Autre optique ... Attendons également de déguster plutôt ! Il est clair que les vignerons de corton son plus qu'impatient de voir ce que peux réaliser la DRC sur leur "terrain" ! Je suis certain qu'il peut y avoir un effet locomotive et ainsi tirer encore plus vers le haut l'AOC Corton !

Encore faut-il avoir la chance de déguster ces dives bouteilles ? Même en étant allocataire, je ne suis pas certain que je pourrai les découvrir avant achat...
D'accord pour l'effet "Locomotive" mais uniquement pour la qualité des vins et non les prix;)

Christophe

Bonjour à tous,
Pour les fans, le site internet du Domaine est en ligne à l'adresse : www.romanee-conti.fr/ .
Il est assez complet et plutôt 'classieux', à l'image du domaine (en tout cas, moi j'aime bien).
En plus, ils font une offre spéciale pour la mise en ligne du site et pour les 100 premières commandes : pour une caisse de 2007 achetée, ils offrent une romanée-conti 1990

Olivier

Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu...

Beau site mais je ne vois pas de tarifB)

Christophe

Ni surtout le bon de commande !!!

Le site est superbe en tout cas. Je n'ai rien vu en revanche sur les autres cuvées vinifiées par le domaine (Vosne 1er cru, batard montrachet) dont j'ai entendu parler sur le forum.

Le Batard est une cuvée confidentielle(- 300 unités) qui n'est pas vendue et le Vosne est réservé à la restauration...

Christophe

Bonjour,
J'hésite à me porter acquéreur d'un Grands Echézeaux de la DRC 1982. je n'ai jamais gouté, donc j'essaye de me renseigner....et je suis assez surpris de ne rien trouver qualitativement sur cette bouteille...Es ce vraiment si mauvais que cela ?

Richebourg 2004:
La robe est déjà relativement évoluée pour l'âge du cru.
Le nez est très parfumé, pénétrant, évocateur de ce que j'ai déjà pu rencontrer sur ce cru d'autres domaines, avec des senteurs de fleurs légèrement séchées et de fruits assez discrets, mêlés à des notes plus "terriennes", de céleri et d'humus, un nez que je trouve très beau, mais qui ne manque pas de m'étonner (après dévoilement de l'étiquette) quant à son caractère ouvert, expressif et, me semble-t-il, déjà "prêt". Il m'oriente vers un cru de Vosne.
L'attaque en bouche est ronde, la suite se poursuit de façon très soyeuse, d'un bout à l'autre, avec une grande longueur. C'est étonnant, au début je ne suis pas parti sur un grand cru (plutôt un joli premier cru) à cause de la puissance relativement "modeste" en bouche (en tout cas je ne serais certainement pas parti sur un Richebourg). Mais par la suite, le vin se développe petit à petit et devient envahissant en bouche, maintenant son parfum et augmentant par palier son ampleur et son expression aromatique. Personnellement, je serais à ce moment-là davantage parti vers une Romanée-saint-vivant que sur un Richebourg, toujours à cause de cette image que j'ai d'un cru plus puissant en bouche. Je me demande si cet aspect très abordable dès maintenant et beaucoup plus en finesse que je ne l'aurais pensé n'est pas dû au millésime.
En tout cas une très belle bouteille, accompagnée dignement par une entrecôte de Parthenaise, avec un vrai bon gratin deauphinois et un très beau jus en accompagnement.

Vosne Romanée 1er cru cuvée "Duvault Blochet" 1999:
La robe est bien plus "jeune" que celle du Richebourg.
Le nez est expressif, sur les fruits rouge et les fleurs fraiches, il fait jeune également, un peu plus "rustique" que le précédent, moins délicat, mais il faut dire qu'il passe après un sacré "morceau".
L'attaque en bouche est franche, ronde et fruitée, le volume est beau, le vin est encore jeune et fait sentir sa "fougue" qui contraste avec le Richebourg plus patiné. La longueur est très bonne mais encore une fois souffre de la comparaison avec le précédent.
Je n'ai pas pensé au millésime 1999 car le vin faisait vraiment juvénile, quoique donnant déjà beaucoup de plaisir (après, à force, on finit par trouver:D).

En tout cas beaucoup de plaisir avec ces deux vins, la différence d'évolution est très intéressante à observer pour comparer celle-ci sur 2 millésimes différents (étant bien entendu que ces 2 bouteilles ont été conservées depuis leur achat, à leur sortie, dans la même cave).
Merci au généreux "ouvreur", et au très bon cuisinier qui nous a permis d'accompagner dignement ces bouteilles(tu).

Chaque année, la société "Grains Nobles" organise une dégustation des vins du domaine de la Romanée Conti. C'est Aubert de Villaine qui présente ses vins, assisté de Michel Bettane et Bernard Burtschy. Il nous présente les 2007.

Le millésime 2007 est un millésime hors normes. On avait l'impression d'être "battus" par la nature, et il y a eu le miracle du pinot noir. Avril a été très chaud et le vent des Rameaux a fait penser à une année sèche. Mai a été très mauvais, suscitant le mildiou, l'oïdium et le botrytis très précoce. La floraison a été très longue et la récolte de moyenne quantité, très millerandée. Il y a eu de très petits raisins, signes de qualité. Les véraisons et les qualités se sont étagées. Il y a eu un fort décalage entre le pinot noir et le chardonnay, en retard de dix jours, alors que c'est normalement très différent. Le botrytis s'est développé en août, freiné par le froid. A partir du 20 août, le soleil arrive et le vent du nord arrête le botrytis. Les raisins mûrissent et la maturation est très rapide ainsi que la concentration, grâce au vent du nord. Les vendanges ont commencé le 1er septembre, sur dix jours. Il y a eu 15 à 20% de botrytis à éliminer à la vigne puis à la table de tri. La vendange s'est faite en deux temps : les raisins les plus fins, puis les plus grosses grappes. Le Montrachet moins attaqué par le botrytis a été vendangé à partir du 17/09, une semaine après la fin des rouges, avec des raisins très sains.

Cet exposé où Aubert de Villaine a jalonné le temps de ses choix successifs est passionnant.

Pour nous faire la bouche, nous commençons par un Bourgogne Générique de Dominique Laurent 2007 à la couleur rose rubis, a nez très pur, de belle amertume, droit. Le vin est très poivré, strict et très vert, mais très prometteur.

L' Echézeaux Domaine de la Romanée Conti 2007 est d'un rouge très clair et très pur. Le nez est celui d'un vin très jeune, pas très défini. La bouche est très fruitée mais verte. Michel Bettane dit que les raisins sont plus mûrs que ce qu'on imagine. Le final est très vert avec une astringence nette. C'est un vin pur, sans concession. La mâche est très délicate et l'acidité sera la base de la longévité. Aubert dit que le vin est aérien. C'est un vin marqué par la pureté, la finesse, la droiture, la fraîcheur au final très long.

Le Grands Echézeaux Domaine de la Romanée Conti 2007 est d'un rouge un peu plus profond. Le nez est plus profond, très droit et pur. En bouche, le strict prend le dessus. Il est poivré, tendu. Lui aussi est très vert et manque un peu de fruit. Je ressens plus la rigueur de la vinification que le fruit. C'est un vin ascétique, très concentré, avec de la matière. Il durera éternellement. Quand le vin s'échauffe, un joli fruit apparaît.

La Romanée Saint-Vivant Domaine de la Romanée Conti 2007 est d'un rouge encore plus profond. Le nez est élégant. On sent plus le sel. Le nez est très fort. Il est Romanée et plus sauvage aussi. Le nez est plus profond. En bouche, il y a une râpe qui est très Domaine de la Romanée Conti. Qu'est-ce que c'est bon ! Il y a un charme énorme. Le fruit est beau. On est dans le domaine de la séduction et de la volupté. C'est la vie sous Louis XV ! Dans le final, il y a le sel que j'adore dans les vins du Domaine.

Le Richebourg Domaine de la Romanée Conti 2007 a un rouge de rubis superbe. Le nez est encore plus profond, mais il est moins Domaine de la Romanée Conti que la Romanée Saint-Vivant. Le goût est plus guerrier, plus viril, et le final est glorieux. Il y a moins de fruit, mais le final est spectaculaire. Il y a le sel du Domaine. J'aime la Romanée Saint-Vivant pour son charme et le Richebourg pour son sel et son final glorieux.

La Tâche Domaine de la Romanée Conti 2007 est fait de vignes qui en 2007 ont une moyenne d'âge de 52 ans. Le rouge est encore plus profond. Le nez est impérial, montrant encore plus d'équilibre. Le nez est beaucoup plus riche. Le fruit explose à l'attaque. Puis le sel arrive et le final est en sel, avec du poivre. Ce vin est une promesse extrême. Il a la puissance, l'équilibre et la trace saline où le fruit va se découvrir avec le temps. Ce vin promet énormément. Aubert évoque vanille et réglisse. Le fruit se développe et ce vin est imprégnant, possessif. Il est très La Tâche. Michel parle de son toucher de bouche énorme.

La Romanée Conti Domaine de la Romanée Conti 2007 est d'une robe plus claire, mais pas si claire que cela, comme elle en a la réputation, Bernard Noblet estimant que pour ce vin, la couleur serait un maquillage trop fardé. Oui, on retrouve au nez les pétales de rose et le sel. On y est ! C'est le charme absolu. Le final fou est plus grand que celui du Richebourg. Même si je suis conditionné pour l'aimer, et je ne peux pas m'empêcher d'avoir un petit frisson quand je bois cette Romanée, ce vin est immense. Il y a le fruit, le sel et surtout la complexité. Il n'est pas facile à comprendre, ne se livre pas tant que cela, et mon voisin d'en face me dit qu'il n'arrive pas à vibrer sur ce vin alors qu'il a compris tous les autres. Le final du vin, c'est le sel et les roses, avec des fruits rouge pâle. Il a le charme et l'équilibre. Il faudra attendre avant qu'il n'atteigne la gloire de la Romanée Conti.

Le Montrachet Domaine de la Romanée Conti 2007 est un vin qui ne se fait que depuis 1966. Il est d'un jaune d'or et son nez est opulent. La richesse est exceptionnelle. Les raisins ont été cueillis très mûris, car Aubert estime que cela conserve la fraîcheur. Cela donne des vins au style opulent. Celui que nous buvons est encore fermé mais grand. Il est strict, mais élégant. Il a de la présence et du fruité. Il s'ouvre et montre qu'il est riche, au final merveilleux d'élégance et de persistance. La minéralité (on retrouve le sel) est assortie de poivre, de zestes de citron. Il est grand, sel et épices. Sa fraîcheur est remarquable. C'est un vin sans défaut.

Aubert de Villaine est impressionnant quand il expose sa démarche vers l'excellence absolue, avec humilité et le doute du scientifique. La dégustation est une démonstration éclatante du talent du Domaine de la Romanée Conti en matière de choix des raisins et de vinification. Les vins de 2007 sont graciles, assez stricts, et nous combleront de joie par leur élégance d'une année légère dans au moins une dizaine d'années.

0,90 €

Dès qu'il faut mettre son grain de sel, je vois que Frank est là .
Sébastien

C'est vrai que c'est une caractéristique qui me fascine des vins de DRC, cette minéralité qui donne l'impression de lécher un pain de sel. Avec un peu plus d'émotion, bien sûr.
Pour moi - et peut-être seulement pour moi - sel et pétales de roses (mets une photo de rose pour qu'on ait le panorama complet) forment la signature DRC.

Franck montre à juste titre que pour 0,90 € on peut éprouver ce que donne la Romanée Conti.

Franck, dis-nous vite où trouves-tu le sel Cérébos à 0,90 € !

Moi je ne l'ai pas trouvé à moins de 1,05 €

J'étais moins sensible à ses notes de sel que François. Les rouges sont parfumés, fruités (avec certaines notes florales) et de demi-corps.

Pour corriger et compléter les informations sur le Montrachet, c'est une vigne qui a été achetée en 1963 au Comte de Moucheron. 1964 et 1965 ont été produits en petite quantité, mais la qualité n'était pas assez bonne pour le domaine, qui préfère donc dire que le premier millésime officiel est le 1966. Quant aux raisins ils étaient plutôt marqués par le botrytis en 2007, et le vin le montre bien par sa richesse. Les vendanges étaient tardives, et comme Aubert de Villaine l'a souligné "Le Montrachet est capable de garder de la fraîcheur malgré une haute maturité des raisins".

David
www.moselfinewines.com/

David,
Merci de la précision.
Personne n'arrivera à trouver des Montrachet DRC de 1964 et 1965. Le premier millésime possible est le 1966, d'où ma phrase : "qui ne se fait que depuis 1966", même s'il y a eu des essais avant.
D'accord avec tout ce que tu as dit.

Pour moi, le sel, c'est un PPCM

Je n'ai jamais bu le moindre cl d'un - bon - vin du DRC, mais je comprends ce que veut dire François.
Je pense moi-même avoir été confronté à cette tension presque saline que peuvent avoir certains blancs.
C'était avec un Clos Mireille du Domaine Ott

Vincent

les embruns de la méditerranée ça Vincent, les embruns....;)

DRC Montrachet
achetée en 1963 au Comte de moucheron 0,341 ha cadastrenr. 31
achetée en 1965 au monsieur Roizot 0,167 ha cadastrenr. 129
achetée en 1980 au roland Thévenin 0,168 ha cadastrenr. 130
total 0,676 ha
1965 totale 1824 Bt.

Bu hier au restaurant en tête à tête avec mon meilleur pote :

Domaine de la Romanée Conti - Grands Echézeaux 1982.....................
que l'addition aurait été encore plus salée que ca ne m'aurait même pas dérangé tant le vin était magique ^^.
quand le sommelier à porté la bouteille, le niveau m'a fait un peu peur genre 5 vrai centimètres sous le bouchon (une trace d'étiquette comme celles que l'on appose lors de vente aux enchères ne m'a pas rassuré non plus)
je voulais refuser mais mon ami à insisté. quel erreur aurai -je fais là :
c'était parfait : quel volume !! ce velours marqué de fruits rouges bien murs et de rose m'a totalement envouté. d'une douceur incomparable, la fraîcheur était extraordinaire et la longueur interminable. et le nez ? je me dis que j'aurai presque pu ne pas le boire juste pour continuer de le sentir éternellement...

fort de ce souvenir (si récent que j'aurai vite fait de m'emballer) je me dis que je me verrais bien en trouver une pour les 30 ans de ce meme pote l'année prochaine...
est-ce encore trouvable? ou ? à quel prix ?
merci LPViens de vos lumières...

bravo !
ça se trouve et ce n'est pas le plus cher des DRC.
A vue de nez on doit pouvoir trouver dans les 500 / 600 € (mais je dis ça sous toutes réserves).
via idealwine ou winesearcher, tu auras des indications.

Bu hier midi une Tâche 1988.

Il s’agit d’une première pour la plupart d’entre nous et donc d’un vrai évènement. Je suis resté extrêmement concentré sur le vin pendant plus de 30 min. Je ne pouvais pas m’en détacher pris à la fois par la beauté du vin mais aussi pour être honnête par le désir d’en profiter au maximum (car je ne suis pas près de le boire à nouveau).

La robe est très évoluée, d’une couleur brique.
Le nez est très puissant, évolué. Superbe complexité avec des arômes de cuir, de sous bois, champignons, un côté minéral assez marqué ainsi que quelques épices douces.
En bouche l’attaque est très douce. Le volume est important. Les tannins sont quasiment absents au début ce qui n’empêche pas que le vin se tienne extrêmement bien grâce à une bonne acidité. Une impression de douceur et de puissance en même temps, très étonnant. Une heure plus tard les tannins auront réapparu donnant au vin un côté plus viril. La finale est extrêmement longue (bien plus de 30 secondes, pas loin de la minute) qui monte doucement en intensité pendant les premières 10 secondes avant de redescendre petit à petit.

Au final, un très grand vin, pour ma part à la hauteur du mythe. Un beau moment d’émotion. Il est aujourd’hui à maturité, à boire sans tarder. Excellent /Exceptionnel

Quentin

Romanée Saint-Vivant Marey-Monge Domaine de la Romanée Conti 1983

Lorsque mon nez se rapproche du verre qui m'est servi de Romanée Saint-Vivant Marey-Monge Domaine de la Romanée Conti 1983, c'est bien la première fois que des sels me feraient m'évanouir. Car ce vin, d'une année cataloguée dans les petites, est diabolique de perversité. Capable d'une absence totale d'objectivité, je suis au bord du climax rien qu'en sentant ce vin. Quel grand vin ! Je me pâme. Le pigeon est d'une rare audace avec cette sauce verte d'une salade qui est la cousine montagnarde de la roquette. En tant que tel, le plat est passionnant. Avec le vin, cela devient très intellectuel. Le vin de la Romanée Conti est assez clairet. En bouche, la salinité du domaine s'expose avec évidence, comme si l'on suçait un galet frotté de sel. Le vin est merveilleux.

Bonjour,

Puis je avoir des avis sur les passionné(e)s qui ont gouté une RC2002 et un La Tache 2002 du DRC .

Merci

Oui,

Mais en échange, de ton coté, pourrais-tu nous en dire un peu plus sur toi ! ? !

Eric

j'ai bu ces vins 2002 de DRC en 2003 de fût, donc mon avis n'a pas la pertinence d'une dégustation récente.

Bu cette semaine un Vosne Romanée cuvée Duvault Blochet 2004 de la DRC,
le vin s'annonce par une belle robe rouge brique et quelques reflets marrons; le nez est très envoûtant avec des arômes de noix de coco , de vanille/caramel et d'humus puis après agitation des notes plus complexes apparaissent ,telles que le poivre , le menthol et la châtaigne.
En bouche c'est excellent , le vin est très soyeux et tapisse tout le palais , c'est vraiment très très doux ! On est dans le même registre que le nez avec en tête la châtaigne , la vanille , la violette et une petite pointe fumée.On retrouve la "patte" du domaine évoquée par François avec cette salinité qui est très agréable.
La finale est très gourmande sur les fruits rouges , avec cependant un peu trop d'alcool qui ressort... dommage !
Un très bon vin qui aurait pu être sublime sans cette finale alcoolisée !

amicalement
Charles

Vino77 écrivait:

---

> Bu cette semaine un Vosne Romanée cuvée Duvault
> Blochet 2004 de la DRC,
> le vin s'annonce par une belle robe rouge brique
> et quelques reflets marrons; le nez est très
> envoûtant avec des arômes de noix de coco , de
> vanille/caramel et d'humus puis après agitation
> des notes plus complexes apparaissent ,telles que
> le poivre , le menthol et la châtaigne.
> En bouche c'est excellent , le vin est très soyeux
> et tapisse tout le palais , c'est vraiment très
> très doux ! On est dans le même registre que le
> nez avec en tête la châtaigne , la vanille , la
> violette et une petite pointe fumée.On retrouve la
> "patte" du domaine évoquée par François avec cette
> salinité qui est très agréable.
> La finale est très gourmande sur les fruits rouges
> , avec cependant un peu trop d'alcool qui
> ressort... dommage !
> Un très bon vin qui aurait pu être sublime sans
> cette finale alcoolisée !
>
> amicalement
> Charles

Bonjour Charles,

Juste pour info, la bouteille à été bu à quelle température (pas uniquement au moment de sa présence sur la table, mais également tout au long de la dégustation !) - Méfions nous du temps estival qui à tendance à faire monter très/trop rapidement les degrés dans la bouteille ?

Eric

La bouteille a été bue au restaurant , et après avoir visité la cave du restaurant , on m'a expliqué que le vin était maintenu à une température de 15-16° ce qui a donc été la température de service , malheureusement j'ai senti cette finale un peu alcoolisée dès le début lorsque le vin devait être autour de 17-18 °.

amicalement
Charles

Merci pour la réponse Charles.

Eric