Nous étions réunis chez moi hier soir pour partager qq bouteilles qui ont été diversement appréciées...

Je place la liste pour que les anciens puissent dégainer et tenterai un petit commentaire un peu plus tard.

Les bulles :

Domaine de la Vougeraie - Crémant
De Sousa - Cuvée des Caudalies ( dégorgée en 02/2008)
Drappier (je n'ai plus le nom... Daniel ?)

Riesling :

Agathe BURSIN - 2005
Weingut Jos. Christoffel Jr Ürziger Würzgarten Riesling Auslese Trocken 2001

Rhône Nord 1999 :

Saint-Joseph Vieilles Vignes Tardieu-Laurent
Saint-Joseph Reflet de Villard
Saint-Joseph Le Paradis Saint-Pierre de Cuilleron
Côte-Rôtie Tradition de Rostaing

Chateauneuf 2007:

Côte Rotie Jamet ( Pirate)
Charvin
Domaine de Ferrand
La Janasse

Avec le dessert :

Weingut Dr Thanisch Bernkasteler Lay Riesling Auslese 1988

A suivre ...

François,

Les voilà:
-Saint-Joseph Vieilles Vignes Tardieu-Laurent 1999
-Saint-Joseph Reflet 1999 de Villard
-Saint-Joseph Le Paradis Saint-Pierre 1999 de Coursodon
-Côte-Rôtie Tradition 1999 de Rostaing.

Encore un grand Merci, à ta femme et à toi, pour cette agréable soirée et pour l'excellent repas.

Amitiés,
Thierry

Les bulles, d'abord.
A l'aveugle, un vin se différenciait: moins d'acidité, plus de rondeur. il me semblait qu'il serait un excellent accord sur un foie gras.
C'était le Fête de Famille 2002 du Domaine de la Vougeraie.
Un champagne était excellent: saveur, équilibre, fraîcheur, longueur... C'était le Drappier cuvée IV (de mémoire pour le nom de la cuvée) mais la Cuvée des Caudalies n'était non plus sans charme.

Les Riesling :
Agathe BURSIN - 2005 a été pour moi un déception: le sucre résiduel en fait un riesling mou.
Le Weingut Jos. Christoffel Jr Ürziger Würzgarten Riesling Auslese Trocken 2001, par contre, me plaisait beaucoup plus. "Léger" en dégustation, il se tenait très bien face à l'aumônière de poisson aux agrumes en imposant ses saveurs, face au plat, et sa belle finale.

Les Rhône Nord 1999:
-Le Saint-Joseph Vieilles Vignes Tardieu-Laurent avait malheureusement un goût de bouchon
-Le Saint-Joseph Reflet de Villard était savoureux et plein mais me semblait dominé par les deux suivants:
-Le Saint-Joseph Le Paradis Saint-Pierre de Coursodon, élégant et débordant de jeunesse, au niveau qualitatif exceptionnel.
-Le Côte-Rôtie Tradition de Rostaing qui, bien qu'ouvert au début de la dégustation, livrait des arômes superbes de cassis frais et de violette et offrait des tannins soyeux.

Les "Châteauneuf" 2007:
-Le Côte Rotie Jamet: ce Pirate a été pour moi une déception. J'en ai parlé dans sa rubrique, je pensais plus, à l'aveugle, à un coteau de l'Ardèche ou du Ventoux.
-Le Charvin m'a beaucoup plu, une fois de plus, et nous n'y avons pas trouvé de sucre résiduel ()
-Le Domaine de Ferrand m'a charmé. C'était ma première rencontre avec ce vin et j'ai adoré son fruit, son équilibre et sa fraîcheur.
-La Janasse Tradition, malgré son excellent niveau, me semblait dominé par les deux autres...

Je n'ai pas eu le temps de déguster le Weingut Dr Thanisch Bernkasteler Lay Riesling Auslese 1988, je me suis attardé sur les Châteauneuf et le taxi qui nous reconduisait est arrivé plus vite que je ne pensais.

Cordialement,
Thierry

Bonjour Thierry,

Pour Agathe Bursin, il s'agissait du simple Riesling ou du Riesling Grand Cru Zinkoepflé ?

Stanislas

Stanislas,

C'était le simple Riesling 2005...

D'autre part, je viens de regoûter le Jamet 2007:
il est bien meilleur ce midi qu'hier soir
lapassionduvin.com/p...

Cordialement,
Thierry

Merci de cette précision Thierry,

A vrai dire, j'ai bu avec bonheur toutes mes bouteilles de ce Riesling 2005 il y a quelques années déjà, et il était vraiment très bon sans déficit d'acidité selon mes souvenirs...j'ai bien fait à lire ce commentaire. Il me reste en cave sur ce millésime, le Zinkoepflé, d'où ma question

Stanislas

Afin d'éclaircir les textes, voici quelques images.
Je n'ai pas mis les délicieux oiseaux

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[img=http://img695.imageshack.us/img695/9739/dsc01982.jpg]

Les textes suivront,

Daniel

Dommage pour le Tardieu-Laurent qui semble être une belle bouteille a priori. Pour le Paradis de Saint-Pierre c'est Coursodon plutôt que Cuilleron non?

1999 en Saint-Joseph est aussi réussi que sur Côte Rôtie?

Cordialement

Marc

Pour le Paradis Saint Pierre, bien sûr que c'est Coursodon. Thierry a eu un moment de faiblesse
Vous ne laissez rien passer.

Oui, 99 est largement aussi réussi en Saint Joseph que Côte Rôtie.

Daniel

Je viens de corriger ce lapsus.
Le Paradis Saint-Pierre de Coursodon est en plus un de mes Saint-Joseph préférés, je l'ai souvent dit.
Cette erreur est peut-être à imputer au lendemain d'une dégustation

Amicalement,
Thierry

J'ai oublié la question sur les qualités des Saint-Joseph 1999.
Pour avoir bu régulièrement une cuvée du Nord de l'appellation, Reflet de Villard, et trois du Sud, L'Olivaie et Paradis-Saint-Pierre de Coursodon et Vignes de l'Hospice de Guigal, je peux indiquer que je suis surpris par l'aptitude à la garde de ces cuvées qui ne montrent aucune ride...

Amicalement,
Thierry

Nous étions réunis chez moi hier soir pour partager qq bouteilles qui ont été diversement appréciées... écrit:

Allons François, nous avons passé une excellente soirée, même si la neige a pu perturber le trajet. Curieusement, elle avait fondue quand nous sommes repartis, à moins que ce ne fût un effet d’optique.

Intéressant cette comparaison de 3 « pétillants » à l’aveugle. Je savais qu’il y avait un pirate dans les 3 mais pas où il était vu que les étiquettes étaient cachées. Il est évident qu’il y avait un déficit d’acidité sur le Crémant de Bourgogne par rapport aux 2 Champagne .
Le Fête de Famille 2002 du Domaine de la Vougeraie bu seul, est une belle bouteille avec du gras et une belle longueur. C’était amusant d’entendre les commentaires, un air de famille avec Sélosse, probablement à cause de la richesse de matière et l’élevage mais sans oxydation.
Le Drappier cuvée Quattuor, est une cuvée élaborée à partir de 4 cépages (Arbanne Petit Meslier, Blanc Vrai, Chardonnay) en parts égales. C’est une bouteille qui m’avait été offerte par un client (c’est le monde à l’envers) et j’ignore depuis combien de temps il l’avait car cela peut influencer mais c’était pour moi, le meilleur de la série avec de la fraicheur, bel équilibre et longueur.
La Cuvée des Caudalies de de Sousa, est également un beau vin mais je pense qu’un an ou deux de bouteille lui sera très bénéfique car on sent le potentiel mais est un peu sur la réserve. Je pense que la crise va allonger la durée de stockage chez les producteurs et va donc améliorer la qualité au moment de leur sortie.
Ce n’est pas dans les habitudes mais quel plaisir de déguster un Champagne stocké quelques années dans notre cave, encore faut-il qu’il y ait du vin dans la bouteille au départ.
Il faut préciser que ces 3 bouteilles sont approximativement au même prix.

François, là, je reconnais que nous n’avons pas le même goût concernant les cépages alsaciens, même s’ils viennent d’outre Rhin.
Le Agathe BURSIN – Riesling 2005 : mou et sans intérêt. Tu en as encore beaucoup François des Agate Bursin ?
Le Weingut Jos. Christoffel Jr Ürziger Würzgarten Riesling Auslese Trocken 2001, curieux: auslese et trocken, (VT et sec) beau nez pétrolé mais manque de corps, vin d’apéritif ? C’est vrai qu’il allait avec le poisson. On a beau dire mais ce genre de vin à 8,5°, manque un peu de corps. Il faut dire que quand on a Frédéric Émile en modèle, la barre est haute.

Les Rhône suivent.

Daniel

Bien, une côte à l’os ce midi avec un Vacqueyras Sang des Cailloux 2004. Cette bouteille s’est beaucoup assagie. Elle est maintenant à maturité mais pourra encore tenir quelques années. C’est un beau vin d’hiver, rond et plein qui vous réchauffe le cœur. Après ça, avec le beau soleil, j’ai pris la pelle pour dégager du portail, les 15 centimètres de neige tombés cette nuit. Avec les moins 10° prévus cette nuit, ça risque d’être chaud pour sortir demain.
Mais revenons à notre dégustation.

Effectivement, dommage pour Le Saint-Joseph Vieilles Vignes Tardieu-Laurent 1999 car le premier nez était beau et élégant mais, plus l’aération faisait son effet, plus le bouchon ressortait.
Le Saint-Joseph Reflet de Villard 1999 est un beau vin mais que je qualifierai de plus rustique par rapport aux deux autres. Il n’y a rien à dire concernant sa structure et sa tenue. C’est bien mais pas exceptionnel.
Quant au Saint-Joseph Le Paradis Saint-Pierre de Coursodon 1999 , en plaisir immédiat, je le mettrai au dessus du suivant. Beaucoup de finesse, rond et élégant. Un beau-fils parfait.
Le Côte-Rôtie Tradition de Rostaing 1999 est un coureur de fond ; encore sur la réserve, ce n’est qu’à la fin qu’il supplantait le Coursodon par sa concentration. Ouf, la hiérarchie est sauve. Un bel accord avec les « petits oiseaux ».

François ayant l’habitude de faire des dégustations à l’aveugle, ce qui fait travailler nos méninges et nous ramener sur terre .
Il nous a encore une fois, fait un bon coup. Il est meilleur là-dedans que dans les Alsace

Effectivement, dans la série, on reconnaissait facilement le pirate. Une syrah dans les grenaches surtout jeune, ça se repère.
Comme je n’ai pas de nez (ma femme me l’a toujours dit), pour moi, c’est l’acidité. Sans aller jusqu’à un vin de l’Ardèche, cela me faisait penser à un jeune Crozes d’une bonne année. C’est le problème de ce Côte Rotie Jamet 2007 , un grand vin bu trop vite, on passe à côté, il n’y a qu’après quelques jours que l’on peut voir ce qu’il a réellement dans le ventre.
Cela faisait quelques temps que je n’avais pas bu de Charvin et ce 2007 m’a séduit par sa finesse et son élégance. Pas le style body-buildé.
Par contre, pour les suivants, je me suis planté et j’ai placé Le Domaine de Ferrand 2007 comme étant un vin de la Janasse. C’est un vin plein, rond et frais et une belle longueur.
Pour le Janasse Tradition 2007, j’ai trouvé ce dernier très digeste, presque léger. Je l’avais trouvé plus lourd et concentré il y a quelques mois.
C’est vrai que le Weingut Dr Thanisch Bernkasteler Lay Riesling Auslese 1988 a été quelque peu éclipsé.
C’est dommage, pardon François.

Mais grâce à toi, nous n’avons pas eu un réveil pénible le lendemain matin.

Daniel

"Le Weingut Jos. Christoffel Jr Ürziger Würzgarten Riesling Auslese Trocken 2001, curieux: auslese et trocken, (VT et sec) beau nez pétrolé mais manque de corps, vin d’apéritif ? C’est vrai qu’il allait avec le poisson. On a beau dire mais ce genre de vin à 8,5°, manque un peu de corps. Il faut dire que quand on a Frédéric Émile en modèle, la barre est haute."

Daniel, si je lis l'étiquette, je lis que c'est un spatlese (à peine VT) et non un auslese, ce qui explique que le taux d'alcool ne soit que de 8.5. Un auslese trocken aurait fait au moins 12 degrés.

Bonsoir Laurent,

Tu as raison mais je ne suis pas un spécialiste des vins allemands.

Comme tu as l'air de connaitre, peut-tu donner la différence entre les spatlese, les auslese et si mes souvenirs sont bons, les trockenbeerenauslese ( je suppose SGN). Et les degrés alcooliques, quels est le rapport ? Leur situation très septentrionale ?

Daniel

Spécialiste est un bien grand mot Daniel mais j'ai fini par intégré dans mon disque dur ce système si différent du notre!
dans l'ordre de la date de vendange tu as:
kabinett
spatlese
auslese
berenauslese
trockenberenauslese

Ce classement ne représente que la teneur en sucre naturel qui croit avec la date des vendanges. Sauf s'il sont vinifiés en trocken (sec) ou en halbtrocken (demi-sec), tous les vins allemands ont du sucre résiduel. Plus le SR est important, moins le taux d'alcool est élevé (tout le sucre n'est pas transformé en alcool), ce qui explique des auslese avec un taux de 7.5 degrés couramment. Par contre, quand ils sont vinifiés en sec (trocken), tous les sucres étant transformés, ils retrouvent des taux d'alcool comparables à ceux que l'on connait en alsace, qu'ils soient vendangés tôt (kabinett) ou plus tard (auslese).
Pour ma part, je n'ai jamais gouté de berenauslese et de trockenauslese, mais vu la quantité de sucre de certains auslese (comparable à des VT), j'imagine que les trockenbenauslese sont des SGN très sucrées.
La grande force des riesling allemands, c'est leur acidités hautes qui les rendent si aériens alors même que le SR peut être important.

Quelques infos sur la législation des vins allemands dans ce dossier de Vitisphère:

www.vitisphere.com/d...

Merci Scoll, c'est très instructif.

Ils bloquent les fermentations avec quoi ? du souffre ?

Daniel

Je pense qu'il va falloir que je reprenne l'habitude de prendre qq notes car je n'ai pas la mémoire et l'entrainement des deux Vieux Lions des Flandres ...

L'intérêt principal de la 1ère série était de confronter 3 bouteilles d'un prix à peu près équivalent, dont une seule est véritablement connue - la cuvée IV ne figure même pas sur le site de Drappier-

Si toutes 3 avaient des qualités propres, j'ai préféré cette cuvée IV qui se démarquait notamment par une longueur supérieure et une belle vinosité.
Un peu déçu en l'état par Caudalies, qui apparaissait un peu "en dedans" sans que je puisse dire si cela était dû à une période de fermeture.

Je partage l'avis des 2 V.L.F. pour le Riesling d'Agathe BURSIN même si le plat n'a pas joué en sa faveur.
Il manque clairement d'acidité pour le taux de SR affiché.

Je suis par contre fan des équilibres Mosellans et le Spatelese ( désolé pour la coquille initiale) de Jos. Christoffel Jr en est un bon représentant : derrière un nez un peu déroutant, on accède à une bouche vive, dominée par les notes citronnées, très fraiche, avec une belle longueur qu'un léger gaz contribue à étirer. J'en boirais des litres...
Promis Daniel, la prochaine fois, je te le coupe au Calva !

Parmi la série des Rhône Nord 1999, ma préférence est allée vers la Côte-Rôtie de Rostaing qui jouait une trés belle partition avec les bécasses.
Il lui manquait peut être un peu d'arômes tertiaires pour un meilleur accord avec les champignons, mais je pense qu'elle ira encore loin.

Pour les 2007, je connaissais les vins servis mais pas l'ordre. Ils étaient tous les 4 sortis de la cave depuis le matin, ouverts et épaulés à 17 heures et laissés dans une pièce assez fraîche (15 °C)

Il est certes un peu tôt pour juger de la qualité de vins si jeunes mais la Côte Rotie de Jamet n'avait pas beaucoup d'atouts dans son jeu...
La matière est là mais les tannins semblent rapeux et associés à une certaine verdeur en finale.
A revoir ...comme on dit pour un vin qu'on a payé cher.

Le chateauneuf de Ferrand est celui qui m'avait fait la plus belle impression à l'ouverture : une bombe de fruits et un équilibre magistral sans aucune sensation de chaleur.
Celui de Laurent CHARVIN jouait plus sur la retenue, avec une belle amertume en fin de bouche.
Quelques heures plus tard, les deux bouteilles se sont rapprochées, sans que je puisse vraiment les départager.

J'ai gardé la bouteille de Riesling Auslese 1988 au frigo et je compte lui causer de nouveau ce soir...

J'ai en tout cas également passé une très belle soirée et maintenant que Thierry s'est mis au bourgogne, on va pouvoir passer aux choses sérieuses pour la prochaine rencontre !

françois

Daniel,

Le froid et le souffre. Puis il y a des autres atouts pour jouer le jeu de l'acidité et le sucre. Les meilleurs vins sont fait par des très bons vignerons et en même temps par des grands techniciens en cave. Pour moi, tout se joue dans la précision, la balance et la pureté des arômes dans les acidités. La notion ou concept "aérien" me semble primordiale. C'est un monde complètement différent des vins d'Alsace. Beaucoup d'amateurs de vins français sont choqués. Souvent par les sucres résiduels et puis par les styles tellement différent des vins français. Il y a des très grands riesling secs en Rheingau, Palz et Rheinhessen et des très grands moelleux et doux dans le Mosel-Ruwer-Saar. L'univers est tellement diverse et riche qu'on peut s'éclater comme amateur de vins. Pour moi les meilleurs sont dans le registre du Spätlese moelleux ou/et sec. Et dans les meilleurs millésimes dans les Auslese moelleux ou sec.

Daniel écrit: Le Drappier cuvée Quattuor, est une cuvée élaborée à partir de 4 cépages (Arbanne Petit Meslier, Blanc Vrai, Chardonnay) en parts égales. C’est une bouteille qui m’avait été offerte par un client (c’est le monde à l’envers) et j’ignore depuis combien de temps il l’avait car cela peut influencer mais c’était pour moi, le meilleur de la série avec de la fraicheur, bel équilibre et longueur.
La Cuvée des Caudalies de de Sousa, est également un beau vin mais je pense qu’un an ou deux de bouteille lui sera très bénéfique car on sent le potentiel mais est un peu sur la réserve. Je pense que la crise va allonger la durée de stockage chez les producteurs et va donc améliorer la qualité au moment de leur sortie.
Ce n’est pas dans les habitudes mais quel plaisir de déguster un Champagne stocké quelques années dans notre cave, encore faut-il qu’il y ait du vin dans la bouteille au départ.

C'est une cuvée relativement récente (moins de 5 ans) une photo du bouchon pourrait aider pour pouvoir le dater plus facilement.
Et le Blanc Vrai c'est... du pinot blanc.
Et je partage l'avis sur les Caudalies à oublier en cave ABSOLUMENT...

fd écrit: L'intérêt principal de la 1ère série était de confronter 3 bouteilles d'un prix à peu près équivalent, dont une seule est véritablement connue - la cuvée IV ne figure même pas sur le site de Drappier-

Je ne connais pas le prix du Fête de Famille 2002 du Domaine de la Vougeraie. Par contre pour quattor il faut enlever environ 12€ par rapport à la cuvé des caudalies.
Et pour la non communication de Quattuor je ne sais pas pourquoi il n'est pas sur leur site (trop orienté amateur?) mais il est envoyé en échantillon pour les critiques style rvf et les salons du vins alors que leur "sans soufre" il ne communique pas dessus.

Le prix du Fête de Famille 2002 du Domaine de la Vougeraie est de 40-45 € .

Un bon prix pour un crémant de Bourgogne

Daniel