Savagnin 1992 (n’ayant jamais pris le voile, il a été laissé 18 ans dans les hangars à cuves. 15,5°)
Servi à l’aveugle, l’abricot, la prune, l’encaustique se manifestent. - février 2013
Caveau de Bacchus Lucien Aviet, Arbois, Réserve du Caveau 2007
Un Savagnin non ouillé mais aussi non oxydatif.
Beau nez pur, sur les peaux d'agrumes.
la bouche est construite sur un duo d'amers et d'acidité. Les peaux d'agrumes (kumquat, pomelo, citron, orange) caractérisent l'aromatique de ce vin tranchant, salivant, assez persistant. C'est très joli. Superbe accord avec des sushis. - juin 2014
Par rapport à une dégustation précédente, l'acidité a fondu, la tension est toujours là, l'aromatique est sur les agrumes, les herbes séchées (foin). Le volume en bouche est important. Très bien - octobre 2015
Savagnin 2012
(sur foudres, FA pas terminée, sans voile mais non ouillé, sous gaz naturel)
Sur les peaux d’agrumes, tendu et mentholé - avril 2016
Je vous relis et repense à la question des prix.
J'en avis parlé dans ce
fil
Il reste des vignerons de qualité à très bons prix. La différence, qu'on oublie, c'est que dans le Jura on peut avoir le meilleur. C'est pas pour rien mais il y en a, c'est déjà ça. Peut-être que ce qui frappe et dérange (?) c'est les augmentations générales chez les vignerons bio et bio-d. Mais ils ont la côte et des produits tellement singuliers.
On pourrait d'ailleurs faire un fil sur les rapports qualité/prix.
Entièrement d'accord, on a l'impression que parler prix vous fait paraître fort vulgaire, mais c'est un élément important de décision, le rapport qualité prix évidemment, et pourquoi un fil spécial ? Ce pourrait être un élément d'information pour chaque domaine et chaque cuvée ...