Kracher - Cuvée Beerenauslese 2006

Bue le 22/02/2013, bouteille de 37,5 cl.

Choun :
Pas mauvais, mais difficile à juger : il a le malheur de passer en 3e liquoreux et il parait un peu plus "lourd" que les précédents.

Gueva :
A eu le désavantage d'être servi en 3e position après les deux premiers liquoreux. C'est bien fait mais ne présentait pas le même charme que le passito et le Tokaji.

Nico20sur20 :
Effectivement, le gouter après ces 2 derniers vins liquoreux l'a désavantagé mais je l'ai trouvé pas trop lourd pour ma part.

Num :
Pas évident de le juger après les 2 autres. Il semble un peu lourd, l'alcool est plus présent. Les autres que j'avais bues m'avaient l'air bien mieux équilibrées mais il est clairement difficile de passer derrière le Disznoko. Dommage, mais 3 liquoreux ça semble beaucoup après tout ce qu'on avait déjà dégusté! Les papilles étaient un peu fatiguées et saturées de sucre.

Cordialement.

Manu

Le BA de Kracher n'a rien de transcendant. Pour moi, c'est sa cuvée la plus faible.

Kracher - Eiswein 2005

Nez explosif sur le coing.
En bouche c'est carrément de la pâte de coing fondue avec une énorme texture. C'est séveux, c'est extremement doux au contact mais d'une intensité remarquable.
Longueur ++
2 verres suffisent, un 3ème serait de trop pour moi par rapport à la sucrosité.
Superbe.

Cuvée Beerenauslese 2006 d'Alois Kracher

Robe dorée, brillante, concentrée.
Le nez est, dès l'ouverture, portée par les fruits jaunes, les épices avec des notes de "rôti" conférant de la complexité.
La bouche est bien équilibrée, à mon goût, accompagnant fort bien une crème brûlée (comme dire, vraiment brûlée, oups !).
L'ami qui l'a dégusté avec moi eut tout d'abord un peu de mal à situer ce vin, partant vers le sud-ouest (non, je ne sers pas un Gaillac doux de Rotier à chaque fois ) puis avec l'indice "vin étranger", finit par trouver le pays. bravo car je n'aurais pas peu aller aussi loin que lui, c'est peu de le dire.
J'ai aimé le côté "botrytisé" maîtrisé, peut-être avec une partie passerillée, à la fois assez dense et sucré et préservant une élégance et une fraîcheur agréable en fin de repas.
Jolie bouteille et joli liquoreux, de mon point de vue.

Phil

Trockenbeerenauslese 2005 Nr 1 Zwischen den Seen Welschriesling. Vin assez peu riche pour un TBA, bon c'est le Nr 1, ceci expliquant cela. Du coup on est sur un équilibre presque sauternais Non, ce n'est pas une critique, juste un constat (et pourtant c'est un zwischen den Seen).
En l'état il est assez fermé, un long carafage a l'air de s'imposer...
Néanmoins, de mémoire, un nez interessant avec une dominante sur les fruits secs, raisin sec, figue... bonne ampleur et longueur au rendez-vous.

A force de goûter Kracher, je doute de plus en plus sur la réelle nécessité de laisser vieillir le vin. Il est vrai que pour le moment 2007 n°6 s'est goûté le mieux cette année, mais j'aurais quelques réserves pour l'avenir... d'autant que la différence d'avec il y a quelques année n'est pas si flagrante que ça.

Quoi qu'il en soit, j'en ai encore quelques unes en cave pour voir... je suivrai donc l'affaire.

A force de goûter Kracher, je doute de plus en plus sur la réelle nécessité de laisser vieillir le vin

Tout pareil.

Florian

Auslese 2010 - Kracher :
Voilà un vin qui exhale des arômes francs de mandarine confite, avec une finale de longueur honnête sur la verveine. Une sucrosité maîtrisée, tempérée par l'acidité et aussi par un très léger perlant. Bon vin, et un accord réussi avec les chaussons au potiron confit.

Olivier

Kracher Zweigelt 2010

Robe claire couleur framboise.
Nez de fruits rouges, un côté boisé coco bien présent mais pas dérangeant pour autant, le tout semble quand même un peu sucré.
En bouche, l'attaque et le milieu de bouche sont pleins de fruits rouges bien murs, une sucrosité bien là mais qui s'étiole sur la finale. Un vin léger, de corps moyen. La longueur est correcte. Un vin de plaisir qui se laisse bien boire, sans grande complexité cependant. Mais c'est propre!

Kracher Auslese Traminer 2010

Robe limpide, d'un jaune pomme golden.

Nez sur la rose, le litchi, un côté raisin frais de table à la muscat. Je ne ressens pas de note de botrytis (miel, abricot).
En bouche, l'attaque est discrète, c'est surtout le milieu de bouche qui est plein. L’aromatique est semblable à celle du nez, avec le côté miel en plus. Je ne ressens pas d'acidité particulière, mais le tout évite toute lourdeur. La finale est d'une longueur correcte pour un liquoreux, principalement sur un arôme de raisin blanc de table, à la muscat (au fait, je n'ai jamais gouté un liquoreux sans longueur acceptable??un liquoreux peut il tomber tout d'un coup, malgré le sucre??).

Cela doit être un sacré challenge à l'aveugle de différencier un traminer d'un gewürtztraminer. Sur le coup, je fail à 100%!

Burgenland TBA Scheurebe Weinlaubenhof Kracher Number 9 2007

N’étant pas un connaisseur des vins autrichiens ou allemands, je traduis :
Burgenland : c’est la région (en Autriche).
TBA (Trocken Beeren Auslese) : c’est le niveau le plus riche en sucre.
Scheurebe : c'est le cépage.
Weinlaubenhof Kracher : c’est le domaine
Number 9 : c’est une indication supplémentaire du niveau de SR (c’est le maximum, il y en a 344 g/l !).
2007 : vous avez compris …
Je précise qu’il titre 6,5 ° et que l’acidité est de 9,4 g.

Bouteille bue lors d'une dégustation relatée ICI et carafée juste avant service.

Jean-Loup

La robe est très ambrée.
Le nez est puissant, fruité, sur la pomme et le coing.
Hyper concentrée, la bouche est à la limite de l’excès, avec presque autant à manger qu’à boire …
Malgré tout l’acidité se ressent et permet de soutenir quelque peu ce monstre.
Bu tout seul, cet extra-terrestre est plus proche d’un sirop que d’un vin … Difficile à noter !

Julien

Plus de notes.
Nez assez monolithique sur la pomme mûre.
Bouche hyper sucrée, très grasse. Je sature un peu.

Weinlaubenhof Kracher, TBA Scheurebe Nr 3 2010, Zwischen den Seen

Il faut féliciter le domaine pour mettre à disposition la fiche technique de chaque vin de manière assez simple.
SR: 215g
Acidité: 10,5g
Alcool: 11%

Une version numéro 3 du TBA de cépage Scheurebe en millésime 2010. J'avais gouté le numéro 10 du même millésime au domaine (donc plus de SR soit 300g) qui m'avait absolument scotché. D'ailleurs, le seul vin qui m’aie scotché de la dégustation.

La robe est d'un très joli et limpide jaune or.
Au premier nez, le vin présente une note monolithique sur le litchi, et laisse présager d'une certaine lourdeur en bouche...
Pourtant, dès la première micro seconde, l'acidité du vin vous saisit l'ensemble des papilles et du palais, elle est dantesque mais salvatrice, tranchant absolument impeccablement ces 215g de SR. L'attaque est sur le citron vert, l'abricot, le caramel, et le litchi qui se prolonge sur la finale, avec une petite note de pêche. il n'y a aucune lourdeur dans ce vin tant la finale est claquante.
Après aération, le nez se fait plus fin, oscillant avec précision entre citron vert, tarte à l'abricot, et litchi.
Ce vin est une bombe qui explose. Le petit hic, c'est le chuuuut qui suit, comme après une bombe. La longueur est bonne, mais pas plus. Clairement en retrait par rapport au Nr 10 du même millésime, dont la longueur était interminable.
Je n'aime pas trop les comparaisons entre les vins et les femmes qui se font parfois (côté macho), mais là, elle s'impose à moi. Ce vin, c'est un Top qui vous fait la cour, vous allume, vous rend fou, et se fait la malle avant tout acte de conclusion. Expérience sympa mais un brin frustrante.

Néanmoins, sur ce cépage Scheurebe, Kracher atteint pour moi le top niveau mondial des vins liquoreux, avec les grands allemands et Tokaj. Et quelques sauternes précis, de temps à autres. (me reste du taf ailleurs, I know).

Très bon + et coup de coeur perso.

Weinlaubenhof Kracher, Auslese 2011 1/2bt

Cépages : 60% chardonnay 40% Welschriesling. SR : 72gr/L. Acidité : 7,4 gr/L. Elevage : 11 mois en cuves

Couleur : paille.
Nez : moyennement expressif à l'ouverture, mieux après 2-3h, sur le litchi, le raisin blanc, la pêche, un peu de miel.
Bouche : léger perlant à l'ouverture, très fruitée, peu épaisse, assez sucrée, bonne acidité sans être exceptionnelle, ce sont plus les fruits frais qui l'empêchent de tomber dans la lourdeur, toujours du litchi, de la pêche, de l'abricot, un peu d'épices aussi.
Finale : assez courte, manque un peu de tension.

Un liquoreux sympa, mais on sent que ce n'est qu'une entrée de gamme. Il sera peut-être mieux dans quelques années, mais je m'attendais à plus de tension.

Non, cet Auslese ne se garde pas bien. 2011 est un millésime assez moche en blanc et moyen en liquoreux. Excellent en rouge, pas contre.

Weinlaubenhof Kracher, Auslese Cuvée 2011

Même vin que Tomy63 en décembre.

La robe est jaune paille doré.
Très étonné de trouver également à l'ouverture des notes insistantes de litchi. Le Welchriesling? Du raisin blanc, de la pêche blanche, petite touche florale.
Après je suis globalement d'accord avec Tomy..Fini le fond quelque jour plus tard et le vin était déjà moins punchy, un peu pataud.

Globalement c'est plutôt une déception, surtout la finale, qui tombe nette et une sensation de tannins qui assèchent la bouche pas vraiment habituel dans les liquoreux.

Un produit liquoreux un peu dénué d'âme. Mais c'est pas cher et pas lourd.

Bu lors de la soirée du 16/7/2014.



Alois Kracher, TBA Nouvelle Vague (chardonnay) n°2 1998.

Cédric: Nez sur le coing, les fruits secs (date, figue), l'orange..
Bouche riche, sucres fondus, petit creux en milieu de bouche, belle persistance sur les fruits sec (abricot, figue)
Bien ++

Nico: les 2 Kracher ont fait du bon boulot avec un style riche, un peu boisé, mais des acidités et des équilibres largement au dessus du lot et qu'on peine à trouver dans l'hexagone...

Simon: Robe couleur coca.
Nez sur la noix, les raisins secs, le coing, les figues.
Richesse et relative fraicheur, un très joli sucre.

JB: Miel. Fruits. Complexe.
Assez riche, texture agréable, aucune lourdeur mais ça chauffe un peu en bouche.
Super avec les fromages (sublime assortiment de chez Mons)

Alois Kracher, TBA Nouvelle Vague (chardonnay) n°3 2000.

Cédric: Nez sur l'abricot sec, les blancs .. le miel...
Bouche riche légèrement grasse, sucre bien présent.. Très grosse acidité contrebalançant l'ensemble, pas de côté brulant pour moi.. J'ai même noté l'avoir trouvé plus dans la finesse que le précédent eye rolling smiley Longueur magnifique, jolie finale avec en sus des notées torréfiées et de cigare... Très bien.

Simon: Robe orange
Richesse, grosse acidité mais moins de complexité
Un vin plus massif.
Egalement très bon mais moins à mon goût que le précédent.

JB: Abricot, herbes médicinales. Complexe.
Riche, grosse liqueur, acidité phénoménale.
Seul petit hic, c’est assez brulant, je me demande si une grosse aération n’aurait pas été salutaire.
Très beau tout de même.

Bu lors du VDEWS 2014

Weinlaubenhof Kracher, Welschriesling Trockenbeerenauslese, 2010



Robe vieil or aux reflets grisés.
Joli nez ouvert et puissant, sur les fruits exotiques confits, la papaye, l'aération révélant d'étonnantes notes de fruits rouges qui iront jusqu'à m'évoquer l'eau de vie de framboise.
L'attaque est sur une liqueur très forte qu'une acidité tout aussi impressionnante vient immédiatement trancher.
Le point d'équilibre est redoutable de concentration, sachant se jouer d'une matière épaisse qui jamais ne vire au pâteux et d'une tension dantesque qui lui apporte rythme et une certaine fraicheur, malgré une sucrosité qui reste néanmoins très forte.
Les saveurs sont totalement sur le fruit avec l'impression de croquer dans un ananas caramélisé.
La finale est incroyablement salivante et perdure longtemps sur ces goûts fruités.
Très beau vin, à boire lentement et attendre sereinement.

Weinlaubenhof Kracher, Welschriesling Trockenbeerenauslese (Burgenland – Autriche), 1998



Robe acajou et qui tapisse le verre de larmes presque collantes.
Nez très complexe, concentré et dense, sur le caramel, les épices puis des notes de poire tapée, de fruits exotiques confits avec une forte touche de mine de crayon.
L'attaque est sirupeuse, à l'épaisseur certaine, avec toujours cette acidité gigantesque qui fait saliver et évite l'engluement du palais dans le confit.
L'ensemble reste toutefois très extrême et, derrière de belles notes de confiture d'abricot et de thé, la puissance s'exprime dans une finale très longue mais à la liqueur un peu saturante à mon goût.
Un vin extrême, pour vrai bec à sucres.

Oliv,

aurais-tu plus apprécié le 2010 que le 1998 ?
Je ne connais pas la différence au départ en termes de SR de ces deux vins, mais j'aurais pensé que ton palais (que je commence à connaître un peu en lisant tes CR ) se serait mieux accomodé d'un vin ayant commencé à manger ses sucres.

Edit : connais tu le numéro ? Pour le 2007 que j'ai dégusté (voir un peu plus haut), c'était un number 9 et j'ai compris que plus on se rapprochait de 10, plus il y avait de SR, d'où mon impression de sirop ...

Jean-Loup

Issu d'un millésime particulièrement chaud, ce qui explique la robe très teintée, ce TBA 98 présentait + de 300 g de sucres par litre.

C'est sans doute un peu beaucoup pour moi qui n'ai pas un bec à sucre.

Ah oui, c'est un nummer (et non number comme je l'avais écrit à l'anglaise) 11 !
Donc encre plus liquoreux que mon nummer 9 ...
Merci Oliv.

Jean-Loup

Oui et l'acidité était haute mais pas non plus super haute. 9,1g/l. C'est loin, très loin des standards allemands.

Le dernier 300g/l+ de sucre résiduel que j'ai goûté était un Eiswein* 2010 Allemand, sublime, mais on était à... 17g/l d'acidité.

Ceci dit, en TBA, m'est d'avis que les dernières années (2008, 2009, 2010, 2011) ne sont pas bonnes, jusque 2012 au moins. En Schilfwein, c'est différent, 2009 était très bien par exemple et je pense 2011 aussi (c'est logique puisque les raisins sont passerillés sur claie pas sur pied). Donc c'est vrai que je n'ai pas aimé les millésimes de Kracher depuis 2007, mais il y a de bonnes raison

Bu lors du VDEWS2014

Weingut Kracher, Grande Cuvée, Trockenbeerenauslese, 1999
Chardonnay (80%) et Welschriesling (20%), Magnum



Robe ambrée comme un rhum vieux.
Très beau nez généreux et attirant, sur la confiture d'abricot, le chocolat au lait et de jolies notes safranées.
Bouche puissante, sur une attaque presque violente qui tente de concilier les extrêmes d'une liqueur concentrée et d'une très haute acidité.
Si l'ensemble est très puissant et ne se boit pas à grandes lampées, il n'en reste pas moins remarquablement maitrisé, sans aucun effet d'écœurement ni saturation.
La finale s'ouvre sur des délicieux goûts d'orange et d'abricot et se prolonge très longuement en faisant saliver.
Très joli vin, à siroter lentement !

Bu lors du VDEWS 2014

Weingut Kracher, Beerenauslese, 2011
Double magnum



Robe sur un doré léger.
Splendide nez, frais et très complexe, sur la poire bien mûre, le jasmin, le miel, le thé. L'ensemble est superbement ouvert et parlant !
La bouche est irrésistible de fraicheur et d'équilibre, attaquant sur un très léger perlant et une acidité qui lance parfaitement le vin.
La liqueur est bien mieux équilibrée et à mon goût que sur les TBA, sur un fruit croquant finement miellé et une matière délicate à la fraicheur désaltérante absolument délicieuse.
La finale remarquablement longue appelle avidement à se resservir !
Un vin absolument délicieux !

Je suis d'accord avec toi Oliv, je n'ai jamais aimé ce BA de Kracher (le Auslese était meilleur), jusqu'à la version 2011 où je m'ai trouvé délicieux et complet.

On pourrait en discuter plus amplement, mais je trouve que dans ce type de BA légers, il n'y a pas vraiment ce que j'appelle l'impression de liqueur. Celle-ci apparaît quand le vin dépasse les 200g, avec une acidité assez basse... et je dois dire que j'adore ça
A mon avis, le problème des Kracher actuels, c'est que le potentiel aromatique des vins et leur acidité ne permettent pas de supporter les taux de sucres habituels, même si on aime le vin liquoreux. Pour moi, un TBA doit être une explosion aromatique, pas simplement une texture (ce que je reproche à Yquem, d'ailleurs). A l'heure actuelle, on a plus une texture qu'autre chose.

Pour te faire une idée, et malgré ton désamour des TBA on pourrait parcourir différents TBA/Ruster Ausbruch.

Bonjour à tous,

Bouteille dégustée ce midi, pour accompagner une tarte au citron meringuée maison, un Burgenland Weingut Kracher Eiswein 2011



La robe est très dorée.
Le nez est magnifique et très intense, avec de très beaux arômes de rhubarbe et de fruits exotiques (papaye et goyave, en particulier).
En bouche, c'est riche mais c'est tout de même bien équilibré grâce à une belle acidité. On retrouve plein de fruits exotiques.
L'accord est presque parfait avec la tarte au citron meringuée. Très bien+

Pour moi, c'est un vin qui pèche un peu côté équilibre. Pâteux. Mais surtout, ça manque de complexité. A mon avis, on ne peut aimer que par défaut. Par rapport à un Sauternes, c'est super, mais par rapport à ce qui se fait dans la région, c'est simplement correct.

CR:Traminer Auslese 2011 Alois Kracher

Bouteille destinée à une dégustation comparative mais que j'ai cassée dommage, il faut donc la boire ! (Je casse rarement, mais quand je casse, j'en sauve quand même plus de la moitié :p, à croire que c'est un prétexte).

Le nez est très joli (y compris sur le tapis et la serpillère, même si la chose est sujette à discussion puisque ma femme n'est pas d'accord). Typique du Gewürztraminer, rose et litchi avec une touche briochée et plutôt frais. La bouche est... décevante. Le tapis laissait pourtant préjuger d'un beau vin ! Les arômes sont moyennement intense et assez simples. La bouche est de constitution moyenne, pas dépassée par le sucre mais sans réelle longueur. C'est buvable, correct mais je n'ai même pas eu envie de me servir un verre. Bon, il faut reconnaître que faire ça en 2011 qui n'était pas génial pour les liquoreux, c'est pas mal. 70/100 Un Auslese correct mais vraiment sans plus.

hyllos écrivait:

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> Pour moi, c'est un vin qui pèche un peu côté
> équilibre. Pâteux. Mais surtout, ça manque de
> complexité. A mon avis, on ne peut aimer que par
> défaut. Par rapport à un Sauternes, c'est super,
> mais par rapport à ce qui se fait dans la région,
> c'est simplement correct.

Hyllos,

Quels sont les domaines de la région que tu conseilles ?

Bonjour,

Est-ce que quelqu'un pourra m'expliquer la notion de numorotation des TBA de chez Kracher ?
Y-a-t'il un lien avec les puttonyos (Aszù Hongrois), vu l'histoire commun des deux pays ?