c'est fait...
Yoann

Domaine Jean Francois Coche Dury - Meursault 2009

Superbe robe or, nez parfaitement enchanteur, vanille, fleurs blanches... En bouche c'est (pour un village) d'une longueur énorme... Le vin est d'un parfait équilibre entre gras, puissance et finesse! Pour une première rencontre avec le domaine, c'était magnifique. Accord parfait avec des suprêmes de cailles rôtis dans leur jus et une embeurrée de chou.

Domaine Jean-François Coche-Dury Meursault Les Rougeots 2006 :

Choisi au restaurant parmi plusieurs autres Coche-Dury car j'ai l'impression que ce millésime se goûte bien pour le moment sur la Bourgogne entre 2005, 2007 et 2008.

Très bonne bouteille qui associe tension, finesse et élégance. Déjà agréable dès l'ouverture il se livre de plus en plus au fil du repas, bel accord avec un des asperges vertes, sabayon huile d'olive-citron et vieux parmesan.

Didier

Domaine Jean-François Coche-Dury, Meursault, Les Chevalières, 1999

Le bouchon, non étampé, est totalement imbibé.
La robe est d'une jeunesse insolente, sur un très léger doré.
Les senteurs qui émanent du verre sont magnifiques ! Le vin va s'ouvrir considérablement au fur et à mesure de la soirée pour révéler un ensemble complexe fait de noisette fraiche, de sésame grillé puis de notes florales et enfin de fruits blancs, presque de pêche au réchauffement.
La bouche est un délice absolu de gourmandise et d'équilibre pour qui aime les vins tendus. La structure du vin est sans faille, ciselée et traçante et construite pour effiler une matière avec juste ce qu'il faut de gras.
La finale longue et fraiche appelle irrésistiblement à se resservir !
Un vin d'une évidence jouissive incroyable qui, s'il n'a pas la réserve de puissance qui fait du Perrières 99 un très grand vin, n'en procure pas moins un plaisir absolument remarquable.

Ce vin est un vrai bonheur !

Domaine Jean-François Coche-Dury - Bourgogne (rouge) - 2009

Très beau nez sur les fruits rouges accompagnés d'un trait de vert. A l'aération, il évolue vers le floral.
Bouche volumineuse, fraîche, glissante mais avec plus de matière que dans mes souvenirs des rouges de chez Coche que j'ai croisés (Monthélie 2002 et Auxey-Duresses 2003). Ça me plait cette affaire!
très belle finale sur la cerise accompagnée de notes vanillées

Très belle découverte (j'ai dû me réfréner pour en garder pour ce soir :)o ), approuvée par Madame (ce qui n'est pas rien!)

Marc

[size=x-small]PS: un grand merci au généreux donateur[/size]

Domaine Jean-François Coche-Dury, Meursault, Les Chevalières, 1999

Mon premier JFCD! Goute a l'aveugle, servi par notre ami Oliv'.

Un nez magnifique sur des notes grillées. J'avais déjà senti ce type de nez mais je ne me souvenais pas sur quel vin. Je ne m'en suis souvenu que le lendemain matin, c’était sur un champagne bu l'an dernier Cuvée Diamant Bleu 1982 de Heidsieck (et non 1990 Oliv....). Un nez superbe, envoûtant qui effectivement va évoluer au cours de la soirée vers des notes plus florales.
En bouche, c'est magnifique, frais, long. Je me demandais si mon verre n’était pas percé tellement une gorgée en appelle une autre.

Vraiment un vin superbe, le meilleur blanc que j'ai bu (hors liquoreux) jusqu’à présent devant Silex de Dagueneau que j'avais également adoré. L’équilibre est parfait pour mon gout! [size=small]Je me demande comment certains n'aiment pas JFCD si tous ses vins sont du niveau de celui ci!! :[/size]

Meursault Domaine Coche Dury 2006
Nez classique de Coche grillé beurré, de cacahuète qui laisse transparaitre quelques notes de fruits jaunes. Pas ce que je préfère mais pas le pire que j'ai eu.
La bouche par contre est parfaite d'équilibre, peut-être plus ronde qu'à l'habitude sur un blanc jeune du domaine, moins traçante mais non dénuée de tension, de bon volume avec une longue finale salivante qui laisse la bouche propre. Très bon pour commencer la série qui va suivre. Très Bien.

Domaine Jean-François Coche-Dury, Meursault, 2006 :
Dégusté l'autre soir un Meursault 2006,

Superbe tension dans le vin avec ses arôme d'agrumes et de citron jaune. l'élevage et le boisé est encore très présent. Superbe bouteille à attendre.

VOLNAY 1ER CRU COCHE DURY 1998

Bouteille trouvée au restaurant pour 90 €, j'ai été dans la cave les conditions sont très bonnes. Carafée et dégustée de suite. Robe assez fonçée, nez très fermé, pas typé Pinot Noir pour moi, c'est aussi marque par l'alcool. En bouche de nouveau de l'alcool et un côté assez dur, même si le vin s'est un peu ouvert à la fin je n'ai pas accroché, peut être le vin est dans un phase délicate où nous aurions du carafer un peu plus....

Domaine Jean-François Coche-Dury Meursault 2007

Dégusté ICI
Ouverture vers 17h30
On commence par le meursault. Le bouchon glisse tout seul, il est gras et bien souple. Pas de faux goût, tout va bien.
On goûte...bon. C'est très réduit, très grillé. La patte coche? Pas forcement très agréable dans l'immédiat. confused smiley . Par contre, sans même avoir tourné le vin dans le verre, on sent une puissance assez importante qui se dégage !
La bouche est encore fermée, étriquée, les chaines qui le retiennent sont solides ! L'acidité est mordante, même si ça ne me derange pas trop. Bernard n'est pas trop confiant et dit une phrase qui lui correspond bien : "on sent qu'on le dérange là, c'est encore un adolescent en pleine éducation". Et hop, en carafe, on laisse juste l'équivalent de deux bons verres en bouteille pour voir la différence.
We'll see.

Commentaire vers 21h30
La carafe du Meursault est sorti. Le vin est d'une superbe couleur, doré et limpide.La bouche est grasse, puissante et la matière est soutenue par une très belle acidité. C'est ciselé, tendu, sur le fil du rasoir. La finale est longue sur un coté salin et salivant.L'aération lui a fait du bien. Il y a toujours ce côté grillé, réduit et le fruit a du mal à se faire une place.
Ce vin est Très Bon mais pas encore exceptionnel. Pour ceux qui en on, il peuvent l'attendre avec sérénité.
Le fond de bouteille est bu le lendemain et la c'est beaucoup, beaucoup mieux. Il y a du fruit !!! Un superbe nez d'agrume, de citron et de pamplemousse. Le fond de verre est juste SUPERBE avec l'impression de sentir un ananas frais, bien juteux ( comme souligné dans un cr du cercle bastognard je crois, vraiment la meme sensation ! ).

Du fond du coeur, MERCI ! Merci à la personne qui m'a donné cette bouteille. Est-ce que je me souviendrai du vin dans dix ans? je ne pense pas. Par contre, du moment, assurement. J'ai eu l'impression de partager un peu de cette bouteille avec son donateur. Encore merci. Je crois d'ailleurs qu'elle lit lpv de temps en temps.



Sympathiquement
Julien

Domaine Jean-François Coche-Dury – Meursault Chevalières 2004

La bouteille est ouverte et bue à sa sortie de cave, sans préparation préalable. La robe est très légèrement dorée. Le nez est ouvert et présente des notes de pétard (très léger), de noisette fraîche et de fruits blancs. La bouche est sublime de velouté, avec une puissance parfaitement maitrisée et un équilibre magistral. La longueur est belle, portée par une fine acidité. J’ai très rarement rencontré cette qualité de bouche, et nous avons été comblés par cette très belle bouteille (descendue en moins de temps qu’il n’en faut pour poster un CR !), à maturité selon moi (même si rien ne presse).

Quentin

Bourgogne pinot noir 2009 Coche-Dury

bu lors d'une soirée spécial soufre , une verticale d'un illustre négociant bourguigon proposée par un site en ligne bien connu.
17 bouteilles de ce fabuleux négociant (vous noterez que je m'amméliore, je ne cite plus de nom...)
tout les vins étaient hypers soufrés, pas possible de sentir un arôme autres que la puanteur du souffre et la sécheresse de fin de bouche avec des tanins super assèchants..
2 vins pirates tout de même dans cette soirée, dont celui-ci, fort semblable au reste de la dégustation.
le seul bon vin fut un bourgogne générique 2009 d'Anne Gros, quel plaisir de retrouver la finesse de grain des bons bourgognes.

1er nez sur le soufre et des notes boisées.
A l'aération, le soufre s'estompe et le boisé, pas spécialement élégant, reprend le dessus.
En bouche, le boisé domine encore, les tannins sont durs, le fruit plutôt discret.

Après une heure d'aération, c'est mieux. Le vin se réveille, le fruit reprend le dessus.

Je ne note pas les vins que je goûte mais je mettrais 10.5/20 à l'ouverture et peut-être 11.5/12 une heure après.
26 euros chez le caviste tout de même.....
Gérard

26 euros chez le caviste tout de même.....

Un vin de trois ans tout de même...

Acheter du Coche-Dury pour le boire si jeune ça revient à rouler à 80 avec une Ferrari : la différence avec les autres constructeurs est loin d'être flagrante.

J'avais juste lu Coche-Dury sans faire attention à l'appellation ; c'est vrai que l'on s'attend à une toute autre buvabilité pour cette appellation.

Un peu jeune, non?

Mea culpa, j'avais zappé le fait qu'il s'agissait d'un bourgogne générique et effectivement, je comprends mieux la déception car dans cette appellation, on peut s'attendre à ce que les vins soient aimables jeunes.

mgtis,
je possède une voiture de sport, et je peux t'assurer, que même à 80 à l'heure, la différence est flagrante. (même à l'arret, moteur arrêté )
c'est la seconde fois que je goutte du coche rouge, mais je pense qu'il devrait, pour ceux qui en sont fan, se concentrer sur les blancs...
Gérard

je possède une voiture de sport, et je peux t'assurer, que même à 80 à l'heure, la différence est flagrante. (même à l'arret, moteur arrêté

Ah ? Serais-tu un conducteur de calandre ?

Deux vins, un avis définitif.



Oliv

[size=x-small]Un vin bu lors d'une merveilleuse semaine de vacances à l'étang .[/size]

Domaine Coche Dury, Meursault, Les Rougeots, 2000

La robe est sur un joli doré clair
Le nez est fin, net, sur de jolies senteurs de noisettes grillées avec une très légère pointe d'agrumes, de soupe de fruits aux épices.
La bouche est élégante, construite sur une acidité d'école qui élance une matière de demi corps assez légère.
La finale est belle, sans être toutefois très longue.
Un vin assez simple et droit, bien équilibré et qui m'a semblé à point.

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Domaine Coche Dury, Meursault, Les Rougeots, 2008
Cuisses de grenouilles fraiches sautées "Comme en Dombes"
Le Poulet de Bresse rôti à la broche, Pomme Agata confite sous la Rôtissoire, Fleur de Sel et crème de Bresse

La robe est sur un léger doré, assez peu teintée.
Le nez est fin et beau, très précis, sur un compromis remarquable entre des notes de fleurs blanches (aubépine), de noisette fraiche et d'agrumes bien mûrs. L'ensemble est d'une grande élégance.
La bouche attaque sur une acidité sur le fil du rasoir, toute en tension ciselée.
Et c'est là que la magie Coche Dury opère !
Alors que cette acidité pourrait à ce stade apparaitre comme excessive, le vin reprend sa marche en avant comme si l'on venait de le poser sur la langue. Le volume, l'énergie qu'il développe impressionne et sa capacité à se relancer est remarquable.
Son aromatique est encore discrète et devrait gagner en ampleur et surtout en complexité à la garde.
Mais au niveau tactile, on est déjà dans du très haut niveau.
La finale est longue et d'une fraicheur diabolique qui donne une envie terrible de se resservir !
Très belle bouteille !

[size=large]Jean François Coche Dury a la mine inquiète, celle des jours difficiles...

Il rentre du Charlemagne et ce qu'il nous relate illustre la difficulté du métier de vigneron lorsque le climat décide de faire des siennes.
Même si bien évidemment, rien n'est encore joué, une certitude quand même : la coulure a frappé fort, le millésime 2012 sera de tous petits rendements.

Alors que notre passage se voulait rapide pour apporter à la famille une volaille de Bresse qui gambadait encore il y a seulement deux jours et donner quelques nouvelles de l'étang, nous nous trouvons embringués dans un magnifique moment de générosité simple toute bourguignonne !
[/size]

Meursault, Les Chevalières, 1996
La robe est sur un beau doré.
Le nez est évolué, patiné, sur un grillé très fin, des notes minérales et une pointe métallique.
La bouche est construite sur une acidité traçante et salivante qui appelle la table.
Le vin est puissant et vivant, avec un très joli toucher de bouche.
La finale est belle.
Un vin en phase avec mes souvenirs, puissant mais assez strict.

Puligny Montrachet, Les Enseignères, 2010
La robe est très peu teintée, sur le jaune paille grisé.
Le nez est somptueux, d'une élégance hors norme, sur de fines notes de fleurs blanches type aubépine et de fruits à noyau.
Quelle pureté, quelle évidence !
La bouche est tout simplement à poser un genou au sol !
Le vin est extraordinaire de légèreté, il vibrillonne littéralement en bouche, portée par une acidité parfaitement intégrée à une matière parfaite.
Son aromatique est d'une absolue pureté, florale et fruitée, avec une élégance absolument fantastique !
La finale est incroyablement fraiche et laisse des goûts délicieux sur le palais ! Si j'osais (et surtout le pouvais ), je m'embrasserai presque pour prolonger ce plaisir ! Un moment de pur bonheur qui me restera longtemps en mémoire !
Exceptionnel !

Meursault, Les Rougeots, 2010
La robe est sur le jaune paille.
Alors que je suis encore sous le choc de l'Enseignères, le nez se révèle encore plus complexe !
Si la trame est la même, florale et fruitée, on gagne en puissance et en concentration, par des senteurs épicées et muscatées, des arômes qui tirent vers la pêche juteuse. L'élevage est absolument imperceptible !
La bouche possède une construction similaire au Puligny, sur une acidité incroyablement équilibrée et mûre mais avec plus de matière.
Le vin gagne en volume et en ampleur et impacte littéralement le palais. Les goûts sont toujours d'une pureté et d'une gourmandise phénoménales !
La finale est très longue et éveille irrésistiblement l’appétit.
Un délice ! Grand, très grand...

Auxey Duresses, 2009
La robe est sombre.
Le nez est puissant, concentré, marqué par des notes épicées et un fin boisé qui enrobent des senteurs de fruits noirs peu marquées.
La bouche est volumineuse, sur une matière assez massive. Le vin est ample et droit mais strict, à la limite de la sévérité.
Si l'aromatique m'a semblé assez fermée, la qualité des tanins reste belle.
Le vin refuse toutefois de se livrer et je ne retrouve pas la gourmandise des autres rouges du domaine goûtés cet hiver.
A revoir.
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Il nous faut prendre congé et remonter la Côte pour rejoindre sans tarder Vosne.
Un immense merci à la famille Coche Dury pour la qualité de son accueil et pour ces deux phénoménaux 2010, dans mon panthéon des grands blancs !

En route ! [/size]

[size=x-small]Crédit photos
www.bourgogne-panora...
www.vinsiroses.com/2...
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Domaine Coche Dury, Puligny Les Enseignères, 2008
Poellée de girolles du matin, Jambon Persillé, Coppa Corse et Salade du Jardin

La robe est claire, sur le jaune paille
Le nez est d'une grande finesse et élégance, sur des belles notes de fleurs blanches, de poire et de poivre blanc.
L'ensemble est pur, avec une sacrée classe.
La bouche est nettement plus stricte, construite autour d'une structure acide ferme qui prend le dessus sur la chair du vin en l'état.
L'aromatique très fermée en bouche participe à cette sensation de haute tension qui confine à la sévérité.
Avantage au Rougeots d'avant hier, plus charnu et évident !

img411.imageshack.us...
Domaine Coche Dury, Bourgogne, 2008
Jambon Persillé
Cuisses de grenouilles fraiches en deux service, sautées et à la crème

La robe est peu teintée, sur un jaune paille aux légers reflets verts.
Le nez est discret, sur de fines notes florales et une petite pointe chlorée un peu inquiétante.
La bouche attaque sur une acidité citrique très forte qu'une matière légère peine à compenser.
Le vin présente une certaine agressivité par cette acidité dissociée et si le goût de bouchon n'est pas évident, il a pu abimer et assécher le vin.
Mais je garde en mémoire que la dernière bouteille partagée cet hiver ne m'avait pas totalement convaincu non plus.
L'acidité des 2008 nécessite peut être un peu d'attente ou de monter un peu en gamme en l'état.

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Domaine Coche Dury, Bourgogne, 2003
Frichti du matin : Saucisse de Morteau, Pain de Campagne, Comté de Courlaoux

La robe est profonde, d'une belle couleur grenat foncé.
Le nez est agréable, sur les fruits noirs, la mûre et les épices, avec une petite touche alcooleuse.
La bouche possède un joli volume et un équilibre entre gras et acidité impeccable.
Si le vin n'est pas complexe, il est agréable et évident, peu marqué par les excès du millésime.
La finale est toutefois un peu perturbée par des goûts métalliques et amers qui lui font perdre une partie de sa gourmandise.
Un vin simple. Et bon !

Oliv,

oui, deux vins et un avis quasi définitif...., trop de producteurs de bons rouges en bourgogne pour perdre mon temps et accessoirement mon argent avec des pinots noirs si peu engageants.
pour ce prix, tu as un Morey en la rue de Vergy de Lignier-Michelot que je viens de terminer et il n'y a pas photo....
on a qu'une soif et il ne faut pas la gâcher (vieux proverbe bourguignon)
Gérard

Aucun problème avec ça, Gérard !
Juste avec tes avis publics souvent lapidaires et pas forcément toujours argumentés.

Bonnes dégustations,
Oliv

Personnellement, je me méfie des avis définitifs.

Ce qui est sur c'est que le bourgogne pinot noir de coche dury 2004 bu l'été dernier et acheté chez un caviste autour de 20€, et bien c'était pas mal du tout, c'était clairement au dela de ce que je connais en appellation bourgogne, voire certains villages et moi je suis toujours prêt à y mettre ce prix donc à voir pour la prochaine fois.

Du Coche au ptit dej'... tout est dit ! -

oliv, pour l'avis lapidaire, on était tout de même 14...... et c'est moi qui monte au front.....
je pense que le descriptif du vin est argumenté,non?
et pourquoi tout ce soufre?
en plus, Oliv, question avis public, j'ai même tû le nom du négociant, chose que j'aurai peut-être rendu public à une époque si lointaine.
mais bon, quand on touche au saint graal, cetain s'énervent, je comprends, vu le prix des quilles
Gérard
ps : j'oubliais, moi aussi, j'ai un étang, tu pense qu'il serait content de discuter du pinot noir avec moi autour de l'étang (et surtout de la dose de soufre?)

Gérard,
Si je devais répondre par un avis non argumenté à ta réponse, le seul mot qui me viendrait à l'esprit serait : pitoyable...

Du coup, vu que je viens de dire ceci, il faut que j'argumente un peu mon avis.

Comment peux tu émettre un tel avis au bout de deux vins....seulement.
Si tu te basais sur des dizaines de vins bu sur plusieurs millésimes...je comprendrais mais la .
Ensuite, tu trouves ça cher car c'est le prix caviste....le prix domaine est, je pense, un poil moins élevé ( un gros poil ).

cordialement
Julien