Face à un Vieux Télégraphe 2005 au léger goût de bouchon, j'ouvre pour ce soir un Châteauneuf du Pape Boisrenard rouge 2005.

Ce vin me semble délicieux, cette fois encore.
Le nez est puissant, sur la confiture de fraises, la cerise noire, les épices avec des touches de réglisse.
La bouche est volumineuse avec des saveurs de confiture et de réglisse. Ce vin s'évite toute lourdeur grâce à sa délicate trame acide aux nuances de cerises à l'eau de vie. Elle équilibre l'ensemble et s'impose dans la finale aux jolis amers, qu'elle rend longue.

Domaine de Beaurenard, Châteauneuf du Pape rouge 2012

Bouteille ouverte fin mars.
Débouchée une heure avant dégustation, pas de carafage.
Température de service autour de 18°C.

Le vin est un peu fermé, et demande une longue aération pour commencer à s'exprimer.
Equilibre plutôt sudiste mais sans excès, les derniers verres montrent de la rondeur, du velouté, des épices (type pain d'épices).
C'est très agréable, mais j'en attendais plus notamment au niveau complexité aromatique compte tenu de mon souvenir, et du CR de Benoît L.
Phase de fermeture ou bouteille moins avenante peut-être ?

Bien + (15/20)

Mathias

Ouverte à l'arrache pour l'apéritif, cette bouteille de Châteauneuf du Pape blanc 2012 de Beaurenard s'est montrée décevante au départ, molle et plate.

Après une nuit au frigo (mise sous vide), le vin s'est montré plus tonique, avec une trame citronnée qui apporte une belle acidité (pour un vin sudiste) et des notes florales très présentes. Par rapport à la bouteille précédente, dégustée en avril, j'ai trouvé le boisé mieux intégré mais le fruit plus en arrière.

Conclusion : ne pas hésiter à aérer ce vin et le servir frais (8-9° plutôt que 12-13°).

B+ (en seconde journée)

Nicolas

bue hier soir Boisrenard rouge 2009



Dégustée à h + 4 et J + 1, juste épaulée.

à H + 4, ben... pas grand chose... aucun fruit, seuls acidité et alcool chapotent toute l'aromatique...

Bien meilleure à J + 1, nez toujours très discret, mais en bouche on retrouve des fruits noirs, du cassis, de la myrtille, du moka. Beau volume sans plus. En milieu de bouche, on retrouve en plus du poivre blanc, les tanins sont assez fondus mais assèchent en fin de bouche tout de même. Je suis gêné par une présence assez importante de l'alcool déséquilibrant de façon assez importante le tout. La fin de bouche est juste honorable.

Bref, j'ai pas trop aimé, probablement à attendre encore, due moins... je l'espère...

Trouvé vendredi en FAV ce Boisrenard 2005, et acheté pour goûter un CdP un peu mur (je débute dans le vin et n'ai pas encore d'expérience sur ce type de vin, les commentaires des amoureux de CdP de ce forum me font franchir le pas)

Ouvert le dimanche matin, épaulé 2h le vin semble toujours fermé, aussi petit passage en carafe pendant 1 heure.

La robe est très sombre, le disque n'est pas très clair.
Le nez est joli, alors que le matin à l'ouverture ça n'était pas vraiment cela.

Le vin est très puissant en bouche avec une belle longueur. C'est puissant mais sans être gênant, bien au contraire. Il y a un tout petit peu des attributs de vieux vins que j'avais pu goûter jusqu'alors, mais en beaucoup plus diffus (en comparaison avec des vins de 30ans et plus, des bordeaux, que je n'avais pas apprécié). Ici au contraire, c'est très bon. Il y a des notes de cuirs, de fruits mûrs, c'est assez rond.

La bouteille disparaît rapidement et tout le monde apprécie.

Je suis content d'en avoir pris 3.

Domaine de Beaurenard, Châteauneuf du Pape rouge 2011

Le nez est sur la cerise, le moka, les épices douces, un peu de noyau de cerise et un peu d'alcool.
On retrouve tout ça en bouche avec des tanins bien arrondis, il y a aussi un coté garrigue, olive noir. Ce n'est pas très complexe mais avec un beau fruité par contre l'alcool est trop présent et gâche la finale notamment.
Je me rend compte que je suis de plus en plus exigeant avec les vins sudistes et supporte moins un léger déséquilibre sur l'alcool.

je suis tout à fait d'accord avec toi, icna ,les déséquilibres régionaux des vins me sont de plus en plus rédhibitoires .
vin du sud rouge alcool, vin blanc du sud alcool et amer, bourgogne acidité ect .
je crois que l'on recherche l'équilibre, et c'est là que l'on voit le bon travail du vigneron .

Oh, je pense que ces vins-là sont vraiment à attendre.

J'avais eu une expérience mitigée avec cette bouteille, j'en prends une sans grande conviction pour accompagner un magret de canard confit...

Et là surprise : le vin est net et précis, une belle aromatique sur les fruits rouges et une petite pointe de graphite. Patiné mais vivant, il s'assagit au fur et à mesure, et non ce n'est ni Bonneau ni Château des Tours ! Une bien belle bouteille, cette fois ouverte au bon moment (ou la précédente avait un défaut) et je suis confiant pour les prochaines !

J'ai porté hier chez des amis ma dernière bouteille de Boisrenard rouge 2005.
Ce vin a encore un grand potentiel de garde mais il est trop bon pour résister à l'envie de le boire avec eux.
Le nez est toujours puissant et séduisant, sur la confiture de fraises , la cerise noire , les épices et des nuances de réglisse.
La bouche sensuelle et concentrée est volumineuse avec des notes de confiture et de réglisse. Ce vin aux tannins bien présents et marqué par l'alcool s'évite toute lourdeur grâce à sa trame acide. Elle équilibre l'ensemble et s'impose dans la finale aux jolis amers, qu'elle rend longue.

bu à cette occasion : lapassionduvin.com/f...

Robe rubis sans trace d'évolution.
Nez floral, pointe de chocolat, poivre blanc.
Bouche pleine de fraîcheur, sucrosité maîtrisée qui n'emporte pas le vin sur la pâtisserie car guidé par sa structure tannique.
Légère astringence en finale.

Durant la soirée LPV Lyon 2 nous avons dégusté la cuvée classique en 2010 et on avait discute si mon idée d'ouvrir une bouteille du Boisrenard 2012 était judicieux ou fallait mieux attendre. Donc, j'ai quand mème tenté le coup et voici mes impressions...

Domaine de Beaurenard cuvée Boisrenard 2012 (rouge)

Bouteille ouvert une heure et demi avant service, avec une petite heure en carafe. Nez ouvert, avec d'abord des notes d’élevage, mais sur le cèdre, bois précieux (et non pas vanille, toast), fruits rouges, épices. En bouche, fruits rouges murs, épices, corps moyen-large avec très jolies tannins fins et bien intégrée. Certes de la puissance, mais avec beaucoup d'élégance et un cote soyeux et fraîcheur pour maintenir l’équilibre. Sur le fin un peu de chaleur ce ressent. Très bien

Bouteille bien apprécié a table, servi avec un plat de porc caramélisé a la vietnamien, plat un peu complique pour du rouge compte tenu de son cote sucré qui demandait un vin dans un style plutôt mur. Je trouvais que ça buvait déjà bien mais que j'attendrais pour ma prochaine bouteille pour voir si l’élevage pourrait se fondre un peu plus.

Domaine de Beaurenard, Châteauneuf du Pape, "Boisrenard" 2005

En parallèle avec le Vieux Télégraphe 2005, j'ai bu ma première bouteille de Boisrenard 2005. Si le VT est la principale cuvée du domaine, Boisrenard est une cuvée parcellaire "haut de gamme". Mais on peut les comparer car les deux m'ont coûté à peu près le même prix.

Je les ai bus ce midi et ce soir mais entre le déjeuner (une fois correctement aéré) et le soir (la moitié de la bouteille sur la terrasse à 14°C) ils n'ont pas changé particulièrement. Peut-être les tannins sont un peu plus fins ce soir.

Boisrenard représente pour moi un style un peu plus moderne, avec un fruité un peu plus primaire (macéré à l'eau de vie au nez, un peu siropeux en bouche) tandis que le VT était assez discret à l'ouverture mais a bien évolué vers un beau fruit noir frais (prune).
Les deux vins sont assez puissants et gras mais restent équilibrés à une température un peu rafraîchie. Les tannins du Boisrenards sont un peu plus pointus. En finale, le VT présente un peu plus de longueur.

Donc: petit avantage au VT (TB/EXC) par rapport au Boisrenard (TB) mais les deux sont de bon représentants de leur appellation et peuvent encore s'améliorer sur cinq à dix ans. Comme le dernier verre du Boisrenard est plus fatigué que celui du VT, je dirais cinq pour Boisrenard et dix pour VT.

Ralf

EDIT: sur le fond de la bouteille, le Vieux Télégraphe continue à s'affiner. EXC

Domaine Beaurenard - Chateauneuf du Pape "Cuvée Boisrenard" 2006
Nez verrouillé, fermé.
La bouche est très lourde, large également, c'est vraiment un vin costaud ou l'on perçoit tout de même des arômes chocolatés, lardés. La finale arrive tout en puissance, sans fruits et sans concessions. J'ai eu du mal, je pense que ce n'est déjà pas trop mon style de vin et, peut-être est-il est trop encore trop tôt pour cette bouteille. Moyen.

En savoir plus sur www.lapassionduvin.c...

Bu à cette occasion
Domaine de Beaurenard cuvée Boisrenard blanc 2012 - Châteauneuf-du-Pape
Robe or saumonée.
Nez sur un grillé fumé, notes florales et d'agrumes confits.
Bouche à l'attaque ample et au boisé perceptible qui s'exprime à la fois par sa délicatesse et sa richesse.
Cette richesse de constitution prend ensuite le pas mais sans rompre l'équilibre du vin.
Perception d'une légère amertume sur une finale qui se prolonge sur plus de 15 secondes.

Châteauneuf du Pape rouge Boisrenard 1998 du domaine de Beaurenard.

Ouvert à 14 heures.
Superbe robe rubis, brillante, dense et limpide, à peine éclaircie sur les bords. Le nez est.... muet, c' est tout juste si l' on perçoit quelques olives noires. La bouche est top-niveau, soyeuse, ample, d' un parfait équilibre mais avec une aromatique elle aussi totalement absente.

6 heures plus tard, c' est exactement le même vin. Un élixir pour anosmique. Une superbe et désirable nana en robe du soir qui fait la gueule et ne vous adresse pas la parole de toute la soirée. C' est la première fois que je goûte un vin de cet âge aussi fermé. Un joli rendez-vous manqué. C' est frustrant, d' autant qu' il n' y aura pas d' autre chance, c' était la dernière quille... on vieillit...

Domaine de Beaurenard – Châteauneuf-du-Pape – 1986



Bue lors d'une dégustation éclectique relatée ICI

La robe moyennement sombre fait bien évoluée par ses beaux reflets nettement tuilés.
Le nez d’une bonne intensité développe un fruité à la fois luxuriant et patiné par le temps, très floral, de sous-bois et de cuir noble.
La bouche bien charnue offre une sensation doucereuse, pas en termes de sucre mais de structure, comme une étoffe moelleuse.
Un vin parfaitement abouti !
Très Bien ++

Jean-Loup

Domaine de Beaurenard Côtes-du-Rhône Villages Rasteau "Les Argiles bleues" 2013

Robe rubis sombre translucide.
Nez sur les fruits noirs, les épices, un peu de réglisse.
En bouche il y a une belle tension, du volume, le vin tapisse le palais, la finale est quand même un peu gâché par des amers biens présents et une sensation de chaleur. Un vin pour accompagner un repas, pas fou fou en dégustation pure.
On peut aussi dire que ce n'est Plus le style de vin que j'apprécie.

Bien -

Bu à cette occasion

Domaine de Beaurenard - Châteauneuf-du-Pape 1983
Direction senteurs balsamiques et torréfiées pour le nez de ce vin qui associe à celles-ci des notes de tabac blond, de fruits bien mûrs aux épices et un soupçon de boisé froid. La bouche est ferme campée à la fois sur l’acidité et l’alcool, ce qui donne un équilibre assez « pointu ». La matière n’est pas d’une concentration énorme mais il y a un beau jus qui rend le tout sapide. Persistance limitée mais le vin n’est pas « fuyant ». Très bien.

Pierre

Bu à cette occasion
Domaine de Beaurenard cuvée Boisrenard 2013 - Châteauneuf-du-Pape
Robe or clair aux reflets cuivrés.
Nez miellé sur la menthe et le zeste de citron.
Bouche à l'attaque grasse faisant place à une matière riche marquée par des notes d'élevage dissociées.
Pour moi pas en place actuellement.

Domaine de Beaurenard, Châteauneuf-du-Pape rouge 2007

A l'ouverture et épaulement, fraise poivrée sur fond de liqueur d'agrumes (Picon/Sommer quoi...).

Quatre heures plus tard, nez complexe de fruits plus noirs que rouges, transpirant la garrigue, sur un fond de cacao et de café, avec une pointe de graphite.

En bouche on retrouve ce fruit très mûr, assez chaleureux, mais balancé par la fraîcheur des herbes aromatiques (thym, romarin) et une belle acidité. On ressent encore la puissance initiale de ce vin qui se délie aujourd'hui. Une très belle longueur prolonge l'équilibre, sans pencher d'un côté ou de l'autre.

C'est très bon sans atteindre l'extase, mais ça se boit bien et c'est l'une des belles bouteilles depuis le début de l'année à mon humble niveau. Les 2008 finies entre 2018 et 2019 étaient moins complexes et profondes mais plus immédiates et irrésistibles.
La première 2007 bue il y a 5 ans était une montagne impénétrable (mais on l'a bue facilement en la contournant et en admirant le paysage), celle-ci dévoile à peine ses secrets, la dernière attendra encore 4 ou 5 ans.

La première 2007 bue il y a 5 ans était une montagne impénétrable (mais on l'a bue facilement en la contournant et en admirant le paysage)

Jean-Loup

Domaine de Beaurenard, Châteauneuf-du-Pape rouge 2013

Très joli vin dominé par le poivre et un joli fruit rouge.
Touché de bouche très agréable, tanins complètement fondus. L'équilibre est bon, malgré une très légère marque alcooleuse en fin de bouche (histoire de chipoter un peu!)

C'est un vin qui est encore sur des arômes de jeunesse, aucune trace d'évolution. Belle longueur, assez fraîche.
C'est assez simple, gourmand, et très accessible.

Très bien.
Marc

Domaine de Beaurenard, cuvée Boisrenard rouge, Châteauneuf-du-Pape 2014

Bouteille ouverte par un ami pour me faire plaisir, car il sait que j'apprécie ce domaine et que j'aime les vins gardant encore leur fruit.
Non carafé, on est clairement sur un infanticide des plus odieux.

Nez sur les fruits rouges et noirs, les plantes aromatiques, les épices, petit soupçon vanillé plutôt classe.

En bouche c'est encore puissant, l'alcool n'est pas totalement intégré en finale, même si ça ne chauffe pas particulièrement car la fraîcheur (sans verdeur) revêt délicatement le tout. Mais c'est aussi très élégant, d'un velours Alcantara de premier choix. Le cacao commence à peine à poindre. Pas de boisé ostentatoire, pas de dissociation, si ce n'est cette pointe d'alcool, cette cerise kirschée qui joue des coudes durant une seconde, sur une très belle longueur.
Un vin qui me semble très prometteur s'il peut gagner en complexité. Je n'en ai qu'un en cave, je ne l'ouvrirai pas avant 7-8 ans.

Domaine de Beaurenard, Rasteau, 2018

Le nez n'est pas hyper expressif mais bien équilibré.
On a des fruits rouges, la fraise, plutôt frais et fruits purs au début. C'est juteux avec des épices, du poivre et un aspect un peu plus concentré en milieu de bouche avec un peu de réglisse. La finale est de longueur moyenne et chauffe légèrement.
A l'ouverture on a une super impression de jeunesse fruité puis le côté chaleureux apparaît en finale, il faut faire attention à la température de service pour bien en profiter.

Domaine de Beaurenard, Rasteau 2017

Bouteille un peu réfrigérée pour ne pas exacerber la chaleur de vendredi dernier, probablement servie vers 14° alors qu'il faisait encore plus de 30° à 20h. Peut-être un peu bridée du coup...

Nez pas explosif mais élégant, sur les fruits noirs puis rouges, très frais, ce fruité net sans un seul fruit pourri tombé au sol, et classique avec quelques épices et notes de garrigue.

La bouche est souple, gouleyante, élégante elle aussi. Ni sucrosité, ni rugosité à signaler, c'est un Rasteau civilisé, rapidement descendu à deux. Il n'y a pas la densité ou la profondeur des Argiles Bleues, mais c'est bon et bien comme ça aussi !

Domaine de Beaurenard, Châteauneuf du Pape blanc 2012

Nez sur les fruits type abricot et pêche me semble-t-il, les fleurs blanches, et la tisane aux plantes.

En bouche, la matière affiche à peine quelques rondeurs sans excès, ça reste délié et élégant, heureusement car le vin n'est pas pourvu d'une acidité assez élevée pour contrebalancer une trop grande richesse. Arômes conformes au nez, pas de traces d'élevage gênantes pour ma part.
Un beau vin par son équilibre et son élégance, auquel il manque peut-être un grain de folie.

Je me demande si je ne préfère pas les blancs de ce domaine (et peut-être même tous les blancs) très jeunes, lorsqu'ils me semblent avoir plus de peps et des arômes plus exotiques.

Domaine de Beaurenard Boisrenard blanc 2012 - Châteauneuf-du-Pape
Robe d'un or soutenu.
Nez sur la vanille, le citron confit, l'orange, la mirabelle et les épices douces.
Bouche à l'attaque grasse. La matière est pleine, dense et structurée autour d'une fine amertume. Le gustatif est riche et tourbé mais toutefois dissocié avec la perception d'un élevage qui manque d'intégration.
Fond de verre sur des notes de bouillon de légumes.
Je boirai la prochaine dans quelques années.

Domaine de Beaurenard - Châteauneuf-du-Pape blanc 1988

Une bouteille achetée une bouchée de pain sur eBay (11€50)

Le nez est magnifique très jeune avec quelques fruits jaunes, des arômes de miel et une sensation très complexe.
La bouche est aussi sublime avec déjà une longueur exceptionnelle (plus de 30 secondes), une fine amertume et des arômes miellés du plus bel effet.
Aucune sensation d'alcool ni de vieillesse c'est juste superbe et encore très jeune.
Matthias

mconstant écrit: '' Domaine de Beaurenard - Châteauneuf-du-Pape blanc 1988

Une bouteille achetée une bouchée de pain sur eBay (11€50)

Le nez est magnifique très jeune avec quelques fruits jaunes, des arômes de miel et une sensation très complexe.
La bouche est aussi sublime avec déjà une longueur exceptionnelle (plus de 30 secondes), une fine amertume et des arômes miellés du plus bel effet.
Aucune sensation d'alcool ni de vieillesse c'est juste superbe et encore très jeune.
Matthias ''

Belle prise de risque !