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bonjour à  tous ,

j'ai recemment acheté quelques bouteilles de fargues 83,86,89,90 .
Parker ou autre aurait-il noté ces vins ?
dans ce cas merci de les communiquer , vos commentaires de degustations egalement , un grand merci par avance.

De Fargues 1983 : 92/100
De Fargues 1986 : 93/100

Je n'ai pas trouvé les notes des 1989 et 1990 dans l'édition que je possède des Vins de Bordeaux de Parker (1999), mais cela ne doit certainement pas être mauvais...(bbb)

Luc

Les notes Bettane&Desseauve 2003 :

De Fargues 1990 : 9/10
De Fargues 1989 : 8.5/100

Sébastien

PS : non, je n'ai pas encore 'versé mes 25 euros de contribution annuels pour avoir le plaisir de lire le Classement 2004'...

... en plus ils l'ont cartonné...

Essaie ce fichier pdf:

Je connais 83 et 90 de Fargues.
Tous deux sont de superbes vins! Mes expériences avec le 83 datent un peu, mais je me souviens de l'avoir dégusté avec un énorme plaisir. Par contre, j'ai eu le 90 il y a 2-3 ans: c'est un véritable régal ! Arômes complexes avec une grande richesse (beurré et confit à  la fois), une texture profonde. Un véritable "petit" d'Yquem dans la rigueur vinification. Un excellent achat.

Alain

Dégusté le 05/03/04 lors d'une horizontale de sauternes 1986 :

Château de Fargues 1986 (13,6/20)

Robe : Doré cuivré, grasse.
Nez : Puissant, évolutif. Toast beurré et fumé, acétone, abricot, ananas, agrumes, zeste de citron confit et miel se succèdent. Plus en muscle qu'en finesse.
Bouche : Puissant et rond. Bien qu'on ne puisse rien reprocher à  son équilibre, paraît lourd par rapport à  Lafaurie. Intensément parfumé, arômes d'ananas confit et de figue, légère amertume. La finale manque un peu de tonicité. Peut-être sur la pente descendante.

Didier

Je viens de recevoir un mail étonnant de chateaunet (le site web de l'intendant à  Bordeaux) annoncant la sortie du jour:
Pendant 5 jours à  la vente, les millésimes 2001 2000 et 1999 livrables en Fev 2005.

Prix TTC à  la bouteille dans l'ordre des millésimes cités 72.50 , 71.50 et 55.50 euros.

(eee)On dirait du primeur, mais c'est vendu en TTC

Si quelqu'un a une explication du phénomène

bu hier Château de Fargues 1999 en 1/2 bouteille

pas de carafage vin versé directement dans les verres bu environ 20 mns après.
Très beau nez , couleur claire très pure , le gras est impressionnant ,ça reste accroché sur le verre !!
La puissance en bouche est impressionnante aussi, très velouté ce vin emplit de saveurs de fruits confits ,de miel et de coing le palais.
La finale est très longue + 1 minute et se termine sur une pointe d'acidité citronée parfaite.
Il va sûrement s'améliorer encore et tiendra bien longtemps encore vu sa richesse et son acidité en finale.
J'ai été vraiment agréablement surpris par ce millésime .
Il est vrai que j'ai pu boire de fargues 85,86 et 88 et que notamment sur 88 j'avais déja pu entrevoir la qualité de ces vins .
Vendu 27,50 euros en 1/2 bll à la foire aux vins cette année à carrefour , ce vin mérite le détour

Deux CR lors d'une visite à la propriété lors de laquelle nous avons été reçus très chaleureusement - et en toute simplicité - par Alexandre de lur Saluces. Merci de cet accueil!

Fargues 1999
Beau jaune doré. Nez très délicat de poires, pêches, vanille et un peu de safran. Légère astringence en bouche qui dévoile une belle minéralité. Epices doux et agrumes avant une belle finale harmonieuse, fraîche et persistante. Un beau Sauternes, probablement plus accessible que le château d'Yquem du même millésime. 89/100

Fargues 1988
Couleur d'un or profond. Magnifiques arômes changeants, coings, amandes, fruits à noyau qui sont en train de s'intégrer magnifiquement, zestes d'orange. Remarquable structure où gras et acidité s'équilibrent parfaitement. Toujours cette fraîcheur finale caractéristique du cru. Une superbe bouteille qui arrive maintenant à maturité. Devrait s'y maintenir pour 10 - 20 ans. 95/100

Alain

Fargues
Auteur: david_off73
Date: le 27/04/2006 à 17:39

Bonjour,

Je cherche à acheter du Château de Fargues 2003 mais :
- la personne contactée au Château ne m'a pas donné le tarif (alors qu'il est en vente sur internet)
- sur les sites internet, les prix varient de 38€ à 51€ TTC !
- les millésimes précédents sont nettement plus chers : est-ce que cela signifie que 2003 est un millésime "moyen" ?

Question subsidiaire :
- Comment se fait-il que les tarifs TTC du château soient supérieurs aux tarifs pratiqués par certains sites sur internet (2001 : 88€ (fargues) contre 82,60€; 1999 : 70€ (fargues) contre 64,40€ etc.) ?

Merci pour vos réponses !

David

Comment se fait-il que les tarifs TTC du château soient supérieurs aux tarifs pratiqués par certains sites sur internet

C'est le cas quasiment tous les crus classés, qui protègent ainsi leur unique acheteur: le négoce.

Bonjour,

Avis à critiques... Je vous communique mon CR suite à une rencontre faite la semaine dernière avec le Comte de Lur Saluces, venu présenter le château de Fargues.

"
Cinq millésimes ont été proposés à la dégustation :

Fargues 2003, 14°, 120g/l sucre résiduel : une robe or pâle, brillante, le nez est concentré ; il révèle des notes de fruits frais, la pêche blanche, l’ananas. Très légèrement épicé (la muscade)
En bouche, beaucoup de souplesse, et, une acidité qui apporte de la fraîcheur. Un bouquet particulièrement ample qui permet de retrouver des saveurs caramélisées, cacaotées auxquelles s’associe le zeste d’agrumes. Le botrytis se dévoile par une très légère minéralité, un léger boisé et l’esprit de fruits secs et d’amande tel qu’on le retrouve dans le passerillage. Une finale longue.

Fargues 2001, 13°, 132g/l sucre résiduel : Une robe dorée, brillante et au nez une très forte concentration qui cette fois exhale le bouquet harmonieux et gourmand des fruits compotés et confits, en particulier du coing, et de l’orange, des pâtes de fruits. Une touche de muscade à nouveau. La bouche est exubérante, explosive, mais la liqueur est souple. De l’acidité tend le vin, pour permettre une finale longue, complexe, serrée mêlant l’orangeade et l’encaustique. Une expression du botrytis tendue, donc. Un vin racé.

Fargues 1999, 13,50°, 122g/l de sucre résiduel : Magnifique couleur or vif. Un nez particulièrement expansif avec une dominante de fruits exotiques, de bonbons acidulés, de pomme granny smith et de cannelle. La bouche met en évidence une bonne acidité et une certaine minéralité, peut-être en raison d’une légère astringence qui n’a cependant rien de désagréable. Des saveurs rôties, rappelant le caramel et la crème brûlée. Une liqueur très souple apportant beaucoup de fraîcheur et une finale longue qui laisse éclore la douceur de la réglisse, et de la menthe poivrée,. Un vin parfaitement équilibré. Une belle réussite.

Fargues 1997, 13°5, 115g/l de sucre résiduel : l’analyse sensoriel permet de retrouver quelques-unes des caractéristiques du millésime 99. Mais viennent s’ajouter en bouche les impressions gustatives d’un miel d’acacia, de la bergamote, d’un mélange subtil du floral, des épices douces et du toasté. Un pur régal pour cette grande liqueur particulièrement miéllée, mais sans aucune lourdeur. Un vin d’une grande complexité, présentant moins de fruits, mais plus de notes rôties.

Fargues 1990. Une robe dorée, couleur vieil or, très profond, ambré. Un nez « époustouflant », marqué par des notes grillées, la noisette, le pain d’épices, les pommes cuites, la cannelle et la muscade et des arômes d’oxydatifs !...
qui vont se manifester en bouche par un léger empyreumatique que dominent le caramel et l’orange. Une liqueur miéllée particulièrement douce et souple pleine de vivacité et de fraîcheur, qui annonce le grand vin de garde.

De toute évidence, ce qui traduit le plus la personnalité du Château de Fargues est l’étonnante richesse de sa matière botrytisée, qui surpasse les traditionnelles notes miellées de Sauternes. Les épices douces, le floral et en particulier la palette de pralin et de boisé signent un grand nom du Sauternes. Une attaque franche et ample, un superbe volume et un équilibre sucre/alcool/acidité remarquable. 2001 est la grande année du botrytis, 1990 atteint la perfection ! "

Au plaisir donc de vous lire
Isa

merci pour les CR, très parlants.

Quels millésimes as-tu préféré ?

cordialement

Yves Zermatten

J'ai aimé le 90, plus que les autres.

Mais dans ce choix tout est relatif, bien sûr.

A commencer par le fait que j'aime les Sauternes vieux, musqués et racés. Donc, le 2003 même s'il est excellent ne coïncide pas avec mes goûts de prédilection.
Je pense que 2001 sera dans quelques années, REMARQUABLE. Il pourrait dépasser le 90.
Patience et longueur de temps...

A très bientôt
Merci de votre prompte réponse
Isa

merci pour ces précisions !

cordialement

Yves Zermatten

Fargues 1988, Sauternes, Bordeaux, France
Bouteille bue en juillet 07 lors d'un dîner avec des amis à Bordeaux.

La couleur dans le verre est d'un or profond.
La subtilité des arômes, mêlant abricots secs et notes miellées est ravissante.
Excellente viscosité sur le palais, habilement relevée par une fraîcheur citronnée. C'est large, mûr avec un magnifique fruit expressif. Le milieu de bouche fond comme une gourmandise sur la langue, alors que Fargues 1988 déroule tranquillement ses atours jusqu'en fin de bouche, d'une rare élégance.
C'est ma seconde bouteille dans ce merveilleux millésime de Fargues. Parfait à boire aujourd'hui, mais le potentiel de garde est encore bien présent.

Alain

1988 est le 1er millésime que j'ai vendangé la-bas, 1997 le dernier.

Le Château de Fargues est à mon humble avis le 2ème grand Sauternes derrière l'illustre aîné: Yquem.Je le pense très sincèrement juste pour la longévité de cette grande qualité omniprésente. Le meilleur est toujours recherché, la politique qualitative se rescent constamment.

Bien sur il y a bien d'autres très bons Sauternes, mais suivant les millésimes avec des legers "creux qualitatifs" qui aurait dû être contourné par des exigences qualitatives plus poussées.

Monsieur De Lur Saluces n'a pas fini de nous démontrer toute son exigence sur la constante recherche de haute qualité.

Est-ce que vaut le coup de prendre De Fargues 02 en demi à 20 E ?
Je dis ça bien sur pour la qualité du vin et non parce que c 'est du De Fargues ..
Je n' ai pas de notes sur lpv ou de critiques ..

Merci ..
Raphael.

Hier, mon travail de "remise en ordre" de la cave a payé , j'ai déniché une belle bouteille : de Fargues 1990.

Coincée entre deux bouteilles de Madiran , c'est l'occasion de goûter avec délice ce liquoreux .

Château de Fargues 1990

La robe est très lumineuse, la couleur tire sur le vieil or , l'ambre .

A l'agitation , les larmes sont épaisses et adhèrent bien à la paroi du verre .

Le nez est "multidimensionnel" , il nous offre des notes d'abricots secs , de noix de coco , de cannelle , de noisettes grillées.

En bouche, la liqueur caresse le palais avec des fruits bien mûrs ; toujours la noix de coco mais aussi, servis par une belle acidité des notes d'agrumes et d'ananas pour nous mener vers une finale en douceur sur des notes de miel d'acacia .

Une belle longueur pour un vin très énergique , superbe de fruits à 18 ans d'âge , il affrontera sans peur les années à venir.

Assurément un des ténors en Sauternais pour cette année 1990 .

Par sa puissance et sa complexité il représente très bien ce millésime sans tomber dans le piège d'un ressenti alcooleux trop présent.

Foncez...

Pascal
blog: 20divin

Moi je voudrais bien qu'il m'arrive la même mésaventure, tombé sur une belle bouteille oubliée. Malheureusement ... ...

je profite de la remontee de la rubrique pour demander si l'un d'entre vous aurait gouté récemment le 89.

merci d'avance

rien de bien récent, j'avais beaucoup apprécié il y a de mémoire 3 ans ce 89 .
je le mettrai tout de même légèrement en retrait des 88 et 90 sur cette grande trilogie pour de Fargues .
Son évolution semblait un peu plus avancée que pour les 2 autres.

Je pose également la question pour le millésime 1976 , millésime que je trouve particulièrement reussis pour le Sauternais ,quelqu'un a-t-il gouté Fargues 76 , merci

Pascal
20divin

Bon avant de se quitter pour un peu plus d'une semaine, on a l'autorisation de sortir un flacon d'exception de la cave, ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé

Château de Fargues 2003 en demi-bouteille (faut pas déconner je suis tout seul à boire quand même)

la robe est jaune assez foncée pour un jeune liquoreux, les larmes sont très denses et très très très lentes, ce qui n'est pas vraiment une surprise en soi

le nez est explosif sur l'abricot, la marmelade d'orange, le rôti, le coing, la pêche, une petite touche exotique avec la vanille des îles et l'amande (ça doit être les vacances qui approchent à grand pas !!) et une note florale de chèvrefeuille, oulà ça promet !
en bouche... que dire ??? attaque puissante sur la liqueur, une belle fraicheur qui fait qu'on a du mal à situer le millésime sur 2003, superbe équilibre (y'a de l'alcool làdedans ???), puissance et finesse, de l'élégance malgré une sucrosité très forte qui ne tombe jamais dans le sirupeux, distinction, généreux, grande richesse, gros volume en bouche, et une looooooooongueur qui n'en finit pas, un vrai chef d'oeuvre !!!
conclusion : à attendre bien sûr que le sucre se fonde encore mais franchement ce bébé est déja grand et sera très grand excellent + à potentiel exceptionnel ???
pour moi à revoir dans 15/20 ans pour mon second flacon -D

Deguste 2 fois, je suis tout a fait d'accord avec les avis dithyrambiques sur le Fargues 1990, c'est pour moi une bouteille superbe.

Pascal,
J'ai malheureusement pas goute le Fargues 1976 mais j'ai croise le 1975 recemment dans un diner (ou le 1990 etait servi aussi).

Fargues 1975
Ambre a peine foncee. Miel, abricot et epices douces s'entremelent au nez. L'equilibre est superbe, la richesse se devoile tout en subtilite, aucune asperite et une finale languissante sur des notes de gingembre confit. Une bouteille magnifique, un vin pour la meditation.

1975 etait un beau millesime mais 1976 etait encore superieur et le millesime a ete tres reussi a Fargues de l'avis de Lur Saluces lui-meme. En esperant que cela te soit utile.

HKG

HKG ,

Je te remercie pour ta réponse , j'ai également un 1975 de chez De Fargues , c'est en fait le sauterne le mieux représenté dans ma cave , ceci du fait que c'est celui qui m'a jusqu'à présent procuré le plus de plaisir.

Je suis étonné d'ailleurs de voir peu de commentaires de dégustations sur ces bouteilles.

Il est vrai dur à trouver sur des vieux millésimes, cela fait 3 ans que je cherche un 1967 , le trouverais-je un jour

Cordialement

Les vieux millesimes de Fargues sont des bouteilles tres difficiles a trouver en raison de la production du domaine: 15 a 20,000 btl aujourd'hui mais je pense qu'on etait plus pres de 10,000 dans les annees 70 car le domaine a replante depuis.

Le Chateau a toujours ete la chasse gardee de la famille LS meme au temps d'Yquem qu'il devance parfois dans sa jeunesse mais le grand frere finit presque toujours par reprendre le dessus avec l'age. L'atout d'Yquem c'est la taille de son vignoble (100 ha contre 15 a Fargues) et la possibilite d'effectuer une selection parcellaire ultra-rigoureuse chq annee. N'ayant pas ce luxe a Fargues, le domaine opte donc pour un travail de fourmi qui garantie une qualite presque toujours exemplaire mais explique aussi le prix eleve.

Je termine juste sur une anecdote sur le Fargues 1975. J'ai eu la chance de deguster cette bouteille avec Alexandre de Lur Saluces et en y regardant a 2 fois, l’etiquette precise 73cl et non 75cl. Aucun doute sur l’authenticite de la btl puisqu’elle venait de la cave du chateau et un detail qui peut s’averer utile. Peut-etre avez-vous deja rencontrer ce genre de details sur des Sauternes (ou autres) de l’epoque ?

En tous cas Pascal, tu as de la chance d’avoir du Fargues 1975 en quantites « c'est en fait le sauterne le mieux représenté dans ma cave », meme le chateau n’en as plus beaucoup!

Bonne degustation

HKG

Château de Fargues 1997

Dégusté tout récemment sur 2 jours, je découvre ce millésime 1997 chez Fargues.

La qualité des vins produits sur les 20 premières années d’existence est (très) rarement prise en défaut.

La robe est d’ un or évolué , moins que sur la photo ( j’ai volontairement foncé la couleur afin de pouvoir mieux imaginer un début de tourbillon ( de plaisir) dans le centre du disque.

Sur ce millésime, la richesse est présente, très présente même nuisant surtout le premier jour à la stabilisation de l’équilibre sucres/acidité.

Le lendemain après une aération prolongé, l’ impression laissé par le vin est qu’il “a mangé” dans la nuit une partie de ses sucres, la partie qui était en trop. (impression toute personnelle qu’une analyse démentirait bien évidemment de façon formelle)

Bien qu’ayant gardé le gras de sa prime jeunesse, une évolution vers des arômes de curry, de safran se met en place.

Le fruité reste pur avec des notes de fruits confis et de miel épais en phase de cristallisation, aux arômes plus prononcés.

Des notes de noix fraiches signent également le passage de ce vin dans sa phase mature.

La puissance et le volume en bouche sont imposants, la longueur est superbe, les arômes persistent bien après la déglutition.

C’est un beau liquoreux à défaut d’être grand.

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. écrivait:

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.../....
> La qualité des vins produits sur les 20 premières années d’existence est (très) rarement prise en défaut.
.../...

Merci de préciser cette phrase, car je comprends pas tout

Peut être voulait t-il dire "les 20 DERNIERES années" ?

désolé c'est pas clair du tout en effet .

Je voulais dire en fait que sur un vieillissement de 20 ans , les vins ne présentent que (très peu) de défauts, soit des signes prématurés de vieillesse ou de stades de fermetures prolongés ou un quelconque défaut qui entraine à la dégustation un manque de plaisir.

En fait cette phrase ne sert à rien je me demande encore pourquoi je l'ai écrite.

Cordialement