Dégusté au verre dans un restaurant le Pagodes de Cos 2001. Je ne le regrette vraiment pas: au nez, une explosion puissante de fruits rouges et de fruits noirs (framboise avant tout) qui domine de la tête et des épaules un aspect empyreumatique et épicé. Un boisé élégant subsidiaire vient se mêler à la danse.
En bouche, on est dans le même tonneau: une attaque ronde, une évolution sur cette lancée avec des tannins biens maîtrisés. Une longueur correcte. Un vin bien charpenté et puissant.
J'ai hautement apprécié.

Luc

J'ai ouvert une bouteille il y a quelques semaines.
Flacon que j'avais acheté au Cos lors d'une visite estivale inoubliable.

Même impression que toi. Puissance et harmonie.
Elégance et subtilité.
Plaisir immédiat avec ce vin même si le potentiel paraissait encore grand.

Vraiment une belle bouteille.

Cordialement

Clint

J'ai re bu Cos 1982. Toujours pas de défaut particulier, mais pas un vin aussi fabuleux qu'on aurait pu le penser.

Bonsoir à tous

Petite pierre a l'édifice Cos d Estournel que j 'ai découvert en lisant les CR et que j apprécie fortement.
J ai pris contact avec le domaine pour avoir conseil quand à l ordre chronologique d ouverture de divers millésimes.
Très grande gentillesse, bon accueil et surtout 3 jours après mon appel, j ai reçu un mail très sympa et fort explicite.

Si ces infos peuvent être utiles à certains , c est avec plaisir que je vous les retranscris

" Cher Monsieur,

Voici l’ordre dans lequel nous vous conseillons d’ouvrir vos bouteilles :

Vins à boire : 1981, 1994, 1993

Vins à boire ou garder quelques années : 1985, 1986, 1989,1990

Vins que vous pouvez commencer à boire : 1996, 1995

Vins à garder : 2001 et 2004

Nous vous souhaitons d’excellentes dégustations.

Avec nos meilleures salutations,"

Bonne soirée

Ludovic

pour les 40 ans d'un bon copain
Cos 99, Pichon Baron 02, Leoville Barton 2001 et las cases 2003
Ce Cos 99 gouté apres le Barton 2001 est un tres joli vin. Le disque est assez évolué et au nez ce sont des aromes de fruits noirs, et d'épices
pas d'une grande puissance mais tres agreable et fin, il est vrai que Barton etait beaucoup plus exhuberant tant au nez qu'en bouche mais ce cos tient tres bien la route mais demandera, je pense, à être bu dans les prochaines années.

Cyril

Vins à boire ou garder quelques années : 1985

ils me semblent un peu optimistes pour ce 1985 ... ?

Ce Cos 99 ...
pas d'une grande puissance mais tres agreable et fin .... mais demandera, je pense, à être bu dans les prochaines années.

c'est exactement le souvenir que j'en ai

je ne trouve pas
celle bue à la maison allait dans ce sens, pas du tout sur la fin
mais le bouchon était comme au premier jour

Cos d'Estournel 2002 : j'avais acheté qq bouteilles il y a 6 ou 7 ans et je n'en avais jamais goûté depuis leur sortie sur le marché. Ouvert ce vendredi, carafé une heure avant de passer à table. Aucune évolution de la robe, nez assez discret de fruits noirs (cassis). En bouche, ce sont d'abord les tannins qui s'expriment et donnent un côté très viril au vin. Après un certain temps, les tannins laissent place au fruits noirs mais ce vin a encore cette fougue des vins jeunes, voire trop jeunes. Vin sympa mais encore trop tôt pour en apprécier la qualité intrinsèque à mon avis. A revoir dans 3 ou 4 ans.

Pierre

Je n'ai jamais goûté cos d'estournel 1971, mais j'ai le souvenir d'avoir bu de nombreuses bouteilles de ce millésime dans des vins tous modestes, mais apportant un plaisir de dégustation exceptionnel. La longueur en bouche était convenable, sans plus, mais les arômes étaient explosifs de fruits mûrs. Je mes souviens d'une simple 1ère cotes de Blaye qui était une confiture de framboise...Miam miam !

Bonjour,

SVP pensez à l'indexation des messages.

Nom complet du vin (Domaine, Cuvée, Millésime) en titre et dans le corps du message.

"Re : " si vous répondez à une digression, pas de " Re : " s'il s'agit de votre CR du moment.

Merci à tous ceux concernés de modifier leurs interventions sans tarder.

Cordialement,
dfried

Cos d’Estournel, 2ème Grand Cru Classé, Saint-Estèphe, 1985

Le bouchon est imprégné sur son premier quart. Un bouchon long de très très grande qualité. Très bonne conservation. Quant à la capsule, j'avais peine à croire qu'elle puisse avoir 26 ans ! Mais en regardant d'autres bouteilles de ma cave, finalement c'est possible !

Aération de 7H00 environ. Bouteille debout depuis 72H00.

La couleur est pourpre intense, d'un rouge très vif auquel se mêle une évolution en arrière plan avec un disque clair.

Le nez puissant de fruits rouges, épices, cèdre. C'est déjà bon au nez

En bouche des fruits rouges et noirs comme la mûre qui ressortent avec de la complexité et de la finesse. C'est soyeux. Ensuite place est faite à l’humus ; le côté tertiaire s’affiche dans une grande finesse et paradoxalement aux côtés d’une finale avec une grandiloquente acidité dont l'incongruité témoigne de la bonne tenue de ce vin dans le temps et d'un petit potentiel encore. Les dernières gouttes (fond de bouteille) sont d’une rare puissance "avec des morceaux dedans" ! Impressionnant ! Un très beau vin. COmment dire, il est réjouissant voire jouissif. On prend vraiment du plaisir à le boire. A refaire, je l'aurai aéré un peu moins longtemps.

CR:Cos D'Estournel 1988

La couleur est encore noir au centre.
Le nez est sur le chocolat, un coté mentholé et épices
La bouche est puissante et terreuse, long en bouche avec de jolis tannins.
Ce vin est bien meilleurs que le 86 bu il y a 3 ans. Un Cos qui peut vieillir encore parfaitement.

Excellent

jmw

Cos d'Estournel 86

Ouvert trois heures avant.
Vin ouvert à mon mariage il y a un mois...millésime de naissance.
Tout d'abord discret puis la soirée avançant, il s'est enfin réveillé.
Servi avec un filet de boeuf qu'il a littéralement explosé, prenant le pas de ses 25 piges.
C'est superbe, racé, complexe...ça envoie du lourd. Terreux dans mes souvenirs.
Ça attend une viande plus corsée que du bœuf.

Encore à attendre visiblement, aurais-je la patience avant d'ouvrir sa petite sœur ?

C'était ma première expérience et sur Cos et sur ce millésime, aussi suis-je peut-être influencé par l'émotion de la journée d'ouverture et moins sur les prouesses techniques.
En même temps, j'me voyais mal prendre des notes au restaurant...

Merci à FGSuperFred et Laurent Baraou pour ces quilles.

Ouvert un Cos d'Estournel 1989 acheté en primeur + cave traditionnelle.

La robe est moyennement profonde à profonde. Couleur légèrement évoluée, tout à fait normale pour le millésime et l'origine du cru. Mais pas la belle luminosité que l'on attend.
Au nez, c'est discret, très cabernet sauvignon, distingué. C'est celui d'un grand vin.
En bouche, c'est assez complexe, mais un peu sec et dilué si l'on se réfère à ce que l'on devrait avoir sur ce cru et dans ce millésime. Les tannins sont fins et mûrs. Un peu déséquilibré par acidité/alcool dès que la T° passe au dessus de 20°C. Je n'ai pas perçu la verdeur que certains ont vue. Ce vin est à maturité, au meilleur de lui même, et ne gagnera donc à mon avis rien à être attendu.
J'ai quand même eu beaucoup de plaisir à le boire à table, et mes convives l'ont apprécié (par la qualité du nez, et la concentration en bouche moyenne).
Je l'ai noté 16,5/20.

Grêle : le millésime 2011 sera un millésime de très faible volume à Cos D'Estournel car la grêle s'est abattue jeudi sur tout St Estèphe.

Pierre

La grêle s’abat sur le vignoble de Saint-Estèphe
Publié le jeudi 01 septembre 2011 - 17h24
Ce matin, vers 11 heures, un violent orage accompagné de grêle a frappé le vignoble de Saint-Estèphe. « Les feuilles sont complètement hachées et quelques baies sont tombées. Il y a également beaucoup de dégâts matériels. Tous les directeurs de propriétés sont dans les vignes pour faire l’inventaire », rapporte Annelyse Soussotte, manager à la maison des vins de Saint-Estèphe.
D’après Antoine Médeville, œnologue-conseil dans le Médoc, 300 à 400 ha pourraient être touchés à des degrés divers.

Les vignes des châteaux Cos d’Estournel et Cos Laborie seraient particulièrement atteintes. Ce que confirme Bernard Audoy, le propriétaire de Cos Laborie et président du syndicat de l’appellation. « C’est la première fois que je vois ça. Toute la partie sud de l’AOC, notamment le plateau de Cos, est bien touchée. Il est difficile d’évaluer les dégâts à l’heure actuelle. Beaucoup de feuilles sont tombées. A certains endroits, les grains sont complètement éventrés, dans d’autres ils sont légèrement fendus. C’est inquiétant. Là, nous traitons tous les cabernets-sauvignon et franc avec du Serenade (un produit à base de bacillus subtilis autorisé en agriculture biologique, NDLR) pour limiter la casse eu égard au botrytis. Puis nous allons surveiller toutes les parcelles pour voir comment elles évoluent. Nous allons vendanger plus tôt les merlots. Nous avions prévu de les récolter vers le 15 septembre mais là, nous allons certainement devoir commencer la fin de la semaine prochaine. »

passque tu crois que tu es plus rapide que l'oliv...
mickael Schumacher lui-même a perdu d'avance ! (voir la revue de presse)

Cela dit, ils pourront mettre un peu de 2010 dans leur 2011, a priori ils ont l'expérience
Après l'analogie 1988-89-90/2008-09-10, on pourra peut-être ajouter 1991/2011

Christophe

Au total c'est environ 40% du vignoble qui est touché. A noter que l'on en parle moins mais Lafite à été touché également.

Attention, touché ne veut pas dire détruit... 40% du vignoble qui perd 1/3 de rendement, cela fait beaucoup, mais il reste 85% des raisins. Après, contenir le botrytis c'est une autre histoire...

Pour l'anecdote, l'an dernier, à la fin de nos vacances en Piémont, nous entendons dire qu'un énorme orage de grêle a dévasté les vignobles de Barolo. Il me semble même que LPV en avait parlé J'ai envoyé un mail au domaine Vajra que nous avions visité la veille pour signifier ma sympathie. Cette année, je les questionne à ce sujet. Aucun souvenir... Manifestement, certains syndicats aiment bien communiquer en noircissant bien le tableau. Nota Bene : je n'affirme nullement que c'est le cas ici !

Benji

Cos d'Estournel 1996

Belle robe brillante et plutôt sombre. Jeune.
Le nez est de bonne intensité, frais et fruité (cassis, cerise). Un bouquet assez profond et distingué.
Superbe trame tannique, joli volume, de la richesse sans lourdeur. Finale aromatique sur une assez belle longueur.

Apogée probable : jusqu'en 2028-30 ?

92+

Ma première bouteille bue en avril 2007 était plus austère, rigide. Quatre ans plus tard le vin s'est ouvert, davantage même que je ne le pensais.
Un vin qui rentre tout doucement dans son plateau de maturité et qui procurera du plaisir à celui qui le boira.

M@nuel.

Vin ouvert 2 heures avant la dégustation.

A l'ouverture le nez est peu causant et je m'inquiète d'une légère note de bouchon. La première gorgée est acide et le vin paraît creux.

2 Heures après le nez est bien meilleur: Il exprime un peu de fruit noir (cassis), de la liqueur de cerise et une odeur de sous bois.
La robe est foncée malgré son age, à peine tuilée sur les bords du verre.
La bouche est ronde, tout en souplesse et encore fruitée, avec une belle acidité qui donne de la longueur au vin. Tout est fondu, rien n'accroche!

Le vin est bon et je le préfère au Leoville Poyferré 1975 bu dernièrement.
Les convives apprécient beaucoup (et certainement plus que moi, tant mieux).

Je ne suis toutefois pas transporté. Je ne le trouve pas d'une grande complexité et pour moi il est temps de le boire!

Grégory

Ok en doublon dans le message sur "ouvrir un Cos d'Estournel 1988".

Château Cos d'Estournel 1988
Il a été ouvert sans carafage préalable.

Robe profonde avec une léger début d'évolution sur le rebord du disque.
Nez ouvert, intense. Un mélange de puissance et de finesse avec du fruit (cassis, prunelle), encre, bois précieux, un côté terreux et de belles notes balsamiques. Superbe profondeur et complexité. Les visages autour de la table présentent un beau sourire.
En bouche le vin est puissant, assez serré, la structure tannique est assez importante mais d'une superbe finesse, ils commencent à acquérir du soyeux . La bouche confirme cet équilibre entre finesse et puissance. La finale est superbe sur une impression saline fine.

Bu juste après Montrose 1988, le Cos joue dans un registre plus fin et possède un profil aromatique un poil plus évolué.
C'est vraiment un excellent vin.

Bertrand

Cos d'Estournel 1995 : ouvert deux heures avant de passer à table, non carafée, robe légèrement évoluée, nez très agréable mais un peu discret sur des notes tertiaires de sous-bois et de cuir, bouche très corsée avec des tannins très présents mais fondus, un vin assez viril avec des arômes de fruits noirs (mures surtout). J'étais assez fatigué donc pas en pleine forme pour boire un tel vin et je l'ai un peu regretté après coup. Je ne l'ai donc probablement pas apprécié à sa juste valeur.

Pierre

J' ai beaucoup^hésité entre le 96 et le 2002 pour le reveillon. Le 96 à l' air
d' être un peu trop couillu en ce moment niveau tanins, je me lance sur Cos d' Estournel 2002.
Le commentaire est fait en tout fin de soirée après une longue aération en carafe, une dizaine d' heures.

La robe n' a pas une ride, reflets violacées.

Le nez est d' une beauté classique et d' une élégance qui me touche. De la framboise, bois précieux, fine torréfaction, le tabac de qualité. Un
vraiment très léger trait de vert(2002?(aucunement dérangeant) se mêle au bouquet d' une pureté exemplaire. On sent la classe et la bombe olfactive qui couve!

Une entame de bouche finement cacaotée. Le vin est ample en bouche (les tanins fins caressent et emplissent le palais) mais svelte, ce qui me séduit. Droit. Poivre blanc. Le vin termine comme il a commencé, précis, lonnnng. Bouche portée sur les épices. TRES BIEN++/GRAND sans doute d' ici 10 ans (encore un peu dans sa gangue)

A attendre je pense 2 ou 3 ans pour que le bouquet et la bouche se mettent en place. Digeste, c' est en celà qu' il m' a surpris.

Un ami, moins amateur de vin que moi, avait "fait la folie" (se sont ses mots) d'acheter un Cos 1995 lors de sa sortie et de le laisser patienter en cave. La bouteille tant choyée et tant attendue c'était révélé bouchonnée .
Pour les fêtes il fallait conjurer le sort.

Château Cos d'Estournel 1989
Couleur assez évoluée profonde et brillante.
Au nez une légère note de bouchon vient quand même gêner la dégustation. Finalement mon ami à vraiment pas de bol. Cela reste quand même minime et cela ne nous empêche pas de boire le vin. Après une heure en carafe, le vin est ouvert sur des arômes de tabac brun, graphite, cuir, humus et du cassis. Une belle unité se dégage dans un style presque chaleureux en comparaison au 1988.
En bouche le vin est moyennement puissant, soyeux avec un équilibre assez haut. Le cassis frais domine très bien le milieu de bouche donnant du peps. Les tannins sont fins mais une légère rugosité se fit sentir. Par contre le bouchon rend le début de la finale un peu désagréable. Par contre à la fin, les arômes du nez dominent bien l'ensemble.

En conclusion un très beau vin. Je trouve qu'il lui manque un peu de volume.
Bon, si la bouteille avait été parfaite....

@oenopol

Je reconnais votre commentaire sur ce 2002.
Un des meilleurs Bordeaux jamais bu pour moi!

Amicalement,
Jo

Salut jo,

moi aussi, c' est l' équilibre "presque parfait" de ce vin et la finesse des tanins qui m' ont bluffé!
A attendre bien entendu pour les patients, mais en bordeaux jeune, avec malescot cette année,
je dois dire que j' apprécie de plus en plus les 2002. Voir même la conseillante, comtesse et
baron, un très beau millésime frais selon moi, des coudées au-dessus des 2003.... Pour le
peu de connaissances que j' ai!

Déguster ce soir, il s'agissait de vérifier l'évolution de ce vin à l'occasion de son 10ème anniversaire.

Et bien, ce fût un bien beau moment.
La robe est brique très sombre, on peu y déceller quelques traces d'évolution malgré la profondeur et la densité de celle-ci.
Le vin est incroyable, après 4 heures à l'air, il explose de fruits noirs (myrtilles sauvage, cassis), le bois semble déjà bien intégré et l'intensité est grande. Le tabac et quelques notes toastées viennent achever un tableau bien émouvant.
La bouche est au niveau, suave, soyeuse. grand équilibre, et surtout une longueur impressionnante. L'acidité bien présente sur la fin, une belle trame tannique me font dire que ce vin ira très loin.
Nous sommes incontestablement sur un très grand millésime à Cos, que je qualifierais d'exceptionnel, quoique l'on puisse penser de cette année en général à Bordeaux.
A noter que ce vin fait la part belle aux merlots (38 %) et procure beaucoup d'émotions, malgré sa grande puissance : probablement un des Cos les plus "Margalais" qu'il m'ait été donné de boire.
Un registre très différent du 1988 moins atypique et plus viril, qui est un de mes préférés... Désormais avec ce 2002 "assez atypique" pour un Cos à la vue de sa situation géographique.

Si je peux attendre, je pense qu'il sera à son optimum en 2020. Pour le moment il entame tout doucement le début d'une lente ascension vers son optimal.
Je l'ai trouvé supérieur au magnifique 2000 et au somptueux 2003. Une merveille, qui pourtant aura été plutôt boudée lors de sa sortie.
On est vraiment au niveau des plus grands.

Ma note : 19/20

Jean-Aubert

Bonjour, je souhaitais partager une interrogation sur certaines bouteilles de 1991 du domaine.

Apres une superbe expérience sur un Château Cos d'Estournel 1991 au summum de sa gloire je suis parti à la recherche d'autres bouteilles pour renflouer ma cave de ce petit bijoux.

Je suis cependant tombé une particularité au niveau de la capsule....

la capsule n'est en effet pas celle du domaine et comporte la mention "négociant" sur le dessus, cependant l’étiquette comporte bien l’inscription mis en bouteille au château, et la partie visible du bouchon ressemble a celui extrait de la bouteille comportant la capsule de château ....

intéressant ces louanges répétés pour Cos 2002 ... je suis allé consulter oncle Bob qui confirme tout cela ... il ne me reste plus qu'à en ouvrir une bt

2002 a été le dernier Cos à prix raisonnable, en 2003 le prix triplait : ...

concernant la question de Matterson sur Cos 91 je n'ai pas de réponse ... mais seulement une hypothèse ... un négociant désireux de laisser sa marque sur les bt ?
les mises négociant du passé avaient une étiquette propre ...