Oui, François est dans le vrai à mon humble avis et expériences.
Si l'on peut apprécier les arômes fruités enjôleurs et racoleurs -au sens noble- des grands liquoreux dans leur jeunesse, j'avoue que l'émotion (je n'utilise ce terme que dans une conversation avec François) sur le Sauternes ne me vient que très rarement avec les vins de moins de 20 ans.

Je n'en dirai pas autant avec certains chenins liquoreux où le fruit laisse -parfois- la place à une matière diaphane...pour -parfois- se réveiller avec l'âge, mais seulement parfois ! Merci de louer le caractère ambitieux et définitif de cette assertion.

Une exception dans mon petit panthéon Sauternais (au sens liquoreux équilibré par le sucre et l'amertume, plus que le sucre vs acidité du chenin ou du petit manseng) : Cru Barréjats, où la finesse de saveur et la franchise me bluffent toujours, que ce soit à 5 ans ou 20 ans.

Yquem est dans une cour où l'on doit demander plus, compte tenu du prix exceptionnellement élevé (je ne dis pas trop). Alors comme dit M Audouze, achetez des vins de la double décennie 80/2000; c'est à moins de 180 € pour au moins 6 millésimes, et si comme moi la première fois vous vous payez la bouteille à 3/4 couples pour tenter l'aventure, c'est une expérience "abordable" inoubliable.

Je suis assez d'accord avec toi et François.

Je pense également que 15-20 ans pour les grands sauternes en général et Yquem en particulier est un minimum. Mais de là à dire apogée en 2050 pour un Yquem 1990... ça fait 60 ans… Je pense et j'espère qu'il pourra donner beaucoup de lui même avant ses 60 ans !

J'ai eu la chance de croiser Yquem sur 1982/1991/1996 et 2002 ces 3 dernières années et je dois dire que le plaisir à été au RDV à chaque fois avec plus ou moins d'intensité. Le plus vieux 1982 bu en Juillet 2015 m'à presque un peu déçu comparé au 1996 bu quelques mois avant. Le 2002 bien que très jeune était lui franchement ouvert et plaisant (mais il s'agissait là d'une demi-bouteilles peut-être le contenant à-t-il joué sur le cheminement du nectar ?).

En tout cas je fais partie de ceux qui aiment croiser la route de ces beaux flacons.

Sauf que François ne dit pas 20 ans, il dit 60.
Selon son théorème universel qui veut que plus c'est vieux, meilleur c'est. Mais bon, c'est son fonds de commerce...
À ce rythme là, aucun intérêt à acheter ce type de vin, on sera tous morts avant qu'ils aient atteint leur raffinement optimum.
Pour ma part, j'ai bu cet après-midi un Vin d'Autan 2006 de Plageoles, qui m'a semblé avoir tout ce qu'il faut en terme de complexité et de raffinement dès aujourd'hui. Je vous laisse donc bien volontiers les Yquem 1990 à déguster en 2050.

Luc

Luc Javaux écrivait:

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> Sauf que François ne dit pas 20 ans, il dit 60.

D'où mon message :

Mais de là à dire apogée en 2050 pour un Yquem 1990...eye rolling smiley ça fait 60 ans… Je pense et j'espère qu'il pourra donner beaucoup de lui même avant ses 60 ans !

J'espere aussi pouvoir profiter des quelques flacons de sauternes encavées sur des millésimes récent avant ma mort…

Et il y a des vins dans la catégorie sucrette qui donnent bien du plaisir avant leur 20eme anniversaire, je pense en ce moment a des alsaces notamment !

Relatons : un vieil homme nous dit qu'avant 60 ans, le vin liquoreux à plus de 150 €, c'est trop jeune. Quel crédit lui accorder ? Ne pousse t'il pas l'anthropomorphisme trop loin en s'imaginant encore fringuant ?

A moins, que lancé dans un trait que je crois d'esprit, je taquine trop l'esprit chafouin du maître pré-sénile ?

Et si, pour revenir au principal, je vous disait que l'un des meilleurs liquoreux que j'ai bu était un obscure sauternes de 1967 (je n'en saurai jamais plus sur le "chateau", acheté sans doute à l'époque 14 francs au supermarket en 1972 sans doute vu que le taulier n'avait QUE des vins de cet acabit en cave).

L'évolution du vin vers cette couleur ambrée, presque brune, au nez puissant mais délicat à la fois, et à des sucres complètement digérés, reste une expérience facilement tentable...vu la désaffection des amateurs envers les liquoreux, ils sont TRES abordables vieux...tant mieux pour nous.

Bref, pas obligé d'attendre 60 ans, mais avec le niveau de puissance et le potentiel évident de garde de ce chateau d' Yquem 1990, c'est sans doute une évolution constante vers une "certaine" apogée, si l'on est très amateur de très très vieux liquoreux.

Luc,
La différence entre fond de culotte et fonds de commerce, c'est que le premier ne prend pas d's au singulier au contraire du second.
ça fait partie des fautes d'orthographe parmi les plus banales, lorsqu'on ne sait pas ce qu'est un fonds de commerce.

J'ai écrit : "Yquem comme tous les sauternes est agréable à tous les âges, mais ne cesse de se bonifier. " ce qui veut dire que j'admets que les sauternes sont bons aussi avant 60 ans.
Mais si je dis qu'ils se bonifient avec l'âge, pour me qualifier de sénile, il faudrait avoir bu ces vins et ne pas les avoir aimés.

Le plus grand Yquem que j'ai bu est 1861 et celui que je considère comme étant l'essence même d'Yquem, c'est 1893 (je vous renvoie à mon article dans la revue Vigneron). Il y a de grands Yquem, comme 28, 29, 37, 45, 47, 55, 59, 67 etc, mais le plus emblématique est 1893 et celui que j'ai considéré comme le plus grand 1861.
Dans le même esprit, mon plus grand Suduiraut est 1928, plus grand Climens est 1929, etc, etc.

Peut-on me démontrer que ce n'est pas vrai ?

J'ai aussi dit : "Et si on n'a pas envie de trop attendre, il y en a en vente aux enchères à des prix abordables du genre 30 à 40 euros pour un Loupiac des années 40."
ce qui veut dire qu'on peut ne pas attendre 2050 avant de boire de bons liquoreux ayant atteint ce supplément d'âme que donne l'âge que seuls des esprits chagrin veulent nier.

Par ailleurs, Luc dit : "Je vous laisse donc bien volontiers les Yquem 1990 à déguster en 2050". Si on ouvrait maintenant un Yquem 1955, tu préférerais quand même ton Vin d'Autan 2006 de Plageoles ? Par conviction ou par esprit de contradiction ?

On fait sur ce coup un mauvais procès à monsieur Audouze. Ces vins manifestement se bonifient considérablement avec un vieillissement conséquent, voire très très conséquent, j' ai bu trop rarement Yquem, le plus ancien avait 30 ans passés et j' aurais aimé qu' il fût plus ancien encore et ce qui est valable pour Y l' est à mon sens pour d'autres. J' ai quelques anecdotes savoureuses que je tiens d' un amateur, collectionneur, buveur d' Yquem qui avait emmené avec lui pour une dégustation d' anthologie plusieurs vignerons réputés de Bourgogne. Tous chez Alexandre de L. S!!

Bonne soirée
R

Si on ouvrait maintenant un Yquem 1955, tu préférerais quand même ton Vin d'Autan 2006 de Plageoles ?

Ça dépend, tu me l'offres ou je dois le payer ?
Dans le premier cas, je veux bien goûter pour vérifier que ce vénérable Yquem arrive à la cheville de mon Gaillac, que je t'offrirai avec grand plaisir.

Luc

ça m'étonnerait que j'aie envie de partager un Yquem 1955 avec toi !
le temps où je voulais que l'on se comprenne est révolu.

Ah, mais attention ! Je n'ai pas parler de le partager avec toi, je t'offre mon jeune et vigoureux Gaillac, tu m'offres ton vieux et décati Yquem, ça me semble tout à fait raisonnable comme offre, du moins si on sait dépasser les mesquines considérations financières...

Luc

Je croyais détendre l'atmosphère avec le rappel intempestif de l'état de pré-déliquescence d'un pseudo sexagénaire. En la détendant, on pouvait escompter atteindre les nuages et sourire, mais c'était sans le compte en cieux qui vous lies.

Je vais Pipotronner ailleurs, tiens. (1)

(1) signifie utiliser son Pipotron personnel, principe fondateur de la participation aux forums, ici emprunté à l'excellent Rémi Loisel, dont je vous conseille le site, là :
www.chateauloisel.co...

François,

pourrais-tu donner ces adresses de ventes aux enchères où l'on peut trouver de vieux Loupiac Sainte Croix du mont de 40 ans d'âge pour une quarantaine d'euros ?

Thanks

Serge

En 10 secondes sur le net, sur le premier site venu, au pif quoi :

www.comptoirdesmille...

et l'Raymond Lafon, c'est pas une brêle non plus, quoi que je n'en connaisse qu'un millésime (95 de mémoire, sympa d'ailleurs).
Quand je vous dit que les liquoreux, plus personne n'en veut vraiment !

Bonjour à tous,

bu avec LPV Forez lors de cette soirée , un Sauternes, Chateau d'Yquem 2002 (carafé 5 heures).

Cédric :

Nez séduisant sur les fruits secs et confits, les agrumes.. des notes de safran.
Bouche ronde, subtile, aux sucres bien fondus. Aromatique de fruits, d'agrumes, d'écorces d'orange. C'est fin, frais, digeste, tendu. Belle persistance. Je suis parti sur un beau Monbazillac
Semi déception à la découverte de l'étiquette, je n'ai pas retrouvé cette "puissance maitrisée" des quelques YQUEM déjà croisés. C'était plutôt doux, délicat. Peut être un effet de séquence ou une délicatesse de façade car derrière le SAUTERNES ARCHE 2007 a paru bien léger.

Très Bien

Jean-Bernard :

Je n'ai pas vraiment analyser le nez, je fatiguais.
Bouche très intéressante par son profil entre richesse et légèreté, une certaine classe, encore mise en valeur par la comparaison avec le vin suivant que j'ai aussi pu goûter en parallèle..
Très très bon.

Nico (moi) :

Très joli Sauternes, seulement joli nez, avec une délicatesse hors norme pour l’appellation malgré une très belle structure et une buvabilité juste exceptionnelle. Pas de magie particulière mais c'est excellent. Y à pas à dire cet Yquem 2002 est un excellent vin mais il vaut mieux les boire que les acheter winking smiley

Frisouille / Flo :

La robe est orange dorée. Au nez, on retrouve des plantes médicinales, un peu d'alcool, de la menthe, des herbes coupées. On retrouve en bouche, une matière doucereuse, grasse. On est en présence de fruits à chair jaune, de chlorophylle, un peu de safran, de caramel...La finale est un peu courte, et c'est dommage, car ce vin est, au total, aérien, avec une liqueur bien intégrée, et équilibrée. Un vin bien propre sur lui, déjà complexe, ou rien ne dépasse, et doté d'une grande digestibilité. Preuve en est, la rapidité à laquelle la bouteille a été vidée. J'étais parti sur une dominante sémillon, plutôt Barsac, pour la finesse de texture et le côté aérien de ce Très Bon à Excellent vin (16,5 / 20). Merci également au généreux donateur. C'était mon premier Yquem, je suis satisfait de l'avoir goûté, mais comme le dit Nico, plus un vin à boire qu'à acheter, pour ma part!

Diner de travail avec quelques amis d'un club d'oenophiles.
Après Chablis Grand Cru les Clos 2005 de Jean Paul Droin, Malescaud Saint Exupéry 2005, Clos vougeot 2001 (Méo Camuzet) nous terminons par un "Sauternes" mis en bouteille par SA Chateau d'Yquem sans année.
C'est une bouteille faite de jeunes vignes du domaine et qui mélange 3 années différentes.
Millésimes autour de 2008 selon l'apporteur de la bouteille.
Couleur jaune claire.
Un très beau nez, du pamplemousse et des notes citronnée.
En bouche c'est moins sucré qu'un Yquem mais moins lourd également.
Des notes de mangue, de citrons et mentholée.
Une très belle bouteille.

En tout cas, je vois que la notion d'apogée fait débat !

Lorsque je disais, entrée dans son apogée, l'idée c'était plutôt de dire que pour moi et mes goûts le vin est prêt à boire. C'est clair qu'il devrait évoluer de belle façon sur quelques décennies sans aucun soucis. Après, je ne suis pas certain de pouvoir dire que je le trouverais meilleur dans 20 ou 30 ans. Une chose est sure, j'essaierais certainement d'en boire dans ces temps là, si j'ai les moyens d'en acheter une.

Pour le moment, le prochain millésime un peu plus vieux que je vais attaquer sera 1975, lors d'une petite verticale que je vais faire avec quelques amis dans 3 semaines, je vous tiendrais au courant... Dans mes souvenirs, y'a 3 ans, il était déjà à son apogée mais bon peut-être que j'ai été un peu optimiste et qu'il le sera que dans 30-40 ans -

CR:Château Yquem Sauternes 1990
Une belle robe vieil or, un nez complexe et aérien, très pur, sur des notes de d'ananas rôti, d'abricot, de mangue, de thé vert, de crème caramel, de zeste d'orange et de menthe fraiche.
La bouche est superbement équilibrée, la liqueur n'est pas énorme, c'est aérien, un nuage de noblesse, une grande harmonie avec une très longue finale, douce et fruitée.
25 ans et encore au début de sa carrière. Grand vin

CR:Château Yquem Sauternes 1995

Premier Yquem de ce millésime pour moi .
La robe est assez colorée, dorée-orangée .
Le nez à dominante orange confite , fruits tropicaux puis épices douces .
En bouche le vin est agréable pour moi grâce à sa texture non sirupeuse avec au contraire une belle acidité qui prolonge le vin en bouche .

En l'état un bon Yquem pas d'une très grande complexité mais agréable à boire ,équilibré et rafraichissant .

Une bonne vingtaine d'années supplémentaires devraient lui faire du bien .

Sauternes 1 par Château Yquem

Merci à Bruno d'avoir expliqué quelques messages au-dessus qu'il s'agit d'un vin réalisé à partir de jeunes vignes du château et d'un assemblage de trois millésimes.

La robe est d'un or bien brillant.
Le nez est magnifique de puissance et d'expression. On y trouve un botrytis pur, des accents miellés, des notes vanillées et d'autres florales.
La bouche est remarquablement équilibrée, dotée d'un gras qui tapisse le palais et d'une acidité structurante. La finale s'allonge sur une belle sapidité, laissant apparaître un sucre encore bien présent.
L'accord est bien entendu réussi sur des toasts au foie gras mais fonctionne également très bien avec des toasts au bleu de Bonneval.

Un très beau vin qui a manifestement la "patte" d'Yquem. Très bien ++ / Excellent

Merci Michel pour cette découverte et ce beau cadeau d'avoir ouvert cette bouteille pour le réveillon.

Jean-Loup

Château d'Yquem 1990

Pour le 1er janvier et pour fêter sa retraite, un grand ami nous ouvre cet Yquem 1990, bouteille qu'il avait ouverte avec nous déjà il y a 6 ans, et qui a grandement contribué à lancer ma passion du vin.

Superbe couleur, dorée, limpide et brillante.
Quel nez fantastique!
C'est un festival d'arômes qu'il nous délivre tel que l'abricot confit, la mangue, le raisin de Corinthe mais aussi un léger safran apportant de l'élégance et des notes plus gourmandes de caramel blond, de pralin et de chocolat au lait.
C'est absolument superbe d'expression et de gourmandise sans jamais tomber dans la lourdeur.
La bouche est toute aussi fabuleuse, ça me fait penser à l'Auslese 2009 d'Egon Muller bu récemment par cette sensation suave, de douceur qui caresse le palais.
C'est un véritable voile de velours, enveloppant avec un sucre parfaitement intégré, jamais écœurant ou grossier. Le fruit confit est toujours présent amenant de la gourmandise et de la légèreté.
La finale est interminable, presque saline tant elle est fraiche.
Un vin absolument exceptionnel

Le genre de bouteille ou on prend son temps quand on la boit, car on ne veut pas que ça se termine...

Le suduiraut 1988 bu quelques jours auparavant parait bien loin devant l'évidence et l'élégance de cet Yquem.

Merci Bernard!

juilen

[sudouest.com]

Joli coup de pub et bel enfummage.
Ce qui était accessible gratuitement en se pliant à une certaine discipline devient plus accessible mais payant et pas qu'un peu : 60€ la visite

Une manière de rester sélectif...

Sûr !! Pour avoir fait des dégustations par ailleurs, je peux vous dire que la plupart des visiteurs ne sont pas de la meilleure catégorie... Y a quelques abrutis qui trainent et les supporter relève souvent de l abnégation !
Les faire payer permet de faire en sorte qu ils aillent voir ailleurs, car j imagine ce que serait Yquem avec la cohorte de profiteurs avec un culot incroyable qui viendrait se faire rincer a l oeil au château sous les yeux de Mr Lurton .

Christian,
Pourquoi parler d'enfumage ?
Il y a une différence fondamentale entre recevoir des visiteurs comme le font tous les vignerons, sur rendez-vous et au compte-goutte, et se doter d'une structure pour recevoir massivement.

Si on pense à ce que j'ai vu de plus industriel, Pommery, on achète à une caisse, on a un numéro, on passe par des tourniquets à l'heure prévue pour la visite et on a un guide.
Entretemps, comme on attend, on achète des choses aux dizaines de boutiques.

Une telle structure est commerciale et Pommery essaie de gagner de l'argent dans cette activité, car les cars arrivent par dizaines et le hall d'entrée regorge de monde.

Entre la visite paisible et une activité organisée de visites, il y a des coûts en plus et ça paraît normal de la rémunérer. Et comme on boit un verre d'Yquem, ça ne paraît pas un prix monstrueux. Si vous allez au 110 de Taillevent, l'Yquem au verre est plus cher que le prix de cette visite plus un verre d'Yquem.

Mouton-Rothschild a une activité de visites très structurée et je crois que c'est payant.

Vouloir attirer des visiteurs en offrant un accès plus facile, offrir un verre d'Yquem, ça me paraît une approche logique et pas de l'enfumage.
Yquem sera plus facilement inclus dans des programmes d'oenotourisme.
Il y a donc une logique à tout cela.

Un peu limite cependant pour les amateurs et passionnés. ...
pour ma part je trouve ce tarif très dissuasif ...

Oui, enfin, il y a beaucoup plus à voir à Mouton qu'à Yquem...

Quand je pense qu'il y a 2 ans, après 3 heures de visite, seul avec ma femme qu'on s'est sifflé la moitié d'une bouteille de 2007 à 2 (3 avec la guide qui n'a bu qu'un fond) le tout gratuitement, sans être privilégiez ou sans avoir une quelconque relation avec qui que ce soit, on voit que les temps changent...

A l'époque ce projet était déjà envisagé, la guide nous en avait parlé...
Il faut savoir aussi qu'il y aura de la vente direct au domaine avec, il me semble, quelques millesimes "anciens".

Cordialement

Lucas

lucas écrit: seul avec ma femme qu'on s'est sifflé la moitié d'une bouteille de 2007 à 2 (3 avec la guide qui n'a bu qu'un fond) le tout gratuitement

A l'époque ce projet était déjà envisagé, la guide nous en avait parlé...

C'est donc juste après votre départ qu'ils ont décidé de sa mise en œuvre

Arnould.

Entre l'impossibilité de visiter ce domaine pour quelque amateur ordinaire,

et la possibilité de le visiter (+dégustation) moyennant un ticket d'entrée (avec possibilité d'achat),

je préfère de loin la deuxième option.

Même si le coût reste dissuasif, le château n'est pas dans une totale herméticité.