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Luc Javaux écrit:
La degustation à l'aveugle facilite l'attribution de la note plaisir attendu vs plaisir ressenti (même s'il faudra attendre de decouvrir la bouteille pour l'évaluer).
Si je peux me permettre, c’est n’importe quoi...
Quand on déguste à l’aveugle, on note à l’aveugle. Dans le cas contraire, la note n’a aucune valeur.
Luc
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mgtusi écrit: Tu veux noter le vin ou son rapport qualité/prix ? Ce n'est vraiment pas la même chose.
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Jullux écrit: [
Je ne veux rien . Je ne pense pas noter les vins. C'est juste hypothétique.
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mgtusi écrit:
C'était juste pour avancer le schmilblic ?
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OK, dans ce cas essaie Mouton-Rotschild 1990, et reviens vers nous. Tu auras besoin de l'étiquette pou relever la note.
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Comme il ne vient à personne l’idée de mettre une note à un opéra de Mozart ou de Verdi, à un tableau de Renoir ou de Picasso, il devrait en aller de même pour l’appréciation d’un vin de terroir !
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.....
Progressivement les chiffres ont remplacé les mots… Ce qui compte dorénavant, c’est la note et non le ressenti avec les sensations retranscrites dans les mots. De « taster » on est passé à « tester », c’est-à-dire à une pratique de l’épreuve sensorielle destinée à justifier une nouvelle hiérarchie… celle imposées par les experts en notation des vins. D’une dégustation géo-sensorielle (qu’il convient de réactiver !) centrée sur l’originalité du vin issu d’un lieu particulier, on est passé à l’analyse sensorielle au service des nouvelles formes de commerce orchestrées par les nouveaux médias et propulsées par le marketing contemporain. De vins d’amateurs on passe facilement aux vins de consommateurs… (Jacky Rigaux)
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Et si la note permet précisément de démystifier certaines étiquettes, vive la note !
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jean-luc javaux écrit:
Par contre, que Bill Durand, pour l'anniversaire de bobonne, se soit régalé et ait noté 17.65/20 le Clos Rougeot 2017 accompagné d'une daube d'écrevisses, sur ce coup, la note me semble n'avoir que peu d'intérêt.
jlj
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