Latour - Martillac rouge 2007
Bouteille débouchée et servie 1h plus tard sans carafage, la moitié gardée pour le lendemain.
Pas de différence notable entre les deux jours, très expressif au nez.
L'attaque en bouche est douce, avec des tannins bien intégrés, présents mais pas dominants ni asséchants. C'est équilibré entre boisé et fruits rouges, mais le nez donnait une meilleure impression.
En finale, ça chauffe un peu trop à mon goût. Effet 2007? Trop d'alcool?
Pour moi le vin est à pleine maturité, avec sûrement quelques années devant lui, mais pas de raison d'attendre.

bonjour,
le fait que ça chauffe en finale (étonnant sur 2007) ne serait-il pas le fait d'une température de service un peu élevée aux vues des conditions météo ?

Bonjour,

Je me suis posé la question, mais il devait être autour de 18°C (?) et j'aime bien servir les vins rouges à température plutôt élevée (facilement 20°C), donc je le trouvais assez frais en bouche. Sauf sur la finale...
Je devrais réessayer plus frais à l'occasion.
Ceci dit, en Belgique il fait bon mais pas caniculaire non plus

Latour-Martillac rouge 2008

Ouvert 1h avant, sur le pouce pour des linguine bolognaises.

Robe sombre mais limpide. Reflets qui fanent doucement.
Nez sur le menthol, le cèdre, une pointe de café et une belle base cassis-myrtille.
Bouche sur les mêmes arômes. Un boisé et des tanins encore présents...quelques années de garde devraient les absorber favorablement.
Une "pré-finale" un poil acide. Une longueur très honorable.

Bien, devrait procurer un plaisir certain dans 5-7 ans (en terme de R/Q/P/P).

Alex.

Latour-Martillac rouge 1989

Le vin est évolué avec du sous bois, de cuir mais aussi avec de la cerise bien marquée qui lui confère encore de la jeunesse. Il y a un beau volume en bouche avec une belle complexité et un bon équilibre. La finale est correcte avec toujours de la cerise mais aussi un petit côté poussiéreux, vieille cave.
Un vieux vin qui se tient bien et qui apporte du plaisir à table en prenant son temps mais il faut aimer les vieux bordeaux.

Château Latour Martillac blanc 2011
Pessac-Léognan
Bordeaux
25 euros

Servi après avoir été double carafé assez brièvement

Assemblage de 65 % de sauvignon blanc et de 35 % de sémillon. Le vin est fermenté en barriques et élevé 15 mois sur lie dont 10 en barriques dont 25 % neuves

Robe jaune assez marqué, très profonde et d'un gras moyen

Nez sur les fruits blancs, les agrumes, les fleurs blanche comme de l'acacia, le tout souligné par de belles notes boisées

Bouche sur le même registre que le nez, charnue, longue, puissante mais parfaitement équilibrée, un peu grasse. Au joli fruit qui s'exprime déjà au nez, viennent s'ajouter des notes de fruits secs qui évoquent la noisette. Le tout est rafraîchi par de belles notes minérales

Note : 8,5-9/10, un superbe blanc qui allie toutes les qualités

Bu avec une sole meunière

sersmoiuncoupdevin.b... Mon blog

Château Latour-Martillac blanc 1995

Deuxième et dernière bouteille d'un lot de salle de vente.

Bouchon d'excellente facture, légèrement marqué sur deux centimètres. Encore du fruit au nez, même si c'est l'encaustique, le miel et l'alcool qui domine. Le bois aussi que l'on retrouve en bouche avec une acidité qui cède à peine le pas à la rondeur d'un chardonnay (sic) sauvignon de 20 ans.

En fait je n'ai pas d'experience en degustation de vin blanc sec et ne connais pas bien ces vins de graves. Si le bouquet n'a plus rien de floral, je ne lui trouve rien de defectueux, et le bois doit se montrer plus souple en bouche désormais. La robe est jaune or à peine orangée. Pas de dépôt.

Bu(es) avec repas d'huitres, quenelles d'ecrevisse et blé noir, daurade au four, saint-jacques echalottes poëllées, pommes cuites, tarte chiboust.

Je me demande comment ce vin dans ce millesime en particulier et sinon en général évolue avec le temps sur une ou plusieurs decennies supplementaires. Bon j'ai qu'à prospecter les CR correspondants. Je n'ai pas carafé ou aéré à l'avance (à tort?) et remarqué qu'il est bénéfique de ne rafraîchir que très légèrement ce vin (pas utilisé de thermomètre mais j'ai enlevé la chaussette après le deuxième verre, qq chose c 14-16 degrés).

Château Latour-Martillac 2005 :
Superbe vin puissant, équilibré, belle profondeur, tanins fondus qui tapissent le palais tout en velour.
Trés beau, à boire ou garder.

Sylvain.

La robe de ce Château Latour-Martillac 2005 est très foncée,limpide sans signe d'évolution notable.
Le nez est assez puissant axé sur les fruits noirs,les notes fumées et réglissées.En bouche c'est tout de suite le manque de volume qui déçoit;certes l'ensemble est équilibré,fruité mais il "manque du vin".La longueur est acceptable.Les voisins cautionnent ces remarques,on est loin du plaisir procuré par le concurrent Carbonnieux dans ce même millésime.
Bernard

Bonjour à tous,

Nouveau sur LPV, j'ai fait ma présentation personnelle dans la catégorie A propos>Présentation. C'est mon premier CR...

Latour-Martillac rouge, Pessac Léognan, 1989

Bouteille en excellent état, niveau impeccable, étiquette sans dégât, bouchon non imbibé. Ouverte une 30/45 min avant dégustation sans épaulage.

Couleur : Disque tuilé, intensité moyenne.
Au nez cela sent le fruit rouge, je dirai la cerise, pas de note tertiaire particulière.
En bouche, encore bien fruité effectivement sur la cerise, la longueur est moyenne. Une très légère acidité en fin de bouche qui lui confère de l'équilibre.

Une bouteille bien conservée, qui nous a donné du plaisir à moi et mes convives.

Bu lors d’une dégustation sur le thème des pessac léognan rouges 2012 relatée ici .

Château Latour Martillac 2012
Cépages : 51% cabernet sauvignon, 42% merlot, 7% petit verdot,.
Elevage 18 mois en barriques dont 40% neuves.
Robe Grenat.
Joli nez, ouvert, fruité (cassis, mûre, fraise) et marqué par l’élevage (vanille, café).
Attaque ample et ronde. Bouche puissante, avec une belle fraicheur et des tanins déjà fondus, qui donnent une texture assez soyeuse. La retro révèle, en plus de ce qui a déjà été « reniflé », un léger fumé et des notes de pruneau qui s’expriment sur la finale longue et fraiche.
Conclusion : un beau vin, séduisant, expressif et déjà assez fondu.
Note : 3,5+/5

Bibi

Château Latour-Martillac blanc, Pessac-Léognan, 2010
cr tiré de Catherine et les garçons jouent au saute-mouton de Bordeaux.

Le nez dégage une impression fumée assez élégante, une finesse d'allure sensuelle, presque capiteuse par son fonds d'arômes de fruits et de fleurs exotiques parfumés à la guimauve.
La bouche charnue, très parfumée, prolonge ce coté pulpeux, plein, expressif ; ses beaux amers tendus s'allongent tant et plus dans une finale fraiche, sapide et saline. C'est bon et bien fait, mais , à mon gout, manque un peu d'émotion, de vibration, de cette transparence diamantine que j'apprécie tant dans le Clos Floridène pourtant de moins noble origine. Mais il parait que ce n'est qu'à 15 ou 20 ans d'âge que ce Pessac se révèle vraiment.

Daniel

Château Latour-Martillac rouge, Pessac-Léognan, 1989



Epaulée 3h.
J'avais dégusté cette même bouteille il y a quelques mois, le bouchon était dans un excellent état, juste imprégné sur sa surface de contact.
Cette fois ci il en a été tout autrement le bouchon s'est brisé en trois partie qu'il a été possible d'extraire sans laisser de résidus dans la bouteille.
Cette (mauvaise) surprise a été confirmé par l'état du vin.
Sur le fruit avec un sentiment de belle jeunesse avec un fruit simplement mûr, le vin était cette fois beaucoup plus avancé (évolué serait trop léger). Il faisait bien son âge avec ses arômes de fruits confits ou bien à l'eau de vie.
En bouche, le vin était très correcte mais rien à voir avec la vivacité et la clarté du fruit du premier. Il mêlait les fruits rouges très confits et des notes plus terreuses. Bien tout de même.
Comme quoi deux bouteilles conservées au même endroit mais deux gardes différentes.

bue ici

Château Latour-Martillac – Pessac-Léognan rouge 2008
Nez puissant, fruits noirs, touche animale, tabac, suie.
Bouche équilibrée et assez large, bien ronde avec beaucoup de fruit, du cuir, suie, dans une bonne longueur. La gamme aromatique est plaisante, dommage cette finale un peu asséchante.
Très bien-

Château Latour-Martillac, Pessac-Léognan rouge, 2006



Bouchon comme neuf.
Robe à l'avenant, sur une profondeur et de belles notes pourpres bien brillantes aux entournures.
Nez plein et assez roboratif, sur les fruits noirs, le chocolat noir, un boisé épicé confortable et encore un peu insistant.
Très jolie attaque de bouche, sur une matière crémeuse immédiatement lisible, au beau volume plein et charnu bien mobilisé par une acidité agréable.
L'ensemble est très bien constitué, posé et accessible, sur un volume encore un peu riche et joufflu à mon goût, notamment au niveau du boisé qui doit pouvoir encore mieux s'intégrer.
Belle finale ample et facile, sur des tanins parfaitement intégrés.
De la très belle ouvrage à attendre encore selon moi, en tout cas sur cette bouteille très jeune d'expression.

Château Latour-Martillac - Pessac-Léognan - blanc 2004
Bu étiquette découverte.

Un vin sorti de cave un peu par hasard et qui s'est avéré très... bordelais.

Douze ans après être rentré dans ma cave, ce Pessac était encore vaillant.
Nez classique des blancs de bordeaux, avec des notes d'agrume, de vanille. Pas de trait vert et encore moins de "buis". Comprenez pisse de chat.
La bouche est belle : du gras mais pas trop, une larme d'acidité, des notes d'agrumes confit mais, encore et toujours, cette touche de vanille qui signe un élevage un peu dissocié. C'est bon, mais les pêchés de jeunesse sont là : un élevage peut-être un peu trop luxueux qui n'arrive pas à se digérer de lui-même.
Le vin est néanmoins très bon, sans défaut majeur. Sans réelle magie non plus.
C'est un Pessac Léognan plutôt sympathique qui, de mon point de vue, ne gagnera rien à être attendu.

Dégusté ce soir en accompagnement d'un cabillaud cuit en papillote, une bouteille du Latour Martillac (blanc), millésime 2012. Bouteille que j'avais acheté en nombre de 3 ou 4 en primeur. Première rencontre avec ce millésime me concernant. Bouteille remontée de la cave, ouverte et goûtée aussitôt.

La robes est jaune claire.

Le nez est immédiatement sur les agrumes, agrumes confits, puis arrive de la crème pâtissière, un peu de boisé et de l'amande.

En bouche on retrouve des arômes iodés, les agrumes pointent le bout de leu nez, suivi par la crème pâtissière. Le vin est fluide, léger sans mâche particulière et glisse tout seul.Le vin offre un peu de complexité mais pèche par un manque de longueur - peut-être goûté trop jeune, quoique en l'état il procure déjà pas mal de plaisir.

Bien ++
Nicolas

Château Latour-Martillac, Pessac-Léognan rouge 2007

Paraît qu'il faut les ouvrir! Allons y! Bon par contre, les pollens m'ont bien attaqué à ce stade du week-end et mes perceptions commencent à être mises à mal...
La robe est sombre
Le nez m'apparaît profond sur un fumé/fruité noir assez classe.
La bouche est fraîche, offrant un bel équilibre entre le fumé et le fruité, les tanins sont fondus, la persistance est moyenne. Un vin séduisant.

Château Latour-Martillac 2012 - Pessac-Léognan

Robe dorée et brillante.
Nez sur le buis, associant des notes fumées, d'agrumes (pomélo) et d'élevage.
Bouche fraîche et vive au déroulé tonique et sec. L'acidité est franche et les notes d'élevage ressenties au nez reviennent sur une finale.
La matière se distingue plus par sa structure que par son fruit, et paraît à ce stade dissociée.

Bordeaux
Au Château Latour-Martillac, un nouveau chai pour les rouges !

www.terredevins.com/...

Pessac-Léognan, Château Latour-Martillac blanc 2013

Agréable équilibre entre acidité/tension et gras.
Il reste juste une pointe lactée qui trahit l'élevage, mais rien de gênant pour moi.
Superbe complexité aromatique sur la pêche blanche, les fruits exotiques, la paille, le citron, la vanille, les fleurs blanches (acacias, chèvrefeuille).

Ça faisait des années que je n'ai plus bu un Pessac blanc, j'avoue que j'y reviens avec plaisir.

Très bien

th7513 écrit: Pessac-Léognan, Château Latour-Martillac, blanc, 2013
Ça faisait des années que je n'ai plus bu un Pessac blanc, j'avoue que j'y reviens avec plaisir.
Très bien

D'autant plus que s'il reste un vin, un seul, d'un très bon rapport qualité/prix/plaisir dans cette appellation, c'est bien lui !
Et, éventuellement, Carbonnieux.

Château Latour-Martillac blanc 2013 - Pessac-Léognan

6 mois après, je regoûte ce Pessac qui m'avait bien plu.

Cette fois le vin présente une aromatique différente, sur les agrumes et des notes fumées.
Je ressens moins l'élevage (vanille), sans que le vin ait perdu en tension et en intensité.
Malgré cette belle présence, la longueur en bouche n'est pas exceptionnelle.

En tout cas, le plaisir est toujours là pour moi et le rapport qualité-prix très correct.
Décidément je préfère le sauvignon bordelais au sauvignon ligérien.

Re - très bien

Décidément je préfère le sauvignon bordelais au sauvignon ligérien.

D'un autre côté, c'est rare de voir un Sancerre ou un Pouilly avec 30% de sémillon.

jlj

Certes Jean-Luc, merci pour avoir corrigé mon imprécision, il est vrai que l'encépagement n'est pas exactement le même.
Disons alors plutôt que les Pessac blancs me font plus souvent vibrer que les Sancerre...

Vougeot écrit:

th7513 écrit: Pessac-Léognan, Château Latour-Martillac, blanc, 2013
Ça faisait des années que je n'ai plus bu un Pessac blanc, j'avoue que j'y reviens avec plaisir.
Très bien

D'autant plus que s'il reste un vin, un seul, d'un très bon rapport qualité/prix/plaisir dans cette appellation, c'est bien lui !
Et, éventuellement, Carbonnieux.

En terme de RQP sur le blanc je retiendrais Bouscaut, Larrivet et Lespault bien avant Latour-Martillac, ceci dit les quatre sont chers à mon palais !

Lagrave Martillac, Pessac Leognan Blanc 2010

Robe Or pale brillante.
Palette Aromatique assez classique de l'assemblage sauvignon-semillon Pomme verte, abricot, fleurs blanches et citron. pas encore d'arome tertiaire se profilant. En bouche, c'est traçant, droit mais manque d'ampleur et de longueur. Trop simple pour un Pessac-Léognan et mauvais rapport Q/P.

Autant, j'apprécie énormément Lagrave-Martillac en rouge, le second vin en blanc n'est pas une bonne affaire. Il vaut mieux se focaliser sur Latour-Martillac Blanc qui m'est toujours apparu délicieux même dégusté jeune.

Thomas

Latour-Martillac, Pessac Leognan Blanc 2011
Robe or pâle.
Nez sur les fruits exotiques (fruits de la passion ??) , notes florales, caramel et épices.
Bouche légèrement grasse, citronnée, pèche blanche et réglisse. C'est agréable avec encore quelques notes d'élevage. L'acidité est discrète et la finale légèrement amère et saline
Un peu en deça de mes souvenirs sur les précédentes bouteilles (première 2011 toutefois), AB+ / B pour madame

Château Latour Martillac, Pessac Leognan, Grand Cru Classé des Graves, 2008

Ouverture 5 heures
La robe est grenat foncée, d'encre, profonde, sans signe de tuilage. Au nez, on a un joli coulis de fruits rouges, légèrement fumé, avec des notes en contrepoint de poivron rouge. la bouche est fraîche, avec des tanins fins et poudrés, mais sans grand volume. On est en effet plutôt sur un vin de demi-corps, présentant une belle acidité mais dont la finale est un peu brève. Au total, c'est c'est simple, un peu primaire. Sans vice ni grande vertu. Bien + (15,25/20)

La FIN de Trump, ca se fête... Comme j'ai pas grand chose dans ma cave d'appoint à Paris, je remonte une bouteille que je voulais ouvrir à une petite soirée dégustation en novembre avec des amis, soirée qui n'aura pas lieu pour les raisons qu'on connaît !

Chateau Latour-Martillac 2015, Pessac Leognan

Carafé 1h30
Nez très profond sur la prune et un peu le cassis. Puis menthol et un peu pierre a fusil
En bouche matière dense, profonde. Les tannins sont riches et suaves. On sent de la prune, la cerise noire sur un côté très légèrement confit. puis les épices se font sentir, un côté feuille séchée. En fin de bouche, un coté bois fumée arrive. L'équilibre est là. 
Ce vin est définitivement trop jeune mais déjà un beau velouté qui enrobe cette belle matière. Déjà beaucoup de plaisir
en l’état 15,5, Potentiel 16,5 - 17
a attendre 3-4 ans pour ouvrir la prochaine (oui j'aime souvent assez bien les bordeaux entre 2 ages

Cordialement
Marc



Ps: c'est la bouteille la plus chère que j'ai acheté dans ma première campagne des primeurs de bordeaux, sur le millésime 2015 donc - 25€HT si mes souvenirs sont bons, j'avais aussi acheté Labegorce, Domaine de l'A, Meyney, Grand Corbin Despagne, les Eyrins. C'est la 2e que j'ouvre après avoir tenté Eyrins 2015