j'ai raté ce terme excessif en effet.
sur le fond, ça ne change rien car boire un jura quand on boit un bourgogne d'origine reconnue, à cause d'un défaut, perso ça me pose un gros problème.

Pourquoi excessif ?

Luc

Houlà, on est toujours "lafon" sur ce sujet.. !!

Merci Laurent de ta patience pour reexpliquer inlassablement le sens de mon CR, car tu l'as parfaitement compris...
Je ne vais pas justifier une énieme fois mon CR, ce que j'ai écrit, je l'assume et puis cela me parait inutile puisque certains l'interprètent différemment ou veulent l'interpréter différemment... mais bon, c'est le jeu d'un forum et quand on publie ici, il faut l'accepter Après, je conçois qu'une touche de polémique peux ressortir de la chute de mon écrit.. mais celle-ci n'a aucun sens caché et ne revèle que la déception d'un amateur qui rêvait de boire un Meursault 1er cru de lafon, donc oui je pleure pour le fait de n'avoir pas pu le gouter comme j'aurais du le gouter et aussi pour notre généreux hote qui s'est délesté d'une de ses plus belles bouteilles pour nous faire plaisir..

Bref !!

--- J'ai aimé ce vin à l'aveugle (que j'ai pensé oxydatif) pour la densité (entre autre) que je n'avais pas rencontré sur les quelques croisés à ce jour.. Après si mon ami JB l'a perçu differement, cela n'engage que lui et chacun respecte la perception de l'autre !!
...et pour rebondir sur une remarque, oui, JB a plus d'expérience sur les juras que moi, c'est d'ailleurs lui qui me les a fait découvrir.
De plus si ce vin m'a plu sous son masque vin du jura, cela n'est pas pour autant une des plus belles bouteilles que j'ai croisé, il faut relativiser... Je ne suis pas un blasé du vin, j'aime chercher le plaisir dans ce que je bois et non systématiquement les défauts ...
--- Je ne suis pas critique de vin et n'ai aucune formation œnologique donc aucune prétention quelconque,
--- Je retranscris fidèlement mon ressenti et comme j'avais tenu ces propos en live, il aurait été "malhonnête" de retourner ma veste sur lpv pour faire du politiquement correct...
--- je ne suis pas un professionnel du vin et n'ai aucun intérêt avec tel ou tel domaine, mes Cr valent ce qu'ils valent et s'efforcent d'être objectifs...

En conclusion, j'assume mes écrits..et merci à ceux qui voudraient intervenir de relire la discussion depuis le début et non pas les interprétations qui en ont suivi..

Slts Cédric

Ps:: je me suis laissé entendre dire que JB allait amener un vin du jura à notre soirée Lpvforez de ce soir, mais puisque c'est à l'aveugle, merci de votre discrétion..-

Luc
je voudrais bien voir la "gueule" de JF Germain, Vincent Dauvissat, JM Raveneau ou tout autre vigneron bourguignon de ce niveau habituel qualitatif si quand ils te servent au cours d'une soirée un de leur vin à l'aveugle, sans rien dire, tu t'exclames, pétard tu nous as sorti un superbe Jura:S
"Succès" garanti. Sans compter que les Jura vinifiés dans cette intention on une autre "énergie" en bouche qu'un Bourgogne un peut trop "évolué"

Bonne journée et fin de discussion pour bibi

Cédric42120
Je m'extasie sur un beau chardo du jura. Je pleure à la vue de l'étiquette...

Oui, je m'extasie car c'est par ma région de prédilection..

En tout cas, par cette conclusion, je voulais exprimer ma subite déception en passant du mot "extasie" au mot "pleure", il n'y rien d'autre à comprendre !!! La prochaine fois, j'essaierai ce smiley

Slts Cédric

je voulais exprimer ma subite déception en passant du mot "extasie" au mot "pleure"

C'est bien comme ça que je l'avais compris, et c'est bien ce qui me dérange (un tout petit peu, hein, c'est juste pour alimenter la discussion... ).
Moi quand je trouve un vin bon à l'aveugle au point de m'extasier, je ne vois pas pourquoi je pleurerais de déception à la vue de l'étiquette.
Certes, on peut regretter son manque de typicité, on peut se dire qu'il aurait sans doute été meilleur encore sans ce "défaut" (mais ça reste à prouver), se dire que ça fait cher l'extase jurassienne alors qu'on était en droit d'attendre une extase bourguignonne (tout de même nettement plus prestigieuse et de meilleur aloi), mais ça reste une extase, et à mon âge, les extases se faisant rares, je ne crache pas dans la soupe quand elles se présentent...

Luc

Rachid: Sans compter que les Jura vinifiés dans cette intention on une autre "énergie" en bouche qu'un Bourgogne un peut trop "évolué"

Tout à fait Rachid, et comme le reconnait Ced il a peu d'expérience en la matière.

J'ajoute que les quelques bouteilles jurassiennes que nous avons pu boire en compagnie de Cedric, entre jura oxydatif, jura ouillé oxydé, jura ouillé avec une pointe oxydative recherchée et jura ouillé plutôt sur la réduction, savagnin / chardo, etc.., ne lui permettent pas d'avoir une vision claire sur le sujet.

Le côté "j'aime, ça ressemble à un jura" et "je n'aime plus parce qu'il s'avère que c'est un bourgogne" me semble plus être une maladresse intellectuelle de la part de Cédric qu'un déni de ses propres goûts, comme l'a très bien compris Laurent.

Bon Cédric, t'as compris ? T'es un gros manche ! ()

Luc

[size=x-small]PS: à lire avec recul et humour, bien entendu...[/size]

pour venir en aide à Cédric, perso je ne ferais pas le malin à l'aveugle pour affirmer avec certitude que je goute un vin en début d'oxydation ou que je goute un vin volontairement oxydatif, car au début du développement du défaut, la limite peut être très ténue.

Bon Cédric, t'as compris ? T'es un gros manche !

Je suis bien d'accord!.
C'est quelqu'un qui confond chateauneuf blanc et riesling alsacien qui vous le dit!

Jean-Bernard écrivait: Le côté "j'aime, ça ressemble à un jura" et "je n'aime plus parce qu'il s'avère que c'est un bourgogne" me semble plus être une maladresse intellectuelle de la part de Cédric .

Eh JB ? je n'ai jamais dit cela, relis moi !... je n'ai jamais dit que je n'aimais plus sachant l'étiquette !!! J'ai juste fait part d'une déception de ne pas le boire comme il se devait...

Aucune maladresse non plus, juste la retranscription de ma perception, un simple plantage avec l'aveugle que j'assume et qui n'a rien de risible pour tout habitué de l'aveugle ..D'ailleurs, je ne pense pas que ma localisation dans le jura ne t'avait choqué.. Tu l'as peut-être modéré par la suite avec ton recul sur cette région, mais aurais-tu parié ton salaire qu'il soit impossible que ce vin soit jurassien ?

[size=x-small]@ Luc: comment cela ? J'ai un gros manche ? ()[/size]
[size=x-small]PS: à lire avec recul et humour, bien entendu...[/size]

J'ai été le premier il me semble à évoquer le jura ce soir là, en faisant référence à un labet 2002 qu'on avait bu ensemble, un chardo ouillé qui présentait une oxydation avancée.
Donc aucun soucis avec l'idée du Jura, c'est juste l'idée du bon jura à la quelle je n'adhère pas.

Domaine des Comtes Lafon - Montrachet 1995
Exceptionnel sur toute la ligne.
Tout est superlatif : parfum, présence, force de conviction, ampleur, gras, complexité, final, rémanence.
Un rêve.
Un grand montrachet.

Bu avec un coquelet avec des artichauts et un risotto de l'ail de l'ours: Volnay 2002 , issu des jeunes vignes en 1er Cru Santenots. Les deux femmes à la table pensaient que le vin n'est pas très spectaculaire. Mais les deux hommes (moi inclu) aimaient le vin beaucoup. Robe grenat. Au nez, très, très fin, des fraises de bois, de la terre, des notes épicés, un peu floral. En bouche, c'est aussi très fin avec des jolis tannins pas trop souples, une acidité vibrante et une bonne structure. Pour mon gout, c'est juste pret a boire maintenant.

Bourgogne
Un portrait du domaine des Comtes Lafon.

www.decanter.com/peo...

Bu au restaurant avant-hier soir, ce Volnay Santenots du milieu 2002 a fait l'unanimité à table. Assez puissant (a fortiori après une récente verticale de Volnay Champan de Voillot) et plutôt sur les fruits noirs, il s'est montré frais et très long en bouche. On aurait pu juste souhaiter un peu plus de complexité mais c'est vraiment pour faire le difficile car cette bouteille était simplement excellente.

Et moi qui essaye de me convaincre, dans ce contexte de hausse tarifaire délirante, de limiter mes achat bourguignons... Grrrr !

Bien cordialement.

Lionel

Un autre rouge du week-end, le Volnay Premier Cru Santenots-du-Milieu 2007 du Domaine des Comtes Lafon.
J'en avais offert une bouteille à Daniel. Il a bu celle-ci avec moi et j'ai été un peu déçu.
Je voulais vérifier s'il s'agissait ou non d'un problème de bouteille.

Aujourd'hui:
-Le nez est élégant, puissant et complexe, mais il me semble y avoir une pointe de gaz qui perturbe la définition des arômes.
L'agitation du verre qui se met à chanter confirme mon hypothèse.
5 ou 6 séries de secousses énergiques (avec une partie du vin qui s'échappe, ma main ne constituant pas un bouchon de bonne qualité ) et je perçois de la cerise, de la groseille, de la fraise et des nuances réglissées.
-La bouche, après agitation, est concentrée, ronde, savoureuse, longue, sans supplément d'acidité pouvant faire évoquer un 2007. La matière tannique dense et fine et l'élégante amertume rendent ce vin excellent.
Par curiosité, je sers un verre de la bouteille, non agitée. Le vin est plus vif et il a une finale piquante, désagréable.
Je compare le contenu des deux verres et la différence est importante.

Très beau vin après agitation.
Mais combien de consommateurs repèrent ce défaut curable et connaissent le traitement?.

PS: à table, et après agitation énergique de la bouteille, ce Volnay me semble grand.

Bu pendant une superbe semaine en Bretagne

Domaine des Comtes Lafon, Volnay, Clos des Chênes, 2003



Oliv
Robe sur un pourpre profond.
Superbe nez puissant et tenu à la fois, sur la liqueur de cerise, la compote de fraises des bois, un élevage épicé remarquablement intégré. Miam !
La bouche est d'une infinie douceur, déroulant une trame suave et juteuse, à la chair ronde et opulente mais sans excès ni confit.
Les goûts sont croquants, nets, assez irrésistibles de gourmandise.
La finale est franche et facile, sur son côté charnu aux tanins imperceptibles et toujours ce beau fruit très mûr.
Délicieux !

Raphaël
Alors là je ne serais jamais allé en Bourgogne mais je m'en souviendrai, les spécialistes m'ont dit que c'était l'effet millésime.
Le nez est énorme comme un beau Rhone.
En bouche, c'est fondant avec du gras. Belle longueur !
Excellent

Bu pendant une superbe semaine en Bretagne

Domaine des Comtes Lafon, Meursault 1er Cru, Goutte d'Or, 2008



Oliv
Robe sur un doré léger.
Nez monolithique, totalement sur l'élevage par des notes de caramel au lait insistantes et à ce stade et à mon goût écœurantes.
La bouche propose un équilibre un peu instable dont on sent qu'il doit se patiner, sur une matière moelleuse et une acidité ferme et assez mal intégrée qui forme un curieux ensemble où chacun semble jouer sa partition de son côté.
L'aromatique est peu causante et n'aide pas à vivifier ce curieux vin.
La finale rappelle les notes d'élevage du nez et manque de cohérence.
Très peu de plaisir sur cette bouteille dont je n'ai absolument aucune idée de comment elle peut évoluer.

Totolouga
Ouvert 4 heures avant.
Le nez me plait bien mais n'est pas très expressif, il est surtout variable.
La bouche me plait bien mais manque de droiture. Pas un grand souvenir de ce vin.
La seule que j'avais en cave, ouf, car ce n'est pas donné au prix caviste !

des notes de caramel au lait insistantes écrit: Oliv

A l'aveugle, ceux sont les notes que l'on recherche pour savoir si c'est un Lafon. Encore il y a quelques mois sur des Perrieres 2002. C'est le problème sur ce Domaine. Je retrouve moins ce problème sur le Clos de la Barre par contre étonnement.

Didier

Je partage totalement le ressenti de Didier, Clos de la Barre inclus ! -D

Bonjour Thierry,

Quel dommage à mon sens d'ouvrir un Santenot aussi jeune...
Pour avoir gouté 97 qui pourtant est un millésime qui s'ouvre bien sois-disant aujourd'hui, et bien le vin était toujours d'une jeunesse incroyable (même à la fin de la bouteille avec aération..)

Ces vins (les Santenots sont je crois les parcelles récoltées en dernier) sont faits pour être gardés 20 ans et plus...! pour se régaler comme il se doit..

Même si pour ma part dans les rouges de Lafon j'ai une nette préférence pour les Clos des Chênes (féminin, soyeux, délicat..) et Champans (tendu, austère, minéral)

A vous lire...

Cordiales salutations

William,

Après une déception, je voulais savoir ce que je faisais de mes bouteilles restantes.
J'en ai sacrifié une, je pense avoir trouvé la cause du problème.
Je garde mes 5 dernières.
Quel dommage à mon sens ce problème de gaz.

Bonjour à tous,



Volnay, Santenots du Milieu Comtes Lafon 2002 : Un nez séduisant, à point, de fruit noir mûr, cerise noire mûre, note champignons, cèpe, pointe réglisse presque menthol, fond amande moka et léger fumé. La bouche est large à l'attaque, avec des tanins soyeux pas très dense mais précis, de la fraicheur, ça devient droit, profond, plus un style long, sur la cerise mure, note épice réglisse, presque menthol, fond champignon, cèpe, léger cuir. La finale est fraiche, pointe acidulée, dynamique belle persistance fruit acidulé, champignon, typé cèpe, amande, et fond de cuir léger. Moins plein et dense, plus long, profond typé austère et moins complet qu'un champans. Excellent 92 (16,5+)

Amicalement Matthieu

Tu crois qu'il peut s'améliorer, Matthieu?
C'est encore un peu tôt pour un 2002.

AL

J'ai eu l'occasion de déguster récemment un Volnay Santenots du Milieu 1989.
J'ai été subjugué par la puissance de ce vin, encore corpulent avec une belle matière et une belle complexité aromatique.
Etant plutôt porté sur les Bordeaux et néophyte sur les grands bourgognes, ce vin a été une véritable révélation!

Bonjour AL,
J'ai plutôt bonne espoir. Santenots, ça affronte le temps surtout 2002 ! Par contre, c'est pas le solaire de 89... La patine va apporter la complexité aromatique, la fraicheur de 202 l'équilibre la tonicité, mon seul doute et ma "déception" c'est que je l'ai trouvé assez peu dense, pas énormément de matière "ressentie", et donc ma crainte c'est qu'il manque de volume à terme, un très bon vin mais pas un grand vin, je souhaite évidemment me tromper :-) !
Amicalement, Matthieu

Vacances humides, vacances torrides !

Domaine des Comtes Lafon, Meursault 1er Cru, Perrières, 2004



Robe assez nettement dorée.
Nez pas très rassurant, sur des notes qui commencent à flirter avec le côté obscur de la pomme, sur le beurre rance, des senteurs presque de curry.
L'attaque en bouche est très puissante, sur une matière large mais déséquilibrée.
L'acidité presque mordante est en effet posée totalement à côté d'une douceur certaine qui provoque un effet pataud et sévère à la fois.
L'aromatique très sur les fruits secs confirme la présence d'oxydation jusque dans une finale longue mais d'un genre qui n'est pas celui que l'on voudrait !

Bu sur une magnifique Dorade cuisinée parfaitement.

Domaine des Comtes Lafon - Meursault "Clos de la Barre" - 2000

La robe est d'un jaune soutenu
Le noisette fraiche est assez nette au nez avec des notes florales et fruits jaunes (abricot)

En bouche le vin est aussi long que large, une belle fraicheur en finale, un élevage intégré, beaucoup de plaisir.

Le vin va s'ouvrir tout au long du repas et sur les fromages le nez est monumental (suffisament pour passer aisément derrière un jura)

Très beau vin

Bu à ce formidable anniversaire!

Domaine de Comtes Lafon, Volnay 1er Cru Champans 2004

Julien
Robe encore jeune, rubis assez prodond mais lumineux.
Le nez est absolument divin avec de la densité, de la profondeur sur la cerise fraiche, la framboise on a une pureté et une netteté incroyable. C'est encore très jeune mais déjà sublime avec des légères épices, un côté sanguin aussi, des pointes floral et un boisé encore légèrement perceptible, magnifique!
La bouche est n'est pas en reste, absolument incroyable pour un 2004 rouge, tellement l'équilibre est parfait, la matière est superbe, juteuse mais élégante, un mélange de classe et de gourmandise et malgré tout ça reste super frais, sur l'orange sanguine et une finale légèrement florale.
C'est encore jeune et sur cette bouteille à mon avis, ça sera encore meilleur d'ici une paire ou deux d'années.
Non seulement c'est un grand vin mais c'est le meilleur 2004 jamais bu, un tour de force!

Romain
J'ai souhaité amener ce vin car je suis de plus en plus séduit par les 2004 (dédicace à Michel). Quand c'est bien fait, dieu que c'est bon. Le nez est très pur, quelques notes de réduction. A l'aération, on perçoit de plus en plus de fruit: cassis, mûre. La bouche est à l'image du nez, droite, précise et élégante. Puis de plus en plus animale et sauvage, avec une bouche sanguine, juteuse et gourmande. Encore très (trop?) jeune. Mais déjà beaucoup de plaisir en l'état et il s'agit également du meilleur 2004 bu à ce jour.

Yann
Robe assez dense, reflets rubis
Nez expressif d’un fruit pur, cerise et fruits rouges, notes boisées intégrées et suie.
Matière ample, fondue d’un superbe équilibre d’une longueur importante, une ode aux fruits (cerise) et quelques note choco.
Superbe.

Camille
Le Volnay 2004 est pour moi aussi l'un des meilleurs 2004 bus en Pinot Noir.spinning ()
Une pureté de fruit et une maturité équilibrée, il faut faire de sortir 14 degrés sur un tel millésime !

Florent
Robe rubis, intense.
Superbe nez de fruits rouges, cerise, fleurs, épices. La précision est remarquable.
Bouche superbe elle aussi, rien ne dépasse, c'est d'une précision et d'une netteté remarquable. Le fruit ressort nettement, la maturité est parfaite (je me demande comment ils ont fait pour tirer 14% sur un 2004?), c'est tout en dentelle avec un très beau touché de bouche. Très belle longueur.
EXCELLENT