide et aromatique pas facile)...
Je partirais sur un blanc sec, surtout pas de Coteaux d'Ancenis avec la St Jacques. Le bourgogne de la Côte de Beaune me semble une très bonne idée, surtout s'il conjugue vivacité et une pointe de gras.
Riesling Feinherb Allemand (c'est à dire avec un peu de résiduel mais pas suffisamment pour que ça se sente vraiment). C'est miraculeux en terme d'accord, et j'ai déjà fait sur foie gras et saint jacques, ça fonctionne parfaitement. Reste à en trouver !
Merci à tous pour vos retours
Le repas étant demain soir, je vais avoir du mal à trouver un riesling convaincant en si peu de temps. Un côte de beaune en revanche oui. Un montagny serait trop lisse je suppose ?
Un Pouilly Fuissé ou un Viré Clessé pourrait-il faire l'affaire ?
Il ne me reste donc plus qu'à dénicher le Viré-Clessé non boisé
Pas une mince affaire car malheureusement dans ce coin-ci c'est un peu la tendance.
Je me rappelle d'un dégusté il y a quelques mois (domaine des Gandines). Il été élevé en fût de mémoire mais je ne ressentais pas le côté boisé de façon prononcé...
Jo14 écrit: Il ne me reste donc plus qu'à dénicher le Viré-Clessé non boisé
Pas une mince affaire car malheureusement dans ce coin-ci c'est un peu la tendance.
Je me rappelle d'un dégusté il y a quelques mois (domaine des Gandines). Il été élevé en fût de mémoire mais je ne ressentais pas le côté boisé de façon prononcé...
Merci en tout cas messieurs
Thevenet de l’an Bongran, pas boisé du tout. André Bonhomme, pratiquement pas non plus....
Je confirme que le Viré Clessé d'André Bonhomme n'est pas boisé. Pour ma part j'apprécie peu ce côté boisé, et j'ai donc trouvé mon bonheur chez eux. Et en plus ils ont un super rapport qualité-prix