Domaine Marcel Deiss Burlenberg Cru d'Alsace "La colline brûlée" 2014

Aéré une heure, servi à température ambiante, sur du foie gras (accord pas totalement évident mais pas non plus raté).

Nez moyennement ouvert sur la cerise, la violette, légère fraicheur mentholée.
Bouche de demi-corps sur le fruit rouge, acidité un poil mordante en finale. Très légère astringence en finale.
Pas de plaisir particulier sur cette bouteille pour un vin bien fait mais qui ne procure pas de réelle émotion.

Bien en l'état.

Cordialement,

Seb

Domaine Marcel Deiss Alsace Berckem 2015

Florian M nous en dira certainement plus sur l'histoire de cette cuvée mais de ce que j'ai compris lors de ma visite il y a une dizaine de jours (CR à venir), c'est une cuvée très récente.
Issue d'une complantation des 13 cépages alsaciens sur la commune de Bergheim, c'est un demi-sec sur ce millésime.

La robe est jaune moyen. Le nez est expressif, varié :fruits jaunes - abricot, pêche; agrumes type orange, une pointe légère de miel floral. La bouche attaque franchement, on passe par une sensation légèrement moelleuse pour ensuite se laisser emmener par l'acidité et finir sur une touche légèrement saline. C'est un vin sapide au profil original.
J'aime et ma femme aussi, ça tombe bien

Julien

J'ai retrouvé une bouteille de Burlenberg 2000 achetée il y a une dizaine d'année et qui a été conservée en cave un poil chaude (15°), pensez-vous qu'il soit encore buvable, et si oui avec quoi le servir a priori ? J'avoue mon ignorance totale sur les caractères et capacités de ce type de vieux pinots noirs d'alsace...

Bonjour,

a priori, il pourrait encore être buvable. Un seul réflexe, le sommelier et vérifier

S'il est encore bon, il devrait être sur des arômes tertiaires avec des tanins bien fondus. Je partirais sur un gibier à plume, un coq au vin.

Merci, je garde espoir :-) et le passerai à table très prochainement.

Julien: tu as tout juste! Pour un peu plus de précision, une partie du vin vient des jeunes vignes de l'Altenberg. Le reste provenant de diverses parcelles situées à Bergheim essentiellement de calcaires rouges.

Brody: si le vin n'a pas souffert des conditions de stockage, il devrait etre encore très bon. Nous vendons actuellement le 1999 sur notre site web.
Ce sera par conséquent un vin très évolué, avec des notes de sous bois, de brulé, de moka, avec un coté giboyeux. Je l'accorderais sur une belle pièce de bœuf, un sanglier braisé, un pavé de cerf, du pigeon ou pour Pâques qui arrive prochainement, sur une souris d'agneau au thym

Sincèrement,
Florian

Dégustation au domaine Marcel Deiss- Alsace – 14 février 2018

En voyage partagé en Alsace (pour les hommes) et dans les Vosges (pour les femmes) avec un couple d’amis, nous faisons un seule halte viticole commune : le domaine Deiss. Ma femme est en fan et c’est assez rare, il faut en profiter !
Nous sommes accueillis par Florian M dans la grande salle de dégustation, très confortable (surtout en février!) et très bien équipée. Pour celles et ceux qui n’y seraient pas (encore) allé : de belles tables permettant de feuilleter le catalogue des vins et leurs caractéristiques techniques et gustatifs mais aussi cet écran qui permet de visualiser les terroirs, leurs sols, etc. Très didactique. Et en sus, le sens de l’accueil de Florian. Nous avions pris rendez-vous même si la période n’est pas très fréquentée.
La prise de contact est l’occasion de raconter pourquoi nous avons choisi de visiter le domaine et c’est là que le caractère de ma femme peut faire des merveilles. Elle déclare tout de go être allergique à la pourriture noble. Et de louer les qualités les qualités d’un Pinot Gris Bergheim 2005 bu il y a deux ans. PAF ! Florian nous annonce que celui-ci contenait de la pourriture noble ! S’en suit une discussion sur les qualités de celle-ci, sur les caractéristiques des cépages prenant le botrytis, etc. Bref, cela aiguise la curiosité de chacun et nous voilà parti pour déguster presque toute la gamme (on oubliera malheureusement les rouges).


Alsace Pinot Gris 2012
Nez très mûr, sur la pêche, l’abricot, les fruits jaunes en général. La bouche est également riche et très mûre.

Alsace Gewurztraminer 2015
Nez sur l’orange, la rose, frais en bouche avec un joli équilibre et une finale épicée.

Alsace Berckem 2015
Une cuvée de création récente. Un nez aux parfums d’agrumes, intense précède une belle matière très fruitée avec une finale saline.

Alsace Langenberg 2015
Un vin vertical, minéral, salé, sur les agrumes comme le cédrat, très citronné. De la rectitude viticole

Alsace Engelgarten 2014
Aromatique riche et variée, large et salivant. Fera un tabac sur les beaux poissons. A aérer.

Alsace Rotenberg 2013
Arômes exotiques, fruits jaunes. Finale sur le pamplemousse/quinquina. Salivation large, grande densité. A aérer

Alsace Schoffweg 2013
Fruits blancs , agrumes citronnés, droit. Salivation surtout sur le début de la langue.

Alsace Grasberg 2012
Fruits jaunes et agrumes exotiques. Bouche large et puissante. Finalement légèrement saline.

Alsace Gruenspiel 2012
Mirabelle, tabac, une certaine rugosité en bouche (côté pierreux, de la mâche), des notes fugaces de fruits rouges. Un vin pour la table, à la personnalité particulière.

Alsace Burg 2012
Grosse matière, grande densité. Grande palette de fruits jaunes. Long en bouche et malgré ses 50 gr de SR, la perception est à peine celle d’un demi-sec, et encore.

Alsace Huebuhl 2011
Presque 100 % pinot gris botrytisé.
Robe orangée, très confit, sur l’orange, le mile, le coing.

Alsace Grand Cru Altenberg de Bergheim 2011
Grand équilibre sucre/acidité. Fruité dominé par les agrumes, dans un ensemble d’une grande complexité. Finale salivant, sur l’orange pure. Grande finesse. Un dessert à lui tout seul ou éventuellement sur des fromages puissants.

Alsace Grand Cru Schoenenbourg 2013
Droit, fin, sur des agrumes purs, très long en bouche, dans un style aérien. Pour de nobles crustacés et poissons. A aérer.

Alsace Gewurztraminer SGN 2008
160 gr SR
Miel, pain d’épices, orange amère, fruits confits. Le sucre se fait davantage ressentir sur cette cuvée.

En conclusion, une magnifique dégustation menée avec doigté, précision et humour.

Un mot sur les contenants des bouteilles. De magnifiques cartons, à l’ouverture stylisée et surtout le guide des cuvées, complet et tellement pratique. Bravo !


Enfin, un dernier mot sur la franchise avec laquelle Florian nous a répondu sur les prix pratiqués par le domaine et celui demandé pour la dégustation, démarche hautement compréhensible et justifiée.

Julien

Domaine Marcel Deiss, Schoenenbourg 2005:
La robe m'a paru soutenue, bien dorée.
Le nez est sur le miel, la mandarine.
J'aime beaucoup la bouche, assez puissante, avec l'acidité bien présente et de beaux amers. C'est assez tendu, complexe. J'ai beaucoup apprécié ce vin.
Le 2006 goûté lors d'une session LPV avait montré plus de résiduels ce qui ne m'avait pas empêché de l'apprécier également.
Bernard

Quel beau vin, Bernard!
Je n'ai pas le même ressenti sur la bouche de ce vin demi-sec.
J'y ai trouvé des fleurs blanches, du coing , du miel mais c'est surtout la structure que j'ai trouvé différente:
J'ai eu l'impression de boire un jus de fruit tant le bel équilibre était sur la légèreté.
Quelle buvabilité!

Gilles

Domaine Marcel Deiss, Alsace Bergheim Pinot Gris 2003

Cette bouteille m'a été offerte par Florian lors de notre visite au domaine en février. Encore merci à lui

Le bouchon est récalcitrant : il colle au goulot. Il se casse alors et reste collé par morceaux au goulot --> il faudra carafer. Je ne sais si cela aura un effet bénéfique mais le vin est alors bien ouvert.
Son aromatique est sur l'abricot, la pêche jaune, le miel. La bouche est souple, soutenue par une trame acide légère mais présente, un résiduel contenu.

Joli vin qui permet de mesurer l'évolution du style du domaine avec les assemblages.

Julien

Alsace
Jean-Michel Deiss, l’homme qui parle avec sa vigne.

www.lemonde.fr/vins/...

Domaine Marcel Deiss, Alsace, Burlenberg, La Colline Brûlée, 2004

Bue lors d'un combat de pinots chez Leguitou

Marc C: notes fromagères (pas loin du roquefort) qui n'arriveront pas se dissiper. Bouche stricte sur une finale amère. Pas de plaisir sur ce vin de mon côté

Frisette: La robe est légèrement tuilée. On a un nez de café, torrefié, sur le cuir et le musc, complexe et témoin d’une certaine belle évolution. La bouche est puissante, avec une structure énorme encadrant une matière qui ne l’est pas moins. Pour moi, ce vin a très bien évolué. Effectivement, en dégustation purement analytique, il pourrait pâtir face à des vins plus jeunes, mais quel accord avec le filet mignon ! N’ayant peur de rien (et surtout pas du ridicule!), et sachant qu’il y aurait un Grand Cru Bourguignon à maturité, je place ce vin ni plus ni moins que dans le Clos de Vougeot ! Excellent (17/20)

intéressant grand écart : la question qui me vient tout de suite est de savoir si le fait de savoir qu'il y avait un gd cru Bourguignon n'a pas téléguidé ton appréciation de ce vin dès lors que tu a s pensé qu'il s'agissait de lui. (et par là même positivé un avis a priori sur des facteurs non directement liés au vin intrinsèquement)

C'est vrai que ce vin a fait parler autour de la table. Il est probable qu'une part d'inconscient m'ait fait suggérer le Grand Cru. Ce vin a été servi en fin de série (8/10), et aucun avant celui-ci, n'avait ni cette stature ni cette belle évolution selon moi. J'y ai trouvé malgré tout de l'équilibre, de la puissance, de la longueur, de la densité et de la complexité aromatique. Ces éléments m'ont fait pencher pour le Grand Cru. La question est, si j'ai bien compris, n'ai je pas un peu surévalué mon avis, compte tenu de ces éléments? Peut être. Certainement même. Néanmoins, une preuve qui n'engage que moi et qui ne trompe pas, c'est que si je retrouve ce vin sur une table je le prendrai ou si j'ai l'occasion d'en encaver, je le ferai. Avec plaisir. Après, qu'il ait réellement le rang ou la stature d'un Grand Cru, peu (m)'importe...mais quoiqu'il en soit, il a dominé ce jour là les pinots bourguignons!
A noter également la très belle prestation du Clos de la Faille d'Albert Mann, ainsi que le Wassmer (Mosel allemande), ce qui montre bien que la (future?) grande terre à pinot se trouve à l'Est.

Florian
Merci , pour tes commentaires , j ai personnellement encavé 2014 , 2015 , 2016 , j ai retrouvé dans les entrailles de LPV cette échange que nous avions eu , en phase avec ce que tu pense aujourd'hui hui

www.lapassionduvin.c...

didier

ce qui montre bien que la (future?) grande terre à pinot se trouve à l'est.

oui et l'Est, ça peut-être beaucoup plus loin encore que l'Alsace ou l'autre rive du Rhin.
les vingt prochaines années le montreront sans doute.

Marcel Deiss - Burg - 2012

Vin ample, complexe, moelleux, équilibré par une fine acidité. La finale est longue, marquée par l'amertume (écorce d'agrumes). Le très beau fruité (coing, mirabelle) et l'alcool imperceptible font de ce vin une superbe gourmandise.

Bu ici : www.lapassionduvin.c...

Marcel Deiss - Grand cru Mambourg 2006 : (complantation de tous les pinots, sols marno-calcaires) Couleur ambrée, nez très original et très complexe, frangipane, nougatine, café, orange, coing, thé vert, épices orientales... Bouche bien plus sèche que ce que laissait penser le nez. A l'aveugle tout le monde pense à un vieux vin qui aurait "mangé" ses sucres. Déroutant au départ, puis finalement très bon, avec beaucoup d'ampleur, de la puissance, une belle acidité, de la longueur. Exceptionnel.

Antoine :
Alors là j'avoue platement être passé à côté de ce vin lors de notre soirée, et ce n'est pas dû à la qualité du breuvage mais bien à une défaillance du dégustateur !
J'ai donc emporté le reste de la bouteille pour y revenir à tête reposée le lendemain, et j'ai alors pu mesurer l'invraisemblable personnalité de ce vin, qui ne correspond à rien de ce que j'ai pu goûter jusque là... ceci explique certainement cela, je n'était sans doute pas prêt à ça lors de la soirée !!
Alors je suis finalement sckotché par ce vin. La bouche est complètement sèche, puissante, déconnectée des cépages qui composent ce vin (complantation de tous les pinots). Elle est à la fois puissante et subtile, déploie des arômes difficiles à décrire, mais justifie à mes yeux à elle seule l'entreprise des Deiss d'aller au-delà de toute viticulture conventionnelle et de pousser les expériences à la vigne (et aussi à la dégustation) ! Proposer un vin au caractère aussi fort, aussi détaché de tout cépage en pleine Alsace, il faut le faire !
Un vin qui appelle le lyrisme, et qui est bien à l'image de Jean-Michel Deiss. Le Burg 2000 m'avait beaucup plu... mais avec ce grand cru en effet, on est dans une expression plus complète, plus subtile, supérieure... c'est pour moi une fenêtre entre-ouverte sur toute une démarche quasiment subversive. Je me suis fait avoir en dégustant dans la soirée : j'étais sûrement pris dans tous mes repères et a priori, je n'ai su m'en détacher de suite pour m'ouvrir à ce vin...

Le Burlenberg 1999 Deiss est arrivé après une bulle, 3 blancs et un 1er rouge. J'avais une grosse attente sur cette bouteille dans la mesure où on ne boit pas souvent des pinots noirs alsaciens et que le domaine fais très bon en blanc.

Le vin s'est vraiment bien présenté. Il a trouvé son équilibre avec une architecture extérieure solide et, les fondations bien assurées, un intérieur accueillant avec du grain pour faire le liant entre la structure extérieure et la souplesse intérieure.

Une main de fer dans un gant de velours. Très bon vin.

C'est dommage Maxime de ne pas avoir fait un CR global de votre soirée
Stéphane

Bonsoir,

Petite question au hasard, y aurait-il des personnes du forum qui aurait ouvert une bouteille d'un des 3 Grands Crus sur le millésime 2014 dernièrement ?

Souhaitant en ouvrir 1 pour les fêtes, et bien qu'ayant plusieurs exemplaires des 3 crus, je ne voudrais pas me retrouver à ouvrir une bouteille qui serait en phase de fermeture.

Merci d'avance.

Seb.

Le domaine vous répondrait avec plaisir, n'hésitez pas à le contacter.

Altenberg de Bergheim 2005

Épaulée 1heure. Bouchon parfait, avec quelques cristaux de sucre accrochés. le vin présente une belle robe or, et le nez est complexe et riche. Le vin offre un bel équilibre porté par cette trame propre aussi aux riesling grains nobles, et leur magnifique tension. Le vin me déçoit toutefois un peu sur l'énergie et sa tension, et sa longueur n'est pas celle des grands liquoreux que produit cette superbe région.

Les cristaux sur le bouchon ne sont pas plus du sucre que ceux dans le comté ou le parmesan ne sont du sel.

Plus d’infos sur www.lapassionduvin.c...

Bonsoir,

Domaine Marcel Deiss – Altenberg de Bergheim – Grand Cru d’Alsace – 2014

Bouteille ouverte 8 heures avant service avec un passage de 4h30 en carafe, pour accompagner un foie gras poêlé avec des morceaux de pommes rôties.

Visuel : La robe est d’un beau jaune doré.

Nez : Assez bien expressif, on est sur les notes de fruits exotiques (litchi, mangue, ananas), de fruits jaunes (coing, abricot), de notes de pétrole, de fumé, de fleurs (rose), de miel, d’agrumes (pamplemousse, orange),

Bouche : Le vin présente une matière ample, large, avec une sensation de puissance maîtrisée. Une certaine richesse en sucres est ressentie mais la trame acide présente permet un bel équilibre pour donner un vin aérien. Les arômes du nez sont également présent, que ce soit les fruits jaunes, les fruits exotiques, les notes de miel, de pétrole, de fumé, de fleurs, d’agrumes. La finale est d’une très belle longueur, avec des fins amers d’agrumes (peaux d’orange, zeste de citron), de confitures d’orange, de fruits jaune confits et les fines de pétrole.

Très belle bouteille que voilà, certes jeune, avec un bon potentiel pour la cuvée (je sais que je peux attendre sans soucis les prochaines). Très bon accord avec le plat.

Si je devais faire un comparatif entre cette cuvée et les cuvées VT de chez Agathe Bursin bues aussi pour Noël (réveillon et le jour même), je dirais que l’Altenbergn de Deiss est dans la maîtrise de la puissance (mais de belle complexité) où les cuvées de chez Agathe sont dans la maîtrise de la richesse (en termes de sucres résiduels).

Bonne soirée,

Seb.

Domaine Marcel Deiss – Langenberg 2007

Robe jaune appuyé.
Nez typé Riesling avec ces notes terpéniques caractéristiques.
Bouche sur un équilibre demi-sec, avec de fines notes salines en finale.
Belle alliance, avec un saumon mariné.
Un très bon vin d'apéritif, mais une petite déception pour moi : pas d'explosion de saveurs et une finale courte.

B++

Antoine

Domaine Deiss – Gewurztraminer GC Altenberg de Bergheim – SGN – 1995

Robe très évoluée.
Nez sur l'abricot, la figue, l'ananas confit.
Bouche suave, notes de guimauve, de fruits confits, de caramel, pas ou peu de marqueurs du cépage, difficile à deviner à l'aveugle !
Un très beau liquoreux mais qui finit un peu court, moins de matière et d'opulence que dans le vin suivant (edit : Suronde 1997 !)

TB

Antoine

Domaine Deiss – pinot gris GC Altenberg de Bergheim – SGN – 1996

Un verre servi à l’aveugle par mon caviste pour la bonne année !



Même si le cépage et le millesime diffère, je me retrouve vraiment dans la description d’Antoine.
J’ai juste trouvé que la longueur était plutôt correcte et mon fond de verre amenait une touche fumé ( tourbé ) assez agréable.
Je connais très peu les liquoreux de cette région . J’ai retrouvé le millesime mais je suis parti sur un jurançon
On est juste à l’opposé, c’etait dur de faire mieux

Une expérience intéressante

TRÈS BON

J’ai retrouvé le millesime mais je suis parti sur un jurançon

Sans doute que le niveau d'acidité du millésime y est aussi pour quelque chose.

jlj

Je trouve que, globalement, au vieillissement, la frontière entre VT/SGN Alsace et Liquoreux du sud ouest est très fine. Un peu comme pinot noir et Châteauneuf...