Et au passage, [size=x-large]HUM !!![/size]

Pour que l'on puisse mieux apprécier leur action, Jean Berthet-Bondet a ouvert trois bouteilles de savagnin, une vinifiée de manière traditionnelle, une après deux ans sous voile, et un "clavecin", cette bouteille de 62 centilitres à la forme et au contenu si particuliers, de château-chalon 2005.

C'est certain, au Monde, ils connaissent la musique !

Luc

J'avais l'intention d'envoyer une gentille alerte à la rédaction afin qu'ils puissent corriger discrètement cette coquille.
Mais à 1€ d'abonnement pour poster un commentaire, je vais m'abstenir...

Oliv

C'est certain que si LPV facturait au commentaire, le pauvre Oliv serait bien marri !

O.

L'important pour les vins jaunes, c'est la température de service.

Bach qui connaissait bien le problème a même écrit "le clavecin bien tempéré" !

Benji parti

L'important pour les vins jaunes, c'est la température de service. Bach qui connaissait bien le problème a même écrit "le clavecin bien tempéré" !

Excellent

Benji, ta boîte est pleine

O.

La complète avec les photos, c'est ici .

O.

J'ai cliqué sur l'article du Monde sur le vin jaune, et le clavelin est revenu.

Il n'est pas dans les 5 vins, mais il mériterait d'y être : le piano des Charentes.

Yquem boucle la série !

www.lemonde.fr/style...

Bonjour,

Merci d'avoir proposé le lien vers les articles, j'avais pris l'avion le jour du grillet et suis content de pouvoir lire la suite, maintenant que je suis rentré

Il n'y a pas eu d'article concernant Montrachet?

il y a eu 1 article, mais sa mise en ligne était accompagnée d'un bug (cf page précédente du fofo)

C'est dommage, car c'est celui que j'attendais le +

Au passage, je voulais demander à ceux qui ont + de connaissances que moi lesquels de ces 5 méritent 80 ans + tard encore leur place dans ce top 5 à votre avis (fort subjectif j'en conviens...)

Le Montrachet semble une valeur sûre, la Coulée de Serrant pourrait peut-être garder sa place aux forceps.

Romanée Conti ? 1 Meursault (Leflaive, comtes lafon) ?

Du côté de l'alsace, certains nectars pourraient se frayer une petite place, non ? (deiss, weinbach)

A mon avis celui qui mériterait le moins c'est le château Grillet que je n'ai jamais bu au niveau d'un très grand vin .
Si on choisit bien le millésime , et surtout s'il est suffisamment ancien la Coulée de Serrant a sa place ( nous avons bu en Juillet une exceptionnelle Coulée 1983 ). Mais un grand Riesling alsacien aurait sa place tout aussi bien

Les 3 autres sont indiscutables : Yquem , Montrachet , Chateau Chalon !

Plusieurs autres bourguignons auraient leur place ( JFCD , d'Auvenay ) mais ils sont barrés par le Montrachet .

Pour l'article sur le Montrachet, petite session de rattrapage sur www.lemonde.fr/style... ! ;)

Oliv

Oliv, tu es une mère pour nous tous

O.

C'est que je me suis dit à l'instant!

Et dire que je n'aime ni les grands, ni les minces, ni les mecs trop sympas, il aggrave son cas notre ami.

O.

merci de ta réponse

Je n'ai jamais bu Chalon et me fie donc juste à ce que j'ai pu en lire, il faudra que je me fasse une idée par moi-même.

Après, il est évident que le millésime sur ces bouteilles qui visent l'excellence jouera un rôle non négligeable et qu'il apparaît de facto bien illusoire de choisir de manière arbitraire 5 parmi une longue liste de vins superbes.

Sur les vins de Loire, certains pourraient prétendre à un accessit ? (jasnières ?)

A titre personnel, j'aurais plus vu 1 grand alsacien à la place d'Yquem (mais là encore, tout dépend de ce qu'on retient dans les "critères", si on veut une forme d'homogénéité ou une graduation dans les vins choisis qui permette d'accompagner un repas, sur le modèle des articles déclinés par Le Monde). Mais c'est purement lié à une moindre appétence de ma part pour les moelleux en général.

Merci pour l'article sur le Montrachet ! Sa lecture était agréable, à défaut d'apprendre grand chose :)

gazogeme écrivait:

---

> merci de ta réponse
>
> Je n'ai jamais bu Chalon et me fie donc juste à ce
> que j'ai pu en lire, il faudra que je me fasse une
> idée par moi-même.
>
> Après, il est évident que le millésime sur ces
> bouteilles qui visent l'excellence jouera un rôle
> non négligeable et qu'il apparaît de facto bien
> illusoire de choisir de manière arbitraire 5 parmi
> une longue liste de vins superbes.
>
> Sur les vins de Loire, certains pourraient
> prétendre à un accessit ? (jasnières ?)
>
> A titre personnel, j'aurais plus vu 1 grand
> alsacien à la place d'Yquem (mais là encore, tout
> dépend de ce qu'on retient dans les "critères", si
> on veut une forme d'homogénéité ou une graduation
> dans les vins choisis qui permette d'accompagner
> un repas, sur le modèle des articles déclinés par
> Le Monde). Mais c'est purement lié à une moindre
> appétence de ma part pour les moelleux en général.

il est probable qu'à l'époque de Curnonsky ces 5 vins blancs étaient beaucoup plus incontestables qu'actuellement .

De nos jours ,s'ils le sont encore ils ont beaucoup plus de concurrents mais le choix et l'âge des millésimes est capital car tous ces vins ont besoin de beaucoup de temps pour être à leur sommet .
Lors de notre "repas Curnonsky" les 2 meilleurs vins , pour moi, étaient Yquem 1929 et Chateau Chalon Jean Bourdy 1934 , tous les 2 prodigieux et incomparables avec les mêmes vins jeunes , alors que les 3 autres n'étaient que bons

Merci Raymond pour ta réponse, vous les aviez bus dans quel ordre ? Te souviens tu de l'association mets-vins choisie ce jour-là ?

Bonne soirée

Fabien

Le repas est raconté sur LPV dans un autre post . Rechercher à partir de Curnonsky dans le titre

super merci !!! X(

O.

Merci Raymond, je n'avais pas eu le réflexe de chercher ><

Ca me donne l'eau à la bouche tout ça

Gastronomie
Le restaurant Taillevent propose aux hédonistes fortunés de découvrir la gastronomie des années 1930 et des cinq plus grands vins blancs, élus à l'époque par le célèbre critique Curnonsky.

obsession.nouvelobs....

oliv écrivait:

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> Gastronomie
> Le restaurant Taillevent propose aux hédonistes fortunés de découvrir la gastronomie des années 1930 et des cinq plus grands vins blancs, élus à l'époque par le célèbre critique Curnonsky.
> obsession.nouvelobs....

Seules cinq tables seront proposées à la vente. 1200 € par personne.

Z'ont compris le truc : créer artificiellement de la rareté

Lors de "notre repas Curnonsky" chez Marc Veyrat nous avions eu des vins et millésimes d'un autre calibre (Yquem 29, CC Bourdy 34 , Montrachet DRC 1991 en magnum , Chateau Grillet 1990 , Coulée de Serrant 1985 ) et un tarif beaucoup moins rébarbatif bien qu'inévitablement élevé .

Gastronomie
Le restaurant Taillevent propose aux hédonistes fortunés de découvrir la gastronomie des années 1930 et des cinq plus grands vins blancs, élus à l'époque par le célèbre critique Curnonsky.
obsession.nouvelobs....

Bilan : avis-vin.lefigaro.fr...

En tout cas ils ne se sont pas foulés sur les vins et millésimes

Julien