[size=small]Vous allez apprendre des choses incroyables : à Bordeaux, ils font des assemblages de plusieurs cépages (si, si). Les malhonnêtes...[/size]

Dis donc Eric, tu grossis carrément le trait là ! Je n'ai pas vu cette séquence sous cet angle...

Eric B écrivait:

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> Une critique intéressante sur le film :
>
> vitineraires.blogspo...
> que-le-bruit-des-bottes-je.html

j'ai trouvé ce commentaire excellent.

Bourgogne
Millésime consacrait son émission de rentrée au Mâconnais.

france3-regions.fran...

A noter dans votre agenda ou sur le calendrier Crédit Agricole de la cuisine pour le 24 octobre: Dallas en Version Bordelaise

france3-regions.blog...

Toine06 écrivait:

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> A noter dans votre agenda ou sur le calendrier
> Crédit Agricole de la cuisine pour le 24 octobre:
> Dallas en Version Bordelaise
>
> france3-regions.blog...
> hateaux/2014/09/26/la-saga-lurton-bientot-sur-fran
> ce-3-aquitaine.html

Un petit Up vu que c'est vendredi

Hors-série
Cru 2014, un millésime attendu
Samedi 25 octobre à 10H50

france3-regions.fran...

Complément d'enquête
La Chine, le nouvel eldorado pour le vin français.

www.francetvinfo.fr/...

C'est ici : www.arte.tv/guide/fr...

Je ne l'ai pas encore visionné

Champagne
Comment naissent les bulles ?

www.facebook.com/vid...

Sujet du JT d'hier soir de France 2 : comparaison entre 3 bouteilles respectivement à 25 € (une coopérative, Jacquart), 36 € (un vigneron indépendant, Franck Pascal) et 43 € (une maison, Roederer)

Je peux me tromper mais j'ai la très légère impression qu'il y a comme un problème avec Roederer : la bouteille présentée semble être le Brut Premier et pour elle la maison a l'air de développer tous les égards : vignes labourées au cheval, remuage manuel d'un huitième de tour quotidien, etc. Soit c'est vraiment le cas et alors chapeau d'être aux petits soins pour une cuvée dont les volumes de distribution sont conséquents, soit les images du reportage concernent Cristal et alors le reportage devient un publi-reportage pour ne pas dire plus.

Qu'en pensez-vous ?

Même lecture hier soir en tombant là dessus !
De la grande rigolade avec le remueur manuel versus le giropalette, le cheval dans les vignes et tout le basting de l'authentique...

Ils auraient mieux fait de faire parler Franck Pascal.

Peut-être l'ont-ils fait... mais jugé plus raisonnable de ne pas diffuser cette séquence

Ils auraient mieux fait de faire parler Franck Pascal.

oui mais là certaines théories devenaient difficilement accessibles au plus grand nombre (à part aux croyants peut-être?).

Laurence Ostolaza dans ses œuvres... ou comment débiter des âneries telles que "gras et alcool ne font pas bon ménage, exemple : Maroilles et vin rouge"...

Télématin 09/12/2014 - Alcool et calories

Tiens, je viens de tomber là-dessus :
ce soir sur Planète +, docu "A la recherche du terroir perdu", apparemment pas mal (dixit Télérama, faut se méfier)
Suivi d'un truc sur Fourniret, le Monstre des Ardennes, pour les amateurs chevronnés

sideway écrivait:

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> Je peux me tromper mais j'ai la très légère impression qu'il y a comme un problème avec Roederer : la bouteille présentée semble être le Brut Premier et pour elle la maison a l'air de développer tous les égards : remuage manuel d'un huitième de tour

Les fioles à remuage manuel sont blanches. Donc......Cristal à priori puisque le brut premier est en quille verte, je crois.

Mode d'emploi
Les transmissions d'exploitations agricoles

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Documentaire
Samedi 21/02 à 15h20

france3-regions.fran...

Emission/Magazine
Dimanche 22/02 à 11h25
Millésime "Balade à Chablis"

france3-regions.fran...

Les escapades de Petitrenaud
Les Rousses dans le Jura, avec (entre autres) Stéphane Tissot.

www.france5.fr/emiss...

Une émission sans langue de bois
sinon émission a suivre une fois par mois

www.tv7.com/vie-de-c...

Spécial investigation - Vin français : la gueule de bois
lun 23 mars à 22h50 sur Canal+

Résumé : En France, les vignerons n'ont aucune obligation de mentionner sur les étiquettes tous les produits qui entrent dans la fabrication de leur vin. Pour autant, une polémique agite l'industrie vinicole : l'utilisation massive des pesticides. Vaporisées trois mois avant les vendanges, ces substances toxiques, irritantes et parfois cancérigènes laissent des résidus dans les bouteilles présentes dans les rayons des supermarchés. De la vigne, au caviste en passant par les syndicats, le journaliste a enquêté sur les méthodes de fabrication et de promotion de ce fleuron de la gastronomie française (programme-tv.net)

Rien qu'au titre on sent encore les caméras cachés avec la moitié de l'écran flouté pour arriver à des conclusions généralistes

Vaporisées trois mois avant les vendanges, ces substances toxiques, irritantes et parfois cancérigènes laissent des résidus dans les bouteilles présentes dans les rayons des supermarchés.

Ben oui, bien sûr. Il n'y a que les vins des supermarchés qui contiennent des substances dangereuses. Les cavistes demandent des analyses de résidus de pesticides de chaque cuvée qu'ils achètent

Je pense que dans l'esprit de la personne qui a écrit ce magnifique synopsis, le vin ne se vend qu'en supermarché... Il faut donc comprendre "dans tous les rayons"

Comment sont fabriquées les bouteilles qui contiennent nos précieux vins .

www.tv7.com/vie-de-c...

ziboss écrivait:

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> Spécial investigation - Vin français : la
> gueule de bois
> lun 23 mars à 22h50 sur Canal+
>

> Rien qu'au titre on sent encore les caméras cachés avec la moitié de l'écran flouté pour arriver à des conclusions généralistes

C'était exactement ça. La meilleure critique que j'ai lu sur ce reportage caricatural est ici : vitineraires.blogspo...

Le point de vue de Nicolas Lesaint sur le même reportage :

reignac.com/blog/201...

Citation : "Le pire dans tout cela, sous des airs de vouloir tout expliquer en six mois d’immersion complète dans la profession tel un Cousteau de la cuve de merlot, c’est qu’on fait naître un doute. Oui, mais peut-être pas forcément celui que l’on croit. Pas celui qui voudrait qu’il existe une majorité d’enfoirés de viticulteurs qui bidouillent leur breuvage que eux-même n’osent pas boire de peur d’une intoxication instantanée, comme ce producteur d’oignons que l’on voyait dans un reportage envoyer ses légumes en GD et reconnaissait n’avoir jamais consommé l’un d’entre eux de peur de tomber malade, mon œil… Non ce serait plutôt qu’un doute m’habite sur la profession de journaliste et le sérieux de toutes ces soi-disant émissions d’investigations. Parce que ce métier de viticulteur je le connais. Ce métier j’en fais mon quotidien donc je sais ce que sont mes journées, mes techniques de travail et mon sérieux professionnel. Et comme je ne vis pas les yeux fermés, et bien je les ouvre et d’un magnifique mouvement rotatif de droite et de gauche bien je regarde aussi les autres, les voisins, les collègues, ceux que j’aime, ceux que j’aime moins, ceux dont les vins ne sont pas bons, ceux qui ont toujours de la maladie dans leurs vignes ou ceux au contraire dont les raisins sont magnifiques. J’entre-aperçois leur conscience et je sais ce que sont les choses par rapport à la manière dont elles sont présentées ici dans ce genre de reportages"

Bonjour à tous,
Un reportage ou il y a ... à boire et à manger, le meilleur côtoie le pire, mais le président de l'INAO à pour le moins une attitude peu engageante sur l’image qu’il donne de son engagement pour le vin.
Il n’en est pas moins vrai, que ces pratiques existent bel et bien.
Autre temps autres mœurs, au siècle dernier, on “Hermitageait “ des grands vins de Bordeaux( et non des moindres ) certaines mauvaises années , pour faire simple, on rajoutait du vin d’Hermitage pour donner du corps et de la couleurs aux vins.
Bien sûr, cela se faisait dans les secrets des chais, alors qu’il existe des copeaux de chêne dans certains vins, ou des opérations plus ou moins avouables, oui, cela jette le doute sur ceux qui font du vin de façon honnête, et mettre parfois un coup de pieds dans la fourmilière est bon, ne pas boire les paroles de certains journalistes ni le vin de certains viticulteurs reste la seule chose à faire, pour le vin, malheureusement, seul notre gout “propre “ peut nous aider.
Cdlt

Le meilleur comme le pire
Disons surtout le pire. On sait bien qu'il peut se passer des choses peu reluisantes dans certains chais. Mais là on peut aussi reprocher la forme. Ces caméras cachées qui donnent le mal de mer, pour donner un côté investigation mais qui au final laisse peu de doutes sur l'identité des personnes "cachées" pour ceux qui les côtoient est d'un ennuyeux assez consternant. Ce n'est pas propre à cette émission et canal+ ceci dit.
Sincèrement tu n'avais pas l'impression de savoir a l'avance ce qui allait se passer/être dit ?

Sinon merci pour l'explication du mot hérmitager à la communauté lpvienne

jeboisduvin.com/2015...

Le vin en France, la gueule de bois est réalisé par Donatien Lemaître, diffusé par Canal+ lundi 23 mars à 22h50. (dispo en streaming) Vous l’avez vu ?

Une semaine après la diffusion du reportage, j’ai pris une heure de mon temps pour lire les réactions. Cela m’a permis de prendre du recul et de digérer la pilule. Mais en regardant bien, je me suis aperçue que ne suis pas la seule à avoir pris ce silence. Pourquoi ? Pour ne pas donner d’importance à ce « pseudo » reportage à charge ? Pour minimiser le sujet ? Je ne peux pas rester silencieuse plus longtemps… Il s’agit encore une fois d’un coup de massue donnée à l’ensemble des acteurs viticoles.

Vous n’avez pas vu le reportage, voilà ce qui en est dit pour faire court :

Selon Challenges : « C’est une enquête qui vous dissuaderait de boire. Mais une enquête tellement à charge qu’elle finit par perdre en crédibilité. Ce qu’il en ressort? Que les vignes sont traitées aux pesticides, que les vins sont « trafiqués », que les cavistes ne sont pas forcément de bon conseil, enfin que les médailles sur les étiquettes sont bidon. Ce n’est pas une révélation… »

Selon www.vitineraires.blo... : « Ca faisait longtemps qu’on n’avait pas eu un documentaire sur le vin … Enfin, un documentaire, faut pas déconner non plus ! disons plutôt : « un truc vaguement anxiogène et un peu plus que vaguement caricatural », un peu (beaucoup !) sur le mode les méchants industriels suppôts de la chimie lourde qui fait peur, face aux gentils artisans vignerons qui passent leur journée au cul du cheval et dont la seule concession à l’insupportable modernité est le sécateur. Si on y ajoute les classiques du genre : la caméra cachée et le goût de banane, y a pas de raison que ça fasse pas un carton. »

Je n’ai pas vu d’autres prises de paroles sur les 5 premières pages de résultats de google. N’hésitez pas à me les partager si vous en voyez d’autres. Cela ne fait pas beaucoup en effet.

Mon point de vu de caviste Nicolas – les cavistes Nicolas sont largement critiqués dans ce reportage. Je ne suis pas née caviste Nicolas, j’ai été caviste pour mon compte personnel puis caviste salarié pour un caviste indépendant.

Il y a du vrai dans le reportage, mais c’est trop exagéré. Pourquoi est ce qu’un vigneron (pas tous les vignerons – encore une fois) traite ses vignes et intervient chimiquement dans sa vinification ? Pour maintenir des prix !!! Et seulement pour ça !!! Le prix moyen d’un vin acheté en France et je dis bien, EN FRANCE est à de moins de 3€ !!! C’est vrai. Le marché en volume se situe ICI. Ca vous étonne ? Dans le reportage il ne prend que des vins à moins de 5€. Et on devrait s’attendre à quoi à moins de 5€ la bouteille ? A un à non-traitement des vignes, à une vendange manuelle, à une vinification longue en barriques et ultra-naturelle ? Moi je dis non. Lorsqu’on achète un Médoc à moins de 5€ il faut être lucide et savoir que l’on achète pas du rêve. Alors oui, il y a du vrai dans ce reportage, mais si vous avez 5€ en poche, prenez plutôt un petit vin de pays, ne prenez pas une grande appellation, vous vous régalerez plus. Les appellations sont payantes donc en rapport-plaisir prix c’est mieux. La vrai question que nous devons nous poser, c’est sommes nous prêts à payer le prix du travail artisan-vigneron ? Dans le reportage il y a un passage très intéressant (le seul d’ailleurs) où on voit les racines des vignes qui remontent à la surface : La terre se meurt. C’est ce qu’il y a de plus inquiétant. Mais ce n’est pas une conséquence récente. C’est la conséquence du mauvais travail de nos grands parents qui maltraitaient encore plus la terre.

Là ou je suis triste c’est que, tout seul devant sa télé, le téléspectateur fera des amalgames et mettra tout le monde dans le même panier. Que c’est un vrai coup dure pour toute la filière viticole. Faites le tri s’il vous plait. Il y a tant à dire sur notre manière de consommer : Les viandes, les fromages, les légumes, les vêtements, le traitement des déchets… Mais c’est un problème global. Les mentalités sont à changer.

En ce qui concerne les cavistes NICOLAS. Je suis dégoûtée de leurs discours. On peut ne pas adhérer à l’ensemble de la sélection Nicolas, on peut (et encore heureux) avoir ses préférences mais on ne peut pas dire que Nicolas fait des vins de m****. Il y en a pour tous les goûts et tous les budgets… Nicolas est le premier caviste de France, si les cavistes ne faisaient pas bien leur boulot, on ne serait pas là. Regardez dans votre environnement professionnel, il y a toujours des gens qui se plaignent et qui disent du mal de leur entreprise pour se rendre malin : « si tu n’es pas bien tu te casse !!! » Voila !!!

Beaucoup de vignerons font un travail honnête, beaucoup de cavistes – même Nicolas – font un travail honnête… Par conte ce reportage, monté comme il à été monté est mal-honnête. Pourquoi ne parlent-ils pas de la GD (grande distrib) ? Pourquoi ne parlent-ils pas du vin au restaurant ? Parce qu’ils avaient prédéfini leur objectif : C’est ce que l’on appelle un reportage à charge.

A vos commentaires…

pas vu le reportage, mais j'irai le visionner.

Vous avez raison de souligner que le prix de la plus grande partie des vins vendus en France est en dessous de 4 euros.
Je pense que beaucoup d'intervenants de ce forum n'achètent jamais de vins à ce prix-là.
Vous avez raison aussi de dire qu'il est facile de tirer sur l'ambulance dans ce cas là.

Cependant, le bio s'il n'est pas anonyme de la qualité n'en est pas non plus nécessairement le synonyme : si on se méfie des amalgames, il faut se méfier de tous les amalgames.

L'important, ce n'est pas le moyen, c'est la démarche et la volonté du but à atteindre.