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Depuis des années, je vois sur la carte de Daniel Bécu, à l'Auberge de la Forêt,
de vieux millésimes de châteauneuf de Bérard P. père et fils.

Je n'avais jamais goûté, optant pour les étiquettes plus classiques.

Ce soir, je me suis laissé tenter par une:
Châteauneuf du Pape, Cuvée Prestige 1981.

(L'étiquette dit "de cette cuvée prestigieuse, il a été tiré 20800 bouteilles" et j'ai bu la 9212...).

Le vin n'a pas été mis en carafe et l'évolution au nez, de verre en verre, a été remarquable: d'abord viandé, il s'est complété de bois mouillé et de champignons, avec des odeurs de muscade, puis la cerise et son noyau se sont manifestés et imposés: le vin a retrouvé de la jeunesse et a évolué vers un ensemble fruit et noyau de cerises - terre sèche - épices...

La bouche a eu des saveurs plus constantes: épices (muscade), noyau...
Elle se caractérisait par une belle ampleur et une belle rondeur, résultat de la rencontre entre des tannins concentrés et l'alcool. La matière s'imposait en fin de bouche, tapissait les muqueuses et débouchait sur une belle finale, longue et savoureuse.

Je ne connaissais pas les vins de ce producteur.

Une remarque: c'est un nouvel exemple de l'aptitude au vieillissement élégant des Châteuaneuf.

Qui a l'expérience des vins de ce domaine?
D'avance, merci pour vos remarques...

cordialement,
Thierry

je viens d'acheter une bouteille de 1979 (mon année de naissance), je dirai quoi dans 15 jours à 1 mois.

BONJOUR
CETTE PROPRIETE SUR BEDARIDE A ETAIT VENDU A TROIS PRODUCTEUR IL A PLUS DE DIX ANS;
VENDU A CHAPOUTIER VIEUX TELEGRAPHE ET ROBERT DAME ;
LES VINS DE LA FAMILLES BERNARD ETAIT DEJA RECONU SURTOUT POUR SES BLANCS QUI ETAIENT UNE DES VALEUR SURE DE L APELATION

c'est pas bernard mais Bérard, vous n'avez pas fait une erreur ?

Je connais les vins de la maison Berard Père et fils depuis plus de 30 ans...C'était une maison de négoce au bord de la RN7 à Bédarrides mais ils avaient également quelques productions propre. Il me reste quelques 79 et 80 en cave. C'était des vins qui vieillissaient très bien. Par contre je ne connais pas la qualité de la production actuelle.

Bérard, CDP, Domaine de Terre Ferme, 1989.

Quelle belle surprise.
Une "petite" bouteille, achetée aux enchères, dans un lot oublié (tant sur le prix que sur l'intérêt qui y aura été porté), et qui donne une leçon encore une fois.
J'adore ce genre de découverte. De beaux flacons (potentiellement au moins), simples, peu honéreux, et qui finalement permettent une remise en cause, et forcent à l'humilité.
Je l'ai sortie pour le plaisir, un imprévu total, pour le partager avec des amis; et le souvenir restera (au moins pour moi, et pour toutes ces raisons).
La surprise est d'autant plus grande que le niveau est plutôt très risqué (aux alentours d'un bon 4cm). Mais la couleur, la capsule, et le bouchon, sont beaux, et ça vaut le coup de tenter.

Une robe très belle, évoluée, marron sur l'ensemble du disque.
Une ferme couleur terre.

Le nez est magnifique.
Il reste sans évolution tout au long de la dégustation.
Mais les arômes sont sur le cuir, c'est très animal; ils vous portent; une touche de terre humide, et plein de café et de notes de tabac.

En bouche, une acidité encore présente et vraiment belle offre une trame qui laisse à penser que le vin avait encore du temps devant lui (il m'en reste, ouf).
Les tanins sont présents; on imagine quelque chose de puissant au tout début des années 90.
L'équilibre est là.
Milieu de bouche très beau, aucune faiblesse, le tout très enrobant.
Le vin laisse une vraie belle finale, relativement persistante, notamment sur ces notes de café et de tabac.
L'évolution sur une heure permet aux tanins et à l'acidité de se fondre. Le coup est réussi. Très beau flacon, et très bon souvenir.

Eric.

C'était un négociant à Bédarrides qui s'appelait "Bérard père et fils". Ils vendaient d'excellents CNP. Ils avaient une cuvée "Terre ferme" qui provenait de leurs propres vignes. J'en ai acheté pas mal dans les années 70-80. La maison a été vendue il y a quelques années déjà, à des Hollandais je crois. Les meilleurs CNP que j'ai jamais goûtés (je les ai pas tous goûté, loin s'en faut!) Il m'en reste une poignée de bouteilles ( en 90) que je sors religieusement au compte goutte.
Exemple de ce que j'ai eu:

Merci pour l'info, Alex.
J'avoue que j'ai eu un doute en cherchant et en trouvant le topic suivant: lapassionduvin.com/p...
Mais comme il n'y avait pas de "Pierre et Jacques", et comme il n'y avait pas de "Terre Ferme", et comme justement la propriété avait semble-t-il été éparpillée, etc etc, j'ai préféré créer un nouveau fil.

Ta remarque correspond, car l'étiquette que j'ai est très différente.
Je posterai une photo à l'occasion (mais je n'embêterai pas Oliv pour m'aider; mais non, mais nooooon )

Très content de voir la qualité (très haute, de ce que je lis) que tu leur trouves, car j'avoue avoir beaucoup aimé, en plus du plaisir d'avoir été surpris.
Très content de lire le CR de Thierry, également.

Un vin méconnu, qui mérite (méritait) manifestement bien plus de reconnaissance.
Je vais tenter d'en trouver quelques uns, et les boirai au compte-goutte également.

Eric.

Voici une autre bouteille fabuleuse de ce domaine:

Bérard, CDP, Domaine de Terre Ferme, 1989.
Degustation version 2.

Bien plus grande que la première, déjà grande.
Rencontre du 3ème type...

La robe est magnifique, évoluée, marron foncé.

Le nez est magistral.
Cuir.
Faisandé, très animal. Impressionnant.
Terre humide, pierre mouillée, qui donnent en plus de l'élégance et de l'aérien. Tour de force.
Puis très sur le café et les notes de tabac.
Complexité exceptionnelle!

En bouche, c'est très concentré et profond.
Aucune faiblesse.
Milieu de bouche très beau. C'est fondant, ça enrobe.
Les tannins sont parfaitement fondus.
L'équilibre est superbe.

Finale puissante, majestueuse, et sans fin.

Je reste bouche bée. Il entre au Panthéon des vins que j'aie pu boire.

Mais à qui reste-t-il de ces bouteilles dont le domaine, tel qu'il était, a disparu?!
(cri d'espoir)

Eric.

Les notes de dégustation ne me surprennent pas. C'étaient des vins qui vieillissaient admirablement bien. Les meilleurs CNP que j'ai jamais bus. Il ne me reste plus que 2 ou 3 bouteilles de 80 qui, bien l'année soit moyenne, et qui sont depuis longtemps à leur apogée, sont encore tout à fait buvables bien qu'évolués. Je regrette que ce domaine n'existe plus. Je sui passé voir à Bédarrides l'an dernier. Tout est fermé, les locaux sont à l'abandon. Quant aux vignes? Dommage. Si j'avais su j'en aurais acheté un peu plus à l'époque!
Alexis

"Les meilleurs CNP que j'ai jamais bus."

Et bien écoute, Alex, je suis en effet vraiment resté la bouche ouverte, en me disant : "chef d'œuvre".

Je ne suis donc pas surpris par ta remarque.

Je ne pensais pas trouver autant de bonheur sur ce CDP-là, par rapport à certains "monstres" que Pierre et Jacques Bérard surpassent pourtant allègrement.
Y compris sur la longueur, sur le temps.

Et à environ 10 euros...

Bref, merci pour ton message et même longueur d'onde.
Regrets en lisant ton retour suite à ta visite.
Et en effet, masterpiece!

Amicalement,

Eric

Je sais comment ce vin est entré dans ma cave. C'est un achat en vrac de vins d'un habitant de Chateauneuf-du-Pape. Il y avait de tout et de rien.
Recevant un ami qui adore les vins anciens et aime se faire surprendre par des vins surprises, je cherche en cave.
Une bouteille m'interpelle. C'est un Chateauneuf du Pape, car c'est lisible sur l'étiquette.



Je cherche un nom sur l'étiquette mais rien, en bas on peut lire Vaucluse écrit (Vse)



En haut de la capsule, du passe-partout



L'écusson ne me dit rien du tout



la seule partie intéressante, c'est les deux médailles d'or obtenues



le niveau est assez haut dans la bouteille, la couleur me plait. Alors zyva !
le bouchon est assez beau et sain



pour tester mon ami je carafe et dans la carafe la couleur est d'un or magnifique. Le parfum est très engageant.
A la dégustation, je suis aux anges. Car le vin est d'une incroyable pureté et d'une grande précision.

Ce qui frappe immédiatement, c’est la pureté de ce vin. Il est très expressif et joue juste. Jamais je n’aurais pensé qu’il puisse briller à ce point. C’est un très grand vin, comme quoi, l’âge favorise aussi les vins fantassins et pas seulement les chevaliers. Le vin est riche, de belle longueur, emplit le palais et l’impression qui me revient en permanence, c’est sa pureté. Mon ami avait pensé à Châteauneuf mais ne l’avait pas dit, ce qui ne compte pas dans ce petit jeu de découverte.
J'avoue que personnellement je n'aurais pas dit CdP. Il y a des fruits jaunes, une belle acidité citronnée et une bouche pleine.
Nous nous régalons. Il serait bien difficile de donner un âge à ce vin dont l’équilibre est intemporel.
Je l’encense d’autant plus volontiers que la surprise est extrême.

J'adore ces surprises.

C'est probablement un 1968 ou 1969 ; il est en effet habituel que les vins présentés aux concours soient les derniers sortis.

Quand je pense qu'on rencontre fréquemment des Beaucastel Vieilles Vignes de moins de dix ans complètement oxydés !

Sur twitter quelqu'un m'a envoyé une photo d'une bouteille qui a participé au même concours.



le monde est petit !!!

on y lit 1970. Je pensais comme Michel à 1969.

Les Châteauneuf du Pape de Bérard Père et fils sont les les beaux CNP que j'ai jamais bus. Dans les années 70-80 j'en achetais régulièrement. Situé à Bédarrides, cette maison de négoce produisait une cuvée "Terre Ferme" excellente. La maison après être passée entre les mains de racheteurs hollandais a fermé. J'y suis repassé il y a deux ans, les locaux sont en ruines. Malheureusement il ne doit me rester plus qu'une ou 2 bouteilles en cave de ces CNP magnifiques.


Alexis

Bonjour,
Il semble pourtant que leur site internet soit encore actif avec une mise à jour fin juillet.

Sur twitter, quelqu'un m'a signalé que j'avais déjà bu ce vin il y a dix ans.

lapassionduvin.com/p...

Apparemment c'était de E. Malbec (?)

Je l'avais aussi aimé il y a dix ans.

Le Chateauneuf-du-Pape blanc de E. Malbec a reçu des médailles d’or à la foire d’Orange et au concours agricole à Paris, les deux en 1971. On peut supposer que c’est un 1969, à une année près. D’un jaune doré, d’un nez franc, il dégage un charme certain qui n’a pas pris une ride. Chaleureux, droit, sincère, c’est un vin magnifique.

Alexis,

Des Châteauneuf de Bérard, j'en ai trouvé quelques bouteilles dans la cave du grand père de ma femme, décédé il y a de nombreuses années. Cave que j'utilise maintenant pour mes propres flacons. Nous buvons une bouteille en famille de temps en temps en ayant une pensée pour l'"ancien". Les vins sont un peu fatigués mais leur pouvoir évocateur pour ma belle famille rend ces dégustations touchantes. C'est sans doute aussi ça le vin...

@Zoumika
Effectivement un site internet est actif. Mais lorsque je suis passé à Bédarrides en "pèlerinage" il y a 2-3 ans, la cave était fermée et abandonnée. Ils ont peut-être déménagé. Je vais me renseigner.

Les vins sont un peu fatigués mais leur pouvoir évocateur pour ma belle famille rend ces dégustations touchantes. C'est sans doute aussi ça le vin...

Je ne dois pas être comme tout le monde ; pour moi, un vin mort est un vin mort et peu importe à qui il a appartenu. Je ne parviens pas à m'émouvoir à travers les choses inanimées.

Michel, qui a parlé de vins morts? Fatigué, ce n'est pas tout à fait la même chose que mort. Même toi tu dois pouvoir saisir la nuance... Quant à cette phrase: " je ne parviens pas à m'émouvoir à travers les choses inanimées", je serais curieux que tu viennes nous parler de ce que provoquent chez toi, la peinture, la musique, l'architecture... Peu de choses si je relis ta phrase. Triste vie... Une fois de plus Michel, tu as écrit trop vite!

Je n'aime pas non plus les vins fatigués (mort et fatigué ça reste désagréable à boire pour moi).
Certes il m'arrive être ému par la beauté intrinsèque du non vivant mais pas parce qu'elles me rappellent le souvenir d'une personne, c'est plutôt cela que je voulais exprimer.
Et inutile de monter sur tes poneys, je respecte vos sentiments, et ça ne semble pas réciproque.

Ahhhh Michel! Je savais qu'il ne fallait pas répondre à ton précédent message...

Une petite chansonnette même idiote ne t'évoque jamais un souvenir heureux? Petite chansonnette capable de t'émouvoir parce que chargée d'affects, d'émotions; petite chansonnette qui contre toute raison te remue toi alors qu'elle ne provoque qu'indifférence chez les autres... Allez Michel! Je suis certain que tu es bien plus... humain et sensible que tes posts ne le laissent paraître.

Mais bon, puisqu'il faut une une explication de texte, je m'y attèle! Alexis met en ligne des photos d'un vin dont j'ai sorti quelques exemplaires d'une cave inutilisée depuis des années. Ces photos m'émeuvent. J'en fais part (sans doute est-ce une erreur...), signale que les vins sont un peu fatigués mais que l'ouverture d'une de ces bouteilles qui sont je le redis parfaitement buvables, est l'occasion d'avoir une pensée pour un homme trop tôt disparu. C'est plus clair comme ça?

Fin de cet aparté pour ma part.

On a rangé mon évocation d'un vin surprise avec les vins des Caves Bérard.
Ce n'est pas gênant, mais il est hautement probable qu'il s'agit d'un vin de E. Malbec puisque celui bu il y a dix ans était de E. Malbec.
De plus les étiquettes de Bérard sont brillantes, ce qui n'est pas le cas sur mes photos.
Ce qui compte surtout c'est que le vin fut bon.

Là où je diffère complètement de Michel, c'est que pour moi, ce qui compte, c'est d'ouvrir.
Quand j'ai envie de faire plaisir à quelqu'un, je cherche un vin qui va correspondre à mon envie de faire plaisir à la personne que je reçois.
Si le vin est bon, c'est du bonus et tant mieux.
Si le vin n'est pas bon, ce qui reste, c'est cette envie de faire plaisir. Et le désagrément du vin n'efface pas le geste.

Partager un vin avec quelqu'un cela ne s'arrête pas seulement au contenu de la bouteille. L'envie de faire plaisir participe au plaisir.

Là où je diffère complètement de Michel, c'est que pour moi, ce qui compte, c'est d'ouvrir.
Quand j'ai envie de faire plaisir à quelqu'un, je cherche un vin qui va correspondre à mon envie de faire plaisir à la personne que je reçois.
Si le vin est bon, c'est du bonus et tant mieux. Si le vin n'est pas bon, ce qui reste, c'est cette envie de faire plaisir. Et le désagrément du vin n'efface pas le geste.
Partager un vin avec quelqu'un cela ne s'arrête pas seulement au contenu de la bouteille. L'envie de faire plaisir participe au plaisir.

Donc pour toi ce qui compte dans le partage d'une bouteille, c'est TON intention ?

J'aime évidemment faire plaisir à mon invité en ouvrant ce que je pense être une bonne bouteille mais si elle est daubée, je suis tout de même passablement ennuyé même si c'est l'intention qui compte comme dirait madame Michu.

La dernière fois que j'ai ouvert un CNP de Bérard, (un an environ), une fois le problème du bouchon résolu (il partait en miettes), le vin fut excellent. Bien sûr il était "mûr", mais procurait un réel plaisir. Il n'était en aucun cas "mort" ou "fatigué ". Il était je dirais sur le plateau de son apogée, juste avant le déclin.
Alexis

Je vois que l''abstraction rend service à de nombreux vins. Encore une fois, pour ma part, c'est l'immense différence entre se raconter et donner une information utile dans le contexte LPVien.
Moi, les émotions abstractives d'Audouze ou de Fred j'en ai rien à faire, ça m'est totalement inutile, qu'on se le dise.
Je ne me connecte pas ici pour connaître les émotions abstractivement surdimensionnées et donc hypertrophiées subjectivement des uns et des autres, elles m'indifférent totalement dans la mesure où par définition, elles ne sont pas reproductibles puisque bien trop attachées à un contexte bien trop personnel et qui me sera étrangé à jamais.
ET IL Y A DES BLOGS POUR CELA ! Mais évidement, l'audience sera inversement proportionnelle à la supercherie personnelle qui aide à trouver un vin moyen meilleur que moyen.

Alors bien sûr, des egos surdimmensionnés trouvent avantage à aller sur LPV, vu l'audience, plutôt que rester sur un blog familial ou amical mais alors qu'ils ne fassent pas mine d'être outrés quand des LPViens lucides mettent en avant les travers et la quasi inutilité de leurs commentaires.

Ahhhh, enfin du lourd, quelqu’un qui rentre dans le lard de ces types qui sur un forum comme LPV, par moment, osent s’épancher !

Cher JMM (je mets les majuscules de rigueur), demande aux admins de supprimer le forum « anniversaire » du site, il y a des blogs pour ça, envoie bien chier le jeune papa qui viendra annoncer sur ce forum la naissance de sa petite dernière, il y a des blogs pour ça ! Qui en plus osera demander des conseils sur les vins qu’il devra acheter, parce que symboliquement (ça te parle ?), cela a de l’importance, mais tu me diras qu’il y a aussi des blogs pour ça. Demande également d’ôter toute la poésie des grands CR de certains contributeurs (et rassure toi je ne parle pas d’O12) qui outre le caractère informatif que tu chéris tant, donnent à leurs posts une valeur qui dépasse à mes yeux le simple compte-rendu dont la majorité est capable !

Pour le reste, je te laisse à ton verbiage incompréhensible « émotions abstractivement surdimensionnées et donc hypertrophiées subjectivement » (permets moi de me marrer!) et te suggère de visiter l’historique de mes interventions. Tu constateras qu’elles se cantonnent presque exclusivement au vin. Je ne faisais qu’une PUTAIN DE PETITE PARENTHESE concernant l’étiquette d’un vin et d’un domaine qui n’existe plus !!!

Le Rongeur !

Ai-je touché un nerf sensible, on dirait bien. On va attendre qu'il se calme!

Jmm