"avec un peu de chou-fleur pour le côté végétal, et le tout lié par un élevage discret qui apporte comme une très fine couche de verni."

Et bien, il sentirait le vin déviant que ça m'étonnerait pas !?
A moins qu'il ne s'agisse d'une méchante réduction !

pas de réduction et pas un vin déviant du tout

la bouteille a été ouverte le matin vers 10h, sans épaulage, et le vin a été servi le soir vers 21h.

la note chou-fleur du nez n'a été perçue qu'à table, et pas en permanence, je ne sais pas d'où ça pouvait venir mais ça n'était pas dérangeant.
Après quand je parle du vernis c'est de manière imagée, c'est à dire que je ne fais pas référence à un arôme de vernis qui effectivement indiquerait une certaine déviance ou évolution défavorable, mais au fait que l'élevage recouvre de "son" vernis les autres arômes du nez en leur apportant donc un côté luxueux qu'ils n'auraient peut-être pas sans cela.

Bourgogne
En Bourgogne, où les vins ont longtemps été affectés par le goût de liège, Jean-Pierre Charlot et son équipe testent de nouveaux bouchons.

lesjours.fr/obsessio...

Domaine Joseph Voillot, Pommard 1er cru Les Rugiens, 1981



Marc
Nez plus sauvage et terrien que celui du Clos des Ducs 96. La bouche est superbe, avec des tanins gras, une belle présence et du dynamisme. La finale est peut-être un cran en dessous. Surprise à la découverte du millésime, pour ce vin en pleine forme !

Oliv
Bouchon d'évidence changé par le domaine.
Robe nettement tuilée et totalement dépigmentée sur l'extérieur du disque.
Nez puissant, assez viril à l'ouverture, sur le cuir puis qui libère petit à petit un ensemble riche, sur la gelée de fruits rouges épicés, le thé noir, le tabac.
La bouche est vraiment délicieuse, qui plus est sur un Chapon farci, avec une matière pleine et douce d'une belle suavité, sur un équilibre à l'acidité fraiche et mobile quasi parfait.
Si en dégustation seule, les tanins pouvaient paraître un peu marqués, ils s'effacent totalement à table et libèrent une finale agréable et d'une grande franchise.
Très joli vin !

Bouchon d'évidence changé par le domaine.

? qu'est-ce qui te le fait dire ?

j'ai des Calon-Ségur 1955, les étiquettes sont très marquées par le temps, la capsule par contre est neuve et en plastique !


PS anecdote j'ai une fois bu Pichon Comtesse 1982 (selon l'étiquette) j'ai été un peu étonné de trouver un vin plutôt léger, en regardant le bouchon, je vois 1983 inscrit dessus ... dans ce cas, c'est d'évidence le vendeur qui avait remplacé l'étiquette

Ce vin est issu d'un achat direct au domaine il y a 5 ou 6 ans (merci Vévé !)
Le bouchon standard mis à la boucheuse à main (petit cercle sur le haut du bouchon) me laisse à penser qu'il n'est pas d'origine.

Le domaine est historiquement réputé pour prendre soin de ses vieux millésimes en rebouchant régulièrement et avec soin ses vieilles cuvées... et à en mettre parfois en vente à certains clients fidèles. C'est l'une des raisons pour lesquelles vous voyez régulièrement fleurir sur le site des CR de millésimes plutôt anciens malgré l'âge plus que raisonnable des contributeurs. Evidemment, il n'y en a que très peu et ils ne sont pas vendus au premier venu. Pas question évidemment de réclamer des 78 ou des 85. Je ne parle même pas des 1990. Le jour où j'ai annoncé à Jean-Pierre en avoir trouvé aux enchères, il voulait me les racheter car il n'en a plus. Mais cela nous a tout de même permis de déguster de bien belles choses, y compris sur des millésimes dits faiblards.

Mon Oliv, je ne me rappelais même pas t'avoir fait profité du truc. Je suis vraiment trop bon. Il ne manquerait plus, pour couronner le tout, que j'oublie un bouteille de Ramonet dans notre cave commune...

Bises

Hervé

Bonjour,

passé cet après-midi chez l'ami Jean-Pierre pour enlever les 2015, nous avons pas mal discuté (dégusté aussi), qu'il s'agisse de l'année qui commence mal (risque de gel notamment cette nuit où les viticulteurs ont décidé pour contrer les risques de faire brûler de la paille dans les vignes, d'où des scènes de branle-bas de combat aujourd'hui dans le vignoble) ou des années précédentes difficiles en terme de rendement. A ce titre, l'année 2016 représentera au domaine un record qui sera, on l'espère, bien difficile à battre. Depuis 2009, année prolifique où le domaine avait rentré 200 pièces (une année "normale" se situant autour de 160), les années déficitaires n'ont fait que s'enchaîner. Une première récolte catastrophique en volume en 2012, avec 84 pièces, avait marqué les esprits. 2013 et 2014 ont fait légèrement mieux sans retrouver des niveaux acceptables. 2015 a atteint les 123 pièces, meilleure récolte en volume depuis 4 ans. Mais voilà, le gel du printemps 2016 est passé par là. Cette année 2016, seules 71 pièces ont été produites. Certains chiffres paraissent improbables. Quand, en 2009, le Volnay village produisait 44 pièces, ce sont seulement 7 pièces qui seront produites en 2016. Si l'on compte bien, cela fait depuis 2010 un peu plus de deux récoltes qui ont été perdues. Dommage collatéral induit, les fermages explosent. Ceux-ci sont fixes en volume/ha et basés sur le cours du vrac. Le vin manquant, le cours explose. Du coup, certains prix font de même.
Malgré cela, Jean-Pierre, officiellement à la retraite, garde le sourire. Un petit tour dans les vignes montre que le domaine ne lâche rien en terme de travail. Avec un peu de chance, 2017 devrait éviter à la côte de Beaune le gel, le mildiou, les sauterelles et la bombe A. Et nous permettre de nous fournir, une année encore, chez l'un des meilleurs et des plus attachants viticulteurs de Bourgogne. En attendant, que les heureux clients fidèles se préparent à être sacrément rationnés lors de la vente du prochain millésime, surtout dans les cuvées de base.

Cordialement,

Hervé

Merci Hervé ! Pffff et c'est là que je mesure combien dans mon monde numérique, j'ai cette chance d'être très peu soumis à l'aléa....
Amicalement, Matthieu

Bonjour à tous,



Volnay, Voillot Caillerets 2010 : Un nez expressif, très séduisant, fruité, de groseille, framboise, mûr, note carroube, orgeat, ambré, presque tabac, fond fumé léger moka. La bouche est corpulente aux tanins soyeux, plutôt souples (pas très denses) mais bien tenu, un coté acidulé, sur la framboise mûr, note fraiche de groseille, ronce, puis épice, fond fumé et un côté orgeat. La finale qui reprend de la fraicheur est tonique et belle persistance, framboise, groseille mûr, note épice, puis orgeat, fond tabac fumé moka. Excellent 91 (16,5)

Amicalement, Matthieu

Bonjour à tous,



Volnay, Voillot VV 2010 : Un nez plutôt discret encore, de cerise, note épice puis ronce rafle, fond fumé ambré. La bouche est charnue, large, aux tanins précis, soyeux, pas très concentrés, mais profond, frais, sur la cerise, note ronce rafle classe puis épice, fond fumé ambré. La finale est fraiche, tonique, délicate avec un regain de puissance qui offre une persistance intéressante de cerise, note épice puis ronce rafle fond fumé ambré. TB-Excellent TB 89 15,5+ pour les amateurs de vins fins bourguignon (ne pas chercher la matière la densité et la puissance).

Amicalement, Matthieu

Mathieu,

Je n'ai pas cette année malheureusement
Mais pour moi cette cuvée est le meilleur rapport Q/P du domaine
Ce n'est pas un premier cru donc on peut l'ouvrir pas trop vieux sans scrupule mais c'est largement au dessus des villages
Pour ce que j'en dit

Eric,
Je suis totalement d'accord !!! C'est un de mes crus références, j'en prends tous les ans... Et comme visible dans le fil, j'en bois beaucoup (et encore je ne les commente pas toutes...)
Amicalement, Matthieu

Bonjour à tous,



Volnay, Voillot VV 2013 : Un nez appétant de cerise, framboise, note ronce, pointe sureau fond noyau. La bouche est charnue, large, tanins soyeux, c'est rond bien soutenue par la fraicheur, sur la cerise, la framboise, note ronce et fond sureau et noyau pointe fumé. La finale est fraiche, tonique, empreinte un poil sèche, persistance intéressante de cerise, framboise, note ronce et fond sureau et noyau. TB 90 (16). Parfait sur le carpaccio.

Amicalement, Matthieu

Domaine Joseph Voillot, Volnay 1er cru Champans 2007

Belle robe rubis, translucide.
Au nez on trouve des notes de cerises et de framboises, très élégantes
En bouche, on retrouve tout de suite la "patte" de Jean-Pierre, traduisant une élégance hors pair, avec une énergie et une fraicheur qui amène à se resservir encore et encore...
Pourtant la matière est là, domptée, civilisée, avec des tannins soyeux et une grande longueur en bouche.
J'adooooore...
Excellent !
confirmation pour cette bouteille que j'ai toujours apprécié même jeune et qui n'a pas bougé d'un pouce depuis 4-5 ans date de la dernière dégustée

Ludovic

Bonjour à tous,



Pommard Voillot Pézerolles 2011 : Un nez expressif très séduisant, cerise, fruit rouge, framboise, note épice et fleurie patchouli, bonbon anglais, pointe ronce fraiche, fond orgeat et très leger fumé. La bouche est corpulente, large, ample, avec de la fraicheur tonique, c'est friand, tanins soyeux précis, sur la cerise, la framboise, note épice , patchouli et florale pot pourrie, pointe ronce fraiche, fond orgeat, noyau et léger fumé. La finale est fraiche, tonique, bien enrobée, et persistance intéressante de fruit rouge, cerise, framboise, note épice, puis ronce et le fond noyau orgeat. Excellent 16,5 91 mais la moins séduisante des 3, le vin se refermant un peu par rapport à l'explosion de sa jeunesse (93 puis 92 et cette fois 91)

Amicalement, Matthieu

Suite à ma dernière dégustation du Champans 2007 et compte tenu des température plutôt élevées en ce début de semaine sur Paris, je choisis ce soir de remonter de la cave une bouteille de Voillot Pommard Rugiens 2008, servie autour de 15 degrés en début de repas.
Je retrouve les marqueurs du champans 2007 quant à la l'élégance et la buvabilité de la bouteille mais avec une énergie, et une allonge bien supérieures. Par ailleurs ressurgissent également en bouche des notes de ronces qui apportent une plus grande complexité et sans doute une plus grande fraicheur à cette bouteille.
Grande bouteille pour moi et dans le plus pur style du domaine...
Mathieu et Hervé me comprendront... ( Denis aussi bien qu'il soit sceptique sur les 2008 en Bourgogne... :-) )

Ludovic

Domaine Joseph Voillot, Volnay 1er Cru, Les Frémiets, 2008



Bouchon moyen, un peu imbibé et mollasson sans en devenir douteux pour autant.
Robe sur un rubis clair bien brillant et sans trace d'évolution.
Très beau nez charmeur et délicat, d'une magnifique précision de fruit très pinot, sur les fruits des bois, la confiture de groseille, la fraise des bois et un très fin végétal qui lui donne un cachet certain.
L'attaque est à l'avenant, toute en délicatesse, sur une acidité pointue qui propulse une matière légère toute en délié et en croquant de fruit.
Au moment où on commencerait presque à se pâmer en rêvant à un décollage vers des horizons grandioses, les faiblesses du millésime se rappellent au palais, le vin manquant quand même de chair pour compenser une acidité et une petite amertume qui créent un point de sécheresse.
Le vin déroule néanmoins un charme aromatique assez délicieux, en pleine phase avec les senteurs du nez, sur les fruits rouges matinés d'un végétal léger et plein de charme.
La finale simple et droite d'une grande fraîcheur et buvabilité s'abime toutefois quand même dans une certaine sécheresse.

Pas le plus grand des vins peut-être mais dans le contexte du millésime, c'est de la très belle ouvrage pour une bouteille charmeuse pour peu qu'on aime les vins légers.

Peut-être aussi le style du vigneron et la patte du climat autant que le millésime car Frémiets 2009 se présentait hier de façon comparable (compte-rendu de notre dégustation Meursault/Volnay à suivre); j'ai beaucoup aimé mais certains ont été gênés par des notes végétales ou une certaine amertume.

Ralf

Domaine Joseph Voillot, Volnay 1er Cru Les Frémiets 2002

Robe comme le Buisson-Charles et le Mikulski, floral aussi au nez , fruits rouges murs et frais, toujours une belle structure, de la densité et de la fraicheur, l’acidité l’allonge vin, connaissant Yves , je vois bien un Champans de Voillot sur 99 ou 2002, j’étais pas loin. TB++

Bu lors de cette soirée lapassionduvin.com/f...

Stéphane

Bonjour à tous,



Volnay, Voillot Champans 2010 : Un nez encore discret (12H), sur la framboise, la cerise noire, note ronce et sous bois, puis épice, typé réglisse, poivre, fond de noyau qui commence à se faire moka. La bouche est corpulente, large, tanins soyeux amples enrobant une joli tension, de la profondeur, un ensemble encore en retenu, sur la framboise, la groseille, note de ronce, de bourgeon de cassis, puis plus épicé réglisse, poivre, fond moka léger. La finale est fraiche profonde et belle persistance de framboise, de groseille, d'épice, fond léger moka. Pas encore prêt, a attendre car j'ai l'impression que le vin prend la direction du 90 direct, Excellent 93-95 (17-18)

Amicalement, Matthieu

+1 Matthieu

je l'ai bu il y a quelques semaines et partage ton avis...

Faut dire aussi, que je suis convaincu que ce vin est un futur 90 depuis sa naissance... :-)

J'en ai bcp encavé pour pouvoir le déguster régulièrement et pour qu'il m'en reste suffisamment lorsqu'il sera à maturité dans une petite dizaine d'année...

Ludovic

Domaine Joseph Voillot, Volnay 1er cru Champans 2009

Bouteille bue sur trois soirs
Premier soir ouverture à l'arrache

La robe commence à prendre sur le disque des reflets tuilés avec des touches maron
Le nez est d'emblée formidable et c'est un effort de le sortir du verre. Complexe et riche le sang un touche de rose et quelques notes de fruit rouge d'un vin entre deux ages
L'attaque en bouche et ronde un toucher de bouche surtout extraordinaire
Un milieux de bouche juteux superbe équilibre
Et une finale enlevée

Vraiment un régal
Et ne pas terminer la bouteille dés J0 ou j1 a été un formidable exploit

Bouteille bue sur trois soir
Premier soir ouverture à l'arrache ...

...Vraiment un régal

Eric,

Vu le « délai » de dégustation, tes commentaires concernent-ils le dernier jour ?
Ma dernière expérience sur le Volnay Vieilles Vignes 2009 bu en un jour était plutôt mitigée avec le sentiment d’un vin cadenassé et pas en place du tout.

Olivier

En fait j'aurais effectivement du le préciser pas grande différence entre les deux premiers jours, le troisième le vin était un peu en dessous

J'ai ouvert cette bouteille à l'arrache, comme souvent . Je l'ai choisie car je pense que 09 en Bougogne ne tiendra pas trop longtemps du fait d'un fréquent manque d'acidité mais en rouge on a une belle chaleur

SI ce n'était la légèreté du vin on aurait presque pu le qualifier de sudiste de par les arômes et le peu d'acidité sans pour autnat être mou ou manquer de fraicheur et le vin était prêt dés le retrait du bouchon
Température de service autour de 17°

Merci Eric,

Olivier

Domaine Joseph Voillot, Volnay 1er Cru Champans 2008

Ah, ce soir j'ai un peu les nerfs . . . Ma dernière bouteille de Champans 08 et dès l'ouverture je sens un truc pas net sur le bouchon . . . confirmé au nez, carafage pour être sûr : TCA . . . c'est dommage, y a du fond derrière, une astringence tout de même (attendez les pour ceux qui en ont encore), une acidité qui est . . . forte, je dois l'avouer, plus que la dernière fois (le millésime reprend ses droits). Une très jolie couleur aussi, très rouge magenta, que je n'avais pas remarquée plus que ça les autres fois. C'est le jeu ... Dommage . . .
Remplacé par un Mas Jullien 08, qui lui joue sa partition sans faux bond.

ED,

Cdt

Seb

Domaine Joseph Voillot, Volnay 1er Cru Frémiets 2009

Bouteille ouverte au débotté suite à pb sur choix précédent.
Robe rubis translucide style grenadine foncée, un peu trouble.
Nez fin entre grenadine (!), mûre, cerise croquante, guimauve. Nez sérieux, pas vraiment fermé mais en retrait.
Bouche suave, fluide. Belle longueur.
Le vin se montre au premier abord clairement entre deux eaux, même s'il est déjà agréable en l'état. Ilbascule doucement vers les arômes tertiaires.
A l'aération, le vin gagne en densité, en précision, mais dans un style pas totalement rigolard.
A attendre un peu, en toute quiétude.
Une fois mes notes relues, je me rends compte que la bouteille précédente, ouverte, il y a un peu plus d'un an, et carafée une heure avant, s'était bien mieux livrée, tout en présentant des caractéristiques très voisines. Cela m'apprendra...

Cordialement,

Hervé

Domaine Joseph Voillot, Volnay 1er Cru Les Frémiets, 2007



Bouchon parfait.
Robe assez claire et sans réelle évolution, sur un rubis qui tire sur le grenat.
Très joli délicat et fin, sur la gelée de groseille, la framboise enrobées d'une pointe végétale.
La bouche en revanche est trop légère, même pour moi, sur un équilibre instable manquant de jus un peu dévoré par l'acidité.
L'ensemble possède un charme aromatique léger mais pas suffisamment de fond pour soutenir la table.
Et même en dégustation seule, la finale laisse le palais un peu asséché d'acidité.
Peu de plaisir sur cette bouteille qui manquait de fond.

Oliv,
j'avais bu en 2012 un Beaune 1er cru aux coucherias 2007 ( ICI ), et je n'avais pas trouvé non plus une énorme matière (du raffinement, certes, d'aucuns diraient maigreur).
Bu également en février 2013 le Pommard 1er cru les épenots 2007 ( ICI ), pas un grand souvenir, matière fluette.
Même constat sur Pezerolles 07 bu deux fois en 2014 ( ICI ;
Marc et Emane sur des Volnay Champans et Fremiets pointent aussi en 2015 soit la faiblesse de la matière, soit le côté léger ( ICI ) : effet millésime sur l'ensemble des cuvées en rouge ?
En revanche, sur mes bouteilles de meursault, pas de souci en 2007 (j'ai eu plus de chance que toi, pas de premox).

Seb