Bourgogne
Chambolle par Christophe Roumier.

video.winespectator....

Chambolle Musigny 1er Cru Les Combottes 2007

Bouchon impeccable.
Ouvert et servi immediatement (en parallèle Rayas 2000 et Clos des Fées Vieilles Vignes 2005).
La robe est typique d'un pinot, un rubis clair similaire au Rayas 2000 mais quand même plus profond que le Rayas.
Le nez sur les fruits rouges et noirs pinote, pas de doute sur l'origine, certes étiquette découverte c'est toujours plus facile....
La bouche est soyeuse, du fruit encore du fruit et la longueur exceptionnelle! Le reste de la bouteille servi aujourd'hui ne montre pas d'évolution notable, juste un coté encore plus soyeux. Le vin est toujours superbe. Pour moi devant Rayas 2000, dans un style similaire pour le finesse des tannins, qui pourtant est de très haut niveau. EXCELLENT +
Même dans un petit millésime, Christophe Roumier est capable de faire grand.
Le Clos des Fées VV 2005 n'a pas démérité loin de là, superbe bouteille aussi.

Et j'ai encore un magnifique souvenir des Amoureuses et du Musigny en 2007!

Didier

Dégusté samedi soir Le Clos de Vougeot 1986 de chez Roumier.

Jusqu'à ce jour, je n'avais jamais dégusté de grand cru rouge de Roumier et les quelques bouteilles bues (une dizaine) étaient des villages ou le clos de la bussière sur des millésimes jeunes. Je n'avais jamais été transcendé par ces vins et ne comprenait pas toute la frénésie autour de ces derniers.

Donc l'occasion se prêtait bien d'une fois déguster un grand cru de chez eux et en plus sur mon année de naissance, 1986.

La couleur est très profonde et le nez semble jeune. les arômes sont nobles et le vin a une magnifique acidité. C'est un coureur de fond qui, sous son élégance et sa race, cache un très gros volumes.

Vraiment, je suis très content d'avoir pu me faire une idée plus cohérente sur ce domaine.

Cordialement.

Domaine Roumier Chambolle-Musigny 1er cru les Cras 2008
[size=x-small]Bu à l'aveugle lors de cette soirée .[/size]

Au nez de franches notes de framboise, subsistent aussi quelques traces vanillées, discrètes.

L’attaque est veloutée et fruitée et la bouche fine, mais pleine, est portée par une belle acidité aérienne. La finale est un peu déséquilibrée à mon goût par des tanins un peu asséchants, des amers un peu durs et une acidité un peu haute.

Domaine Georges Roumier - Morey Saint Denis 1er Cru "Clos de la Bussiére" - 2009

Nez un peu serré à l'ouverture qui s'ouvre tranquillement au fur et à mesure du repas malgré un élevage encore un peu présent.
La bouche est d'une belle structure avec des tannins fins, une cerise noire très présente en fin de bouche.
Finale très longue

Très beau vin actuellement mais je pense que c'est vin sera superbe dans quelques années
À attendre tranquillement

Bonjour Samuel,
Tu n'as pas trouvé un manque de fraicheur ? - je l'ai dégusté il y'a 2 mois, je te rejoins sur ton analyse, c'était très bon, mais j'avais trouvé un petit manque de fraicheur en point négatif -
Max

lugdunum écrivait:

---

> Bonjour Samuel,
> Tu n'as pas trouvé un manque de fraicheur ? - je
> l'ai dégusté il y'a 2 mois, je te rejoins sur
> ton analyse, c'était très bon, mais j'avais
> trouvé un petit manque de fraicheur en point
> négatif -
> Max

Non justement, d'ailleurs les personnes présentent avec moi n'ont pas trouvés le millésime et ont été supris de voir 2009
Le vin est mur certes mais ne manque pas de fraicheur (du moins sur cette bouteille)

Vous trouvez que les 2009 en général manquent de fraîcheur ?

J'ai dégusté ce vin il y a quelques mois également et mes sensations ont été identiques à celles de Samuel.
Il ne manquait certainement pas de fraîcheur.

Cordialement,

François

Arrive a Singapour en milieu d'apres midi, je deballe mes affaires et laisse mon amie choisir un des vins que je viens de rapporter. Son choix se porte au hasard sur le bourgogne de Christophe Roumier.

Le bouchon est impeccable.
La couleur est dense, pas forcement typique d'un pinot noir. Cela semble pour moi annoncer une belle matiere.

Au nez, un peu de bois qui l'inquiete car le vin boise n'est pas son style. Pour ma part cela ne m'inquiete pas parce que j'y suis moins sensible et derriere je sens une compote de fruits rouges qui augure d'un vin fantastique. En bouche, c'est une corbeille de fruits rouges, groseille, mures, cerises. Ca tapisse la bouche.
Une legere acidite porte le vin jusqu'en finale avec une tres belle longueur. C'est salivant, irresistible!
La bouteille se vide vite, il faut se moderer pour profiter le plus longtemps possible de ce regal car a Singapour ce n'est pas le genre de vin que l'on trouve sur etagere....!
A l'aveugle, je pense que je serais parti sur un Grand Cru sans probleme.
Mon amie adore ce vin et je la vois emue en le buvant parce que cela lui rappelle les merveilleuses bouteilles bues en France. Celui ci aussi sera memorable.

Un simple Bourgogne d'une classe exceptionnelle. Au risque de choquer certains, je vais le noter comme Grand Vin, Excellent+.

Tu n'as pas perdu de temps pour bien profiter ! ^^

Bonsoir,

Dégusté ce soir un Clos de la Bussière 2005 de chez Roumier

Le vin a été dégusté au restaurant et a été mis en carafe .

Le 1er nez est d'abord discret, le vin a besoin d'air pour s'ouvrir un peu plus. Je laisse donc le verre de côté pour y revenir plus tard. Quelques minutes plus tard le vin se dévoile un peu plus sur des notes de fruits noirs , épices .

En bouche les tannins sont fins , caressant bien le palais , pas de traces d'élevage. Fin de bouche avec une petite acidité qui donne un peu de volume au vin . La longueur est assez courte .

Je ne sais pas trop quoi penser de ce vin pour une 1 ère rencontre. Je l'ai trouvé assez discret plutôt refermé sur lui même. Pas encore prêt pour un 1er cru de 2005 ? Est ce qu'il se bonifiera avec le temps je ne sais pas .

Dans l'état le vin offre peu de plaisir pour ma part .

Cordialement

Alex

tiré de cette dégustation

Chambolle Musigny Domaine Roumier 2007

enzo d'aviolo écrit: Après aération nécessaire dans le verre, joli nez précis sur la cerise mais sans la complexité du précédent. Fait plus jeune.
Ça se confirme en bouche, c'est plus jeune, droit, très bien équilibré et frais. Un joli gras soutient un beau volume et une belle densité du vin qui s'appuie sur de jolis tannins encore présents. Bonne persistance finale plus ferme et droite, d'où un peu d'austérité. Un très beau village encore jeune que j'ai autant apprécié que le précédent pour des raisons différentes. Très Bien (+).

icna écrit: Le nez est plus terriens et sanguins avec plus de puissance.
En bouche ça reste sur la finesse mais en plus intense avec un côté sanguin bien marqué. C'est salivant et assez long mais, en l'état, ça me charme moins que le précédent.
Glou+

Domaine Roumier Chambolle-Musigny 1er cru "les Cras" 2010
Un nez expressif, légèrement réduit, un rien viril, très floral, sur la rose, la framboise, la cerise et une touche de bois.
La bouche est intense, dynamique, belle matière, grande fraicheur, des tannins souples et une longue finale fruitée. En devenir. Très bien

Domaine Roumier Chambolle-Musigny 1er cru "les Cras" 2008
Passé la petite réduction, le nez est similaire au Cras 2010, rose, framboise, cerise avec une petite touche racinaire et terreuse.
La bouche est intense, très fraiche, la matière est fine et précise, les tannins sont fins et souples, l'acidité porte la longue finale.
Plus fin et plus prêt à boire que le 2010. Très bien

Domaine Roumier Chambolle-Musigny 1er cru "les Cras" 2009
La robe est plus foncée que les précédents "Cras", racé, moins expressif, très floral, rose, pivoine, œillet, cerise, groseille et réglisse.
La bouche est ronde, solaire, précise, ample, belle matière, tannins serrés et souples, acidité en retrait et très longue persistance avec une pointe d'alcool en final.
Très bien

Domaine Roumier - Morey Saint Denis 1er Cru "Clos de la Bussière" - 2006

Nez qui pinote à fond. Cerises, épices,et une touche fraiche de menthol
La bouche est superbe de part sa structure, son volume avec une fruit eclatant, un jus soyeux une finale superbe
Rien à dire
C'est parfait et excellent ainsi
Un régal

Chambolle Musigny Domaine Roumier 2008 :

bu lors d'une soirée rencontre avec un lpvien de Lyon :

le nez est d'expression moyenne allant de notes de framboises, de fraises, de poivre blanc, de cerises noires, de vanille, de chêvrefeuille,...
La bouche est onctueuse, assoçièe à de beau tannins nobles qui nous emportent vers une finale de longueur moyenne.
Nous sommes en présence d'un beau représentant de cette appellation sur un millésime que j'affectionne de plus en plusB)-

Salutations vineuses,

Christophe

Bonnes Mares Domaine Georges Roumier 2005

Nez vif et plaisant. Bouche active, racée. On sent qu'on est en présence d'un vin bien construit avec un fruit hyper présent et l'alcool présent aussi.
Il faut dire que j'ai bu hier deux bourgognes, de 1966 et 1959 donc ces aspects de vins jeunes sont plus sensibles pour moi.
Le vin est bon, même grand, mais je dois dire que je suis resté sur ma faim.
Il est bien, presque parfait dans sa construction, mais trop bien.
Il manque une petite étincelle qui fait qu'on l'aimerait.
Très bon tout au long du repas, mais j'ai attendu vainement le moment où il m'aurait ému.
Je suis à peu près sûr que dix ans de plus lui donneraient le charme qu'il doit donner, car il ne m'a montré aucun signe de défaut.
Presque trop parfait serait ma conclusion.

Il faut comprendre que depuis la fin des années 80, Roumier assemble le vin qui provient du terres rouges avec celui qui provient des terres blanches. Avant ça, les vins des terres rouges sont vendus aux USA, et celui des terres blanches en Europe.

Alors, les comparisons des Bonnes-Mares contemporains avec les vieux Bonnes-Mares ne sont pas justes.

J'ai dégusté plusieurs fois les deux cuvées avant leurs assemblages. Les terres rouges donnent un vin plus riche, plus structuré; les terres blanches donnent un vin plus fin et nerveux. Après l'assemblage et pour +/- 15 ans, ce sont les terres rouges qui dominent le vin. Après +/- 15 ans, les terres blanches ressortent et on a plus de finesse dans le vin. C'est un peu come les blancs de Pessac-Léognan et Les Graves: comme vin jeune, le sauvignon domine, mais avec le temps, on sent de plus en plus le sémillon.

Avec encore 5-10 ans +/-, je suis sûr que les Bonnes-Mares 2005 aillent se transformer.

Je suis ravi de lire votre premier message sur LPV.
Merci de ces informations et nous partageons la même idée que ce Bonnes Mares va s'améliorer avec le temps.
Au plaisir de vous lire sur d'autres sujets.

Bonjour,

Superbe robe rubis. Un bouquet complexe et riche envahit le nez. Les fruits rouges, les épices, les bois précieux composent une aromatique dont je ne me lasse pas.
En bouche c'est soyeux, équilibré avec une puissance maîtrisée. L'aromatique en bouche emmène la table sur un grand cru de Gevrey...Une légère pointe d'alcool se fait sentir en milieu de bouche, seul bémol sur ce vin.
La finale est longue et superbe d'intensité. Superbe vin de Bourgogne.

Robe rubis foncée.
Nez sur la cerise bien mure, fruits rouges, notes de ronce, assez classe.
La bouche est juteuse, pleine, avec un beau volume, une fine acidité, sur la cerise mure, légères notes de groseille et mûre, assez complexe, avec des tanins fondus et une jolie finale.
Excellent

Claude,

Pour être exact, Christophe assemble les 2 parcelles de Bonnes Mares "terre blanche" et la parcelle de Bonnes Mares "terre rouge" depuis 1988.
En 1988, il a même fait une petite cuvée de Bonnes Mares vieilles vignes (également un assemblage de terres blanche et rouge).

A partir de 2016, une nouvelle parcelle de terre rouge(en métayage) va entrer dans l'assemblage.

Je trouve que les terres blanche et rouge ont plus de personnalité que lorsqu'elles sont assemblées : cela donne un troisième vin, peut-être plus consensuel mais assez différent des deux composantes.

Christophe pense d'ailleurs que les Bonnes Mares terres blanche et rouge mériteraient d'avoir chacune leur appellation.
D'ailleurs, Jean-Marie Roumier, le père de Christophe les vinifiait et les commercialisait séparément.

Khiem

Domaine Roumier Bonnes Mares 2004
Nez de fraise, groseille, de framboise, de vanille, de réglisse, de rose fanée, de gentiane, d épices orientales et de terre humide.
En bouche, la matière est dense, serrée, les tannins sont souples, la trame acide équilibre bien l'ensemble et étire la finale. Excellent

Christophe est l'un de mes vignerons préférés. Je l'ai donc enrôlé pour mon livre sur les grands domaines bourguignons (Patrimoine Extraordinaire des Vignobles de Bourgogne - Histoires de Vignerons).

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Le livre débute avec Christophe Roumier. Avec sa sœur Delphine, il dirige le Domaine Georges Roumier à Chambolle-Musigny.
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J’ai rencontré Delphine pour la première fois en avril 2005. J’avais pris la grande décision d’aller chercher mes vins au Domaine Roumier plutôt que de me les faire expédier. Vient le moment fort de la visite : Delphine nous invite à goûter le millésime en cours d’élevage. Moi qui répétai à Philippe, tout au long du trajet, à quel point j’aime le Chambolle-Musigny pour sa finesse, je découvre des 2004 en pleine fermentation malolactique. Je comprends enfin pourquoi les vignerons ne font pas goûter leurs vins lorsqu’ils font leur malo. Au nez, ça sent l’œuf pourri. En bouche, c’est écœurant. Le gaz carbonique me retourne l’estomac. Delphine nous avertit en rigolant : « N’en buvez pas trop. C’est laxatif ! »
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Christophe rejoint son père, en 1981, à 23 ans. Jean-Marie n’est guère emballé d’avoir le fiston qui débarque de la fac d’œnologie de Dijon avec ses idées révolutionnaires. Si Jean-Marie accepte que Christophe modifie certaines pratiques dans les vignes, il refuse tout changement qui touche à la vinification. Les idées que Christophe ramène de ses visites chez Henri Jayer ne plaisent pas du tout à son père. Ne pas mettre de levure commerciale ou supprimer un soutirage l’inquiète. Il craint également que la fermentation malolactique tardive ne crée des volatilités et chauffe la cuverie pour lancer la malo. Christophe, qui passe derrière, coupe le chauffage pour justement ralentir la malo. Jean-Marie le rallume… Lorsque Christophe suggère d’arrêter de filtrer, Jean-Marie fait de la résistance. À l’insu de son père, Christophe, qui est en cave, ne filtre que les fins de tonneaux et certaines cuvées. Quand Jean-Marie lui demande s’il a terminé la filtration, le fourbe Christophe acquiesce d’un « Oui ! Oui ! » Après avoir vendangé, Georges et Jean-Marie ont toujours écarté les raisins qui n’étaient pas mûrs ou pas sains mais, ayant connu la guerre et les temps difficiles, ils triaient moins sévèrement que Christophe. Lorsqu’il voit Christophe jeter des grappes entières par terre, Jean-Marie demande : « Pourquoi tu jettes ça ? » Dès que Christophe a le dos tourné, son père les ramasse en douce et les envoie en cuverie.

Mais Jean-Marie voit bien que l’œnologie a fait des progrès et finit par laisser Christophe implanter ses idées. 1984 est le premier vrai millésime vinifié par Christophe.
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Christophe est souvent décrit comme le disciple du célèbre Henri Jayer, même si Henri en avait beaucoup. En 1982, peu de temps après son arrivée au Domaine, Jean-Marie l’emmène déguster chez Henri qu’il connait bien. Christophe débute tout juste son apprentissage. Même s’il est en train d’être formé par son père, des rapports d’échange s’instaurent rapidement entre Christophe et Henri. Celui-ci aime dialoguer avec les jeunes et apprécie Christophe. « Henri était l’un des rares vignerons de sa génération qui aimait apporter des idées constructives aux jeunes et qui les incitait à faire des essais. Il était le premier à m’avoir parlé de macération pré-fermentaire, bien avant Guy Accad : “Tu devrais essayer. Ce n’est pas la peine de mettre des levures industrielles. À quoi ça sert de déclencher les malos ? Laisse-les se faire plus tard, sur des vins stabilisés. Laisse le temps aux levures des raisins de se développer. Il faut cuver un peu plus longtemps. On cuve trop court.” J’étais moins d’accord avec son conseil d’utiliser davantage de fûts neufs. La philosophie du 100% fûts neufs fonctionne chez Henri mais pas forcément chez moi. Henri m’a beaucoup inspiré mais je n’ai pas repris toutes ses idées. Pour moi, il reste inégalé en termes de style, de pureté, de propreté et d’excellence dans les vins. »
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Pour Christophe, ce qui caractérise le Chambolle-Musigny, c’est le soyeux de ses tanins et la qualité de son toucher en bouche. Il y aussi son côté vibrant et jovial. « Un grand Chambolle est un vin très soyeux et très vivant en même temps. La qualité des tanins à Chambolle est particulière et lui confère cette allure élégante. Ça vient certainement de la roche calcaire locale, de la proportion de roche par rapport à l’argile et de la finesse et la qualité des argiles. D’un autre côté, c’est argilo-calcaire partout alors pourquoi le Richebourg est-il différent de la Romanée-Saint Vivant ? Pourquoi le Chambolle est-il comme ça ? Il est vrai qu’en Côte-de-Nuits, c’est à Chambolle qu’il y a le plus de roche et de cailloux. Ici, la roche se fracture et refait surface : les bandes de roches affleurent. » Christophe accorde moins d’importance aux arômes qu’il a du mal à définir.
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Khiem

Ma page Facebook pour plus d'infos :
www.facebook.com/pat...

Encore une très belle vidéo de Lotel du Vin. Si on veut pinailler on aurait aimé encore plus d'entretien avec Christophe Roumier tant le personnage paraît intéressant et sympathique !

A noter que le domaine utilise encore des sortes de bennes et non des cagettes pour rentrer la vendange.



Marc

Merci Marc pour le lien. Excellente video en effet.
Comme tout je suis surpris de l'utilisation de "bennes" qui pourraient abîmer le raisin avant de le mettre en cuve - c.f la profession de foi de LB Leroy sur ce sujet -
Max

Merci Marc, Christophe est quelqu'un de vraiment sympa et c'est toujours un grand plaisir que de passer au Domaine. Et puis ses vins, toujours un bonheur que de les déguster!

Didier