Thierry,
J'ai voulu, pour une fête, commander du rosé à Pibarnon.
J'hésitais entre 2011 et 2012 disponibles au domaine (j'ai acheté aussi des 2004, mais je ne les ai pas encore goûtés).
Eric de Saint Victor m'a dit qu'il allait profiter de ma demande pour goûter les 2011 et 2012 maintenant pour déterminer le meilleur à boire aujourd'hui.
Et il m'a orienté vers 2011.
Vin superbe, plus gastronomique que rafraîchissant avec une structure forte.

Il me semble que blanc ou rosé se goûte mieux à trois ans qu'à un an.
Je vais aller au domaine la semaine prochaine pour vérifier.

Bonjour, François.

Le blanc, dans certains millésimes, vieillit effectivement très bien.
J'ai rencontré, il y a un an ou deux, le Comte Eric de Saint-Victor chez Daniel Bécu.
Je lui ai souligné l'aptitude au vieillissement de ses blancs, en donnant comme exemple le 1999.
Il évoluait tellement positivement en bouteilles, au début des années 2000, que j'avais racheté quelques magnums.

Merci de le saluer de ma part.

Thierry,
Je n'y manquerai pas.
Les Bandol vieillissent admirablement.
J'ai acheté des rouges 98, 00 et 01 qui se boivent bien.

Par une belle journée au ciel clair, je rends visite au Château de Pibarnon. Marie, maître de chai, m'accueille sur le seuil de la belle demeure et je rejoins Eric de Saint-Victor, le propriétaire du domaine, qui est en train de déguster avec un ami comédien que je retrouve avec un infini plaisir. Quelle coïncidence ! Il se joindra à nous au déjeuner, ce qui n'était pas prévu.

Le Château de Pibarnon rosé 2013 est bien jeune mais il est rafraîchissant. Il se boit bien et facilement. Il diffère du 2011 bu récemment, qui est plus gastronomique et plus puissant mais moins désaltérant.

Le Château de Pibarnon rouge 2012 est aussi très jeune et je ne le ressens pas assez structuré.

Le Château de Pibarnon rouge 2011 me plait énormément. Il a l'âpreté des bandols. Il promet beaucoup.

Le Château de Pibarnon rouge 2010 est plus classique, structuré, construit mais fait un peu trop bon élève, premier de la classe. Il a de beaux jours devant lui mais restera assez classique.

Le Château de Pibarnon rouge 2009 est un peu une synthèse entre 2011 et 2010, c'est-à-dire qu'il a la belle âpreté du Bandol, du tempérament, de la structure et un final du plus bel effet. Même si le plus grand me semble être le 2009, celui que je préfère est le 2011, plus canaille et de ce fait plus excitant pour mon palais.

Eric de Saint Victor m'emmène dans sa voiture faire le tour de plusieurs parcelles de son vignoble de 50 hectares. Nous passons de perspective en perspectives dans des décors de rêve avec des vues à couper le souffle, tant la position en hauteur de ce domaine, très au dessus de La Cadière-d'Azur, offre des horizons infinis.

Nous prenons l'apéritif dans le petit salon. J'ai apporté un Champagne Salon 1996 en vue de l'associer avec des blancs du domaine pour regarder comment la cohabitation gustative se fait.

Le Champagne Salon 1996 est dans un état de grâce. Servi très frais, il glisse en bouche avec facilité et impressionne par sa longueur inextinguible.

Le Château de Pibarnon blanc 2004 est malheureusement fatigué, faisant dix ans de plus qu'il ne devrait. Mais l'expérience que je voulais tenter donne des résultats. Lorsque l'on boit le blanc seul, suivi du Salon et lorsqu'on le reboit, il gagne en complexité. Le champagne "féconde" le vin blanc.
Avec un autre Château de Pibarnon blanc 2004 nettement meilleur, d'une grande complexité, l'effet du Salon est moins concluant. Mais aussi bien le 2004 que le champagne nous régalent. Le Salon 1996 est magique de complexité sous une apparente facilité : le champagne ne cherche pas à briller. Il a le charme naturel de la voix d'un Frank Sinatra.
Des blinis aux œufs de saumon et du jambon ibérique accompagnent l'apéritif avec plaisir.

Nous sommes quatre à table, Marie, Aladin mon ami comédien qui est familier des lieux, Eric de Saint-Victor et moi. Eric a fait une flambée de sarments pour une belle pièce de bœuf qui sera accompagné d'un morceau d'araignée cuit au four.

Le Château de Pibarnon rouge 1985 est d'une grande puissance, emplissant le palais dans sa largeur. Il a beaucoup de matière, un fruit plein, mais il me donne des impressions de vin torréfié qui vont fort heureusement disparaître dix minutes plus tard rendant le vin charmeur et de belle plénitude. Ce n'est pas un Bandol typique, et l'on pourrait lui trouver des accents du Rhône nord.

Le Château de Pibarnon rouge 1990 est totalement différent du 1985. Si le 1985 est horizontal dans le palais, le 1990 est vertical. Il est tranchant, plus masculin, et plus typiquement bandol. Au début, je préfère le 1990 au 1985 et lorsque le 1985 s'est aéré, on pourrait dire que les deux se rejoignent en qualité, même s'ils sont opposés. Mon cœur ira plutôt vers le 1990 même si j'aime la richesse et l'opulence du 1985.

Le fromage banon est une merveille pour les rouges. Pour le délicieux roquefort bien frais, le Château de Pibarnon rosé 2011 est d'un grand confort et confirme son potentiel gastronomique. Le Château de Pibarnon blanc 2004 est une merveille et une réussite incontestable. C'est le plus enthousiasmant des rosés et blancs que nous avons bus.

Eric décide d'ouvrir alors un Château de Pibarnon rouge 1982 qui se révèle être le plus brillant des rouges, avec un parfum exceptionnel, plus grand que le goût brillant lui aussi. Le vin est une sorte de synthèse de ce que nous avons bu en vins rouges, avec l'âpreté, la matière, la cohérence et un final mentholé de pure fraîcheur. Ce vin donne l'impression d'une grande jeunesse et d'une capacité de vieillissement quasi infinie.

Ce voyage dans le temps avec les vins de Pibarnon est extrêmement convaincant. Par une belle journée ensoleillée et face à des panoramas de rêve, nous avons partagé un déjeuner de grande qualité.

As tu pu visiter les caves François? Je me suis souvent demandé si ce domaine avait un gros stock, car mon caviste m' a dit l' année dernière
qu' a partir du 2000 en gros, on pouvait commander tous les millésimes en quantité.
J' aimerai tant m' offrir un ou deux 82 ou 85! Merci pour le post.

Non, je n'ai pas vu les caves.
Je crois qu'ils ne vendent plus des millésimes comme 82 et 85. ils les réservent pour des réceptions.
Après 2000, il doit y avoir pas mal de choses.

Merci François pour ce CR très intéressant.
J'ai un immense souvenir du rouge 1990 bu en fin d'une verticale organisée pour mon club il y a une dizaine d'années.

Jean-Loup

Pibarnon rouge 2001
par une journée orageuse de forte chaleur, il est servi à 15° donc sufficamment frais.
Enorme déception, qui contraste avec la satisfaction des Pibarnon bus récemment.
C'est l'alcool qui domine, et ça sent le vin parkérisé tel que je le déteste.
Est-ce un problème de bouteille ? Je vérifierai.
Mais je n'ai pas du tout eu ce que j'aime en Pibarnon et dans les Bandol, ces accents de garrigue, de fenouil et d'olive.
Déception.

François,

J'avais eu cette même déception sur un Pibarnon rouge 2001 ouvert au débotté et à l'alcool dominant. Deux heures après, le vin s'était métamorphosé et était devenu merveilleux!...
Je sais que je réponds un peu tard, mais te souviens-tu des conditions de service du vin ce jour là?

Bien cordialement,

Thibault

Je n' irai pas du tout jusqu' à l' Audouzerie du post du dessus (vraiment aucun manque de respect François), ni sur le côté alcooleux
du vin de Thibault, mais Pibarnon 2001 (j' en ai bu 3) n' a pas pleine grâce à mes yeux, et pourtant ilm plaît.

Je l' ai trouvé trop lisse, un bouquet bien comme il faut mais simple et manquant de typicité encore, des tanins très fins et velouté certes mais le tout un peu boisé et
sans ce quelque chose (nez/bouche) qui me fait vibrer dans le (les) vin(s) (du sud).

Et pourtant j' aime tellement Pibarnon que je lui fait confiance, car tout ceci ne pourrait être que des dérapages de jeunesse! La dernière date de 4 ou 5 mois, va falloir
regoûter!

Pibarnon rouge 1995 - Bandol

12,8% vol - Bouchon nickel.

La robe est très jeune.

Le nez est très agréable, sur des notes bien typées mourvèdre avec un début d'évolution. On trouve d'abord l'eucalyptus puis les herbes de Provence. Il y a du champignon noir et une petite présence de chêne (très propre et sobre, rien à voir avec ses déviances type caramel-vanille-café). La truffe commence doucement à s'exprimer, elle est là mais cela reste léger. Le fond verre est légèrement plus fruité mais ça n'est pas ce que je retiendrais de ce vin, davantage marqué par les herbes et les aromates.

J'attaque la tourte de canard aux cèpes, surgelée…! qui après mes allers-retours incessant devant la fenêtre du four, a bien finit par en sortir !

[img]http://[url=https://flic.kr/p/pcoX8A][img]https://farm8.staticflickr.com/7499/15225165044_f62e03e7dd_o.jpg[/img][/url] _DSC6482 by adescat [/img]

Les tanins sont fondus, très souples. Le milieu de bouche a une certaine consistance mais le volume accuse un peu l'âge je trouve. La présence est assez délicate et manque d'allant. L'acidité (contrairement à l'alcool) conduit correctement le vin, la longueur est un peu courte. Finale fraiche portée sur l'eucalyptus et un mélange acide et très légèrement aigrelet.

Le vin est agréable au nez mais un peu décevant en bouche.

BIEN +(+)

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Château de Pibarnon Bandol 2009

90% mourvèdre 10% grenache, 14°

Carafé une heure avant la dégustation.

Robe d’intensité soutenue, tirant sur le grenat.

Le nez, d’emblée, est intense, plutôt corsé.

On trouve des notes mêlées florales et animales, musquées et épicées. Nuances de lavande, de cerise, d’essence d’amande, d’amorce, finissant en puissance sur la réglisse, le zan.

Les épices et l’acidité donnent un petit coup de fouet, qui contrebalance l’astringence assez prenante.

La matière, bien présente, laisse cependant une vague impression mitigée, comme si la belle étoffe était affaiblie par une pointe très légère de dilution.

A carafer un peu plus longtemps à l'avance, car le vin nous semble prendre sa foulée en fin de repas.

Belle dégustation, arrosant fort bien le plat de circonstance, lasagnes au lapin puis chaource bien fait.

Château Pibarnon 2011

90% mouvedre 10% Grenache

Couleur rouge pourpre

En bouche assez dense, plein de fruit et matiere tannique soyeuse.

Il a une bel avenir devant lui.

J'ai déjà bu à plusieurs reprises ce millésime et il n'était pas mon favori parmi ceux du Domaine de cette époque.
J'ai voulu voir comment évoluait le Pibarnon rouge 2004.

Le nez est séduisant, sur la cerise noire, le pruneau, la réglisse et les épices. L'agitation libère quelques nuances viandées.
La bouche est fraîche, concentrée et longue au premier contact. Elle est équilibrée, alcool, matière tannique et acidité se complètent parfaitement. Elle est ample, savoureuse, sur les fruits noirs et les épices, la finale livre des sensations fruitées et épicées très plaisantes.

Ce vin supporte d'être servi après une Palette Quintessence rouge 2009 d'H. Bonnaud.
Une belle bouteille au beau potentiel. Il fallait être patient.

Tout à fait d'accord avec toi, Thierry.
J'ai bu cette bouteille il y a une semaine à cette occasion .

Château de Pibarnon rouge 2004

Bouteille ouverte deux heures et demi et carafée une bonne demi-heure avant dégustation.
La robe est sombre et encore très jeune.
Le nez impressionne par sa classe et sa profondeur : du cuir noble, du pruneau, du bois précieux…
La bouche est à l’unisson, alliant densité de chair, acidité vibrante et fruité non démonstratif, le tout porté par de très beaux tanins, bien patinés par le temps.
Le mariage avec la même terrine de de porc et canard aux pruneaux était tout simplement excellent.
Une fois de plus, ce vin m’a beaucoup plu et paraît avoir atteint son apogée, mais il devrait y rester au moins cinq ans. Très Bien +(+)

Jean-Loup

Merci pour ces informations, mes précédentes expériences avec ce millésime 2004 m'ayant poussé à la patience, il faudra tester de nouveau.

J'ai donc plutôt ouvert un Château de Pibarnon 2002.

Superbe parfum à l'ouverture sur un registre floral et la cerise. Épaulée 3 heures, la bouche est conforme à l'impression que j'avais eu sur une bouteille précédente: Équilibrée, des tannins fondus dans un ensemble très soyeux.

Juste la finale moins mentholée que dans mon souvenir, qui retire un peu de fraîcheur, mais bon je chipote un peu.

Une Très Belle bouteille.

Philippe C.

Dégustée le 11/04/2015 : CR

- Domaine de Pibarnon - BANDOL - 2004 (dégusté trop frais... faut dire que la températue en terrasse était tombée!)
- Oeil : Rouge rubis avec des reflets qui marquent l'évolution. Limpide et translucide.
- Nez : Ronces, myrtilles, rose, gibier à poil, alcool
- Bouche : Attaque fraiche, milieu plat et une finale sur la sucrosité. Longueur 3/4c.

Ouvert épaulé 8h + 1h de carafe
Un première pour moi sur ce domaine. Vraiment dommage de l'avoir bu trop frais (je pense qu'il devait être entre 12 et 14°C en carafe et que dans le verre la température a encore chuté)
C'est cependant très intéressant, une aromatique avec une belle complexité et un bel équilibre en bouche. On en mange un bon moment.
Un vin à regouter : C++

Domaine de Pibarnon - BANDOL - 2006

Ouvert et épaulé une heure avant dégustation.
Nez sur la cerise, le kirsch et le pruneau.
En bouche, c est dense, puissant avec quand même une pointe d'alcool ressentie.
Pour moi, un bon Bandol à point et qui vaut son prix (25 €).
Accord nickel avec un tournedos, bien saignant évidemment.

Arnould.

Bonjour

Bu hier soir château de pibarnon 2009
En demi bouteille

Ouverte 1h a l avance
Sortie de cave 14degres

Il faudra un peu de temps au vin pour laisser les arômes se libérer dans le verre

J avais un peu peur de la jeunesse de celui ci , mais au contraire ..
Est çe l effet millésime ? ou l effet demi bouteille ...,?

Au nez ca pète fort...
Fruits noirs, épices . Zan.. Cuir

J adore...!!!!!
sous çe côté un peu confit .. On ne trouve pas trop de trace d alcool .
Ç est frais , ç est bien fait comme d habitude... Ç est juste super bon .,....
Ç est fin , chez pibarnon , ç est toujours très fin..

Je pense qu il se goute déjà très bien aujourd'hui avec une bonne aération ..

A noter aussi que j ai bu un 2005 il y a quelques semaines et qu il est toujours d une insolente jeunesse ...

Jeff

J'ai ouvert 2 bouteilles de Pibarnon 2009 (75cl) au cours des 2 derniers mois et le vin n'a commencé à s'ouvrir qu'après 4-5h de carafe.

J'aurais donc plutôt tendance à pencher pour l'effet format.

J

CR:Château de Pibarnon 2001 (rouge)
90% Mourvèdre, 10% Grenache. Superbe nez, très fumé, tabac, cuir, fruits noirs, olives, garrigue, épices douces.
La bouche est ample, corsée, puissante, belle matière, tannins serrés et agréable, élevage encore présent, grande fraicheur
et une longue persistance sur les fruits noirs et la suie. Excellent

Château de Pibarnon 2004

Bouteille entamée hier soir sur un repas hétéroclite, ouverte environ une heure avant.

Le nez présente tout d'abord un relent de croûte de pont l'évêque qui va rapidement disparaître pour laisser place à de beaux arômes de fruit pour montrer finalement un nez très bordelais (cassis).

En bouche, le vin est plutôt rond, les tannins sont presque totalement fondus mais la puissance est encore là.
Beaucoup de profondeur et une belle finale ponctuent la dégustation.

Pour mon goût, un vin exactement prêt mais très loin du déclin.

Excellent !

C'est un vin composé de 70 % Mourvedre et 30 % Grenache.

Ouverte hier soir pour accompagner le repas sans passage en carafe.

A l'oeil on est sur un vin de couleur rubis avec des reflets grenats.

Au nez on sent qu'il y a de la matière, des fruits noirs et des épices.

En bouche c'est très délicat, velouté avec des aromes de fruits rouges comme le cassis, des épices comme la canelle et le poivre mais aussi une touche de réglisse.

Très bon vin sur un beau millésime (je crois) en attendant de déguster le grand frère.

Merci pour ce petit commentaire
Énorme millésime même
pour le grand frère il faut peut être attendre encore un peu ..
2009 se goûte mieux

Bon dimanche

2010 énorme millesime en provence ?

Énorme réussite chez pibarnon en 2010/2011

Bouteille ouverte et carafée 2 heures pour accompagner un gigot de 7 heures. A 16°C environ.

Robe rouge sombre, sur les fruits noirs, quelques notes d'herbes aromatiques.

En bouche c'est complexe avec de jolies notes de fruits rouges, d'épices douces, d'herbes aromatiques et une pointe de réglisse. Des tanins bien intégrés, une belle longueur. Très bon vin qui va sans doute s'améliorer encore d'ici quelques années.

Château de Pibarnon, Bandol 2005
[size=x-small]Bu lors de notre dernière rencontre : dégustation lpv n°56 - la bonne boureille à boire [/size]

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Son voisin d'un soir, de robe bien plus sombre, a un nez qu'il faut un peu plus chercher. Antoine y détecte un peu de volatile, j'y vois un peu de cuir, une pointe animale, des fruits noirs confiturés voire cuits. Quelques tannins qui accrochent un peu… Tient-on enfin notre premier Bandol ? Pas hyper puissant. Léger trait vert en bouche/retro. C'est classique, droit voire un peu austère. Au point où je me demande s'il n'y aurait pas un chouille de Cabernet… C’est bon, mais pas inoubliable. B+ [size=x-small](14)[/size]

je me demande s'il n'y aurait pas un chouille de Cabernet…

Mourvèdre et un "chouille" de Grenache en principe mais du Cabernet, j'ai pas l'impression.
2005 ce n'était pas un très grand millésime; j'ai souvent trouvé les Bandol de ce millésime un poil austères aussi.

jlj

jean-luc javaux écrivait:

---

> je me demande s'il n'y aurait pas un chouille
> de Cabernet…
>
> Mourvèdre et un "chouille" de Grenache en
> principe mais du Cabernet, j'ai pas l'impression.
> 2005 ce n'était pas un très grand millésime;
> j'ai souvent trouvé les Bandol de ce millésime
> un poil austères aussi.
>
> jlj

Je me doute Et je ne savais pas qu'il y avait du Grenache, d'ailleurs
Je ne ne faisais que décrire les impressions à l'aveugle, et les hypothèses lancées avant la découverte de l'étiquette