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oliv écrit: Piémont
Pourquoi il faut sauver le Barolo classique d’assemblage.
www.wine-searcher.co...
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Eric B écrit: Pour l'instant, Bordeaux a peu cédé à cette nouvelle mode, alors qu'il y aurait des parcelles monocépage qui pourraient donner des vins spectaculaires. J'ai eu l'occasion d'en boire quelques uns avant que l'assemblage soit réalisé. Aussi bons soient-ils, l'assemblage est toujours supérieur aux vins qui le composent.
Oui exactement ! En particulier sur une petite appellation (en surface) comme Côte-Rôtie, a-t-on réellement tant de terroirs différents (sans couper les cheveux en quatre...)? Sur une grande appellation je peux comprendre sans trop de souci que les terroirs sont plus inégaux, mais sur une centaine d'hectares je doute de l'intérêt d'avoir plus de quelques cuvées parcellaires (et encore une fois sans dégrader les vins non-parcellaires de l'appellation).Le parcellaire a probablement bon dos à certains endroits pour créer une cuvée plus chère (Côte Rotie en est un bon exemple, comme tu le mentionnais).
Pour finir, ce n'est pas tout noir ou tout blanc, j'ai plein d'exemples ou il existe du parcellaire car au départ le terroir est vraiment différent, (sol, exposition, etc..); les vins qui en résultent ne sont pas forcément plus qualitatif que la cuvée générique, mais expriment autre chose (une touche minérale sur tel chenin, une touche mentholée sur tel cabernet sauvignon, plus de fraicheur sur cette syrah du languedoc exposée nord, etc..).
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mgtusi écrit: L'assemblage de plusieurs climats est courant en Bourgogne dans les millésimes où il y a eu une production insuffisante.
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joualle écrit:
C'est un peu le débat entre le vin et lieu : faut-il que le vin soit "grand", le meilleur possible, en confondant des lieux, ou faut-il que le vin ne soit que le vecteur d'expression du lieu, quitte à manquer certaines années de la complexité ou de l'équilibre que lui aurait apporté l'assemblage ? C'est la vielle dispute entre les grands vins de Bordeaux et des grands climats de Bourgogne. Pour la première vision du vin, le vin est d'abord un objet de plaisir, bu pour lui-même qui doit être aussi bon que possible et mettre en valeur le château qui l'a fait. Pour la seconde, le vin est d'abord la belle représentation d'un lieu qui doit-être aussi fidèle que possible pour mettre en valeur le terroir qui l'a vu naître.
Cette seconde vision a plus d'un attrait surtout à l'ère de la globalisation et de l'accélération des rythmes de vies. Elle ouvre à la contemplation d'un paysage, nous y enracine et nous fait même pénétrer les profondeurs d'une terre qui échappent habituellement à tous nos sens, et qui pourtant nous engloutissent et résistent au temps. Sans vouloir relancer de vieux débats, on frise l'expérience esthétique voire mystique.
Pour ma part, je trouve que les cuvées parcellaires sont passionnantes dégustées au domaine, où les lieux croisés révèlent leur différence par comparaison les unes avec les autres, toutes choses étant égales par ailleurs (cépages, maturités, vinifications). Hors de ce contexte, si l'on n'est pas un habitué de ces parcellaires, la singularité n'est pas aussi précisément perceptible et, face à des vins bien faits, l'enthousiasme retombe un peu.
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