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CR: Salon des vignerons indépendants Lyon 2017

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CR: Salon des vignerons indépendants de Lyon (Halle Tony Garnier), octobre 2017

Je suis passé le samedi après-midi, surpris par la relative praticabilité du lieu alors que c'est sensé être le jour à éviter. Quelques stands un peu difficiles d'accès en fin de journée ceci dit, mais plutôt tranquille à pas mal d'autres. Au menu, un peu de repérage pour le salon de Paris et quelques découvertes aussi.

On commence en Savoie avec le domaine Dupasquier.
- Jacquère 2014 : joli fruité rond mais avec de la fraicheur. Bon vin d'apéro.
- Chardonnay 2014 : changement de registre complet. Chardonnay très expressif sur les fruits mûrs (coing ?). Fraicheur correcte en bouche mais on est plus sur la rondeur.
- Roussette Altesse 2013 : le nez est un peu plus en retrait. Arômes de fruits jaunes plus "sérieux", un peu de châtaigne. La bouche est plus allongée.
- Roussette de Marestel 2013 : à la fois plus expressif et plus de tension. Fruit jaune un peu miellé, un peu de fruit à coque, fond salin / minéral porté par la trame acide. Vraiment pas mal !

Trois domaines en Bourgogne, pas de gros coup de coeur comme les années précédentes avec Chevalier et Jacob même si ça reste globalement bien.
On commence à Saint Aubin avec Gilles Bouton.
- Saint Aubin Argilles 2016 : fruité, légère touche d'élevage. Côté salin sympa.
- Saint Aubin 1er cru En Rémilly 2016 : plus présent aromatiquement et plus de tension à la fois. On ressent un peu plus les notes d'élevage (toasté).
- Saint Aubin 1er cru Les Champlots 2016 : plus ample et rond, un peu moins d'acidité que le précédent. Le cocktail fruits jaunes / touche d'élevage m'évoquerais presque des souvenirs de St Joseph blanc.
- Saint Aubin 1er cru (rouge) En Gréot 2015 : robe très claire. Le nez a un fond de pinot élégant mais est peu expressif. Fruité en bouche, fruits des bois, bon mais pas transportant.
On passe au domaine Chevalier. Que des cuvées plutôt jeunes, je regrette le temps béni d'il y a deux ans où ils présentaient un CdN Villages 2010 et un Corton Rognet 2006 tous les deux juste à point !
- Ladoix blanc 2015 : la seule cuvée qu'il leur reste en blanc. Nez fin mais expressif assez proche de l'image que je me fais d'un Bourgogne blanc (fruit mûr, léger brioché). En bouche, je trouve un bon équilibre entre l'expressivité et la tension. Un peu acidulé en finale. J'aime bien !
- Côte de Nuits Villages 2014 : le nez ne fait pas si pinot noir. Il y a un peu d'épice, ça évoquerait presque le Rhône nord (encore !) en plus "fin" tout de même.En bouche c'est rond et fruité, plus juteux que structuré.
- Le Ladoix 2015 me semble atypique au niveau aromatique, avec un fruit étonnant (nèfle ?). Un peu plus de matière que le CdN mais moins épicé, et ça reste juteux.
- Aloxe-Corton 2014 : on passe à quelque chose de plus sérieux sur la structure (tanin, longueur). Un peu de sous-bois vient s'ajouter au fruit.
- Ladoix 1er cru Corvées 2015 : beau fruit, notamment en bouche, sur la fraise. La matière est là, elle mérite de se fondre un peu mais n'est pas désagréable pour autant en l'état.
- Corton Rognet grand cru 2013 : nez expressif de pinot, sur la cerise et le noyau. La bouche est déjà ronde, pas ultra puissante mais bien présente. Encore un peu de tanin qui peut encore se polir, finale mentholée. C'est bon, mais je suis moins emballé par la gamme que les fois précédentes.
On finit la trilogie de Bourgogne avec le domaine Jacob où l'on ne dégustera que les blancs (programme chargé oblige...)
- Hautes Côtes de Nuits 2016 : au nez on est surtout sur le fruit blanc (poire...). La bouche est plus expressive et révèle un léger fumé (dû à l'élevage d'après le vigneron). C'est rond, il y a un peu de fraicheur (suffisamment ? C'est la question, j'ai ouvert un 2015 un peu mou cet été, alors que j'avais adoré au salon... )
- Ladoix 2016 : le nez est à la fois plus expressif et sur des arômes plus frais (un peu citronné, pas uniquement des fruits blancs). Le boisé (toasté) est aussi plus perceptible (moi j'aime bien). Jolie tenue générale, équilibre aromatique / tension. Finale très agréable sur la mirabelle rôtie.
- Corton Charlemagne 2016 : on monte encore d'un niveau en expressivité, toujours le fruit citronné, le toasté, et on ajoute un peu de végétal ("ortie" dit-on à côté). La bouche est très belle, de bonne longueur.

En Loire, on va se concentrer sur la Touraine mais en deux versions très différentes !
D'abord, le domaine de Vodanis et ses innombrables déclinaisons du chenin, toutes en AOP Vouvray.
- on commence tranquille par le Sec 2013, très minéral, à l'aromatique fraiche discrète de fleurs blanches des champs.
- on revient un coup en arrière avec deux bulles, d'abord un Extra-Brut 2011 très intéressant. Nez sur la pomme mure. Dès l'attaque, belle minéralité à la Vouvray (cette impression de caillou). Richesse bien contrebalancée par une tension qui étire la bouche, bulle fine.
- le Brut 2014 a un peu de mal à passer après à mon sens. Bulle plus présente, moins d'expressivité que ce soit au nez ou en bouche, même si on garde cette minéralité caractéristique.
- on revient aux tranquille, avec le Sec 2011 après avoir regoûté le 2013 pour comparer : le nez a plus de fruit (peut-être un peu de pomme voire de coing) mais reste assez évanescent. Plus riche en bouche aussi, toujours la sensation caillouteuse qui persiste joliment en finale. Un peu léger quand-même.
- Pagus Sec 2011, sélection parcellaire, élevage sous bois. On est sur le même profil que le "simple" sec, mais une aromatique légèrement plus complexe (un côté épicé, voire tabac en plus).
- Demi-sec 2013 : intéressant ! On est sur même profil que le sec du même millésime, très minéral, pas trop d'arôme, surtout la structure, mais avec une légère douceur en plus. Ça reste un peu trop cristallin pour être voluptueux tout de même.
- Demi-sec 2014 : l'aromatique est beaucoup plus riche sur les agrumes confits, dans un style "moelleux du Bordelais". Analytiquement le même sucre résiduel (30g/L je crois) que le 2013, mais un ressenti plus doux.
- Demi-sec Pagus 2008 : whaou le nez ! Je retrouve ce que j'avais aimé sur le domaine à mes premiers SVI : ce côté exotique, sur la mangue, voire la papaye. Un peu déçu par la bouche qui attaque joliment mais manque un peu de pêche et retombe assez vite...
- Moelleux 2009 : nez plus frais (pomme reinette). Malgré plus de richesse (en sucre), on retrouve plus de fraicheur que le précédent, avec presque de la mâche (évoque le calcaire).
- Moelleux 2015 : richesse mais bel équilibre apporté par fraicheur et minéralité. Donne l'espoir que les demi-sec 2015 reviennent sur le si bon profil des 2008 / 2009... attendons que ça sorte.
Petite pause en-cas avant de s'y remettre, et de belle manière, au domaine Jean-François Mérieau ! Tout est en AOP Touraine sauf le Boa Moa qui est vin de France (le cépage je pense ?).
- Arpent des Vaudons 2016 (sauvignon blanc) : nez au top, expressif, fruité. C'est très exotique, avec de l'ananas notamment. Attaque franche, beau fruit bien ample mais une note végétale donne de la vivacité. Super.
- Coeur de Roche 2016 (sauvignon blanc VV, élevage bois) : plus brioché au nez. C'est à la fois riche et plus fin, plus allongé que l'Arpent (on est moins dans l'expressivité "facile"). Côté végétal agréable (le fameux buis ?), juste ce qu'il faut d'amers en fin de bouche.
- Boa Moa 2015 (sauvignon rose [== sauvignon gris ?]) : nez léger. Je le trouve plus "sauvignon" que dans mes souvenirs, moins sur la rose. Bouche fraiche, minérale.
- Bois Jacou 2016 (gamay) : le classique bol de fruits rouges, tirant sur la grenadine, un peu d'épice. En bouche, matière veloutée, pas vraiment de tanin, très rond sur la cerise. Très bien.
- Boa le rouge 2011 (gamay VV, élevage 48 mois [!!]) : au niveau aromatique, le différentiel fait que je perçois surtout le boisé. La matière est bien fondue, sans aspérité, c'est très bon.
- Souris et Boa 2010 (pinot noir) : fruit rouge, bouche légère, encore un peu d'amertume. La cuvée qui me convainc le moins.
- Grands Champs 2011 (cabernet franc / côt) : fruit noir, un peu de sous-bois au nez. En bouche, côté "épais" agréable, un peu de tanin à polir.
- Alliance des Générations 2011 (cabernet franc / côt VV, bois) : grande parenté aromatique. Un peu de vanillé au nez en plus, et surtout une très grosse matière qui demande à bien se fondre (ou avoir du répondant en face ?).
- Cent Visages 2015 (côt) : violette, peau de raisin. Très beau fruit en bouche, floral aussi, expressif, rond, charmant, mais ne manque pas de matière ou de fraicheur. Très bon.
- Gueule du Boa 2014 (côt VV, élevage bois 12/18 mois je crois) : similaire au Cent Visage, avec un côté "épice asiatique" en plus (du sésame aussi peut-être ?). Plus de structure et de tension aussi. Très bon, pas forcément meilleur dans l'absolu mais un autre style.
Très bon sur toute la gamme. Alors que j'aimais principalement le Coeur de Roche au début, je suis de plus en plus convaincu par toute la gamme !

[c'est tout pour le moment, à suivre avec le Sud]
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05 Nov 2017 02:26 #1

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Réponse de Hpesoj sur le sujet CR: Salon des vignerons indépendants Lyon 2017

CR: Salon des vignerons indépendants Lyon 2017
Et voilà la suite : les Suds. La fatigue a commencé à se faire sérieusement sentir, je le vois en relisant mes notes ^^ Ce qui me pousse à m'interroger (une nouvelle fois) sur la pertinence de cette habitude presque inconsciente qui me fait déguster du nord au sud. Ce dernier en pâtit sûrement : vaudrait-il mieux mélanger un peu ? Un maximum ?

Enfin, passons à l'essentiel : les vins !

On commence donc en Rhône Sud avec Laurent Charvin.
- le Côtes-du-Rhône 2015 est assez clair "pour un vin du Sud". Petits fruits rouges au nez. La bouche est très belle, il y a de la fraise, une belle richesse contenue, qui ne retombe pas de suite. Même si mon dernier Reynaud commence à dater, ça m'évoquerait un peu le style... et c'est assez différent de mon souvenir du même 2015 goûté dans le verre dans face ce printemps au resto (qui m'avait paru plus massif)
- le Châteauneuf-du-Pape 2015 est lui plus fermé au nez (logiquement d'après L. Charvin, et non "étonnamment" comme je l'évoquais : il est sensé aller plus loin, et donc ne se livre pas autant tout de suite). En bouche en revanche on sent plus de matière, mais c'est assez velouté.
On s'éloigne peu ensuite puisqu'on passe chez Raspail-Ay et son unique cuvée de Gigondas sur 2014 (plus qu'un carton de 2013 quand on arrive, le 2015 lui n'est encore mis qu'en jéroboam). Je note un bon fruit, un très léger côté animal (le bon côté). En bouche une certaine puissance, mais c'est équilibré, matière tannique qui peut se fondre encore mais c'est largement abordable en l'état tout de même.

Direction la Corse, pour découvrir des vins dont je ne connais rien, au Clos Fornelli. On commence par les blancs, tous issus de vermentinu (vermentino, c'est assez transparent) sauf le dernier.
- le Tradition 2016, élevé en cuve, a tout d'un excellent vin d'apéro : floral, frais, assez salin comme peuvent l'être les vins méditerranéens (cliché mais on s'en convainc facilement).
- Robe d'Ange 2016, passé en oeuf béton, révèle un fruit plus "mûr" (fruits jaunes, un peu de miel à la façon des roussanne / marsanne).
- Stella Rose 2015 a un profil similaire, avec un léger côté de champignon. Il y a plus de gras, bon équilibre entre présence aromatique et finesse, allonge : j'aime bien !!
- le Bianco Gentile, issu du cépage endémique éponyme, me déçoit un peu après ses jolis confrères. On revient plus sur le style du Tradition, frais, mais avec moins d'expression à mon sens.
- on passe doucement aux rouges avec un Robe d'Ange 2016 qui porte bien son nom : ce vin de sciaccarellu (cépage endémique corse, de nouveau) présente un habit clair, rouge brique. Nez léger, épicé. En bouche, équilibre intrigant, intéressant : la matière n'est pas évanescente comme la robe pourrait le suggérer, mais pas vraiment "épaisse", tannique, non plus - plutôt "glycérinée". Influencé par la couleur de la robe, je sens du pruneau, de la fleur fanée, un peu d'amertume.
- pas trop de note sur le Clos 2016, un niellucciu (c'est-à-dire un sangiovese). Juste, on revient sur une structure de rouge plus habituelle, avec plus de matière.
- le Stella Rose 2015, assemblage des deux cépages, mêle effectivement des caractéristiques des deux, avec l'aromatique particulière du sciaccarellu (pas trop bien décrite, désolé) et la matière du précédent.
Les blancs m'ont bien convaincu, les rouges demandent à être regoûtés : il faudra revenir !

Juste à côté dans le salon, mais à l'opposé sur la carte, le Bordelais avec les vins de Denis Barraud.
- la Cour d'Argent 2015 (appellation Bordeaux) me frappe par son beau fruit (fruit rouge) malgré une matière bien présente. Me rappellerait presque un style "Côtes-du-Rhône".
- j'aime bien le côté un peu évolué (champignon) du Haut-Renaissance 2008, qui est sûrement un bon exemple de Saint Emilion à point, simplement.
- peu de notes sur les Gravières 2011 et les échantillons primeurs 2016 (Gravières et Lynsolence) en dehors d'un surplus de matière, et une note de garrigue sympa sur le 2011.
- enfin, on a droit à goûter Lynsolence 2008 qui est vraiment beau : il associe une belle matière veloutée, du fruit, et un côté assagi, avec cette évocation de sous-bois.
Ressentis assez étonnamment opposés à ceux de Frisette (j'ai bien aimé les entrées de gamme, moins de ressenti sur les cuvées phares même si je reconnais qu'elles offrent sûrement plus : je commence vraiment à saturer !).

Ça tombe bien, on arrive au dernier stand, on se recentre vers Gaillac avec la toujours belle gamme du domaine René Rieu, présenté par un jeune très sympa et bien courageux (il fait les cinq jours tout seul apparemment !).
- Harmonie rouge 2014, assemblage de cépages gaillacois ("braucol", c'est-à-dire mansois, ainsi que duras et syrah je crois). Il y a du fruit mais c'est surtout très épicé. En bouche on n'a certes pas affaire à un Bourgogne subtil mais c'est rond, velouté, très bon.
- Concerto rouge 2015 présente une gamme aromatique assez similaire. Je sens plus de finesse, l'ensemble est à la fois plus fondu, mais on est rattrapé en fin de bouche par une masse tannique.
- Hyperbole rouge 2007 ajoute un côté champignon. J'ai noté "un peu "floral" " ("floral" entre guillemets), ça m'étonne à la relecture mais puisque je l'ai noté... Structure allongée, un vin qui a du répondant mais pas dénué de finesse pour autant, un peu d'allonge.
- on attaque les doux avec une nouveauté (pour moi en tous cas), le Prélude 2015, qui présente une jolie liqueur même s'il est qualifié de "demi-sec" (j'exagère peut-être) ou de juste "moelleux". Le fruit est assez simple, c'est bon (pas extraordinaire, mais au prix c'est vraiment pas mal).
- Harmonie doux 2014 est lui vraiment top. Quelle belle richesse pour un vin de cette gamme ! Niveau aromatique, on retrouve la mirabelle au four (un peu roussie !), le raisin rôti. Top !
- on continue dans l'émerveillement avec le Concerto doux 2007. Ce 100% muscadelle présente une robe entre or et cuivre. Le nez est très beau, toujours sur les fruits rôtis, un très léger rancio très agréable. La bouche n'est pas en reste, la richesse est équilibrée par une note végétale (qui évoque les liqueurs alpines, Chartreuse voire génépi). Je me répète : trop bon.
- on finit en apothéose, pour qui aime le style, avec Hyperbole blanc. Ce rancio sec (élevé sous voile puis en solera, ou les deux ensemble je ne sais pas trop) a une belle robe acajou. On nez on a la noix bien sûr (plutôt sèche que fraiche), du beurre, du grillé. La bouche est une énumération d'équilibres : c'est rond mais sec, puissant mais frais... (oui bon je sais, tout est dans les "...")
Bref j'ai bien aimé.

En conclusion, une belle journée, avec des hauts et des bas mais je soupçonne le dégustateur d'en être largement responsable. De belles confirmations avec René Rieu et Jean-François Mérieau (sur quasi tous les vins dégustés dans les deux cas). Moins emballé par la Bourgogne ce coup-ci. Confirmation que c'est bon chez Denis Barraud et Laurent Charvin (plus Raspail-Ay mais c'était un premier contact), et bien aussi chez Dupasquier (pas encore touché par la grâce comme d'autres membres du forum cependant, mais apparemment il faut laisser mûrir quelques années pour cela). Jolie découverte enfin au Clos Fornelli, avec des beaux blancs et des rouges qui demandent à regoûter ! Tout cela avec un accueil globalement très sympa, ça aide à apprécier le moment (et donc les vins, incidemment).

Joseph

PS pour les modérateurs : je réponds ici pour la cohérence, mais mon post a été déplacé depuis le fil du SVI jusqu'à ce forum "dégustations éclectiques". C'est pourtant bien d'avoir les comptes-rendus dans les fils dédiés, non ? (surtout avec le recensement de Didier "Ladide")
Les utilisateur(s) suivant ont remercié: LADIDE78
05 Nov 2017 23:47 #2

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Réponse de LADIDE78 sur le sujet Salon des vignerons indépendants Lyon 2017

Merci Joseph
Le Clos Fornelli ( il fait parti de ma liste ) fut aussi pour moi , une belle découverte il y a 2 ans , tu as eu la chance de pouvoir déguster toutes les cuvées , car à Paris , se sera moins sur , car ils vendent presque tout , l été sur l ile , et arrive avec presque rien sur les salons en Novembre ,pour les Parisiens , l idéal est de les déguster en mars ( porte de Champerret ) , j avais été aussi trés convaincu par les blancs , n hésite pas la prochaine fois à les déguster en début de salon
didier

Mal-voyant depuis 31 ans et passionné de vins comme vous tous
06 Nov 2017 05:43 #3

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Modérateurs: GildasPBAESMartinezCédric42120Vougeotjean-luc javauxstarbuck