J'ai acquis 3 bouteilles du Mission HB de 1981 et une de 1992.

Je n'ai trouvé aucun avis sur aucun des deux sur ce fil.

Qqn les aurait il goutés, surtout le 81 ?

tu en as 3, ouvres en une et tiens nous au courant

www.cellartracker.co...

J'ai ouvert une Mission 1981 bien conservée qui a séduit tous les convives.
lapassionduvin.com/p...

Merci ! J'ai une dégustation avec quelques amis mercredi prochain ou chacun amène une bouteille, je pense prendre une Mission pour voir ce qu'elle a dans le ventre. La conservation etait bonne et le niveau est au bas du goulot, on verra bien.

Je prendrai aussi une bouteille "plan B" au cas où j'ai une mauvaise surprise, mieux vaut prévenir que guérir !

Nous avons goûté la Mission 81 il y a quelques années, et je n'ai pas de notes qui ont survécu.

Impossible de faire un compte rendu dans ses conditions, mais c'était clairement un Grand Vin.
Nous avions pris énormément de plaisir à boire cette bouteille et avions décidé de garder sa petite sœur en cave pendant quelques années.

Elle est encore là, attendant bien sagement, et nous n'avons pas vocation à l'ouvrir de suite.

Je suis donc preneur de ton appréciation si tu ouvres ta bouteille, mais je pense que tu auras beaucoup de plaisir à la déguster.

1981, c'est encore l'époque Woltner, avec des vinifications parfois audacieuses, et des vins authentiques, et pour ce que j'en ai goûté, toujours réussi et de garde.

Vin de légende
La Mission Haut-Brion 1929

www.decanter.com/lea...

didier

J'ai bu 4 fois Mission 1929.

Bu à un repas de famille en 2006 :
Le Mission Haut-Brion 1929 a un parfum délicat. La première gorgée est presque agréable. Mais le vin est mort. Il est inutile d’insister. Une heure plus tard, l’odeur sera tout aussi agréable, mais la cause est sans espoir.

Bu avec des collectionneurs en 2007 au Chapon Fin à Bordeaux :
Je savais que mon ami allait apporter Mission 1926 et c’est à dessein que j’avais choisi le 1948. Le troisième compère, en apportant Mission Haut-Brion 1929 ne connaissait pas nos apports. Sa surprise n’en fut que plus belle, d’autant plus que son vin fut pour tous le plus parfait des trois. Mission 1929 est intéressant parce qu’il montre que les dimensions d’un vin sont sans limite. On se plait avec le 1948, on applaudit la structure du 1926, et le 1929 vient montrer qu’il existe un Mission Haut-Brion qui est la synthèse de tout. D’un équilibre majeur, sans aucune faute de goût, ce vin est « la » définition de Mission. Vin de plaisir où tout semble facile, tant c’est brillamment exécuté.

Bu au milieu de vins de folie en 2009 à Beverly Hills :
La deuxième série comprend des vins impressionnants : Latour 1929, La Mission Haut Brion 1929, La Mission Haut Brion 1949, Mouton Rothschild (magnum) 1949, Haut Brion 1959, Lafite 1959, Latour 1959. Le premier examen est celui des parfums. Latour 1959 a un nez très dense, ainsi que le Lafite 1959. Le nez du Haut-brion 1959 est beaucoup plus doux. Celui de Mission 1949 est spectaculaire. Mon verre de Mouton sent le verre, ce qui gêne l’examen. Le nez de Latour 1929 est discret et difficile à lire et celui du Mission 1929 est marqué d’alcool. Il faut attendre avant de juger.
Le premier examen des vins se fait avant l’arrivée du plat. Le Latour 1959 est complexe. Je le sens un peu minéral. Il faut attendre qu’il s’ouvre. Le Lafite 59 n’est pas encore ouvert. Il faut attendre, car à ce stade on ressent l’âge et un éventuel problème de conservation. Le Haut-Brion 59 me gêne, car je ne suis pas habitué à boire de si grands vins ouverts aussi tard. Les trois vins de 1959 sont de belles promesses à qui l’on n’a pas donné de temps. Le Mission 49 est très doux, un peu faible, mais on sent que le charme velouté va apparaître. Le goût du Mouton 49 me rebute un peu. Il promet d’être grand, car son final est long et riche. Le Mission 1929 est un vin énorme de puissance. Il évoque le café. Il faut encore attendre. Le Latour 1929 a une attaque légère mais un très beau final.
Le plat est maintenant servi. Sur la viande, Latour 59 est immense. Il est grand, puissant, viril et répond à la viande comme en un écho. Lafite 1959 est superbement élégant, d’un raffinement incroyable. Il fait partie des grands Lafite qui m’émeuvent. Le Haut-Brion 59 est plus torréfié. La compétition des 59 se fera entre Latour et Lafite. Le Mission 49 a un léger problème, mais c’est un vin très opulent, grand, lourd, au beau final. Le Mouton 49 est très Mouton, c'est-à-dire fantasque. J’aime beaucoup, même s’il n’a pas la rigueur des autres. Le Mission 29 est agréable mais un peu limité. Il est torréfié. Le Latour 1929 a la subtilité des bordeaux de 1929. Il est charmant mais a du mal à lutter avec les 1959. Latour 59 a tout pour lui, il est parfait. Le Lafite 59 donne envie de l’aimer. Je note à la volée sur mon petit carnet : « on aimerait tellement que Lafite soit aimé ». C’est le vin que j’aimerais encourager. J’ai évoqué les 100 points Parker. Pour mon goût, les trois vins de 1959 méritent 100 points.
Le Mouton 1949 me donne l’impression d’un bolide qui n’utiliserait que dix cylindres sur douze. Le Mission 49 est grand, même si une petite amertume me gêne. Mission 29 est meilleur que Mission 1949. Le final fruité du Latour 1929 est unique. Je classe : Latour 59, Lafite 59, Latour 29, Haut-Brion 59, Mission 29, Mission 49 et Mouton 49. C’est intéressant de comparer les Latour de 59 et 29. Le final du 29 est plus pur. Mais le 59 offre – aujourd’hui – beaucoup plus. Le Mouton, s’il était bu tout seul, serait jugé magnifique. Il est d’ailleurs adoré à beaucoup de tables. Le Mission 49 a perdu son petit défaut maintenant que le temps a passé. Les évolutions dans les verres me conduisent à ce classement final : Latour 59, Haut-Brion 59, Lafite 59, Latour 29, Mission 49, Mouton 49 et Mission 29. Les votes diffèrent à chaque table.

Bu en 2010 à l’occasion d’une séance de l’académie des vins anciens à Paris :
Le Château La Mission Haut-Brion 1929 est d’une autre trempe. Pour les jeunes palais qui assistent pour la première fois à une séance de l’académie, le fait qu’un vin de 81 ans puisse avoir cette force, cette présence carrée, et ce goût à la longueur inextinguible, c’est vraiment entrer dans un monde irréel. Je lis l’étonnement sur les visages. C’est un très grand Mission.
Le classement que je ferais des vins de mon groupe est : 1 - Château Lafite 1900, 2 - Grands-Echézeaux Domaine de la Romanée Conti 1956, 3 - Château La Mission Haut-Brion 1929, 4 – Château Pichon Comtesse années 20, 5 - Domaine de Chevalier 1952, 6 - Château Haut Brion blanc 1966, 7 - Sancerre rosé AOC 1976.

Deux fois sur quatre le Mission 1929 s’est montré à la hauteur de ce que dit Decanter et deux fois non.

C'est drôle ce Sancerre rosé AOC 1976, en dernière position du classement, aux côtés de grands crus prestigieux, lors de la dégustation en 2010...
Ce serait intéressant de savoir comment ce rosé aurait pu être mieux classé.

Jan,
Dans cette séance de l'académie des vins anciens, nous sommes 36 inscrits, mais 32 présents, avec 65 vins annoncés, mais 62 présents, dont 46 en provenance de ma cave. J'ai bu à cette occasion plus de 22 vins. Si un Sancerre rosé, vin de ma cave, apparaît 7ème, ce n'est pas qu'il est dernier, mais au contraire qu'il est très bien placé.

Voilà ce que j'avais écrit sur lui : "Qui a encore en cave un Sancerre rosé AOC 1976 dont le nom du vigneron est absent ? Le pire serait à craindre mais pas du tout. La couleur rosée est très belle, de rose frêle, le nez est convaincant et le goût est très agréable, simple, direct et appétissant. Il se boit bien."

OK François, merci pour ces précisions. Je n'ai pas tout compris sur les nombres de bouteilles mais ce n'était pas le propos. Je vois qu'un rosé de 34 ans d'âge peut ne pas avoir de trace d'oxydation, puisque qu'il peut être apprécié et jugé meilleur que bien d'autres crus dégustés ce jour là, par des amateurs exigeants. Édifiant !

Exigeants, exigeants, faut voir !

"crades" serait un adjectif plus approprié.

La Mission Haut-Brion 1994

Vin N°2: La couleur est évoluée avec des reflets tuilés.
Le nez est animal, le sous-bois et des odeurs de cuir assez fortes.
La bouche est évoluée sur des arômes de cuir et surtout animale. La finale est astringente, malheureusement cette
bouteille est phénolée.

Moyen

jmw

Dégusté hier soir chez mon père une bouteille de la Chapelle de la Mission Haut Brion, millésime 2009.

Bouteille elle aussi ouverte sans préparation préalable : remontée de la cave puis aussitôt ouverte, servie et glouglou dans l'gosier.

Difficile de se prononcer sur ce vin non-bu à l'aveugle en connaissant le pédigré :

- J'ai clairement trouvé cela bon à très bon, avec une jolie finesse en bouche.
- Par contre quelques déceptions concernant un nez trop discret et un manque de complexité qui pour ma part on fait défaut à ce vin, surtout au regard de l'étiquette.

A revoir assurément dans quelques années sur une autre bouteille (si l'occasion se profile) avec une meilleur préparation.

Bien
Nicolas

Bu lors d’une dégustation sur le thème des pessac léognan rouges 2012 relatée ici .

Château La Mission Haut-Brion 2012
Cépages : 38% cabernet sauvignon, 62% merlot.
Elevage en barriques, dont 80% neuves.
Robe grenat.
Nez ouvert, classe : à la fois floral (pivoine), fruité (fruits noirs, fraise) et boisé (bois, fumé).
Attaque ample et ronde. En bouche, on trouve une belle matière, ample. C’est soyeux et puissant à la fois. En retro, c’est complexe et appétant : boisé, framboise, notes lactées, fruits cuits, cuir.
La finale est fine et fraiche, avec une pointe minérale.
Très très long en bouche. Quelle longueur !
Conclusion : un très beau vin, complexe, fondu, minéral, associant élégance et longueur exceptionnelles. Il est au dessus du lot et déjà bon. Seul bémol, on sent les 15° d’alcool.
Note : 4,5+/5

Bibi

Autant j'aurais misé sur Haut Bailly mais pas sur MHB si jeune! Je n'ai pas souvent goûté MHB mais c'est bon a savoir que ça se goûte déjà bien. Je n'en ai qu'une malheureusement.
Tu l'avais carafée, rafraichie?

salut,
pas de carafage, une ouverture 6 heures à l'avance avec prélèvement d'un verre.
Température de service 16° .

Bu chez Benji

Château La Mission Haut-Brion, Pessac-Léognan, 1998



Oliv
Robe sur un violet assez léger.
Beau nez classique, au bouquet bordelais bien tourné, compromis de notes de fruits noirs enrobées de légères touches de tabac brun, de goudron. L'aération dans le verre ramène un végétal assez net mais sans verdeur gênante et que je n'avais pas perçu au premier coup de pif.
Belle attaque à la fois crémeuse de texture, sur une matière franche et d'une certaine suavité mais toute en équilibre frais et en structure, très classique d'expression mais d'une classe certaine.
La matière possède ce qui fait l'intérêt des vins de Bordeaux réussis, un équilibre dont la fraîcheur ne sacrifie rien à la puissance de corps et permettant ainsi au vin d'exprimer une vraie tenue à table.
L'accord avec le canard aux cèpes et le (monumental ) gratin dauphinois du chef est parfait, la structure du vin tranchant dans le gras du plat en créant un point d'équilibre qui appelle la soif !
L'aromatique assez végétale sans tomber dans le poivronné ou le jus de verdeur renforce ce sentiment de fraîcheur.
Belle finale droite et classe, aux tanins encore présents mais de grande qualité.
De la très belle ouvrage !

Marc
La Mission 98 présentait une aromatique de fruits rouges frais bien souligné par du végétal mais sans excès pour moi (j'avoue avoir pensé à un jeune cabernet franc). La bouche est superbe, veloutée avec de la classe et de la fraîcheur. Surprise à l'annonce du millésime, quasiment 20 ans et pas une once d'évolution! La bouteille avait plus de tout le lendemain. A attendre encore pour gagner en complexité mais personnellement fan dès à présent de l’équilibre.

Invité chez mon père pour fêter Noël, nous avons eu la possibilité de goûter deux gros calibres Bordelais : La Chapelle de la Mission Haut Brion, millésime 2009 et un Pape Clément, millésime 2011.

La Chapelle, que j'ai déjà goûtée cette année se montre plus ouvert, plus accessible que son illustre voisin.

La robe est rouge profond sans trace d'évolution.

Le nez est immédiatement porté sur des arômes de tabac, boite à cigare, cerise griotte, mures et autres compôté de fruits rouges et noirs.

La bouche est ample, procurant une sensation de velour en bouche avec une belle matière et une longueur relativement importante. Les arômes restent très primaires / secondaires (fruités).

Un vin d'ors et déjà accessible et qui procure un certain plaisir en l'état.

Très Bien
Nicolas

Château La Mission Haut-Brion, Pessac-Léognan 1978

Après avoir mis à l’évier un magnum de duhart Milon 78 Notre hôte avait préparé un flacon qui va mettre tous les invités d’accord.

Robe assez sombre


Nez puissant grande concentration sur le bois précieux, fruits rouges , cuir , jeune , on perçoit les notes de tabac . c’est très complexe .
Tanins fondus , très grande longueur sur les arômes du nez .
C’est vraiment grand et puissant . Une de mes plus belles expériences sur des bordeaux de plus de 30 ans
Une grande réussite sur 1978 ... ( selon le marché.. ) et j’avoue que je le comprends .
L’ecart qualitatif avec Ducru Beaucaillou et Vieux certan du même millesime était très important .
EXCELLENT

La Mission Haut-Brion - Pessac-Léognan rouge 1999 : couleur noire, rien à voir avec le précédent (un Pape Clément 2001 très vert), fruits noirs plus mûrs, bois précieux, tabac. Bouche avec beaucoup de fruit, de la fraîcheur derrière, toute jeune, tannins encore un peu trop présents à mon goût en finale, on peut l'attendre, mais c'est une grande bouteille en perspective. TB++.

Goûtée brièvement chez un caviste cette Mission Haut Brion 2009

Mon odorat ne me permet pas de pleinement profiter du nez, j'en perçois tout de même la complexité et la puissance: cèdre, boîte à cigare...

Bouche très puissante sur de magnifiques arômes cacaotés, tannins présents mais d'une grande finesse, longueur superlative. Ce 2009 n'est qu'un bébé à ce stade mais une probable référence majeure dans quelques décennies.

Grand vin, en devenir.

Sympa le caviste parce que pour qu'il rentre dans ses frais...

Ce n'etait pas le second vin et chateaunet comme caviste ?

Les fiches mentionnaient effectivement la Chapelle, mais la bouteille en dégustation était bien le grand vin j'en suis certain. Une erreur d'ouverture ?

Très grand vin assurément, malheureusement un bon rhume commençait à se déclarer et je n'en perçu qu'une partie...

Château La Mission Haut-Brion 1995

Ouvert 3h avant pour palier à la mort clinique du Sassicaia 1990

Nez puissant sur le tabac. En tant qu'ancien fumeur, j'adorais cette odeur quand j'ouvrais un paquet de cigarette tout neuf. Je l'ai retrouvé ici. Au fil de l'aération, si le tabac dominera toujours au fil de l'aération, les épices et le cèdres viendront se mêler.

La bouche parait très concentrée et puissante de prime abord. On a une attaque mentholée qui s'assagit très vite pour changer de registre et tapisser le palais en finesse. On a de la concentration mais surtout de l'harmonie, c'est beau, intense, et totalement délié avec de beaux tannins fondus et une finale ou le tabac et le cèdre reste dans le palais un long moment...

Excellent, et il a encore la vie devant lui.

Château La Mission Haut-Brion , Pessac - Léognan 1993

Niveau et bouchon sans problème.
Robe rubis avec la marque du temps qui passe…peu dense.
Nez discret assez complexe fruité , du balsamique, un peu torréfié.
En bouche le vin apparait structuré soutenu par une trame tannique qui manque d'enrobage de matière. C'est équilibré de longueur moyenne, un peu austère.
L'effet piètre millésime 1993.
C'est un bon compagnon de repas tout de même.
Cordialement

Bu Ici
www.lapassionduvin.c...

Château La Mission Haut-Brion 1937

VVIGNE
Ouverte 4h
Voilà une bouteille qui faisait causer dans notre cercle et qui devait sortir un jour.
Pour la petite histoire, il s'agit d'un legs familial. Elle provient d'une cave de Metz et fut enterrée durant la guerre pour échapper à l'envahisseur. J'avais bu sa petite sœur pour mes 18 ans (il y a donc 25 ans), date partir à laquelle je me suis intéressé au vin...
Bue découverte.
Le niveau est très bon pour ses 82 ans, La robe est d'une "jeunesse" étonnante car pas si évoluée.
Le nez est très puissant avec des arômes de cuir frais entêtant.
La bouche présente un joli touché, un bon volume, une belle matière acidulée avec quelques notes fruitées et fumées en plus.
A l'aération, le vin se durcit et devinent plus asséchant. Il faut donc le déguster vite.
Mais c'est une réussite et un beau moment d'émotion et de dégustation.
Je le note pour mémoire mais c'est hors catégorie
Niveau 6 : 16 / 20 - 92 / 100
Très bon vin : équilibré, le caractère, le volume et la complexité sont présents à des degrés divers.

KRABB
Belle robe rubis foncé, aucun signe d'âge.
Nez très beau sur le cuir, le sang frais.
Le nez va durer contrairement à la bouche.
La bouche est dans un premier temps présente sur des notes de poivron, pour s'effacer rapidement et se durcir et partir sur une acidité irréversible.
Belle découverte et respect pour ce vin et son histoire.

Pour les plus anciens ce vin a été "audouze " par son propriétaire qui est un fan


KONI
(On notera que l’appellation est encore Bordeaux et non Graves, alors que le décret d’appellation fut pourtant crée cette année là !)
Merci pour cette bouteille !
Souvent moquée, tu nous a prouvé qu'elle était a la hauteur de tes attentes.
Le caractère affectif de cette bouteille, comme souvent avec les très vieux millésimes, gomme mon objectivité !
La robe noire, profonde et ce nez de cuir aux accents de jus de viande me font oublier leurs éphémerités !
Cette bouteille qui a traversé les décennies, dans le contexte qui fut le sien, et que tu as choisi de partager avec nous et une preuve de grande amitié !
Merci copain !

Merci, les CR de vins de cet âge sont rares ! Ce que je comprends aisément.