Bonjour Tarkan - tous les CR que je lis de ta part me font saliver ! Pas de petits vins a la table de Tarkan que ce soit en Bordeaux ou Champagne

Oh c’est surtout qu’avec le confinement il faut égayer ses soirées sinon je ne bois pas si souvent des quilles de ce calibre

Tu as bien raison : il faut essayer de rendre le confinement le plus supportable possible et ce genre de bouteille doit bien y contribuer . Le pédigrée et les millésimes me rappelent aussi les interventions d’un certain Francois....quoique ce millésime est surement bien trop jeune

Ahahaha détrompe toi ce week-end il a fait le jeunot il a bu un Richebourg Meo Camuzet de 2001 et un Dom Pé de 1985 il fait un malheur sur Instagram

Mon épouse m'avait offert un Cheval Blanc 82 ; je crains qu'il ne soit resté chez elle après le divorce...

Bu lors de cette dégustation.

Château Cheval Blanc - Saint Emilion Grand Cru 2017
Nez de bonne intensité, plutôt diffus qui manque d'éclat surtout en comparaison d'Ausone. C'est un peu confituré, le boisé est sensible, luxueux. Nez un peu médocain.
La bouche est assez puissante, fraîche avec une concentration énorme mais cela manque d'éclat avec toujours ce fruit un peu confituré. Le boisé n'est pas très fin. Manque d'harmonie. Longueur excellente.
Objectivement, cela reste très bon grâce à une concentration impressionnante, mais bon, la concentration ne fait pas tout. Personnellement, je trouve cela très moyen au regard du prix demandé.

Château Cheval Blanc - Saint Emilion Grand Cru 1988

Issu de ; www.lapassionduvin.c...

Bouteille ouverte 3 heures avant dégustation.

Bouchon sorti au bilame, légèrement imbibé sur environ un demi centimètre, Zaltos Bourgogne.

La robe est rubis d'intensité soutenue, limpide et d'une sublime brillance, l'ensemble est d'une insolente jeunesse.

Fruits noirs (mure / cerise noire), havane, tabac / boîte à cigare, poivron, graphite, champignon / sous bois / humus, le chêne se fait noble en fond de verre. L'amorce vers le tertiaire ne se fait quasiment pas sentir, l'ensemble reste frais, complexe mais lisible.

Je faisais la remarque à l'ami pins, les grands vins de Bordeaux ont une spécificité jusque lors pour ma part jamais expérimentée dans d'autres régions viticoles, c'est cette capacité à évoluer au cours de la dégustation / au fur et à mesure que le verre se vide.

En bouche l'attaque reste vive et fait légèrement saliver, le milieu de bouche est plein, enrobant, velouté, tapissant, superbe équilibre de matière entre finesse, précision, gourmandise et délicatesse.

A retenir des tanins divinement fondus, "fondu" est pour ma part le maître mot de cette dégustation tant la bouche laisse une impression de perfection de l'ensemble, un vin cueilli à point.  

Petit reproche éventuel sur la finale qui tombe légèrement courte, mais nous sommes face sans nul doute à un grand vin.

Superbe, 19/20, à boire à mon sens car sur un parfait plateau de maturité en l'état. Pour moi l'un des plus grands vins qui m'ait été donné de déguster.

l'agroécologie par Château Cheval Blanc, un exemple à suivre.

www.geo.fr/environne...

écrit:

l'agroécologie par Château Cheval Blanc, un exemple à suivre.

www.geo.fr/environne...
 

Une illustration de la limite floue entre l'article sponsorisé et le publi-reportage

Ben c'est pas flou, c'est marqué à plusieurs reprises :
au début de l'article : "En partenariat avec chateau cheval blanc"
au début et à la fin : "article sponsorisé"

ça dit bien ce que ça veut dire non ?

C'est le cas (malheureusement) dans toute la presse depuis de nombreuses années, on reprend le cadre du journal, la police de caractère, etc... pour faire de la pub. Pour éviter l'amalgame, le législateur n'a réussi à imposer que ces éléments ci-dessus.

Saint-Émilion
Château Cheval Blanc s’agrandit !

www.terredevins.com/...
 

Saint Emilion Cheval Blanc 1990 

Avec ce vin, comme tout grand Bordeau bien né, la dégustation commence au nez: bois de santal, léger vanillé, boite à cigare, truffes, fruit noir encore éclatant… C’est un véritable ravissement que d’y plonger son nez à chaque fois qu’on a le verre en main.  

En bouche, le mot d’ordre c’est raffinement. Le vin est extrêmement soyeux, presque bourguignon tant il peut paraître délicat. Mais à table, il s’affirme face à des viandes maturées, un seigneur trouve toujours sa place naturellement. Le toucher est magnifique, grainé et velouté, avec une complexité par strates époustouflante. Le tabac se mêle à un fruit noir pur, et ensuite la cannelle et le cèdre vient disputer en toute harmonie la primauté au tabac qui domine en seconde partie. Équilibre magnifique, avec une acidité sous-jacente qui indique que le vin peut traverser les décennies sans faiblir. Finale grandiose, élégante et raffinée, féminine mais affirmée qui éclate comme un grand feu d’artifice sur une longueur interminable.  

Grand, rien d’autre à dire!  

Bu à l'aveugle Benoît ?

Non absolument pas, c'était mon anniversaire donc je ne me suis pas embarrassé de ça. Par contre, je l'ai préféré de loin à Margaux 1990

Vingt ans, le bel âge

Chateau Cheval Blanc 1975

Niveau haute épaule. Bouchon qui part en deux morceaux. Robe assez évoluée.
Le nez se montre assez riche avec une note terreuse, des fruits rouges, des notes florales, des épices.
En bouche, le côté soyeux est séduisant, mais est vite dépassé par des tanins très durs. Bouche manquant de charme.
Je préfère retenir la bonne impression du nez.
Bon vin, mais rien d'exceptionnel.

Cordialement,
Benoit

Saint Emilion Cheval Blanc 1988.

Bouteille ouverte sans épaulage la veille au soir pour le déjeuner du lendemain.
Il s'agit d'une exemplaire conservée en cave électrique durant toute sa longue vie, comme en témoignent une étiquette et un niveau parfait, ainsi qu'un bouchon imbibé seulement à la base.
Cela explique une évolution lente et maitrisée sur ce flacon.

La robe est opaque, encore très brillante et à peine tuilée sur le disque, sans aucun brunissage.
Le nez est enjôleur et d'une fraicheur encore très marquée. Le tertiaire est clairement là, mais je le qualifierai de joyeux et luxuriant. Se mêlent tout le panel, entre le sous bois, le champignon, humus, l'âtre de cheminée et le cède frais, le tout gardant une fraicheur certaine.

En bouche, tout est en place, un beau volume, des tanins polis, il se laisse boire délicatement sans aucune aspérités.

Alors oui c'est très très bon, mais trop tout beau tout propre à mon goût si je veux chipoter (et il le faut je pense).
Une belle expérience, mais un manque de personnalité et de longueur qu'on peut peut être attendre vu le pédigree.


 

Saint-Émilion
Directeur technique depuis 2008, Pierre-Olivier Clouet, 43 ans, est nommé directeur général du château Cheval Blanc à Saint-Émilion. Pierre Lurton, qui dirigeait le domaine depuis 1990, devient président du conseil de gérance.

www.terredevins.com/...

Bu ici

Saint Emilion 1er Grand Cru Classé Château Cheval-Blanc 1949

Benoit
Mise Vandermeulen.
Vin plat, peu d’intérêt à moins d’être un gérontophile béat.

Oliv
Robe bordeaux d'une jeunesse pas croyable quand j'apprendrai l'âge du vin.
Nez terreux et d'évidence abîmé par un léger liège qui voile l'ensemble.
Bouche un peu fatiguée, pas totalement bouchonné mais un peu aride, à la finale usée et asséchante.
ED

Saint Emilion
Pourquoi Château Cheval Blanc veut « tout changer » pour 2050.

www.sudouest.fr/giro...

A la bonne franquette par Jl75


Château Cheval Blanc 2001 - Saint-Emilion 
Nez floral, le lard, le fruit rouge, les épices. Très classe. Bouche bâtie sur l’acidité. Des petits fruits rouges, un côté garrigue, un peu de fumé. Très jolie longueur et grosse concentration. Excellent.