Il y a deux ans un cousin passionné m'a fait découvrir un vigneron sur le lac de Laromet sur les appellations Bordeaux et Cadillac auquel j'ai rendu une brève visite quelques mois plus tard.
Il produisait un Bordeaux à moitié sous le manteau, un merlot en pureté remarquable de netteté, de simplicité et de fraîcheur, petits fruits rouges, cerise et mûre, un Bordeaux comme j'ai du mal à en trouver. Pour 4€...
Une bouteille vendue en direct propriété aux locaux... En complément de son activité pour Mouton-Cadet. Sincèrement ça m'a fait chier sur le coup de voir ce petit "bijou" dans son genre noyé dans la masse informe (bien sûr aucun jugement de ma part ici sur le choix du vigneron, car en est-ce vraiment un?).
Sur le coup je me suis dit que beaucoup de choses avaient changé en peu de temps. 4€ c'est le prix d'un Chenet au supermarché local non? D'un Cellier des Dauphins?
Dans un des bars sur la halle de Cadillac ce jour-là on servait du rosé.

Ce n'est que l'évolution normale de la montée en qualité, après cette "verticale qui remettait déjà les pendules à l'heure" ... du cirage de pompes.

jlj

Je ne comprends pas, dans son billet sur les événements majeurs à Bordeaux en 2020 , Jane Anson a oublié ce scoop du Bordeaux moderne et bon marché ré-inventé.
Elle est pourtant tout ce qu'il y a de plus sérieux

Billet
La mort de la critique vin a laissé une sacrée gueule de bois.

www.pix.wine/the-dro...

Critique 
De l’émergence des influenceurs et leur site sous abonnement. 

www.hudin.com/the-ri...

dans cette liste en fin d'article, il y a un grand absent qui n'a pas su prendre le train, il en avait pourtant le talent et les compétences.
Mais sur ce coup, LPV a été plutôt visionnaire.

Il manque Moselfinewines à sa liste finale. 

où l'on voit quand même l'importance qu'avait Robert Parker du temps de sa splendeur : la liste comportait alors 4 ou 5 noms et le sien seul prenait une place énorme.

écrit:

Il manque Moselfinewines à sa liste finale. 
 

Sauf que Moselfinewines reste toujours et encore intégralement gratuit, non ?
Et quand on voit le travail extraordinaire fourni par David et Jean depuis 15 ans, cela mérite vraiment le respect de tous.

Je confirme, c'est gratuit
Patrick 

Si on se place sous le prisme de l'influence pure, seul 4 ou 5 ont un impact global aujourd'hui: Galloni avec Vinous, Suckling, le Wine Advocate qui vit de sa rente Parker sans se fouler, le Wine Spectator et déjà dans une moindre mesure Decanter.

Après, au niveau régional, on a des particularités: Meadow en Bourgogne et Juhlin en Champagne pour les 2 régions que je connais le mieux.

Le reste est déjà plus artisanal en terme d'influence, j'ai pas dit moins bien en terme de qualité (suffit de voir le travail de Jasper Morris qui est admirable).

Comme j'avais vu abonnement, j'avais supposé qu'il y avait une partie payante. Les abonnements gratuits sont tellement rares...

Entretien
Les "conflits d'intérêts érodent la confiance des consommateurs dans les critiques de vin".

www.vitisphere.com/a...

Critique
De l’indépendance de la critique et des sites sous abonnement. 

www.wine-business-in...
 

Médias 
Pix Wine se sépare de son comité éditorial. 

www.wine-searcher.co...
 

oliv écrit:

Médias 
Pix Wine se sépare de son comité éditorial. 

www.wine-searcher.co...
 

Plus d'infos sur www.sfchronicle.com/...

Ne pas rater les rebonds à ce tweet qui en disent très longs sur les petits arrangements entre amis à l’œuvre dans le monde du vin. 

Impossible de récupérer bearer token (consumer)

Un article à lire : www.everydaydrinking...

Ne pas rater la réaction de Jeb Dunnuck sur Twitter, notamment l'attaque frontale sur Vinous !

Impossible de récupérer bearer token (consumer)

 

Il faut vraiment lire les tweet de Jeb Dunnuck 

 La  💣 

EXTRAIT DU FORUM DE VINOUS ... !!


Marius Fries  Trier, GermanyPosts: 12,615
5:56PM  in  Your Say
This www.everydaydrinking... has just been published by ex vinous critic Jason Wilson.

Many here remember his in-depth coverage of Loire wines. His work for Vinous ended abrupt when all of a sudden he was replaced by Rebecca Wilson. Fast forward around two years and Jason reports about the wine industry's discreet influence on leading wine publications and critics, according to him basically a "pay for play".

He goes on to cite recent conversations with "the president of a major public relations agency", colleagues etc. . Besides Vinous, he doesn't name names but considers Vinous a "case study" for the broken wine media. I'm not going to go into detail as everyone is able to read the article on their own. But if I understand Jason correctly he alludes that Argentina coverage on Vinous has been asked for and paid for by the industy. He also claims that Antonio favorably reviewed a seemingly random bunch of 28 wines from different regions as a "Lockdown Special", all of which happened to be imported by Polaner Selections ( without this fact being disclosed to readers ). 

In view of Jason's report I'm asking myself if I have to reconsider the circumstances of his dismission as a Vinous critic. Did he have to leave because Rebecca Wilson was the industry's critic of choice ? Does the industry, e.g. a wine trade organisation or an importer pay for her work ? If so, what is she supposed to do to meet the industry's demands ? Same goes for Argentina coverage on Vinous. 

If I remember correctly, I've been asking at least two or three times and in different threads, at least one of which Antonio was involved, whether Vinous accepts any kind of financial support from the wine trade or industry for coverage of specific regions or for specific reviewers. Never have I received an answer to these questions, neither on the forum nor in a pm. . Honestly, this puzzled me because if I were the founder of a wine publication and someone repeatedly asked questions about my integrity, I would consider it important to settle any doubt immediately. It's not only a matter of integrity and personal ethics but also essential to protect my business. Even more so if the person asking is someone who obviously worships my work und contributes to the forum regularly.

Hence I'm asking  @Antonio Galloni  again because the idea that what Jason reports might be true really troubles me : is there any kind of financial support Vinous accepts from the wine trade, industry, importers etc. besides paying for subscriptions, hosting tastings etc. ? Is there any vinous critic, employee, free lance etc. writing for Vinous whose work has been paid for or at least significantly supported by the wine trade, e.g. trade organisations ( e.g. Wines of Argentina/New Zealand/Loire etc. ) ? What about the aforementioned "Lockdown Special", is it true that all of these wines have been imported by Polaner Selections ? How comes and why hasn't this been disclosed ? Instead you wrote it was "fun" to do something completely different - why ?

Je suis surpris que certains puissent être surpris.
Je ne condamne pas la naiveté, je le suis assurément dans une infinité de domaines que je connais pas.

Je vais prendre le cas ou vous êtes viticulteur français et que vous souhaitez aborder le marché anglo sax.

Je zappe le fait ou vous êtes déjà connu et en gros ou vous avez déjà X années à plus de 93 / 94 sur 100, la donne est différente. Je donne une barrière moyenne, on voit que bien que les stars connues commencent à 92 ou bien à 95 selon l'échelle des dégustateurs, mais je pense que vous m'aurez compris.

Il vous faut cumuler 2 conditions en tant qu'illustre inconnu.
- être déjà en contact avec un importateur, qui a ce stade de ne passe pas commande.
- être noté par un critique.

Avec un semblant de début de réseau, vous pouvez payer pour être dégusté ( il faut toujours payer ). Vous payer le max pour vous seul, ou vous vous grouper avec des voisins ( le ticket unitaire chute drastiquement à une valeur finalement assez symbolique si vous arrivez ne fusse qu'à une dizaine de fioles ), ou votre AOC organise le truc, ou un organisme de promotion de la région, etc...ou si vous passez par un intermédiaire celà peut être votre négociant exportateur, agence export, etc....
Vous pouvez passer l'échelle supérieure, par exemple si l'organisme se proposait de fournir l'hébergement et les frais du critiques de passage dans la région. On ne sait jamais, dans un cadre fort agréable, bien nourri, bien hydraté, bien transporté et amené dans des spots touristiques confortables l'aprés midi, peut être que le critique se sentira tellement bien qu'il pourrait sur-noter de 1 ou 2 ou ... points ( le cadre ça compte pour la dégustation - Ah ! les biais psycho...)
Vous pourriez aussi ( en étant joueur un peu coquin - mais là bien entendu, toute ressemblance avec des faits bla bla bla...) acheter un vin ( une star genre 97 / 100 ) et la réétiquetter avec votre nom dans une micro cuvée curieusement introuvable plus tard ). Hélas, votre statut d'indigent la limiterait ( votre cuvée fantôme ) au plafond....du groupe d'indigents dont vous faite partie à date. Il faudrait se contenter du plafond de verre à 92 / 93. Pardon, mes excuses, mon imagination divague parfois.

M'enfin vous avez une note. Vous avez entre 88 et 93. Il est temps de reprendre contact avec votre importateur, et la discussion prix / dispo / date du prochain container va s'affiner trés sérieusement. L'importateur se fout probablement royalement de savoir si la note est juste ou pas. Vous êtes noté, vous êtes passé d'invisible à visible, la suite c'est son job, la puissance et les compétences du retail qu'il va trouver.


En France c'est un peu différent, mais il n'y a pas que des oies blanches non plus.
Encore que, je ne condamne pas forcément la pas nécessité devant les enjeux et limites économiques. Que ce soit dit.
LPV fait parti d'un ensemble de choses qui ont bousculé le microcosme de la critique. Les médias historiquement classique ont été coupés de ressources €€€.
Donc maintenant plus qu'hier, il y a nécessité de comprimer les charges.
Donc on envoie du free lance faire les primeurs de telle région, ou un sujet thématique. C'est de l'externalisation de charges pour le média, il suffit de payer le salaire, les charges liées à une réception confortable ...ne rentrent même pas dans les charges ( le ratio de renta sur CA chuterait drastiquement - et je ne suis même pas sûr que la banque accorderait  la ligne de tréso nécessaire - sans compter que les frais de nuitée et frais de bouche exploseraient plus que largement les barèmes fiscaux - détruisant de facto le peu de renta ). Bref.
Si une AOC est intelligente, il saura trouver des conditions agréables....
Encore mieux, à titre purement individuel, si vous êtes un domaine doué d'une digne capacité de réception, c'est top d'héberger le critique. Il est possible - notez le conditionnel hypothétique - que vous puissiez faire gouter de manière informelle une verticale ni vue ni connue, etc...à ce stade, et dans le strict art du bien recevoir à la française, vous ne manquerez pas d'avoir réserver un petit dîner informel dans le 2 ou 3 macarons local ( mais çà c'est pour votre gueule en frais ), et de prévoir qq aprés midi de balades / tourisme ( aprés le travail vient le réconfort - il faut savoir divertir les papilles les plus affûtés mais aussi les plus sensibles - ce ne sont pas des machines, hein ). En pareille conditions, avec des papilles fraiches, il se pourrait que votre vin subisse à l'insu de son plein grés une note fort favorable dans le sujet. Tant pis pour les voisins et chaleureux collègues ( mais aussi concurrents ), ils n'avaient qu'à mouiller la chemise carte bleue.


A une époque, pendant le régne de Bob et aprés son départ, il a été fort débattu.
Il n'empêche, avec le recul, et surtout en tenant compte de ses goûts perso et du style qu'il aimait, on peut déguster tout ce qu'il a noté, j'ai du mal à y voir des biais.....Ca ne m'empêche pas d'avoir aimé Bel air 89 bu l'an dernier, qu'il a massacré. C'est un exemple.
Bob pouvait sans doute vivre trés décemment de la vente de la notation, y'avait pas de modèles alternatifs. 
Depuis l'internet et l'info gratuite, ou pseudo gratuite, celui qui casque n'est plus celui qui achète le conseil, c'est celui qui achète la boutanche.

Tout est une affaire de réseaux. Je mets au pluriels car il y en a plusieurs et qui fonctionnent différemment. argent, relation, copinage, échange de service.
Personnellement, je pense à toutes ces personnes qui font des super vins et qui ne sortent pas de l'ombre, parce qu'ils n'ont pas accès à un réseau.
En tout cas,ce fil historique de LPV semble avoir encore de beaux jours devant lui.

la réponse de 

Rebecca Gibb  Posts: 48
September 10  edited September 10I am replying to some of the comments not only questioning my integrity but also giving me a new surname.  “In view of Jason's report I'm asking myself if I have to reconsider the circumstances of his dismission as a Vinous critic. Did he have to leave because Rebecca Wilson was the industry's critic of choice ? Does the industry, e.g. a wine trade organisation or an importer pay for her work ? If so, what is she supposed to do to meet the industry's demands ? Same goes for Argentina coverage on Vinous”Jason’s departure is between Jason and Vinous. Why my name – or not my name – is dragged through the mud based on no evidence is yet another case of me having to prove myself yet again when my credentials are in no doubt.- I was asked to join the team as NZ critic as I am the author of The Wines of New Zealand, shortlisted for Wine Book of the Year. If you have not yet read it, I suggest you do, and you will be in doubt that I know my stuff. I lived there for 6 years and am married to a Kiwi. Find me another critic outside of New Zealand who knows the place as well as do. -  I am a Master of Wine – I won the Bollinger medal for Outstanding Tasting Ability in a record class of 24 graduates as well as the Outstanding Achievement Award for best performance across the 7 MW exams.- I’ve been writing for and editing wine magazines for more than 15 years and won a host of awards because I am good at what I do and I work my arse off.  - I have been regularly visiting and writing about the Loire since 2016 to build up a specialism in the Loire Valley. Vinous recognised this when Jason left. I also speak French - I maintain the highest standards of integrity.- I would never accept payment for wine reviews nor change my scores for anyone. If I was asked to do so I would not be working for them. I am fully independent. Has anyone bothered looking at my score beyond Nick Amis, who correctly points out my scores and not higher than Jason’s I have now worked for Vinous for two years. In that time, I have tasted around 2000 wines and the highest score I have given is 98 – and I can count those wines on one hand. I’ve handed out far more scores under 83.- I have never been paid for my writing work by any industry body, as was suggested. I am nothing short of insulted by this suggestion.- I do not wish to become embroiled in this mudslinging – it is wearisome. I am here on merit. 

la réponse de Antonio 


Antonio Galloni  Posts: 5,281
September 10  edited September 10Thank you for your comments and questions. Apologies for taking some time to reply, I have been in tastings back to back in Italy this last week.This article was written by Jason Wilson, who wrote several articles for us in 2019 and 2020. Out of respect for Jason’s privacy, we will not disclose the reasons why we chose to not continue our working relationship, but it had nothing to do with the scores of specific wines.Pay to PlayThere is no “Pay to Play” at Vinous. Although the statement about an unknown critic asking for a payment for a specific score is not explicitly directed at Vinous, its placement in this article could lead a reader to make that connection. So, let me be clear. Vinous has never offered scores in exchange for payment. Never. Unsubstantiated claims such as this one are reckless and unprofessional. Vinous does not accept advertising, publish sponsored content/advertorials and does not provide deliverables with controlled outcomes. We have never deleted an unfavorable review, although I have been asked to do that several times. The answer has always been a very firm No. The people who have asked know that, I know that, and now you know it too. We do have a track record of publishing negative reviews of generally highly-regarded wines in cases where we feel those wines have underperformed.Our first and primary mission is to provide critical and objective reviews of the wines we taste. If people in the trade are unequivocally enthusiastic and positive about our work, that would mean we aren’t doing our job. Undertake any meaningful analysis of Vinous’ scores compared to those of peer publications for the same wines. The results will show plenty of instances where Vinous scores are on the lower end of the spectrum. We are never afraid to critique. No doubt some in the trade wish that were not the case. Trade OrganizationsIn many regions, trade organizations facilitate our tastings by collecting samples, organizing comparative tastings and ensuring wineries are compliant with our terms of service, which require a Pro subscription to use scores for commercial purposes. Our critics decide which wines to taste. We do not impose any limit on the number of wines in specific articles, giving our team the editorial freedom to produce stunningly in-depth reports. For the avoidance of doubt, we do not make top-down decisions on the scope of coverage for any region based on some sort of concept of economic value of those regions. Our critics decide how many wines to review in each region. We are guided, first and foremost, by what we think our readers are interested in. Specifically with regards to South America, the statement in this article about an unnamed publication adding coverage of a country because of association funding is not about Vinous. For those of you with an interest, we have reviewed the wines of Argentina and Chile since 2014, when we acquired Steve Tanzer’s International Wine Cellar. Tanzer covered Argentina for us annually until 2019, when he started to reduce his work schedule. Josh Raynolds covered Chile in reports published most years until 2017. Prior to his retirement, Tanzer chose Joaquin Hidalgo as his successor. Tanzer and Hidalgo tasted together twice before Hidalgo took over the South American beat from Tanzer and Raynolds. Having a dedicated South American critic has allowed us to expand coverage significantly in both regions, resulting in more information for the consumer and greater representation of smaller wineries that might otherwise not reach an audience. For example, Vinous published more than 1,600 reviews of Argentine wines in 2021, which is more than double the previous reports and significantly more than any other publication. Subscription OptionsVinous offers a number of subscription options for consumers and the trade, as outlined  here . Specifically with regards to trade options, none of our programs allows that “poorly reviewed wines aren’t listed,” as the article claims.The Vinous Lockdown Special ReportThis is an article I wrote in the summer of 2020. My world was turned upside down as was everyone’s. I thought it would be fun to do an article of odds and ends that combined reviews of reference point producers we don’t cover regularly (Kracher, Zind-Humbrecht) and other estates that interest me personally that I don’t taste often. The article had 202 reviews from 28 estates. Those wineries are represented in the United States by at least 9 importers and of course many more internationally, where nearly half our readership resides. I asked for samples until my house was overfull, and those wines became the article. There’s nothing more to it than that. With regards to the Loire, a careful examination of scores will reveal minor differences between Jason’s scores and mine, but also one wine that Rebecca Gibb has given a lower score than both of us. Rebecca has since published lower scores for some wines Jason tasted that I did not. That’s just how it goes. There is nothing systemic here. Vinous MapsWe began our foray into maps in 2016. It was our belief then, as it is today, that American wine regions were badly in need of high-quality maps. Vinous was the first company to plot the vineyards of Napa Valley, site by site, profoundly changing how wine lovers understand the region. I am tremendously proud of the work we have done. These are state of the art maps of deep historical significance that will forever change the way American wines are viewed. Unfortunately, these maps are extremely costly and time consuming to produce. Vinous funded 100% of our first collection of seven Napa Valley maps, knowing they might never be profitable. Over time, though, wineries and regions began reaching out to us, asking us to make maps for them. Some of our more recent maps have been created with an option for wineries in the region to have maps of their specific sites done in parallel with the AVA maps. These vineyard maps are completely optional and are offered at a significantly reduced cost than if our cartographer were making them from scratch. Vinous Maps are designed to be reference-point works. We map all known vineyards in each region and I have written every single word of the detailed commentary that is on the back of the maps. Suffice to say, Vinous controls and owns all the intellectual property.  
 

Médias
La revue Terre de Vins se diversifie dans les salons virtuels avec Hopwine.

www.vitisphere.com/a...

Cela fait deux fois que je reçois un mail de la RVF m'incitant à me rendre dans un des 3 salons "Demeter" qui ont lieu dans les prochains mois. 

Il n'y a clairement rien de journalistique dans la démarche. C'est juste un copié/collé d'un communiqué de Démeter. 

n.larvf.com/optiext/...

j'ai eu la même éric

Presse
Terre de Vins passe au mensuel, la Revue du Vin de France revient à l’évènementiel.

www.vitisphere.com/a...

École des fans
80 % des vins candidats primés par le concours Decanter.

www.vitisphere.com/a...

C’est en effet un gros business !
quelle est dès lors la crédibilité ?