Ralf,

Les vieux Champagne rosé s'accordent très bien avec le Canard ou même le pigeon (souvenir d'un Dom Ruinart 1973 rosé avec un pigeon superbe )

Julien

Je confirme qu'avec du pigeon c'est top

J'avais testé ici avec bonheur : www.lapassionduvin.c...

J'avais fait une recette qui mêlait foie gras et canard pour accompagner un Dom Ruinart rosé 1990

www.boiremanger.net/...

Eric B écrit: Je confirme qu'avec du pigeon c'est top


J'avais fait une recette qui mêlait foie gras et canard pour accompagner un Dom Ruinart rosé 1990

Très grand vin, dans un très grand millésime.

Salut Ralf,

J'ai pris bcp de plaisir avec les 2 bouteilles que j'ai déjà bues à plusieurs reprises chacune, mais un plaisir très différent.

GA 2002 est vraiment à maturité pour moi, même s'il pourra se maintenir encore plusieurs années à ce niveau.
J'aime sa complexité et son équilibre

RD 2002 est plus fougueux et plus puissant, avec me semble t-il plus de longueur en bouche.
En revanche il est moins complexe à ce stade et devrait développer toute la complexité attendue d'ci 10 ans !

Ludovic

Champagne Bollinger R.D. Extra Brut 2002
Carafé au service
Robe assez jeune pour ce vin de 16 ans.
Nez de belle intensité sur la fraîcheur dans un premier temps mais qui s'oriente vite vers notes plus oxydatives moins toniques.
Bouche d'une belle puissance, crémeuse dans un premier temps avec effervescence très fine mais qui disparaît là aussi assez rapidement après le service pour laisser place à un vin moins frais, plus "simple" et plus oxydatif.
Finale agréable sur de jolis amers.
Au final, un champagne très bon quand il a son effervescence, qui disparaît très et trop vite après le service.
A boire
Rapport qualité prix défavorable.
91-92 pts

KRABB
La bulle est très fine dans le verre et presque inexistante en bouche. Légère note oxydative au nez qui s'estompe vite pour partir sur du crémeux et des fruits jaunes. La bouche est vineuse, avec une belle construction et une acidité plaisante. C'est relativement jeune. Un bel ensemble qui manque juste d'un peu de peps et d'une bulle plus gourmande. Je pensais à Bollinger et par déduction à un RD 2002. Bingo et c'est rare !

Dégusté lors de notre soirée Halloween : www.lapassionduvin.c...


Maison Bollinger - Champagne brut Grande Année 2000



Nez très expressif sur la frangipane, les fruits secs, la pomme cuite, avec ce trait pré-oxydatif qui caractérise pour moi certains grands Champagnes.
L'attaque en bouche est nette, ferme, avec de beaux amers et beaucoup de vinosité. C'est ample, classieux, généreux, parfaitement équilibré. Très belle finale sur des notes de craie mouillée.

Excellent.

Bonsoir à tous,

Bollinger, Champagne, Cuvée Réserve, NM

Nez discret avec un peu de brioche. La bouche est très sèche, assez banale, manque de complexité et de longueur. Vu le tarif proposé, je passe.

Assez bien -

Bollinger, Champagne, La Grande Année, 2007

Nez très net et franc sur des notes de beurre frais, de brioche / frangipane. La bouche est longue, sphérique, avec encore ce côté ultra-beurré et un peu de graphite. Un peu écoeurant en dégustation simple, ça devrait être super sur un plat adapté. Trop cher cependant.

Très bien +

Bollinger - Champagne - Cuvée Réserve - NM

Robe or pâle et profonde.
Nez d'une bonne complexité mais surtout d'une finesse admirable (aucun arôme ne domine un autre)
La bouche est au diapason : tout est juste et précis, d'un équilibre d'école. Confort et vivacité se marient à merveille.
Une bulle légèrement envahissante.
Une finale là aussi précise, à la justesse parfaite : vivifiante et aimable. Longueur correcte.

Un vin laissé quelques années en cave.

Cela fait maintenant plus de 15 ans qu'au gré des dégustations de ce vin, une évidence s'impose : laisser cette cuvée vieillir un minimum de 3 ans après achat !

Champagne Bollinger Grande Année 2007

Peu après l'ouverture les premières gorgées étaient assez décevantes ,banales , en aucun cas meilleures qu'une bouteille de brut Spécial Cuvée bue il y a peu .
Avec une bulle assez abondante et un excès de vivacité manquant de classe . Pour moi le moins bon des brut millésimés de la maison Bollinger , parmi ceux que j'ai pu boire .

Je dois dire qu'en fin de bouteille , 1/2h plus tard , le Champagne s'était un peu assagi et avait gagné en vinosité

Bu il y a deux semaines. Avec très grand plaisir. Je conseille de ne pas boire trop froid (moins de 10°) et d'aérer longuement (le vin s'exprimait mieux avec le fromage trois heures après ouverture), si nécessaire carafer.

J'ai récemment fini mes Spécial Cuvée que j'avais acheté il y a 6 ans et effectivement, les dernières bouteilles étaient simplement magnifiques.

J'ai racheté récemment une caisse et la première bouteille ouverte était fortement décevante. Manque de complexité, impression de vin très jeune, sans intérêt et sans rapport avec le prix payé.

Donc, je suis parfaitement d'accord, n'acheter la S.C. que si on peut la laisser vieillir quelques années, sinon cela n'a aucun intérêt. On est mieux de se tourner vers des vins plus immédiats comme Pol Roger

Bollinger,Spécial cuvée.
Rappelons que cette cuvée n'a de spéciale que le nom, c'est d'ailleurs le Brut Sans Année de cette maison champenoise, qui achète un tiers des raisins à des vignerons, le reste provenant de son vignoble propre.

Dégorgement mi 2016. Le vin froid se révèle au départ assez peu disert, si je m'étais arrêté là, j'aurai mis un petit 13.5/20...mais nous le laissons se réchauffer et je sors le thermomètre lingual: 12°.
Il a fallu pour l'anecdote 5 minutes dans le verre entre la sortie du frigo vers 4/5°et le service de 12 cls par verre spiegelau expert.
Servi sur des toast de pain complet et saumon gravlax (mariné sel/aneth)et un chouillat beurrés, le vin se révèle à son aise, manquant tout de même de maturité, car la jeunesse chez Bollinger laisse entrevoir un dosage un poil appuyé, que nous estimons à 9gr.
Terminé sur des toast de pain brioché et foie gras cuit au sel (donc mi-cuit ici)..et bien le gras s’accommode mieux de ce dosage perceptible...mais clairement, le même accord de la veille avec un champagne mature était bien plus convainquant. 15/20 en l'état.
Moralité de notre petite histoire : sauf pour un apéritif au débotté, nous n'ouvrirons plus cette cuvée onéreuse avant 3/4 ans en cave après dégorgement, à moins que -et nous pouvons rêver et être un peu égoïste en ce jour de l'an- Bollinger réduise progressivement son dosage à la limite de l'extra brut, car une matière suffisante est là, au sens bien au dessus de la moyenne des BSA du négoce, au niveau approximatif des cuvées millésimées des récoltants, mais avec 10€ en plus tout de même : 40 € caviste minimum.

Entièrement d’accord .
Une bouteille ouverte à Noel et une aujourd’hui issues d’un achat d’il y a 4 ans en sont la confirmation .....une fois de plus !

Je n'ai pas de SC laissé quelques années en cave, mais j'ai constaté aussi le léger manque de caractère lorsqu'il est acheté juste avant dégustation.

Cela étant dans le cas précis où je l'ai consommé, je tenais à une bulle discrète pour accompagner du caviar aquitain et il a bien joué son rôle, sans manquer d'élégance.

Bollinger – Champagne – Grande Année – 2002

Bue lors du Gala de Noël de LPV Versailles

Jean-Loup
La robe est d’un or moyen, très brillante.
Le nez intense, moins que le Gosset, est classieux par ses beaux arômes fruités, associant fruits blancs comme la pomme et fruits jaunes comme la mirabelle, avec l’émergence d’une précieuse note florale.
La bouche procure une impression d’épanouissement et de suavité, en paraissant légèrement plus dosée que le Gosset, alliant parfaitement ampleur et fraîcheur, jusqu’à un long final salin.
Excellent
Nous avions déjà dégusté le RD 2002 (waouh !) et la Grande Année de ce millésime s’était révélée bouchonnée lors de la même dégustation … Excellente séance de rattrapage !

Ralf
J’ai bien aimé le côté pâtissier et murisaltien (noisette) de ce vin qui faisait plus évolué (dégorgé en 2011 !).
Il était vineux et ample mais porté par une belle acidité.
Excellent

Denis
Le Bollinger ne déméritait pas mais son style est quand même convenu.
Un vin confortable, presque sans surprise mais du coup nettement moins attachant.
Très Bien

Vivien
La robe est or, très brillante, plus limpide peut-être que le précédent.
Le nez est plus onctueux, avec des notes de cire, de noisette grillée, d’épices et de très beaux fruits blancs.
La bouche est de belle opulence, de beau volume, avec de la profondeur, de la matière, une belle salinité, de jolis amers, une très belle texture. L’aromatique dévoile des fruits jaunes, du foin, de la paille, des fruits secs, de la noisette et une superbe longueur.
Magnifique vin. Excellent (+).

Jean-Loup

Bollinger :La Grande Année 2004


CR issu d’une dégustation éclectique : www.lapassionduvin.c...
Robe encore jeune
Bulles très fines
Nez pomme verte , poire , pain grillé ,léger beurre frais .
Je ne suis pas amateur de champagne mais j’apprécie le côté vineux de celui-ci .
Il est certainement à l’aube de sa vie , je vais tenter de faire vieillir la dernière bouteille
TRÈS BON

Champagne Bollinger – RD – 1996

Dégorgé le 1er septembre 2006 et donc bu 13 ans après dégorgement.

Quel vin !!!

Une puissance phénoménale domptée par le temps.

C'est puissant, intense et d'une douceur, d'une harmonie qui pousse au bonheur. L'équilibre est parfait, un confort et une facilité portés par une dynamique pudique qui vient des profondeurs et qui porte le vin d'une façon magistrale.
Un vin à point, complexe, long, à la bulle assagie mais bien présente.
Au niveau des arômes, on est sur un champagne évolué mais à point, aucune fausses notes. Il peut voir venir.
Très grand.

Après coup, j'ai relu des CR sur le RD 2002 avec uniquement 2 ou 3 années de garde après dégorgement : la question du temps de garde après achat peut se poser. Tout comme l'intervalle entre le millésime et la date de dégorgement.

Champagne Brut Bollinger Grande Année » 2007

Bu ici

ENZO DAVIOLO : Nez nettement plus évolué sur des notes champignonnées de girolle.
La bouche est plus oxydative avec des amers présents mais un bel équilibre et une chouette relance sur la finale. Là encore bulle très fine et bonne persistance mais j’avoue une préférence pour le premier. Très Bien.

icna : Le nez est brioché avec un peu de citron.
La bulle est tres fine, on ne la sent presque pas. C'est assez ample et on retrouve le duo citron, brioché avec une touche oxydative. On a un peu d'amer sur une belle longueur salivante et gourmande grâce a une pointe sucrée. Très bien

bis : Nez assez doux, brioché, pomme tatin. Bouche avec peu de bulles, c'est frais, assez vif avec un joli gras. Bien.

Champagne Brut Bollinger Grande Année » 1997

Bu ici

ENZO DAVIOLO : Nez nettement plus évolué sur des notes champignonnées de girolle.
La bouche est plus oxydative avec des amers présents mais un bel équilibre et une chouette relance sur la finale. Là encore bulle très fine et bonne persistance mais j’avoue une préférence pour le premier. Très Bien.

icna : Le nez n'est pas très éloigné du précédent mais plus sur la pomme et le citron.
En bouche on a une bulle fine sur de la pomme, du raisin sec, du gateau anglais. C'est ample mais droit sur une belle longueur citronnée et salivante.
Très Bien

bis : Nez de pomme/cidre, bouche plus crémeuse et moelleuse avec un léger oxydatif. Bien +.

Bue lors de cette soirée
Bollinger Grande Année 2007

Ne sachant quoi servir sur le plateau de fromage qui n'avait pas de thématique particulière, j’ai fait ce qu'un ami m'avait conseillé, et je dois dire que c'était idéal! Grande bouteille! On était sur le c... tellement ce champagne est magistral. Nez très opulent mais avec une grande précision pomme granny brioche beurre c’est généreux on y revient toutes les 2 secondes. En bouche c’est d’une très grande longueur et l’équilibre est magnifique.
Top avec les fromages tout le monde content (pas que ça allait pas avant ça, hein!).

Vince2

Bollinger RD 1996

Dégorgé le 1er septembre 2006

Nez sur les écorces d'orange, le miel et le caramel. L'effervescence est éthérée.

En bouche, c'est la puissance qui frappe avant tout. Mais une puissance maitrisée, avec un toucher très onctueux. En cela ce RD est moins bourrin que son grand frère le RD 1990 à puissance équivalente. La matière est ample, c'est d'une densité incroyable et ça tapisse le palais en douceur.
L'équilibre est très harmonieux, avec une acidité qui tend la matière, c'est à la fois intense et ciselé, vineux à souhait.
Le vin est totalement délié, il s'exprime pleinement, avec plénitude.

La finale est magnifique, ça vrombit sur du velours pendant un long moment.

Un grand RD pour moi.

Tiré de cette superbe soirée

Champagne Bollinger, Grande Année rosé 2004

Avec le Bollinger "Grande Année" 2004 on monte en puissance, en densité, en ampleur.
La robe est "saumonnée". C'est plus vineux et c'est un Champagne (comme le troisième qui suivra) qui peut être le compagnon d'un beau repas. L'élevage, très bien intégré, est encore un peu perceptible, sur des notes grillées, des épices, la rose. Des fruits rouges (fraise, framboise) et des fruits confits accompagnent la palette complexe.
Superbe acidité qui équilibre la solide structure de ce magnifique Champagne qui fût mon préféré malgré l'ovni qui suit (Dom Ruinart 1996).

jlj

Tiré de cette dégustation

Champagne Bollinger Grande année 2005 :

Nez légèrement oxydatif accompagnés d'arômes de fruits blancs et secs et de touches de champignons.
Robe évoluée. La bouche est énergique, évoluée, mais moins que le faisait penser le nez. Il y a une belle densité avec de la rondeur sur des arômes de fruits blancs et jaunes , un léger coté oxydatif. La finale s'étire sur une grande longueur fraîche et sapide terminant sur des notes de frangipane.

Champagne Bollinger, Grande Année 2004

J’ai trouvé ce flacon curieusement beaucoup plus évolué que celui bu il y a 8 mois.

Bulle très très fine avec une robe évoluée.
Nez délicat fleurs blanches , légèrement pâtissier , brioché , poire
Bouche avec de la présence sur les arômes du nez. Persistance correcte sur une acidité douce.
À boire
Très bon

Champagne Bollinger, Grande Année, 2007

Robe d'un bel or, au cordon de bulle très fin, quasi inexistant. Le nez est précis, gourmand, sur de belles notes de brioche et de pâtisserie chaude/viennoiserie, un très beau fruité jaune mûr, un peu de noisette grillée et de torréfaction: superbe. La bouche est en même temps dense, aérienne et voluptueuse, avec un touché velouté et une bulle d'une grande finesse. C'est un vin confortable, très plaisant, délicat et précis aromatiquement (ou l'on reprend les éléments du nez complété par un soupçon de fleurs blanches), même si on devine un bel élevage sous bois. La finale est longue et délicate. C'est Excellent+/Exceptionnel (17,25/20), et c'est bien le minimum à chaque fois que je goûte cette cuvée d'une régularité exemplaire, que l'on pourrait presque prendre pour un beau cru bourguignon avec une très fine effervescence.

Ce vin a été dégusté lors de la soirée "Champagnes" organisée par les Belles Caves de Tours www.lapassionduvin.c...

Le Champagne Bollinger Spécial Cuvée (60 % de pinot noir, 25 % de chardonnay, 15 % de pinot meunier), vineux et persistant au dégorgement récent m'a beaucoup plu malgré son dosage important (8 grammes par litre) grâce à des notes beurrées ainsi qu'une finale longue.

Bollinger Grande Année 2002

Un repas, mes amis ...

Très peu de bulles, ce n'est pas forcément la bouteille idéale pour inaugurer ces verres particuliers.
Une robe jaune foncée. On n'est plus proche d'un vin tranquille que d'une bulle.
Fruits secs, pomme cuite ( pas d'oxydation), des traces de miel, c'est d'une complexité peu habituelle.
La bouche est très vineuse.
Un vin imposant avec beaucoup de matière.
Une belle expérience mais à réserver aux passionnés car je pense que ce champagne est trop différent des bouteilles classiques pour être ouvert avec tout le monde.
C'est presque un champagne de méditation. Il serait préférable de le garder pour un repas moins arrosé afin d'y revenir plus longtemps et plus facilement.

Champagne
Pour la première fois, le champagne Bollinger ouvre ses portes au public cet été !

www.lunion.fr/id1577...

Bu lors de cette soirée.

Bollinger - La Grande Année 2012 Brut
Le nez est de bonne intensité, net et jeune. C'est précis avec un gros fruit sur la pomme verte, pomme reinette, du citron, touche d'épices, un peu d'autolyse sur le grillé et croûte de pain. Pas très complexe, mais cela devrait venir avec le temps.
Bouche assez puissante, vineuse, il y a une belle maturité du fruit et aussi de la fraîcheur. La bulle est un peu envahissante, le vin est fougueux. Touche boisé fine. Beaux amers en finale et excellente longueur.
Très bon.

Maison Bollinger, R.D. 2002

Bulles fines, régulières. Vin dégusté dans des Lehmann Jamesse Prestige.
Nez brioché, grillé/boisé, gourmand sur les fruits rouges et jaunes bien mûrs.
La bouche est très gourmande, crémeuse, un peu plus que le Jacquesson du même millésime, portée par une matière mûre, mais avec une fraîcheur conservée. Ce R.D. 2002 conserve encore un potentiel et un dynamisme en bouche de premier ordre. J'aime beaucoup.