jimmycrackcorn écrivait:

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[...] Le seul petit bémol,selon moi, est un goût de boisé encore bien prononcé. A garder encore ? ....

Simon

Je ne pense pas que ce type de vin puisse s'affiner au point de rendre le boisé "fondu". On n'est pas en Bourgogne, les propriétaires à Bordeaux semblent rêver de faire du chardonnay en boisant du sauvignon ... Bonne chance les gars !

dégusté lors d'une horizontale à lire ici

Malartic Lagravière 2005, Pessac Léognan
Cépages : 40% merlot, 55% cabernet sauvignon, 5% cabernet franc.
Elevage 22 mois en barriques, dont 80% neuves (conseiller M. Rolland).
Robe pourpre.
Nez ouvert, crémeux et fruité.
Attaque ample et souple. En bouche, le vin se révèle ample, rond, crémeux, doté d’une belle fraicheur. Belle complexité aromatique : fruits noirs, réglisse, chocolat et café.
Très long en bouche.
Conclusion : c’est très très bon, crémeux et aromatique. Arrive tranquillement à l’apogée.
Note : 4,5-/5

Chateau Malartic Lagravière 2000
Bouteille ouverte et aérée 1h

Robe grenat moyennement sombre avec des prémices d évolution.
Nez de prime abord sur les fruits noirs. Quelques minutes dans le verre, se développeront progressivement des parfums de cèdre, de fines épices, bois de santal, de crème de cassis.
Bouche en attaque vive avec une tendance balsamique et son coté un peu pointu. gustativement on est sur la vieille liqueur de framboise, une pointe de fumaison, zeste d orange sanguine.
Pas beaucoup de fruits dans ce vin ...
Les tannins accrochent encore un peu en milieu de bouche, qui comprime la finesse du fruit si typique des Graves.
Assez bon dans son ensemble, mais loin de la finesse d autres crus du secteur, qui ont ma préférence

Pour l'avoir bu il y a un mois, je me retrouve parfaitement dans cette description: Bouche glycerinee, miellee, chaleureuse. L'ensemble est un peu pataud, lourd.
Ce n'est pas un mauvais vin en soi, mais un style dans l'exces qu'il faut aimer.

Clairement a boire a table plutot que pour lui-meme.

@+

Jerkke

Malartic-Lagravière 1916 (Léognan)



Qu'écrire devant un tel récital ? Peut-être saluer très bas qui ont participé à son élaboration, humer ses effluves de fruits rouges et de chocolat, admirer sa robe vermeil que l'oxygénation lente fonce à peine et puis s'abandonner à la précision, l'ampleur, la fraîcheur, la rondeur de sa bouche ? Songer à cet oxymore chronologique ou savourer longuement ce fond de bouteille à la concentration évocatrice d'un Ducru Beaucaillou 1947 ? Ou se lover dans les vibrations intenses que ne manque pas de susciter cette traversée bacchique du siècle ?
Hormis une ouverture crocheteuse (par miracle, aucune miette de bouchon n'est tombée dans le vin), cette dégustation n'aura été qu'un pur moment de beauté.

Peut-être saluer très bas qui ont participé à son élaboration

Peut être un d entre eux, qui sait ...

Et peut-être ces femmes.

La dernière sur trois et je ne remarque pas de signes d'évolution ;les 2 autres avaient été dégustées en 2010 sans prise de notes.Elles se montraient bien jeunes,celle -ci n'est pas beaucoup plus évoluée.
La couleur est très sombre ,presque noire sans signe descriptif de vieillissement.
Le nez me plait bien,il est fruité cerise noire,mûre.Je perçois des notes fumées, les amis des notes poivrées.
La bouche n'est pas décevante,elle est bien ronde,sans creux,assez puissante mais c'est l'élégance que je retiens.
Jusque là tout va bien mais des notes boisées encore prégnantes me gênent et de l'amertume en finale aussi.Encore jeune,à attendre et bien fait pour moi.Je dirai que ce Malartic la Gravière 2000 est à revoir dans 5 ans.
Bernard

Bonjour à tous,



Pessac Léognan Blanc, Chateau Malartic Lagravière 2007 : Un nez très sauvignon bordelais, ananas, fruit jaune, note végétal buis, acacia, pointe épice vanille fond végétal sous bois. La bouche est droite, matière soyeuse, belle structure droite, de la fraicheur bien enrobée, sur le fruit jaune mûr, puis l'ananas, note buis et acacia, pointe vanille, fond beurrée boisé léger macadamia. La finale est fraiche et tonique, belle persistance d'ananas, note buis acacia, puis plus épicée qu'au nez, vanille fond plus marqué élevage beurre, macadamia caramélisé. Tb-Excellent 91 (16,5) Après un départ en fanfare jeune, cette 4 eme dégustation ne me fait entrevoir les promesses de jeunesses. Un peu mieux qu'il y a 2 ans, certes, très bon mais pas l'excellence que j'attendais... On verra pour les dernières d'ici 3 à 5 ans.

Amicalement, Matthieu

Malartic-Lagravière blanc 1994

La couleur est jaune claire, toujours aussi impressionnant de voir cela pour un vin de 23 ans.
Le nez est sur l'anis,le fenouil, le citron et la cardamome et une note de poivre blanc.
Un très beau nez , c'est tout en finesse et de belle précision.
La bouche est fraîche, nette, d'une très belle maturité.
La finale est assez longue portée par une acidité qui prolonge les arômes de citron,d'amande, anis etc...
Un très beau vin qui a vieilli remarquablement et peut tenir encore dix années supplémentaires, sans aucun doute.

Excellent

jmw

Malartic-Lagravière rouge 2012

Ayant acquis quelques bouteilles en foire aux vins, j'ai voulu le goûter.

C'est évidement jeune, mais déjà très charmeur.
Belle robe grenat, assez intense.
Au nez, c'est très parfumé : cassis, mûre,...
Bouche très délicate avec des tanins très fins et une sensation un peu "crêmeuse" (c'est assez doux).
Belle longueur. Il manque peut-être juste un peu de complexité, mais je suis certain que cela viendra avec le temps.
Bien en l'état.

Thomas.

Chef Chaudard écrit: Malartic-Lagravière rouge 2012

Ayant acquis quelques bouteilles en foire aux fin, j'ai voulu le goûter.

C'est évidement jeune, mais déjà très charmeur.
Belle robe grenat, assez intense.
Au nez, c'est très parfumé : cassis, mûre,...
Bouche très délicate avec des tanins très fins et une sensation un peu "crêmeuse" (c'est assez doux).
Belle longueur. Il manque peut-être juste un peu de complexité, mais je suis certain que cela viendra avec le temps.
Bien en l'état.

Thomas.

J ai bu ce vin 2 fois et je confirme le CR de Thomas. Vraiment bien décrit.
Jo

je n'ai plus de millésime 2000 mais un ami sert ce vin lors d'un repas copains cette semaine.
Je me souviens avoir décrit ce Malartic-Lagravière 2000 il y a 2 mois et c'est intéressant de voir la différence d'appréciation.
Voilà les notes de ce vin conservé depuis son achat dans une cave très fraîche,remonté et débouché 5 heures avant et épaulé à l'ouverture.
Robe d'un beau rouge foncé,limpide.
Nez fruité(cassis,mûre)et notes fumées ,boisées.
Bouche assez puissante,pleine;c'est également fruité,j'ajoute des notes légèrement poivrées.Les tannins sont encore présents moins souples me semble-t-il que lors de la dégustation de ma dernière bouteille.
La fin de bouche est marquée par des amers un peu trop insistants et la longueur est satisfaisante.
Au total un bon vin pas très évolué et à conserver encore quelques années.
Bernard

Bonjour à tous,

Dernière livraison de primeurs, donc goûté pour voir :



Pessac Léognan, Chateau Malartic Lagravière 2014 : Un nez encore dominé par note d'élevage boisé un peu coco tout de même, sur la framboise, le fruit rouge, les épices vanille, une pointe surprenante de cacahuete grillé fond boisé fumé noyau un côté chupa chups vanille fraise. La bouche est bien dessinée, charpentée, fine et précise, tanins superbes soyeux, caressants, sur la framboise, le fruit rouge acidulé, apportant la fraicheur, pointe végétale fraiche classe, fond boisé fumé noyau bois précieux cèdre; La finale, tout en équilibre, bien enrobée, est soyeuse, très charmeuse, sur la framboise, le fruit rouge, note fraiche végétal qui allège, pointe fraise vanille fond fumé bois précieux typé cèdre. Excellent 92-95. A mon avis un très beau potentiel car la structure en bouche est sublime, pour peu que le nez redevienne élégant une fois l'élevage digéré.

Amicalement, Matthieu

Bu lors d’une dégustation sur le thème des pessac léognan rouges 2012 relatée ici .

Château Malartic Lagravière 2012
Cépages : 40% merlot, 55% cabernet sauvignon, 5% cabernet franc.
Elevage 22 mois en barriques, dont 80% neuves (conseiller M. Rolland).
Robe pourpre, assez intense.
Nez ouvert, sur les fruits noirs, l’humus, le café, la griotte, avec de légères notes lactées.
Attaque ample et souple. En bouche, la matière est belle, avec des tanins au grain assez fin mais relativement présents notamment en finale. L’équilibre est bon, avec une belle fraicheur. Coté aromatique, on est sur le café et les fruits noirs, avec une petite touche végétale (poivron).
Belle longueur.
Conclusion : c’est bon, assez gourmand mais encore un peu tannique. Dans d’autres millésimes j’ai régulièrement trouvé une bouche plus ronde, presque crémeuse. Effet millésime ?
Note : 3,5+/5

Bibi

Château Malartic-Lagravière, Pessac-Léognan rouge 2009 :
Superbe vin, 2 mots : Finesse et velours, c'est soyeux avec un bel équilibre et une bonne longueur.
Peut-être un léger manque de matière, mais très grand plaisir à boire ce vin

Sylvain.

Château Malartic-Lagravière, Pessac-Léognan rouge 2005.
cr tiré de Catherine et les garçons jouent au saute-mouton de Bordeaux.

Le nez bien épanoui, a un charme fou ; la caresse de la violette se mêle harmonieusement aux fruits rouges, sur fond d'empreinte un peu fumée avec une touche de résine ; une impression sensuelle assez attachante s'en dégage.
Bouche coulante, savoureuse, au boisé fondu et élégant ; quelques années de plus libéreront ses tannins encore un peu serrés accompagnés d' une très légère amertume. Le grain concentré exprime une belle intensité ; le fruit bien mûr, comme piqueté de touches empyreumatiques et de résine, révèle une vraie complexité. C'est bon, bien jeune encore, mais mérite d'être ouvert aujourd'hui, et servi après un long carafage.

Daniel

Château Malartic-Lagravière, Pessac-Léognan rouge 2005
Bu hier, ce vin n'a pas évolué depuis la dernière fois que je l'ai dégusté l'an dernier.

Robe pourpre.
Nez ouvert, crémeux et fruité.
Attaque ample et souple. En bouche, le vin se révèle ample, rond, crémeux, doté d’une belle fraicheur. Belle complexité aromatique : fruits noirs, réglisse, chocolat et café.
Très long en bouche.

J'ajouterai juste que les notes d'élevage portaient peut-être un peu plus sur des notes lactées et vanillées.
Très bon. (4/5)

Bibi

Château Malartic-Lagravière, Pessac-Léognan rouge 2002

Un magnum ouvert pour les fêtes.
Un nez très plaisant sur les fruits rouges. très beau nez
Une bouche soyeuse aux tanins fondus, c'est rond avec un bel équilibre en bouche.
La finale est moyenne avec u peu d'amertume en fin de bouche.

Cela reste un bon moment

90/100



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Château Malartic Lagravière, Léognan, 1961

Ouverte après le Pomerol et avec le souvenir du délicieux 1916, ce flacon estampé Nicolas exhale un nez prononcé de fruits rouges (cassis, framboise) et présente un fruit mûr, de beaucoup d'ampleur se ponctuant par une finale moyenne. L'aération gomme l'austérité originelle et renforce l'impression de jeunesse procurée par ce vin. Dégusté avec une terrine, regoûté le sur-lendemain, il distille le plaisir d'un vin capiteux d'une grande fraîcheur. Je découvre avec lui le millésime. Il n'a eu qu'un tort : précéder le Haut-Lieu 1947.

Bonjour à tous,



Pessac Léognan, Chateau Marlartic Lagravière 2004 : Un nez typique du cru, profil séduisant, de framboise, note fraiche de bourgeon de cassis, puis plus tabac blond, fond fumé, profond, bien intégré. La bouche est charpentée, tanins fins et soyeux, c'est profond, dans un style droit mais pas austère, sur la framboise, puis plus fruit noir, bourgeon de cassis, note épice plutôt boite à cigare, tabac blond, fond fumé. La finale est fraiche, en équilibre, pointe amer classe, et persistance intéressante de framboise, de tabac blond, d'épice boite à cigare, et fond fumé. TB-Excellent 91 (16,5)

Amicalement, Matthieu

Château Malartic-Lagravière 2006
Belle robe grenat légèrement tuilée sur le disque. Nez expressif sur la framboise, les fruits noirs, le tabac, la fumée. En bouche, tanins fondus, mêmes expressions que le nez avec la réglisse et la boite à cigares en plus. Vin droit avec de beaux amers, assez profond, bien agréable. Damn , la bouteille est déjà finie... TB+

Château Malartic-Lagravière, Pessac-Léognan rouge 2003

Bouteille remontée et ouverte illico presto.
La robe est légèrement évoluée.
Le nez est sur les fruits rouges et noirs, le cuir , avec des nuances de fumé et de goudron.
En bouche, c'est tout en délicatesse, très rond; les tanins sont de velours.
C'est finalement bien équilibré, pas d'une longueur phénoménale; cela se boit très bien en tout cas et je ne pense pas que cela y gagnera quoi que ce soit en vieillissant.

jlj

Château Malartic-Lagravière, Pessac-Léognan, 2013

Bue ici

Ouverte uniquement parce que ma fille à vu cette bouteille (de toute façon acquise pour fêter plusieurs de ces anniversaires) lorsque je préparais les munitions, et dont l'étiquette lui faisait penser à un bateau pirate!!!

Bu sur 24 heures, commentaire à J+1.
La robe est jaune claire à reflets gris/verts. On retrouve un nez thiolé, qui signe le sauvignon de façon assez évidente, avec des marqueurs primaires francs. On retrouve ainsi le bourgeon de cassis, les agrumes, le pamplemousse mais également un côté fumé. La bouche est fluide, plutôt longiligne avec une belle acidité. La matière est cependant assez moyenne, très peu grasse, mais conjugué aux marqueurs aromatiques, fait penser à une maturité assez moyenne. La finale est malgré tout assez longue, sèche et pierreuse, marquée par des amers de bois réglissés assez importants encore. Cela reste Bien à Très Bien (15,5/20).

Cinquième bouteille bue, et toujours autant de plaisir!
Malartic-Lagravière fait partie de mes Pessac préférés, et cette cuvée ne m'a pour l'instant pas déçu.
C'est certes moins concentré et complexe que le premier vin, mais je trouve cette bouteille à point pour le moment.

Château Malartic-Lagravière, la Réserve de Malartic, Pessac-Léognan (Rouge), 2014
Souplesse, fraîcheur et peps (sur des notes légèrement acidulées de fruits rouges), mais suffisamment de complexité (épices douces, fumée, tabac, joli boisé bien dosé) pour justifier un prix qui dans d'autres régions serait celui d'un premier vin (et dans d'autres celui d'un seul verre ) et pour se frotter à (à peu près) tout ce qui passe: du magret grillé au boeuf, en passant par l'agneau...
Ce soir, c'était filet mignon bardé de poitrine fumée et purée de patates douces. Il a beaucoup plu à toute la tablée, séduite par ses qualités évidentes de Bordeaux bien fait, mais a, peu à peu, été éclipsé par un Enclos 2014 de la Terrasse d'Elise, en pleine forme en ce moment. Comme nous étions deux couples, et que je n'avais sorti qu'un verre à vin par personne , j'avais servi un verre différent à chaque moitié, pour échanger à l'occasion. Et à ce petit jeu, le mourvèdre de X. Braujou a fini par l'emporter, ce qui m'a donné l'occasion de terminer le Pessac les jours suivants. A J+1 puis J+2, sur un burger maison, encore meilleur que la veille, plus "fondu". Léger déclin à J+3, ce qui ne m'a pas empêché de le terminer avec plaisir!
Une belle bouteille en tout cas.
Lucas

Bonjour à tous,

Besoin de petits conseils mets-vins, je voudrais ouvrir cette bouteille prochainement et je ne sais pas trop quoi mettre en face.

J'ai pensé à du poisson mais n'étant pas expert je sèche. Des idées de plats? Éventuellement du poulet à la crème? Des desserts possibles? Merci pour vos idées!

Simon

Puisque c'est la saison : une poêlée de coquilles Saint-Jacques simplement snackées.
Sinon, une blanquette de veau.

Pessac Léognan - Château Malartic Lagravière 2007 (rouge)

Ses tanins et son boisé déjà agréablement fondus ne sauraient faire oublier sa forte concentration.
On a l'impression que le merlot domine, ce qui lui donne un côté Pomerol (il y a 45% de merlot dans Malartic).
L'aération ne le fait pas changer.
Pour un millésime réputé de petite garde, nous sommes plutôt surpris.
Peut-être est-il "entre deux âges".

C'est plutôt bon mais ce sera sans doute meilleur dans quelques années, amha.

Château Malartic-Lagravière blanc 2004

Bouteille ouverte il y a 20 minutes, remontée de cave il y a trois heures et gardée dan l'arrière cuisine à environ 16 degrés. . Je me verse un fond de verre dans un verre Inao pour voir si le vin n'est pas oxydé. (plusieurs déconvenues récentes.

Le robe fait effrontément jeune, on devine encore quelques reflets verts.

Le nez est une tuerie, un truc de malade comme j'en ai rarement bu. Il y a de la douceur, de l'encaustique, on retrouve les arômes typique d'un pessac jeune mais poli, lustré, pas agressif, comme un punk anglais qui esssayerait un costume en tweed. C'est envoutant.

En bouche, la rondeur est très présente, il y a une légère acidité qui porte le tout, encore ces notes de miel et d'encaustique.

La finale est longue, d'une longueur infinie, au moins trente secondes, au niveau d'un vin jaune.

Je crois que j'ai lu un jour Michel dire que les pessac blancs peuvent vieillir très longtemps, eh bien ce vin lui donne largement raison.

A ne pas servir trop frais. (vers 16 degrés)
Simon

En effet une bien belle bouteille - je me souviens aussi de cette jeunesse insolente qui fait penser que ce vin doit pouvoir se garder encore très longtemps - j'avais également bien apprécié ces notes encaustiques dont tu fais référence avec dans mes souvenirs des herbes médicinales entêtantes;
Nicolas