Donc tu fais valoir tes titres pour justifier le fait qu’ici tu laisses des messages uniquement destiné à entretenir une polémique avec laquelle ton site n’a rien à voir. Tu viens porter ton jugement sur ma personne dans sur une question qui ne te concerne pas ...Et c’est moi le casse pied!?
Curieuse manière de toujours répondre comme si tu te plaçais au dessus de tes interlocuteurs et comme si tu n’avais jamais eu de comportement visant à exclure ou supprimer sur ton site!
Je crois au contraire que tu ne supportes pas l’idée qu’une personne puisse avoir de la répartie. Mais il est certain que cela est assez aisé tant tes arguments sont scolaires et prévisibles.
Ah la la Jérôme, t’observer ainsi, inchangé, dans tes manières de faire me rendrait presque nostalgique.
Mais non, je ne regrette rien.
Terminé pour ce court échange qui n’aurait Jamais dû avoir lieu.

N'étant pas sur FB je n'ai rien suivi mais la réponse de B. Ente me semble courte. Il joue clairement le joueur plutôt que le ballon...

Marc

je suis 100% d'accord avec Marc. Trop facile la réponse de B Ente. M. Essa n'a cité personne et a exprimé son point de vue. La forme était selon moi virile mais correcte.
S'indigner de la forme c'est vraiment vouloir consommer du temps sur un sujet de faible importance.

oui, enfin M Ente ne va pas photographier les vignes des voisins pour critiquer en public le travail qui y est fait. Faudrait quand même pas faire passer son allocation avant la raison.

Demeter, -)
je te fais remarquer en passant que je n'ai fait que répondre à un message posté dans ce fil qui m'a poussé en effet à voir le paquet de crottes facebookiennes.
Je pense que ton beau père, le plus grand dégustateur de bourgogne qu'il m'ait été donné de rencontrer, des chardonnays à 7 grammes d'acidité tartrique et mûrs de surcroît, il a dû en ramasser un paquet dans sa vie. C'est vrai aussi qu'il les ramassait fin septembre.
Aujourd'hui, les équilibres de maturité ont totalement changé.
La vraie question et elle est intéressante est de savoir si on doit préserver cette fraîcheur ou si on doit préférer avoir des raisins physiologiquement mûrs mais à 14,5 degrés et une acidité au ras des pâquerettes pour vendanger.
je pense que tout se respecte mais qu'il y a avant tout la loi du marché et cette volonté presque paradoxale aujourd'hui car contre nature d'avoir des vins sur la fraîcheur dans un contexte de hausse des températures moyennes et d'une maturation beaucoup plus rapide (et donc moins complète) des grappes, avec le corolaire de la baisse de l'acidité moyenne dans tous les vignobles, après une ère parkérienne pendant laquelle on a encensé les vins mous et larges.

Mais Jerome tu écrits, sans savoir, n’importe quoi, aveuglé que tu es par le seul souci - comme ce vigneron que je ne connais pas et auquel je n’ai jamais adressé la parole! - de me dégommer sans comprendre.
Mes vins entrés tardivement ne font pas 14.5 mais 13, mes ph sont plus bas et les acidités tartriques mieux équilibrées. Puisque tu fouines sur FB va voir mes analyses - elles sont toutes en ligne, pas seulement celle qui va bien - par simple souci de transparence.
Quand tu écrits ce genre de chose il faut montrer ce que tu as fait, clairement et lisiblement.
Essaie juste d’oublier Qui je suis et d’interpreter Tout cela sereinement. Pour une fois bon sang fait un effort!

où as-tu pensé que je parlais de tes vins ?
mégalo à ce point ?

Quelle allocation Jérôme. Effectivement cirer des pompes pour une alloc. de Côtes de Beaune c'est tout moi... A nouveau on joue le joueur plutôt que le ballon ?

Marc

Tu joues sur les mots. En posant cela ici tu induits que couper tard abouti à ce genre d’equilibre Hors précisément toute ma démonstration vise à expliquer le contraire. Mais pour cela il faut que tu essaies de faire un effort de compréhension. Et volontairement tu joues à l'imbécile.
Non, Le Domaine n’ a jamais rentré de vins aussi peu mûrs physiologiquement. Je dispose d’analyse depuis 1968...

Je ne prétends pas que la domaine a ramassé des raisins peu mûrs : tu ne sais pas lire décidément. Je dis que le niveau d'acidité des raisins à maturité physiologique a baissé du fait des changements climatiques. Rien de plus.
Je dis également que les maturités d'aujourd'hui ne ressemblent en rien à ce qu'elles étaient autrefois. elles sont plus précoces et souvent moins complètes nonobstant des niveaux de sucres élevés et des acidités basses.

Je pose la question de ce qu'il faut privilégier aujourd'hui : je pose cette question clairement et sereinement sans en avoir la réponse. Et je ne me permettrait pas de juger qui que ce soit sur ses choix et sur ses styles.

Cela rejoint également le débat récurent du bon niveau de maturité pour faire le meilleur vin possible. Du reste m'a-t-il semblé te lire, mais il y a longtemps et c'était "avant" que les meilleures expressions des terroirs ne se faisaient pas avec des raisins très mûrs.

Oui te fatigue pas, je sais que tu vas ergoter sur très, trop, etc et qu'on va tourner en rond.
ôte toi aussi de l'idée que tu représentes quoi que ce soit de signifiant dans ma façon d'aborder les débats. Ce qui ne m'empêchera pas de traquer tes dépassements ici.

Personnellement, j'ai la chance de faire du vin dans une zone où les vins possèdent encore un niveau d'acidité relativement élevé à maturité, même s'il est plus faible qu'avant.

Il y a une question qui n'est pas abordée mais qui est très importante sur ces questions, c'est celle du matériel végétal : tous les clones ne donnent pas la même réponse.

Une anecdote quand même : un des plus grands chardonnays que j'ai goûté est un chardonnay slovène de 1990 bu en 2017. Une jeunesse incroyable, une race, une profondeur digne d'un grand cru de Chablis dans un grand millésime : à sa naissance, de l'aveu même du vigneron, il était imbuvable d'une acidité mordante et verte, ramassé en sous maturité.
Je ne tire aucune conclusion de cette expérience, mais je l'ai vécue et elle me fait réfléchir

Il y a une réduction sur les tarifs avec l'allocation si on prend parti de façon ouverte ?

Si oui, je suis très (très très) intéressé pour soutenir M. Essa (ça me permettra de goûter ses Meursault )

Plus sérieusement, ce débat d'initiés me met mal à l'aise et je rejoins l'avis de M. Pérez, on ne photographie pas le travail de ses concurrents pour les dénigrer publiquement.

Mais où avez vous vu des photos prises par moi, d’autres vignes que les miennes?
Montrez les si vous les avez. Sinon rectifiez vos messages.
Tout cela est évidemment parfaitement faux. Il ne faut pas croire tout ce qui s’ecrit.
Par ailleurs QUI écrit sur les climats - En libre accès - bourguignons depuis plus de 15 ans pour mettre en valeur des dizaines de Crus...et producteurs?
C’est marrant de cela on ne parle pas...

Patrick,
Ne viens pas non plus inverser les rôles en version Calimero de l'arroseur arrosé.
Tous ceux qui te lisent sur l'intégralité des formats sur lesquels tu t'exprimes depuis deux décennies ou presque ne sont pas amnésiques et savent parfaitement trier dans tes propos le bon grain de l'ivraie.
Tes articles de fond sur le vignoble bourguignon sont d'une qualité reconnue de tous.
Tes saillies et agressions toutes aussi récurrentes forment en revanche un côté obscur pénible pour l'amateur et totalement insupportable pour le(s) collègue(s) ou autre mis en cause.
Venir s'étonner de réactions derrière dépasse donc la mauvaise foi...

Le sujet des dates de vendanges fait partie des décisions importantes prises par le vigneron.
La finalité de ce post est donc d'échanger sur ces questions.

J'ai la naïveté de penser qu'on doit pouvoir s'exprimer sur ce sujet comme sur d'autres en évitant les certitudes donneuses de leçons et les noms d'oiseaux.
Et ce d'autant plus quand la meilleure des apologies de ses choix vignerons reste finalement le vin mis en bouteilles et donc ouvert au jugement des clients.
Qu'il y ait plusieurs écoles faites de choix divers et peut-être irréconciliables participe aussi de la richesse d'un vignoble.
A l'amateur de faire ses choix en fonction de ses goûts.
Nul besoin de se prétendre le paladin d'une vérité incarnée dans une Voie ou Voix Unique. Ou si c'est le cas, ne pas venir s'étonner de réactions virulentes à la mesure de l'intolérance des propos émis.

Bonne vendange,
Oliv

Oliv,
Les vendanges sont terminées. Mais je ne vois pas pourquoi tu me traites de calimero. A aucun moment je ne me suis plaint de quoi que ce soit. Remettre les choses à la bonne place n’a rien d’une démarche larmoyante. C’est mal me connaître.
La parole consensuelle lénifiante de celui qui - encore une fois - se place au-dessus de son interlocuteur pour diluer son message est un registre dans lequel tu excelles au point que tant de qualités sont parfois emportées par un politiquement correct que tu cultives souhait.

Je ne retire rien de mes appréciations sur le millésime et je crois qu’en l’occurrence le temps viendra forcément remettre toutes choses à sa place.
...Nous en reparlerons dans cette encyclopédie « reconnue » et en atttendant je t’offre son dernier opus sans te demander la moindre obole:

www.degustateurs.pro...

Dépêche toi de cliquer sur le lien, « Jeje l’effaceur » rôde...

Donc logiquement maintenant je vais avoir un des JAvaux sur le paltaux!

Bonnes fermentations, donc !

Pour le reste, toute l'équipe a assez goûté de ta dialectique pour ne pas tomber dans le panneau.

Oui tu a son raison le philosophe qui sommeille en toi sait aussi siffler la fin d’une partie lorsque son issue est incertaine.

Jérôme Pérez écrit: Aujourd'hui, les équilibres de maturité ont totalement changé.

Ben justement, pour revenir sur la dite analyse.
On a facilement et trop tôt bien assez de sucres,
Les acidités chutent plutôt trop tôt,
Mais la maturité pellicule arrive ...plus tard.

Sur cette base d'analyse, on peut quand même se dire qu'il était urgent de ne pas forcément se précipiter.

Certes, on a le droit de faire un chardo de noble origine a priori ( sud du 21 donc ) dans un style particulier, et on a même le droit de le vendre au prix moyen du lieu si on a des acheteurs en face. Pour autant, est ce que le consommateur doit s'en réjouir ? Moi, non.
Je précise que je ne connais absolument pas le domaine en question. j!e trouve par contre que le document support utilisé résulte d'un choix malheureux.....

Merci agitateur. Enfin quelqu’un qui perçoit le sens de ma saillie et de mes propos.
Il est urgent que les connaissances sur la maturité physiologique des raisins en année chaude soient intégrées par l’ensemble des producteurs pour que nous ne soyons plus la risée de toute la Bourgogne. Car c’est cela qui est entrain de se passer.
Les courtiers qui rentrent des moûts à 11.5 avec des tartriques comprises entre 7.2 et 8.3 se voient refuser parfois leurs transactions. La valeur marchande du Meursault en moût est moindre que celle de ses voisines pour cette raison.
Par ailleurs ce sont les vignerons des communes de rouges qui ont des parcelles sur la côte des blancs qui coupent leurs raisins aux meilleurs moments de leur maturité. Un comble!

Par ailleurs QUI écrit sur les climats - En libre accès - bourguignons depuis plus de 15 ans pour mettre en valeur des dizaines de Crus...et producteurs?
C’est marrant de cela on ne parle pas...

c'est qui qui ? hein ?

les climats en libre accès bourguignons ? trop fort Patrick. Il en reste ?

Agitateur, nous disons peu ou prou la même chose. Et tu en sais bien plus que moi.
Mais libre à chacun c'est certain, comme tu le dis. Cependant, cette dictature du strident et de la fraîcheur / vivacité est une vraie réalité, aussi réelle que le changement climatique.

Une question au grand spécialiste planétaire des vignes du voisin : le niveau moyen des tartriques à Chablis en premier et grand cru, c'est quoi, à maturité, aujourd'hui ?

Entre 5.5 et 6.4. A l’inverse de toi j’en vinifie depuis dix ans.
Agitateur n'écrit Vraiment pas la même chose que toi et surtout pas avec la volonté de ne pas comprendre.
Mes textes sont gratuits, nul besoin d’ironiser Là dessus tu y perds surtout du crédit. Mais en as-tu encore dans ce Débat?

ce n'est pas moi qui en parle, mais M. Rossignol.
ne te trompe pas d'interlocuteur.
maintenant que ça ne te fasses pas plaisir que tout cela remonte à la surface, je peux comprendre ; mais bon ...

je te promets que s'il dément ses propos, je le publierai

Et alors un type dit une chose et tu prends cela pour argent comptant car cela t’arrange?
Je t’ai connu plus juste.
Son travail est par ailleurs excellent dans le domaine dont il est regisseur. Mais si nous nous sommes croisé une fois ou deux, jamais nous n’avons eu l'occasion de dialoguer.

Rien ne remonte à la surface- ou alors montre moi - et je sais bien que tu n’as pas la grandeur d’âme suffisante pour apporter la moindre droite et juste réponse à tes messages écrits tous à charge sans essayer de comprendre.

Bourgogne
Vendanges 2018, « ça me rappelle 1999 ».

www.allaboutburgundy...

Par contre, il y a truc que je n'ai pas suivi:

Au niveau cahier des charges, n'est-il pas interdit, en France, d'à la fois chaptaliser et acidifier le même moût?

Si, c'est interdit de chaptataliser et acidifier le même moût.

Mais pas de chapataliser un moût et acidifier le vin (dont il est issu) si tant est que l'on se trouve dans une zone ou l'on puisse faire ces deux opérations.

Cognac
Les vendanges de l'extrême.

www.sudouest.fr/2018...

Jura
Après une année très chaude et sèche, c’est parti pour les vendanges 2018 à l’extrême nord du Jura.

www.leprogres.fr/jur...

Saint Pourçain
Des raisins blancs pour ouvrir le bal des vendanges dans l'Allier.

www.francebleu.fr/in...

Bourgogne
Illustration de conflits possibles autour des dates de vendanges.

J'ai pu participer à 1/2 journée de vendange chez Pierre Rostaing le 03/09 pour la Bonnette (Condrieu) et aujourd'hui 14/09 à la Grande Viallière chez Stéphane Ogier que je remercie tous les 2 pour leur accueil.
- Chez Pierre, j'ai vu une vigne splendide (en amphithéâtre), avec beaucoup de raisins "bien sucrés", peu de raisins flétris et pratiquement pas de raisins secs. Très belle vendange, Pierre m'a dit qu'on flirterait avec les 15°; à titre personnel, je me dis que la quantité confortable de de raisins évitera qu'on ait plus de degrés. Le lendemain, le Moulin - Côte Brune - allait être vendangé avec un degré d'analyse de 14,2°C.
- Chez Stéphane : je découvre avec enchantement la magnifique vigne de la Grande Viallière dans laquelle je n'avais jamais mis les pieds. Magnifique, mais ça penche (à vue de nez, 50-70%). Superbement tenue, avec les schistes apparents, les raisins bien dégagés... Là encore, beaucoup de raisins "bien sucrés", peu de raisins flétris et pratiquement pas de raisins secs, 15,2% à l'analyse, mais Stéphane pense que l'équilibre final sera plus vers 14,5°. Stéphane me dit qu'il pensait attendre un peu compte tenu du beau temps annoncé mais que cette semaine (à partir du 10 septembre), les degrés étaient montés en flèche.
Bilan : beaucoup de beaux raisins, je pressens à titre personnel des vins assez capiteux mais pas outranciers, peut-être comme 2009, mais la dégustation sur fût permettra d'affiner/contredire ce jugement a priori.
David Chapot.