Vinification
Du retour en grâce de l'élevage en amphore.

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Rhône
Le vieillissement du vin en amphores : un phénomène qui commence à prendre dans le Vaucluse.

www.francebleu.fr/in...

Bordeaux
Vin en jarre : plus qu’une mode, une recherche de fruité, de pureté et de complexité.

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Bourgogne
À Morey-Saint-Denis, en Côte de Nuits, le vigneron et négociant Frédéric Magnien élève désormais une partie de ses vins dans des contenants en terre cuite. Le goût s’en trouve changé.

avis-vin.lefigaro.fr...

oliv écrit: Bourgogne
À Morey-Saint-Denis, en Côte de Nuits, le vigneron et négociant Frédéric Magnien élève désormais une partie de ses vins dans des contenants en terre cuite. Le goût s’en trouve changé.

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Portugal
Le retour d'une tradition en Alentejo.

www.winemag.com/2019...

Canada
Un premier vignoble québécois propose du vin en amphore !

www.ledroit.com/affa...

Amphore : la nouvelle révolution des vignerons

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Bourgogne
Des vins de l'Yonne blancs, rouges et même oranges nés dans des amphores.

www.lyonne.fr/prehy-...

Techno
Dans le Blayais, un vigneron vient de recevoir deux jarres en céramique imprimées en 3D à Limoges. Dans les Côtes-du-Rhône, un autre producteur en attend un exemplaire avec un fond pointu.

www.vitisphere.com/a...

Franchement ce type de vinification et surtout d'élevage, sans parler de skin contact est bigrement attirant. Par contre, les enterrer, c'est une vraie nécessité ; sinon autant prendre du flextank, c'est moins cher.

Etant adepte de découvertes et, je l'espère, assez ouvert d'esprit, j'ai pas mal dégusté de vins ayant subit une vinification et/ou un élevage en amphore depuis 2 ans. Globalement, il me semble que les résultats sont plus intéressants sur les blancs. Donnant des vins avec une personnalité à part. Parfois marqués par une plus forte réduction à l'ouverture, mais, in fine, des vins plus "gastronomiques". Alors, est-ce totalement dû au contenant "amphore", ou au vigneron qui y met plus de sa personne pour réussir ces cuvées? 

Par contre, jusqu'à présent, et sur des vins, globalement jeune, j'ai moins été charmé sur les rouges. Ils me semblent, certes, plus fruités, après aération, mais souvent plus dur. De fait, si l'attaque peut y gagner en fruité, la finale casse souvent cette gourmandise. Mais j'ai encavé plusieurs rouges avec l'objectif de voir ce qu'ils donneront d'ici 5 à 10 ans.

Si vous ne l'avez pas vu, le reportage "à la source du vin" 
 

écrit:

Par contre, les enterrer, c'est une vraie nécessité ; sinon autant prendre du flextank, c'est moins cher.

Je ne comprends pas le sens de cette remarque.....
La terre amènerait quoi ( à part une inertie thermique SI enterrée profond ? )
Accessoirement, on parle d'amphore / jarre au sens générique, alors que la diversité des comportement est grande devant les divers procédés de fabrication ( bcp plus hétérogène que des marques de barriques différentes par ex. )

 

écrit:

Par contre, jusqu'à présent, et sur des vins, globalement jeune, j'ai moins été charmé sur les rouges. Ils me semblent, certes, plus fruités, après aération, mais souvent plus dur. De fait, si l'attaque peut y gagner en fruité, la finale casse souvent cette gourmandise. Mais j'ai encavé plusieurs rouges avec l'objectif de voir ce qu'ils donneront d'ici 5 à 10 ans.

L'erreur typique du vinificateur "débutant" serait de balancer le même vin brut ( même process habituel ) dans son amphore, à la place d'une barrique assez jeune ( plus ou moins chauffée et encore "poreuse" ), et attendre le miracle.....
A part le non apport de composés boisés ( versus la barrique jeune ), il reste aussi une gestion redox différentes rapport aux autres composants inertes ( béton revétu ou non, inox ). Il est logique que des tanins réactifs en fin de fin de vinif, habituellement assouplis par une sucrosité du bois ( éventuellement ) et par un apport oxygène conséquent, une fois mis en jarre, ait un comportement différent. Et que les tanins réactifs restent...réactifs. Donc plus astringeants et / ou plus amers. Le fruité relatif plus fort vient par exemple d'un non masque par le bois, ou d'une réduction moindre versus l'inox.

Je vais me répéter, mais sur des rouges robustes et de garde moyenne / longue, les meilleures choses goutées ont été pour moi une succession des 2 élevages. Par exemple 12 ou 18 mois en barrique, PUIS 1 an en amphore. Si je devais extrapoler, sur des matières de fait trés robustes, on y retrouve en accéléré les profils des Gran Reserva, ou du domaine Peyre Rose ( qui commercialise après pal mal d'années sous verre ).

Mais si on compare avec du béton brut en cuve de toute petite capacité, les différences deviennent alors assez maigres.....Je ne défend ni l'un ni l'autre, ni mêmes leurs contraires, je m'en fiche totalement, mais je préfère le dire.
 

Hygiène de chai
Comment bien nettoyer et désinfecter une amphore ?

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Provence
Les viticulteurs du Var se tournent désormais vers les amphores pour produire leur vin.

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