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Je souhaitais vous parler aujourd’hui du bon vieux temps. Pas celui du siècle dernier, non du 13ème siècle. Celui de L’INQUISITION.
Pour ceux qui me connaissent ou tout du moins qui connaissent mes vins, je suis un ardent défenseur des labels et de la transparence. En effet je me bats depuis quelques années avec des collègues pour #TOWA une idée simple pour clarifier ce monde aux mille labels et certifications. Malheureusement il semblerait que cela gène quelques personnes, puisqu’il y a plus de 6 mois j’ai reçu la visite d’un agent de la DGCCRF qui passant par hasard m’a prélevé 3 bouteilles par hasard de mon vin COEF 2016.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas c’est un vin que je vinifie et élève en jarres et ceci depuis 2013. Ma passion pour les vinifications traditionnelles risque donc aujourd’hui de me coûter cher car suite au prélèvement et ainsi qu’à l’analyse de mon lot de bouteilles restantes la BIEV (Bureau d’Investigation des Enquêtes Vinicoles) ils m’ont trouvé une teneur en acidité volatile « hors norme » au-delà de l’incertitude et ce malgré une analyse organoleptique de la technicienne du même labo « acceptable ». De mon côté j’ai donc pratiqué officiellement des contres analyses qui se sont révélées par deux fois en ma faveur puisqu’en dessous de ladite « norme analytique » et sans même faire intervenir l’incertitude.
Les inspecteurs ont donc bloqué mon lot, et se sont dirigés vers le tribunal de grande instance de Tours qui n’a pas donné suite trouvant peut-être la faute « non recevable » et levant la mainlevée sur mon lot. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand le même jour j’ai reçu de la part de la préfète d’Indre et Loire un arrêté me demandant de me rapprocher sous 1 mois des services de la Direccte afin de faire détruire mon lot.
En effet quel plus grand danger à l’heure actuelle que de laisser des vins circuler dans « l’incertitude » (au regard des inspecteurs).
Je ne connais pas bien Corinne ORZECHOWSKI, Mme la préfète, mais tout ce que je peux dire ce jour c’est que lorsque vous demandez une audience pour connaitre les raisons de cet arrêté préfectoral de destruction, elle vous renvoie vers les services de….. la DGCCRF. Le chien qui se mord la queue.
Ainsi donc je n’ai pas eu comme autre choix que de faire un référé afin de stopper la destruction.
Pour celles et ceux qui le souhaitent l’audience est donc publique vendredi 10 mai à 11 :00 au tribunal Administratif d’Orléans, afin de savoir si dans ce monde où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil j’ai le droit ou non à un vrai procès, car avec plus de 10 kilos de papiers déjà fournis et malgré mes réponses et explications sur mon travail, c’est la mesure expéditive qui est déclenchée à mon encontre, puisqu’une fois détruites, les preuves n’auront plus rien à dire, et l’administration plus rien à entendre si toutefois elle nous aurait déjà écoutée.
Je ne fais pas parti des radicaux de la branche « naturiste » de notre viticulture, mais quand vous avez une porte de prison comme seule interlocutrice, c’est comme de crier dans le vide, on perd vite sa voie et même sa voix.
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oliv écrit: Le sujet méritait sûrement mieux que ce billet à l'ironie ridicule, non
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oliv écrit: Le sujet méritait sûrement mieux que ce billet à l'ironie ridicule, non ?
ICI
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Tu veux dire que la volatile aurait une faible volatilité ?Eric B écrit: Surtout,les analyses sont loin d'être "nickel", comme elle dit. Les chiffres des contre-analyses sont très proches, si ce n'est qu'elles donnent une marge d'erreur qui permet de repasser sous la barre des 20. Alors que la DGCCRF ne reconnait pas de marge d'erreur.
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Rust72 écrit: (...) Pour que cette acidité volatile ne nuise pas à la qualité de la dégustation, doit elle être combinée à d'autres facteurs pour que la dégustation puisse être agréable ?
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