Oui et en même temps .... une usine qui pète, ce n'est qu'une usine qui pète !
On a été vachement désensibilisé : 11 septembre, 21 septembre....notre dame et tant d'autres....Une désensibilisation hyper efficace avec toutes ces images tournant en boucles pendant 456 heures et tous ces lieux communs de tristesse des mêmes qui ne s'offusquent de rien tant que ça n'arrive pas et nous qui quelques jours après oublions rattrapés par le rythme imposé par notre époque.
Cherchez un rayon de soleil comme un chirurgien fait de l'humour noir.... c'est humain.
Mais avec tout ça, à l'heure d'aujourd'hui, une seule question prévaut et qui rend ridicule toute péripéties ponctuelles ici où là : quelle terre allons nous laisser aux suivants ?
Je n'ai pas la réponse mais une tendance se dessine alors en attendant, buvons et santé à tous !
Pour m’être un jour lubrifié la tuyauterie avec, je suis pas étonné que l’inconscient qui a approché la cuve (surplus...) de Clos Rougeot soit immédiatement parti en fumée avec son contenu hyper volatile !
Courage aux pompiers qui travaillent au cœur de la fournaise et ses émanations méphitiques...
Merci Olivier.
Redresser l'terroir à la dynamite et à la pelleteuse, je laisse ça à nos amis bourguignons.
Au Clos, nous travaillons au cure-dent et au coton-tige. Plus pour très longtemps, d'ailleurs, puisque ces salauds d'écolos ont réussi à les faire interdire...
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Etant donné la réputation du véritable Clos de Rougeot, ils peuvent se permettre de vendre cette contrefaçon à 70 € !
Bon, c'est pour un litre et pas une bouteille de 75 cl, mais quand même !
6 pages
Et pas une seule dégustation.
Je pense que je vais sacrifier mon unique exemplaire de 2018
Et tant qu'à faire, j'imagine le mettre en face d'un autre mythe que personne ne goûte, un
vin cher bon marché burdigondalien
Sur des gencives de porc à l'Eaudouce?
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